Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le paysage - Page 23
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Catégories : La Pinacothèque( Paris 8e), Le paysage, Van Gogh Vincent
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Catégories : La Pinacothèque( Paris 8e), Le paysage, Van Gogh Vincent
Route de campagne en Provence, la nuit, 1890 de Van Gogh Vincent(en ce moment à la Pinacothèque)
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Catégories : Guardi Francesco, Le paysage
Francesco Guardi(nouvelle sous-partie) et Le Canal de la Giudecca et le Zattere
LePoint.fr - Publié le 20/09/2012 à 11:28 - Modifié le 20/09/2012 à 11:22 - 2455 vues
Focus sur une oeuvre de l'artiste avec la commissaire générale de l'exposition du musée Jacquemart-André, Bozena Anna Kowalczyk.
Voir la vidéo ici:
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Catégories : Le paysage
"La maison blanche" de Soutine(dans l'expo de l'Orangerie)
Chaïm SOUTINE (1893 – 1943)
vers 1918
huile sur toile
RF 1963 - 92
© ADAGP, Paris 2006 -
Catégories : Le paysage
Chaim Soutine - L'escalier rouge a Cagnes (1923) et "La route folle à Cagnes"(1923) dans l'expo de l'Orangerie
http://notrebvc.blogspot.fr/2012/10/chaim-soutine-22-octobre-2012.html
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Catégories : Le paysage
Canaletto,"Le Grand Canal et l'Église de la Salute (1730)" à Venise
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Pour préparer ma visite de vendredi, j'ai lu:L'Estampille/L'Objet d'Art hors-série n° 63
En 1906, de grands collectionneurs havrais créent le Cercle de l’Art moderne. Leur objectif : défendre l’art le plus novateur au sein de leur cité. Ils acquièrent des œuvres de Monet, Pissarro, Vuillard ou Marquet, réunies le temps d'une exposition au musée du Luxembourg.
Articles
- Le Havre et le Cercle de l'Art moderne. Une histoire singulière
- La création du Cercle de l’Art moderne
- Au Havre, l’impressionnisme est chez lui !
- Le fonds Eugène Boudin du musée Malraux
- Eugène Boudin, Barques et estacade (Trouville)
- Claude Monet, Soleil d’hiver, Lavacourt
- L’essence secrète du monde des nabis
- Paul Sérusier, Le Berger Corydon
- Félix Vallotton, Haut de forme, intérieur ou La Visite
- Les fauves, pleins feux sur la modernite
- Le fonds Raoul Dufy du musée Malraux
- Raoul Dufy, La Rue pavoisée
- André Derain, Le Vieil Arbre
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
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J'ai aimé vendredi:Van Gogh:rêves de Japon
la Pinacothèque de Paris, du 03 octobre 2012 au 17 mars 2013
rêves de Japon
Les deux expositions présentées simultanément sur les deux sites de la Pinacothèque, permettent aux visiteurs de confronter l'oeuvre de Van Gogh à celle d'Hiroshige.
Tout a été dit sur la fragilité psychologique de Van Gogh, sur ses troubles bipolaires, sa schizophrénie et sur ses crises de délire accompagnées d’hallucinations, ainsi que sur leurs conséquences directes sur son œuvre et sa manière de voir le monde. Mais il est légitime de se demander si l’analyse de ses troubles graves, mise en relation avec l’analyse de ses œuvres n’a pas finalement fait oublier l’essentiel. -
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J'ai aimé vendredi:L'art du voyage
Les deux expositions présentées simultanément sur les deux sites de la Pinacothèque, permettent aux visiteurs de confronter l'oeuvre de Van Goghà celle d'Hiroshige.
Tout le monde en France est persuadé que l’artiste japonais le plus célèbre est Hokusai. C’est une erreur qui amuse beaucoup au Japon.En effet, le Léonard de Vinci japonais n’est pas le maître de La Vague mais un autre qui n’a encore jamais eu l’honneur des musées en France : Utagawa Hiroshige. Pourtant au temps des impressionnistes, Hiroshige est de loin l’artiste qui a le plus fasciné l’ensemble du groupe des jeunes contestataires des Salons. -
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J'ai aimé vendredi:Canaletto-Guardi Les deux maîtres de Venise au Musée Jacquemart André
http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/evenements/canaletto-guardi
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Catégories : Le paysage
Venise. Canaletto et ses rivaux
Londres, National Gallery, du 13 octobre 2010 au 16 janvier 2011
Washington, National Gallery of Art, du 20 février au 30 mai 2011-
1. Gaspare Vanvitelli (1652/1653-1736)
Le Môle depuis le bassin de Saint-Marc, 1697
Huile sur toile - 98 x 174 cm
Madrid, Museo Nacional del Prado
Photo : Museo Nacional del Prado
Avouons-le, nous nous rendions à la National Gallery en trainant un peu les pieds. Canaletto et plus largement les vedutistes vénitiens ne nous ont jamais franchement passionné, leurs tableaux nous semblant parfois très répétitifs et dans bien des cas médiocres. C’était une erreur, un préjugé absurde et l’exposition remarquable du musée londonien le démontre amplement.
A une simple et peut-être monotone rétrospective Canaletto, les organisateurs ont préféré montrer comment celui-ci fut le pivot essentiel des paysagistes vénitiens au XVIIIe siècle. C’est une véritable leçon d’histoire de l’art que nous administre ainsi le commissaire Charles Beddington qui permettra aux plus béotiens de comprendre comment ce genre se développa à Venise, de la première vedute identifiée, par Gaspar Van Wittel (dit Vanvitelli), qui date de 1697 (ill. 1), aux dernières réalisations de Francesco Guardi qui meurt en 1793, terminant ainsi une tradition qui dura tout juste un siècle (même si des imitateurs médiocres la continuèrent jusqu’au début du XIXe).
Le choix de ne montrer que des tableaux certains de ces artistes, et parmi leurs plus beaux, est particulièrement judicieux, évitant jusqu’au bout ce sentiment d’ennui qui aurait pu facilement surgir. En n’exposant que des chefs-d’œuvre, cette manifestation permet de comprendre que Luca Carlevarijs (ill. 2) ou Michele Marieschi, deux artistes parfois sous-estimés, étaient capables de peindre des toiles de la plus haute qualité. La mort précoce de Marieschi fut, comme le dit le catalogue, sans doute un soulagement pour Canaletto en le débarrassant d’un rival qui aurait pu devenir menaçant pour sa position dominante. -
J'ai aimé vendredi l'expo de Jacquemart André et samedi, nous avons aimé celle de Maillol
Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées
La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.
Après les expositions Fra Angelico (Jacquemart-André), Cima (musée du Luxembourg), Le paysage à Rome (Grand Palais), ou encore Titien, Tintoret, Véronèse (Louvre), l’engouement pour la Renaissance italienne se semble pas prêt de s’achever. Pour notre plus grand plaisir.
C’est Canaletto, « le peintre de Venise », qui sera bientôt au centre de toutes les attentions car sujet d’un véritable petit duel muséal. Les prestigieux musées Maillol et Jacquemart-André présenteront simultanément une exposition consacrée au maître vénitien en septembre. Acte manqué ou guerre ouverte ?
Giovanni Antonio Canal (1697-1768), plus connu sous le nom de Canaletto, est la figure phare de la peinture vénitienne, surtout célèbre pour ses sublimes vues des canaux de la ville flottante. Ses œuvres d’une stupéfiante précision doivent beaucoup de leur beauté à la parfaite maîtrise que Canaletto avait de l’étude de la lumière. Contrairement à la majorité de ses contemporains, le peintre travaillait beaucoup en extérieur, d’où peut être son talent à « fixer » l’air si particulier de Venise.
1er état des lieux des expositions :
Le musée Maillol concentrera son propos sur la seule figure de Canaletto avec une sélection de plus de 50 œuvres du maître vénitien (en collaboration avec La Fondazione Musei Civici di Venezia ainsi qu’avec le Polo Museale Veneziano).
Jacquemart-André se distinguera par une étude comparée de Canaletto et Francesco Guardi. L’essentiel des œuvres présentées chez Jacquemart proviendra de prêts londonien et américain : British Museum, National Gallery, Collection Royale de la Couronne britannique, Frick Collection (New-York) et Philadelphia Museum of Art. La couronne britannique est en effet propriétaire de la plus importante collection de peintures et de dessins de Canaletto. Huit de ces œuvres seront exposées pour la première fois à Paris.
L’approche de Maillol pourrait se définir comme celle d’un véritable hommage au peintre ainsi qu’à la ville de Venise. Le musée affiche son désir de clore un cycle d’expositions consacrées aux vedutisti (De l’italien vues. Désigne l’étude très détaillée d’un paysage, le plus souvent urbain) en Europe dont Canaletto était la figure centrale.
C’est plus précisément à ce genre pictural que Jacquemart-André s’intéressera en démontrant la filiation des études de Canaletto et de Guardi. Les vedutisti de Canaletto auraient en effet grandement influencées celles de Guardi.
On attend avec impatience de comparer la différence d’approche des deux musées en relisant l’ Éloge de Venise, de Luigo Grotto Cieco d’Hadria, prononcée pour la consécration du Doge Sérénissime Luigi Mocenigo, le 23 août 1570 :
« (…) qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumière, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit à peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en énamoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientôt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se désole de ne point la revoir. De ce désir d’y retourner qui pèse sur tous ceux qui la quittèrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire à ceux qui la quittent, dans une prière douce: Veni etiam, reviens encore. »
Infos pratiques :
Musée Jacquemart-André : Canaletto- Guardi. Les deux maîtres de Venise (14 septembre 2012-14 janvier 2013)
Musée Maillol : Canaletto à Venise (19 septembre 2012- 10 février 2013)
Photo :
Le Grand Canal vu de San Vio à Venise. Peinture à l’huile (XVIIIe siècle)
© Archives Larbor
http://toutelaculture.com/2012/08/canaletto-a-paris-rivalite-dans-les-musees/ -
Catégories : A voir, Le paysage
Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées
La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.
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Catégories : Courbet Gustave, Des lieux, Des musées, Le paysage
Le Chêne de Flagey de Gustave Courbet rentre au pays
Par Claire Bommelaer Publié le 14/11/2012 à 06:00
LeChêne de Flagey de Gustave Courbet, devrait rejoindre le musée consacré au peintre, en janvier 2013. Crédits photo : ©Lylho/Leemage -
Catégories : A voir, Des expositions, Le paysage, Lille(Nord,59:études)
Babel et l'invention du paysage fabuleux
Signature : Manuel Jover - 14 novembre 2012Jan Mandijn, La Tentation de saint Antoine, XVIe siècle, huile sur bois, 53,1 x 83,2 cm (VALENCIENNES, MUSÉE DES BEAUX-ARTS).
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Catégories : A voir, Des expositions, Des musées, Le paysage, Lille(Nord,59:études)
Les paysages très spirituels de la Renaissance flamande
Au Palais des beaux-arts de Lille, une centaine de peintures flamandes révèlent la place prééminente prise par les représentations de paysages au XVIe siècle.
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Vincent Bioulès - Chemins de Rome à Montauban
14 juillet - 4 novembre 2012 (Vernissage : vendredi 13 juillet à 18 h 30 )
Rencontre en avant première de l'exposition avec Vincent Bioulès le 12 Juillet à 18H Entrée libre, réservation au 05.63.22.12.91
Le musée Ingres de Montauban accueillera cet été, du 14 juillet au 4 novembre 2012, une exposition consacrée à l’artiste Vincent Bioulès.
Celle-ci a comme objectif de poursuivre la série des dialogues de grands dessinateurs français avec Ingres, comme nous l’avions déjà tenté avec Ernest Pignon-Ernest en 2007 et Henri Cueco en 2010.
Vincent Bioules vit et travaille entre Paris et Montpellier dont il est originaire. Son métier de peintre et dessinateur l'a amené à interroger sans relâche, depuis près de quarante ans, la fonction de la représentation et de la figuration après avoir été l’un des plus fervents adeptes de l’abstraction à travers le célèbre mouvement artistique « Supports / Surfaces » dont il fut l’un des membres fondateurs à l’orée des années soixante-dix. -
Catégories : Le paysage
[Paysages gravés pour Jean de Médicis]. [6], [Le retour de la chasse] : [estampe] / Callot in. f
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Catégories : A venir, Des expositions, Le paysage
Oubliez le J-12, c'est maintenant!
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Combinaison entre paysages urbain et ferroviaire à Paris
Un nouveau quartier d’affaires de près de 6 000 m2 situé dans le quartier Brunesseau, près de la gare d’Austerlitz, devrait voir le jour en 2018. L’originalité du projet tient à la réalisation de deux grandes tours réalisées sur des emprises foncières RFF.
Conçu par l’architecte Jean Nouvel, le projet cherche à créer un jeu de miroirs avec le paysage ferroviaire. Cette opération s’inscrit dans le cadre de la nouvelle convention de partenariat « Paris Rive Gauche » signée en novembre 2011 entre RFF, la Ville de Paris, la SEMAPA et la SNCF. Une démonstration de la combinaison entre aménagement ferroviaire sous maîtrise d’ouvrage RFF et aménagement éco-urbain conduit par la Ville. -
Catégories : A voir, Le paysage
Fables du paysage flamand
Guy Boyer reçoit Alain Tapié, le commissaire de l'exposition "Fables du paysage flamand au XVIe siècle - Bosch, Brueghel, Bles, Bril." qui se tient au Palais des Beaux-Arts de Lille. Il nous explique pourquoi en Flandres, au XVIe siècle, le paysage, aux frontières du réel et de l'imaginaire, s'impose devant la figure ou le récit.
http://videos.connaissancedesarts.com/avant-premiere-fables-du-paysage-flamand-video-6466.html
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Catégories : Des expositions, Le paysage
Art, villes & paysage – Hortillonnages Amiens 2012
Pour la 3ème édition du festival, de jeunes paysagistes, plasticiens, architectes et designers venus de France et du nord de l’Europe, interviendront in situ dans les hortillonnages. En tenant compte des contraintes naturelles et des spécificités du lieu, ils révéleront par leurs interventions, ce patrimoine exceptionnel, composé d’eau, de canaux et de jardins flottants. Tout en étant un lieu de soutien à la jeune création, le festival permet aux artistes invités (tous de moins de 35 ans), de questionner les liens qui nous unissent à la nature, de réfléchir sur ces espaces en mutation et de porter un regard différent, curieux et parfois provocateur sur ce site exceptionnel.
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Fables du paysage flamand
Exposition du 06 octobre 2012 - 14 janvier 2013
Cette exposition révèle le caractère merveilleux et fantastique de ces paysages du XVIe siècle qui suscitent aujourd’hui encore fascination, effroi ou questionnement. A cette époque, les artistes flamands inventent une nouvelle manière de peindre, attachante et inventive, aux frontières du réel et de l’imaginaire. La nature devient le lieu de tous les mythes, de toutes les fables, les arbres et les rochers sont anthropomorphes, les créatures les plus étranges côtoient les hommes absorbés par leurs occupations quotidiennes. Dans ces mondes hybrides se dessine pour le spectateur un chemin de vie ; le paysage devient le lieu de passage entre la réalité sensible et le monde spirituel.
Dans ces images où se mêlent la foi chrétienne et les superstitions populaires, où se rencontrent le beau et le bizarre, le merveilleux et le monstrueux, la nature s’écrit dans un langage symbolique dont nous ne détenons plus tous les codes, et nous emmène dans un monde qui nous dépasse, cosmique, légendaire et infini.
L’originalité et la puissance de ces images, signées par des maîtres reconnus tels que Bosch, Brueghel, Bles, Bril ou Patinir, mais aussi par des artistes moins connus, mais néanmoins brillants comme Mandijn, ou de Keuninck, se révèlent dans leur composition d’ensemble comme dans le détail et repoussent la réalité du paysage au-delà du visible, jusqu’au fantastique.Pour en savoir plus, téléchargez le Communiqué de Presse ou le Dossier de Presse de l’exposition.
Tarifs : 6 50 € et 5 € (exposition seule) - 9 € et 6 € (musée + expositions).
Visioguide : 1 € (FR, GB, NL). Application téléchargeable sur Appstore et Google Play.
Catalogue : 39 €. Éditions Somogy, réalisé avec le soutien de AG2R La Mondiale.Achetez vos places en ligne ! Cliquez ici.
Cette exposition est organisée par le Palais des Beaux-Arts et la Ville de Lille, dans le cadre de FΔNTΔSTIC / lille3000. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France et bénéficie a ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.
Elle est réalisée grâce au soutien du Conseil régional Nord-Pas de Calais et de Lille Métropole Communauté urbaine. Elle est réalisée avec le soutien du gouvernement flamand, et a reçu le label de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.
Elle bénéficie du mécénat de la Caisse d’Epargne Nord France Europe, de GDF SUEZ et d’Auchan.Autour de l’exposition :
Le dimanche à 16 h 30 et le lundi à 14 h 30 : visite guidée.
Jeu. 25 oct. 18h30
Vivaldi / Cage – 8 seasons, concert-projection.
Merc. 21 nov. 19h
La Nuit fantastique, nocturne étudiants.
Mardi 27 nov. 19h30
Le Palais des Délices, visite suivie d’un banquet.
Lundi 03 déc. 18h30
Têtes de lecture, lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
Dim. 13 Janv. 20h
Fables polyphoniques, concert de clôture. -
Catégories : Des expositions, Le paysage
NILS-UDO, nature (élément)
Cet été, la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue présente Nils-Udo au Centre d’art Campredon. A partir du 30 juin, peintures, photographies, encres de chine récentes et plus anciennes permettront de prendre la pleine mesure du talent de cet artiste hors-norme.
Nils-Udo, précurseur du mouvement « Art in Nature », interagit sur le paysage sans jamais le violenter. Du Connemara à la Réunion, de l’île de Vassivière à Central Park, ce globe-trotter conçoit chaque intervention avec les matériaux collectés sur place.
« La nature est le thème de ma vie, mon art sort de cette expérience » Nils-Udo
Nils-Udo, plasticien allemand, commence sa carrière d’artiste par la peinture puis s’adonne à la photographie à partir d’installations qu’il réalise dans la nature. Délivrées de l’anonymat, ces réalisations se font « nids », « autels », « maisons d’eau » sous les doigts de l’artiste qui les photographie ensuite, à leur plus haut point d’intensité, avant de les rendre à la terre, où elles subissent l’érosion du temps.