Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Gerda Wegener
info
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
info
Exposé au Louvre, ce joyau à l'origine des collections nationales va être restauré. Une opération délicate dont le but est d'ôter environ la moitié des vernis déposés successivement depuis le XVIe siècle, et aujourd'hui oxydés.
AU XIXe siècle, le Sâr Peladan voyait en lui «le frère jumeau de La Joconde». Plus près de nous, l'historien d'art, professeur à Oxford et biographe de Léonard, Martin Kemp, a jugé le tableau «le plus représentatifde Vinci». À la fin du mois, ce Saint Jean-Baptiste, joyau des collections nationales - une des trois œuvres peintes que le génie toscan avait emmenées avec lui à la cour de François Ier et au château du Clos Lucé, sa dernière demeure, sera décroché. Le Louvre le retire de sa Grande Galerie pour une durée indéterminée
http://www.lefigaro.fr/culture/2016/01/14/03004-20160114ARTFIG00026-nouveau-bapteme-pour-saint-jean-baptiste-de-vinci.php
On doit au peintre des belles endormies la renaissance de l'Académie de Rome. Il y fait son retour pour une exposition sur son atelier doublée d'une rétrospective aux Scuderie del Quirinale.
Les églises Saint-Laurent, Sainte-Croix et Notre-Dame de la Couldre de Parthenay présentent des vitaux signés au nom du maître-verrier Lobin. Cet atelier de fabrication de vitraux était en effet très renommé à la fin du XIXe siècle, et conçut des oeuvres que l'on retrouve aujourd'hui dans de nombreuses régions de France. |
info
Auteurs : Vincenzo Pacelli et Francesco Petrucci
L’édition italienne, une fois encore, vient nous donner une preuve de sa vitalité : un peintre baroque actif entre Rome et Naples dans la seconde moitié du XVIIème siècle, Giovanni Battista Beinaschi (Fossano (Cuneo), 1636 – Naples, 1688) relativement peu connu du grand public – il n’est pas mentionné dans le Larousse des peintres – vient de bénéficier d’un superbe ouvrage, publié par Andreina et Valneo Budai Editori (juillet 2011). Les auteurs, un historien de l’art napolitain, Vincenzo Pacelli, et un romain, Francesco Petrucci, ont conjugué leurs efforts pour rédiger une monographie accompagnée d’un catalogue raisonné des œuvres. Sept historiens dont Pietro Boccardo, Gianluca Forgione et Giuseppe Porzio ont été sollicités pour la rédaction de divers chapitres (fortune critique, notices du catalogue,…).
Le plan est celui que l’on attend de ce type de livre : deux chapitres (de 100 pages chacun) sur l’activité de l’artiste à Rome et à Naples, la fortune critique et enfin le catalogue raisonné (102 pages) ; les apparati : œuvres perdues, rejetées et pièces d’archives complètent utilement le travail.
Christ en croix contemplé par Saint-Luc, vers 1660. (Photo Musée national du Pardo Madrid)