Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le paysage - Page 25
-
Catégories : Des lieux, Le paysage, Mes photos, Voyage
-
Catégories : Des lieux, Le paysage, Mes photos
Chambre avec vue... sur le Lac Léman jeudi dernier(photos perso)
-
Catégories : Le paysage, Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours), Mes photos
Des oliviers près d'Arles(photos perso)
-
Catégories : Le paysage, Mes photos
Les taureaux de Camargue
-
Nous avons aimé l'"hortus"d'Arles(photos perso)
-
Catégories : La littérature, Le paysage, Mes photos, Voyage
Le Moulin d'Alphonse Daudet à Fontvieille(photos perso)
-
Le Rhône à Arles la semaine dernière(photos perso)
Sur Arles, le Rhône et Van Gogh, cf.ci-dessous dans la même sous-partie
-
Catégories : Des lieux, Le paysage, Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours)
Cloître Saint-Trophime(photo perso)
Date : XIIe-XIVe siècles.
Le cloître occupe la partie sud-est du site actuel, lequel se trouve entre le théâtre antique et la place de l’hôtel de ville. On y accède par le portail et la cour de l’archevêché qui s’ouvre sur cette place du centre ville.
Le cloître Saint-Trophime est au centre des bâtiments canoniaux de la cité épiscopale. A partir du XIIe siècle, l’espace au sud de la cathédrale Saint-Trophime est occupé par deux grands ensembles : d’une part, le palais de l’évêque, d’autre part, le claustrum, un espace réservé à la communauté des chanoines, «ceux qui vivent selon la loi de l’Eglise». Vers cette époque, le Chapitre d’Arles est touché par la réforme grégorienne. Celle-ci tente d’imposer une règle de vie commune à ces clercs chargés d’assister l’évêque et de gérer les biens de l’Eglise. On entreprit donc la construction de bâtiments conventuels organisés autour d’un cloître. Les deux premières galeries, romanes, de ce dernier, présentent des sculptures d’une exceptionnelle qualité, véritables fleurons de l’art roman provençal. L’édifice sera complété au XIVe siècle de deux autres galeries de style gothique. Les modifications ultérieures de la cité épiscopale préserveront le cloître et ses salles adjacentes. Cependant le temps, l’érosion pluviale et la pollution atmosphérique mettront à mal ces joyaux de la statuaire médiévale. Actuellement des études sont menées afin de procéder, comme sur le portail de l’église voisine, à une restauration de l’édifice.
La structure du cloître et de ses salles
L’ensemble des bâtiments canoniaux fut construit en plusieurs étapes. Un vaste réfectoire charpenté sur cave voûtée vint prolonger l’aile sud du transept de la cathédrale, et une première salle capitulaire fut ajoutée à l’est. Doublée en longueur par une autre salle, elle aussi voûtée en berceau, la salle capitulaire reçut, à la fin du XIIe siècle, une somptueuse façade à arcades sur colonnettes, séparées de pilastres à l’antique. Un dortoir voûté vint former un troisième coté à l’est. Les chanoines entreprirent alors de relier ces bâtiments par les galeries d’un cloître, en commençant la construction par la galerie nord (fin XIIe siècle). La galerie orientale, conçue avec l’aile du dortoir, date sans doute du début du XIIIe siècle. Le projet resta inachevé et les pilastres-contreforts des piliers qui scandent le rythme des arcades ne reçurent jamais la superstructure prévue.
Les galeries romanes
Le décor des galeries romanes (nord et est), est d’une richesse exceptionnelle. Pour la galerie nord le programme iconographique associe étroitement deux thèmes : une réflexion sur le mystère pascal et une exaltation des saints patrons de l’église d’Arles élevés à la dignité des Apôtres. Dans la galerie est, plus large, l’arcade intègre de nouveaux éléments comme la mouluration des arceaux et des motifs caractéristiques de l’époque gothique, figurés dans des écoinçons : vierges sages et vierges folles ou symboles des Evangélistes. L’iconographie y est fort différente de celle de la première galerie : tandis que l’évocation de la Passion s’inscrit sur les piliers, les chapiteaux offrent, en sens inverse de lecture, un récit vivant de l’enfance et de la vie publique du Christ.
Les galeries gothiques
Les deux dernières galeries, (sud et ouest), voûtées sur croisées d’ogives, et le grand portail gothique dans le mur sud du cloître ne furent réalisés que vers 1370-1380. Les piles de la galerie sud, la plus ancienne des deux, sont ornées de niches qui abritaient jadis des statuettes. Le décor sculpté des chapiteaux illustre la vie de saint Trophime, d’après le récit qui en est fait dans un poème rédigé vers 1225. Le programme iconographique de la galerie ouest est moins cohérent que dans les autres galeries. Des épisodes bibliques se mêlent à des thèmes chers aux Arlésiens, accordant une large place aux dévotions nouvelles comme le Couronnement de la Vierge ou le culte des saints de Béthanie. Le centre du cloître de la cathédrale Saint-Trophime est constitué d’un jardin, ancien cimetière. Les voûtes de ces galeries sont soutenues vers l’intérieur par des piliers et des colonnettes et vers l’extérieur par des pilastres engagés dans les murs clôturant le cloître.
HISTORIQUE
La construction du cloître vint achever une réédification du complexe cathédral qui avait débuté vers la toute fin du XIe siècle ou au milieu du XIIe siècle. La ville est alors la capitale théorique du royaume d’Arles. L’empereur Frédéric Barberousse est couronné roi d’Arles en 1178 à Saint-Trophime. Entrepris dans une période de prospérité de la ville et de son Eglise, le cloître souffrira du déclin de l‘influence régionale d’Arles au profit d’Aix et d’Avignon. Ainsi les deux dernières galeries ne sont-elles achevées qu’à la fin du XIVe siècle. Une fois achevé, le cloître n’a abrité que peu de temps la communauté régulière. Les chanoines retrouvent une vie séculière (non cloîtrée) en 1455. Les belles salles deviennent alors des greniers et des réserves… Au XVIIe siècle, les salles furent divisées en deux salles par l’ajout d’une voûte et la construction d’un grand escalier à balustres. Après la Révolution, le cloître Saint-Trophime dépend de la paroisse Saint-Trophime et est en partie occupé par des habitations. Il fut classé Monument Historique en 1846 et ses salles en 1943.
En 1826, la cour intérieure du cloître fut déblayée. En 1843 Prosper MERIMEE, inspecteur général des Monuments Historiques, lance un programme important de restauration et de consolidation des galeries, et de la terrasse, ainsi qu’un nettoyage de la végétation envahissante. Des interventions localisées sont réalisées dans les galeries ouest et sud (colonnes engagées et parements), et la partie occidentale de la galerie sud est colmatée. Par ailleurs, une partie du parement de la galerie ouest est restaurée. Une nouvelle campagne intervient au milieu du XXe siècle, concernant notamment les salles capitulaires et le dortoir, débarrassées de constructions parasitaires. Des ouvertures anciennes sont rétablies et l’accueil du public aménagé en 1976 depuis la cour de l’archevêché. En 2000, des interventions de conservation préventive ont démarré en préambule à la future campagne de restauration du cloître lui-même et de sa statuaire. La réfection des toitures a déjà permis de mettre les galeries hors d’eau, et une préconsolidation de la pierre sous ses concrétions noires, a été entreprise grâce à la pose de pansements de papier Japon. Par ailleurs, il est envisagé d’équiper le cloître d’un véritable lieu d’accueil où se concentreraient une billetterie, une boutique, des sanitaires et des informations améliorant la visite.Carte d'identité du monument
Date : XIIe-XIVe siècles
Epoque : Moyen Age
Type : Architecture religieuse
Statut : Propriété de la Ville d'Arles ; Classé Monument historique (1846 et 1943) ; Patrimoine mondial de l'Unesco (1981) -
Catégories : Des lieux, L'histoire, Le paysage, Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours)
Les Alyscamps
Allée des sarcophages et église Saint-H...
© Ville d’Arles
© Ville d’Arles
© Ville d’ArlesDescription Date : IVe siècle, XIIe siècle
Dans l’Antiquité, les cimetières étaient toujours extérieurs à l’enceinte des cités et souvent implantés le long des grands axes routiers. Dès le début de l’Empire Romain, tombes à incinération, sarcophages et mausolées s’égrenèrent aux abords de la Via Aurelia, constituant une vaste nécropole. Mais, c’est à l’époque paléochrétienne que le cimetière prit une importance majeure avec l’inhumation du martyr saint Genest et la sépulture des premiers évêques d’Arles, abrités dans une chapelle bientôt entourée par un grand nombre de tombes pressées sur plusieurs rangs. -
Le site de "La maison jaune" de Van Gogh(photos perso)
-
Le pont aux lions à Arles(photos perso)
-
Le Rhône à Arles(photos perso) et Van Gogh
-
"L'escalier du pont de Trinquetaille" à Arles et Van Gogh(photos perso et explications)
Du quai de la Roquette, Vincent Van-Gogh observe en octobre 1888 le pont métallique qui enjambe le fleuve et distribue les échanges entre les deux rives d'Arles.
Il embrasse l'ensemble des va-et-vient, le trait d'union et l'escalier par lequel femmes et hommes se rendent sur la passerelle.
-
Nous avons aimé à Arles:"Le café la nuit" de Vincent Van Gogh
Place du Forum, le peintre solitaire commence ou achève son périple au milieu des habitués de la nuit. Un soir de septembre (1888) il y pose son chevalet..
C'est beau une ville la nuit. Celle d'Arles séduit Vincent Van-Gogh comme l'ont déjà séduit la fureur des couleurs de la campagne au printemps (" cette mer jaune ")et le ciel profond du jour.
Il loge place Lamartine, mais se déplace partout dans la ville durant son court séjour. La vie du soir se passe dans les cafés et cabarets où il rencontre les quelques connaissances dont il nous a laissé le souvenir.http://www.arlestourisme.com/index.php?id=188
Cf. photon perso ci-dessous dans la même sous-partie
-
Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, La littérature, Le paysage, Voyage
J'ai aimé finir de relire aujourd'hui:"Venises" de Paul Morand
Pluriel singulier... Ils sont deux, Venise et l'auteur. Soixante ans, et plus, d'une union sans nuages. Venise fut toujours fidèle, et lui à Venise. Venises n'est pas un portrait de ville ; c'est le portrait d'un homme, dans mille Venises : un homme qui n'est pas seulement un auteur. " Le mérite de ces pages, dit Morand, c'est d'être vécues, leur réunion, c'est une collection privée, sinon mon musée secret ; chacune présente un jour, une minute, un enthousiasme, un échec, une heure décisive ou une heure perdue. Cela pourra être revécu, récolté par d'autres, par moi jamais plus. "
-
Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, L'art, Le paysage
J'ai aimé lire aujourd'hui:"Yves Brayer - Peintre et voyageur"
-
Van Gogh et Arles
Le nom d'Arles est aujourd'hui indissociable de celui de Van Gogh. C'est la lumière qui a attiré Van Gogh dans le midi. Vincent arrive à Arles un jour de février 1888 à la recherche de la lumière du dehors et de l'illumination intérieure.
Commence alors une période de travail intense et passionné dans la lumière du midi. Le séjour arlésien est, dans la vie du peintre, l'époque la plus productive en toiles et en dessins : plus de 300 oeuvres en l'espace de 15 mois forment l'un des plus éclatants chapitres de l'histoire de l'art. Même s'il n'y a aucune toile du peintre dans la ville, son ombre est omniprésente.http://www.arlestourisme.com/van_gogh_et_picasso.html
Le nom d'Arles est aujourd'hui indissociable de celui de Van Gogh. C'est la lumière qui a attiré Van Gogh dans le midi. Vincent arrive à Arles un jour de février 1888 à la recherche de la lumière du dehors et de l'illumination intérieure.
Commence alors une période de travail intense et passionné dans la lumière du midi. Le séjour arlésien est, dans la vie du peintre, l'époque la plus productive en toiles et en dessins : plus de 300 oeuvres en l'espace de 15 mois forment l'un des plus éclatants chapitres de l'histoire de l'art. Même s'il n'y a aucune toile du peintre dans la ville, son ombre est omniprésente. -
Le circuit Van Gogh
Arles a balisé un itinéraire sur les pas de Vincent Van Gogh. A suivre tout au long de l'année !
-
Catégories : Des lieux, L'histoire, Le paysage, Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours)
Théâtre antique d'Arles
Vue générale actuelle du théâtre antiqu...
© Ville d’Arles
© Ville d’ArlesDescription Date : Fin du Ier siècle av. J.-C.
Nommé parfois théâtre romain.
Précédant d’un siècle son illustre voisin l’amphithéâtre, le théâtre romain d’Arles est aujourd’hui beaucoup moins bien conservé. Construit à la fin du Ier siècle avant J.-C., il date de la première phase d’urbanisation de la colonie romaine fondée par César en 46 av. J.-C.. Edifié sur la colline de l’Hauture, il s’inscrit dans le quadrillage romain, sur le décumanus (voie est-ouest). -
Catégories : Des lieux, L'histoire, Le paysage, Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours)
Amphithéâtre d'Arles
L'amphithéâtre d'Arles © Ville d’Arles
© Office de Tourisme d'Arles
© Office de Tourisme d'Arles
© Office de Tourisme d'ArlesL’amphithéâtre est le monument romain le plus important de l’ancienne colonie romaine qui nous soit permis d’admirer, quelque deux millénaires après son édification. Son architecture est entièrement conçue en rapport avec sa vocation de lieu à grands spectacles, accueillant un nombreux public. Dans leur élévation initiale, les gradins pouvaient recevoir environ 210'000 spectateurs, dont les flux étaient savamment organisés par un réseau de portes, galeries et escaliers, sur plusieurs étages. Devenu dès le début du Moyen Age une véritable ville close et fortifiée, l’édifice ne fut dégagé qu’au XIXe siècle. Il retrouva alors, pour partie, sa fonction initiale, notamment avec la tauromachie, ce qui lui vaut sont appellation courante actuelle d’«Arènes». C’est aujourd’hui le monument de la ville le plus visité, portant ainsi l’image d’Arles dans le monde entier.
-
J'ai aimé hier soir
-
Fleurs à Saint-Etienne hier après-midi(photo perso)
Allez plus loin dans ce blog en allant voir les sous-parties (ci-contre à droite)auxquelles est lié cette note
Le paysage, Mes bouquets du dimanche, Mes photos, Saint-Etienne(Loire(42,Rhône-Alpes: vie, travail)
dans ce que j'aime, des paysages,
ce que j'écris, ce que je crée
-
Catégories : Le paysage, Lyon(Rhône,69:études,travail), Mes bouquets du dimanche, Mes photos
Glycines à Lyon jeudi(photo perso)
Allez plus loin dans ce blog en allant voir les sous-parties (ci-contre à droite)auxquelles est lié cette note
-
Catégories : Des expositions, Des femmes comme je les aime, Des musées, Le paysage
Hors série de Beaux-Arts éditions sur cette expo Au Musée Marmottan
Le musée Marmottan Monet organise, du 8 mars au 1er juillet 2012, la première rétrospective de l’œuvre de Berthe Morisot (1841-1895) présentée à Paris depuis près d’un demi-siècle. 150 peintures, pastels, aquarelles, sanguines et fusains, provenant de musées et de collections particulières du monde entier, permettent de retracer la carrière de la plus illustre des femmes impressionnistes. Cette sélection d’œuvres permet d’évoquer le parcours de l’artiste – depuis sa formation auprès de Corot jusqu’à son œuvre ultime. Elle mettra en évidence un art subtil et délicat, ayant pour thème la célébration de la femme et de l’enfant. Les portraits de jeunes filles au bal, à la toilette, au jardin et de sa fille Julie témoignent de l’évolution de sa peinture qui incarna, aux yeux de ses contemporains, l’impressionnisme triomphant. Les dernières sections de l’exposition, dédiées aux paysages et aux compositions décoratives, mettent en évidence les liens qui unissent l’œuvre de Berthe Morisot à celle de ses http://www.marmottan.com/francais/expositions/prochaines-expositions.aspillustres contemporains : Monet et Renoir.