Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le paysage - Page 29

  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    Au Grand Palais, la douceur des paysages idéalisés de la campagne romaine

    Douceur et raffinement: le Grand Palais à Paris propose à partir de mercredi une exposition sur la peinture de paysage à Rome au début du XVIIè siècle, autour d'Annibal Carrache, Paul Bril, Nicolas Poussin et Le Lorrain.  (c) Afp Douceur et raffinement: le Grand Palais à Paris propose à partir de mercredi une exposition sur la peinture de paysage à Rome au début du XVIIè siècle, autour d'Annibal Carrache, Paul Bril, Nicolas Poussin et Le Lorrain. (c) Afp

    Douceur et raffinement: le Grand Palais à Paris propose à partir de mercredi une exposition sur la peinture de paysage à Rome au début du XVIIè siècle, autour d'Annibal Carrache, Paul Bril, Nicolas Poussin et Le Lorrain.

    "Nature et idéal", jusqu'au 6 juin, met en avant l'émergence de la peinture de paysage en tant que genre autonome à Rome dans la première moitié du XVIIè siècle.

    Conçue par la Réunion des musées nationaux, le Louvre et le musée du Prado à Madrid, elle ravira les initiés qui pourront débusquer les influences entre les différents artistes de l'époque.

    Lire la suite

  • Vers d'infinis paysages au 13e Printemps des poètes

    D'infinis Paysages...

    Rédigé par Clémentine Baron, le lundi 07 mars 2011 à 11h01

    Aujourd’hui débute la 13e édition du printemps des poètes, avec pour thème « D’infinis paysages » et en particulier les infinis paysages ultra-marins en cette année qui leur est dédiée.

    La cérémonie d’ouverture aura lieu à midi et demi à la station Auber (RER A) où Juliette Binoche, marraine de l’édition 2011, nous lira certainement quelques vers. Puis, de 13 h 30 à 16 h 30, défileront dans les rues de Paris, plus de 400 comédiens qui réciteront des poèmes en pleine rue (voir l’itinéraire).

    À l’instar de la fête de la musique, le printemps des poètes regroupe chaque année depuis 1999 des millions d’amateurs de poésie à travers plus de 12 000 manifestations, en France et à l’étranger. Ainsi, différents évènements seront organisés entre le 7 et le 21 mars : dans les bibliothèques et médiathèques, mais aussi dans les établissements scolaires, en toutes sortes de lieux culturels et enfin, dans les rues de certaines villes, dont en France : Paris, Lyon, Tours, Montpellier et La Rochelle.

    Lire la suite

  • Catégories : Le paysage

    "La Joconde" de Léonard de Vinci

    La Joconde ou Portrait de Monna Lisa
    Léonard de Vinci, 1503-1506
    Huile sur bois de peuplier, 77 X53 cm
    Le Louvre, Paris

    joconde.jpgDaniel Arasse : Histoires de peintures : chapitre 2:

    "
    C'est Léonard qui a inventé l'idée de faire un portrait avec un sourire. Il n'y a pas de portrait souriant avant La Joconde, à l'exception du tableau d'Antonello de Messine, L'homme qui rit, conservé à Cefalu en Sicile.

    Lire la suite

  • Catégories : Des poètes et poétesses, Le paysage

    Rencontre avec le poète Salah Stétié : « Homme fini, Paysage infini »

    Par Audrey Hadorn
    Posté le 07/03/2011  à 09:44 | 

    Aujourd’hui la poésie envahit la ville avec le Printemps des poètes qui aura lieu du 7 mars au 16 mars. Autour de rencontres, lectures, performances, les nombreux poètes et artistes invités débattront de la question « d’infinis paysages ». À cette occasion, Lyon Capitale a recueilli les impressions du poète Salah Stétié (http://www.salahstetie.com/) -parrain de cette édition lyonnaise- au sujet de la poésie et de la thématique de cette édition.

    Salah Stétié, © Jean-Claude Gisbert ()

    Lyon Capitale : Que vous inspire la thématique « d’Infinis paysages » de cette édition 2011 ?

    Lire la suite

  • Catégories : Le paysage

    L'énonciation du paysage

    Le paysage intérieur dans le Romantisme allemand

    séminaire du 15 avril 2010

    Apparition, au tournant du XIXe siècle, d’une nouvelle conception du paysage, dont les composantes plastiques sont associées aux tonalités affectives du moi qui le regarde, enclin à ne rechercher dans la contemplation du paysage que le reflet de son monde intérieur. Privilégier le signifié affectif du paysage au détriment de sa représentation plastique. Le paysage littéraire représente non seulement la nature mise en perspective par le regard, mais encore la nature poétisée où les realia sont personnalisés. Schiller développe l’idée d’une analogie entre les mouvements intérieurs du coeur humain et certaines manifestations extérieures.

    Lire la suite

  • Catégories : Le paysage

    Beautés du paysage français

    Signature : Guillaume Morel - 7 juillet 2010
    Henri Mauperché, Paysage avec figures sur les marches d’un palais en ruines v. 1645, huile sur toile, 128,5 x 113 cm (Rennes, musée des Beaux-Arts).

     

    Ill. : Henri Mauperché, Paysage avec figures sur les marches d’un palais en ruines, v. 1645, huile sur toile, 128,5 x 113 cm (Rennes, musée des Beaux-Arts).

    Un vent de douceur souffle sur Rennes, à l’occasion de cette exposition dédiée au paysage au milieu du XVIIe siècle.

    Clarté et lumière dorée transcendent les vues de Laurent de La Hyre, de Pierre Patel ou de Philippe de Champaigne, conçues pour la délectation de l’oeil et de l’esprit. Avec une belle découverte, Paysage avec figures sur les marches d’un palais en ruines d’Henri Mauperché, acquis par le musée en 2008.

    A lire : Magazine Connaissance des Arts juillet-août 2010

    http://www.connaissancedesarts.com/peinture-sculpture/actus/breves/beautes-du-paysage-francais-85136.php

  • Catégories : Le paysage

    Alain Corbin, "L'homme dans le paysage", "Comment l'espace devient paysage"

    Fiche de lecture sur la notion de paysage en Géographie dans le chapitre "Comment l'espace devient paysage", extrait du livre L'homme dans le paysage d'Alain Corbin. L'auteur analyse la notion d'espace, qui n'est plus considérée comme subjective, mais comme objective, c'est-à-dire construite par les individus grâce à leurs sens et à un travail personnel de perception.

    Extrait:

    Le paysage est subjectif, construit par les individus. Cette construction se fait au moyen de tous les sens humains (colonne de gauche). La vue implique une distanciation entre l'individu et l'espace, tandis que les autres sens impliquent une immersion, puisque l'individu est plongé dans le paysage qu'il ressent. Le souvenir, quant à lui, n'est pas réellement un moyen de construction du paysage, mais renvoie plutôt aux autres sens, qui eux ont permis de construire le paysage (...)

    Sommaire:

    Introduction

    I) Analyse du texte d'Alain Corbin
    II) Apports d'autres géographes

    Conclusion

    http://www.oodoc.com/101582-homme-paysage-espace-corbin-resume.php

  • Catégories : Le paysage

    L'Art, objet de pensée philosophique

    Si la philosophie est pensée comme recherche de l'être vrai, du fondement, des premiers principes, au moyen de l'intelligence, l'objet d'art qui nous apparaît par la sensibilité est de fait éliminé du champ de la recherche philosophique. La théorie des idées platonicienne, surmontant la désillusion causée par Anaxagore, nous signifie clairement la première que la pensée ne peut penser que de l'intelligible. Dans ces conditions, l'objet d'art qui se présente avant tout comme un objet sensible se situe bien hors du champ de la philosophie. Pour Platon, cette exclusion prend deux aspects : la constatation du moindre statut ontologique de l'objet d'art et la dévaluation de la sensibilité par laquelle il nous apparaît. L'art en tant qu'objet tout comme la faculté du sujet qui le saisit, sont dévalués. Le beau devient ainsi non plus ce qui émerveille la sensibilité mais ce qui se laisse saisir par l'intelligence, ce qui en peut s'obtenir que par médiations successives : c'est par la dialectique que nous passons des beaux corps aux belles âmes puis aux belles idées. La dialectique est l'art des divisions et des synthèses, nous explique Platon dans le Phèdre : elle est technique des médiations, simple technique qui permet à l'âme d'accéder au vrai puisque le vrai ne se construit pas, dans la perspective de Platon, mais est une technique incontournable dans la mesure où la contemplation des idées n'est pas une forme de mysticisme. L'âme n'est donc pas le lieu d'une relation immédiate à elle-même, relation qui permettrait la saisie d'une essence. L'esthétique ne peut avoir d'autre statut que d'être l'apanage d'une faculté sensible inférieure. La dévaluation de l'art est le pendant de la conception platonicienne du Vrai comme Idée transcendante et de la dialectique comme simple méthode. Il faudra une autre conception du vrai et de la méthode pour que l'art puisse obtenir un statut ontologique.

    Quelles sont les modalités de cette dévaluation platonicienne de l'art ?

    Lire la suite

  • Catégories : Le paysage

    Les paysages mentaux de Vincent Bioulès

    Les « lieux de mémoire » du peintre sont explorés dans deux galeries parisiennes. Ce sont des paysages : collines, parcs, arbres, terrasses, maisons. On se dit que Vincent Bioulès poursuit le chemin qui est le sien depuis trois décennies : l'observation du monde qui l'entoure et sa transcription en peinture. C'est à peine si on remarque d'abord quelques détails peu explicables et l'absence de tout élément contemporain. Puis on s'avise que les expositions simultanées dans deux galeries parisiennes - déjà une bizarrerie - ont le même titre surprenant, « Mes lieux de mémoire ». Ces paysages n'en sont pas.

  • Catégories : Le paysage

    RÉFLEXIONS SUR L'IMITATION DES ŒUVRES GRECQUES EN PEINTURE ET EN SCULPTURE, livre de Johann Joachim Winckelmann

    C'est en juin 1755 que Johann Joachim Winckelmann (1717-1768) fait paraître les Réflexions sur l'imitation des œuvres grecques en peinture et en sculpture, son premier livre. Initialement publié en une cinquantaine d'exemplaires, ce court essai attire aussitôt l'attention. Dès le printemps 1756, Georg Conrad Walther, un important éditeur de Dresde, procède à une réédition augmentée. L'ouvrage ne tarde pas à être considéré comme une pièce maîtresse de la réflexion sur l'art non seulement en Allemagne, où il marque le début du néo-classicisme, mais aussi en Europe, où il jouit d'un écho considérable. Entre 1755 et 1786 ne paraissent pas moins de quatre traductions françaises. 

    Lire la suite

  • Catégories : La période du romantisme, Le paysage

    Maurice Rollinat: Vision de la nature : un romantisme aux accents noirs ?

    presentation.jpgAux côtés de la femme, la nature tient une place tout à fait majeure dans l'œuvre de Rollinat : le premier recueil Dans les brandes est essentiellement composé de poèmes évoquant la nature et la section des « Refuges » est elle aussi traversée de représentations de la nature. Il s'agit dans la plupart de ces évocations de décrire un locus amoenus qui, dans une esthétique clairement romantique voire rousseauiste, promeut la nature au rang d'inspiratrice et de consolatrice. Ainsi, l'envoi de « La Ballade de l'arc-en-ciel » révèle cette atmosphère paisible dans laquelle le poète parvient à être consolé de ses maux :

    Ô toi, le cœur sur qui mon cœur s'est appuyé
    Dans l'orage du sort qui m'a terrifié,
    Quand tu m'es apparue en rêve comme un ange
    Devant mes yeux chagrins l'arc-en-ciel a brillé,
    Bleu, rouge, indigo, vert, violet, jaune, orange.

    Lire la suite

  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    Nature et Idéal : le paysage à Rome, 1600-1650

    Nature et Idéal
    Grand Palais, Galeries Nationales, du 9 mars 2011 au 6 juin 2011 jeu-concours prochainement

    L' exposition est organisée par la Rmn-Grand Palais, le musée du Louvre et le Museo Nacional del Prado. Elle sera présentée au Museo National del Prado du 28 juin au 25 septembre 2011.

    C’est à Rome, dans la première moitié du XVIIe siècle, que débute véritablement l’histoire de la peinture de paysage. Auparavant, la représentation de la nature n’existait pas en tant que genre autonome dans la peinture européenne et c’est dans la capitale de la chrétienté que va naître et se développer cette nouvelle catégorie picturale, appelée à connaître un essor considérable. Rome était depuis l’antiquité une destination convoitée par les artistes désireux d’y compléter leur formation mais à la fin du XVIe siècle, divers facteurs vont permettre l’éclosion de ce genre profane : la présence simultanée de peintres parfois spécialisés venus de multiples foyers artistiques, en particulier les Flandres ; l’attrait de la Ville éternelle, renouvelé par les transformations récentes de son paysage urbain ; un goût croissant pour le dessin sur le motif et son réemploi dans l’œuvre peinte en atelier ; la circulation des images favorisée par l’estampe, et l’intérêt nouveau des théoriciens ; l’existence de grandes collections de peintures des maîtres de la Renaissance ; enfin, l’immense succès commercial du paysage peint auprès des amateurs, en particulier ceux de l’aristocratie et des familles pontificales.

    Lire la suite

  • SEQUENCE N° 2 : Les lieux du moyen-âge

     
     
     
     
    Séquence 2
    Les lieux du moyen-âge
    Objectifs
    Lire des textes documentaires et littéraires en relation avec le Moyen Âge.
    Étudier les composantes et l’organisation de la description des lieux.
    Comprendre quelques visées( fonctions) essentielles de la description.
    Distinguer discours narratif et discours descriptif dans un extrait de récit.
    Supports
    • deux descriptions du Mont-Saint-Michel, l’une extraite d’un ouvrage didactique, l’autre du Horla, de Maupassant, 1886
    • extraits de Perceval, Chrétien de Troyes, de Tristan et Iseut et de Érec et Énide, Chrétien de Troyes
    • extrait de Joseph Bédier, Le Roman de Tristan et Iseult
    Dire
    Un poème
    Outils de langue
    Étudier les compléments circonstanciels de lieu
    Revoir l’imparfait et le présent : morphologie et valeurs
    Découvrir un vocabulaire propre aux lieux médiévaux décrits dans les textes étudiés

    Lire la suite

  • Catégories : Le paysage

    Paysage forézien

    agd_1293743347.jpg" Auprès de l'ancienne ville de Lyon, du côté du soleil couchant, il y a un pays nommé Forez, qui en sa petitesse contient ce qui est de plus rare au reste des Gaules…. " Honoré d'Urfé,  L'Astrée.

    Lire la suite

  • Le paysage :de l'observation à la représentation

     

     

     

     

     

     

     

     

    Niveaux :

     

     

    cycle 3 et collège

    Depuis le jardin public, observer et décrypter le paysage qui s’offre à nos yeux

    en se mettant dans la peau d’un peintre s’apprêtant à le représenter.

    S’interroger sur notre perception de ce paysage pour mieux comprendre par la suite

    l’oeuvre d’Emmanuel de la Villéon, peintre impressionniste fougerais.

    À partir de novembre 2010.

    Lire la suite

  • Catégories : Baudelaire Charles, Le paysage

    L'homme et la mer

    Homme libre, toujours tu chériras la mer !
    La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
    Dans le déroulement infini de sa lame,
    Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.

    Tu te plais à plonger au sein de ton image ;
    Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton cœur
    Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
    Au bruit de cette plaine indomptable et sauvage.

    Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
    Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes,
    Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes
    Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !

    Et cependant voilà des siècles innombrables
    Que vous vous combattez sans pitié ni remords,
    Tellement vous aimez le carnage et la mort,
    Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !

      http://expositions.bnf.fr/lamer/cabinet/anthologie/bibliotheque/03.htm

    Charles Baudelaire, Les fleurs du mal, 1857

    Autres textes sur la mer:

     

  • Catégories : Le paysage

    "L’Astrée" d’Honoré d’Urfé et la découverte d’univers singuliers

    Sommaire

    "L’Astrée" d’Honoré d’Urfé et la découverte d’univers singuliers
    1. Les paysages, reflets d'univers intérieurs
      1. Les reliefs dans L'Astrée : construction d'un paysage singulier
      2. La nature, composante essentielle de l'oeuvre d'Honoré d'Urfé
      3. Les différentes images de l'eau
    2. L'amour dans L'Astrée : une quête individuelle, philosophique et esthétique
      1. L'Astrée : une somme d'histoires d'amour
      2. L'Astrée : une quête de l'Amour
      3. L'Astrée : une représentation esthétique de la quête d'amour
    3. L'Astrée comme miroir du rapport de l'auteur à son époque : comparaison avec Rohmer et le monde contemporain
      1. L'Astrée, un roman historique
      2. L'enseignement d'une morale
      3. Le film d'Éric Rohmer

    michel-field-presentateur-dans-au-field-de-la-nuit-2818786qatua_1610.jpgRésumé du mémoire

    L’Astrée fut publiée de 1607 à 1627. Il s’agit d’un roman de cinq mille pages, divisé en cinq parties, et qui constitua le plus grand succès littéraire du XVIIe siècle. Son auteur, honoré d’urfé, né en 1567 à Marseille, mourut en 1625 en laissant son œuvre inachevée. C’est son secrétaire Balthazar Baro qui s’occupa de la publication de la Quatrième Partie de L’Astrée et qui rédigea La Conclusion et Dernière Partie d’Astrée. Certains critiques sont sceptiques quant à la fidélité de ces dernières parties au reste du travail d’urfé, malgré les affirmations de Baro, qui insiste sur la continuité de son travail avec les trois premières parties.

    Lire la suite

  • Catégories : Le paysage

    Lu:Canaletto, de Venise à la Tamise

    Par Eric Bietry-Rivierre
    29/11/2010 | Mise à jour : 12:36

    L'Entrée du Grand Canal,vu de l'est, avec l'églisede la Salute,Canaletto, 1744. (2010, Her Majesty Queen Elizabeth II /The Royal Collection/NG)
    L'Entrée du Grand Canal,vu de l'est, avec l'églisede la Salute,Canaletto, 1744. (2010, Her Majesty Queen Elizabeth II /The Royal Collection/NG)

    La National Gallery compare le maître à ses rivaux en réunissant les meilleures vues de la Sérénissime, massivement collectionnées par l'aristocratie anglaise au XVIIIe siècle. 

    Lire la suite