Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Les médiathèques de Saint-Etienne - Page 42
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J'ai terminé hier soir:Le training au féminin : s'entraîner dur pour se muscler, résultats garantis / Alex Silver-Fagan(médiathèque)
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Je viens de terminer:Dégradation / Benjamin Myers(médiathèque)
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J'ai terminé hier soir:La disparition d'Adèle Bedeau / Raymond Brunet(médiathèque)
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J'ai arrêté p.147::Obregon, Nicolas Blue light Yokohama(médiathèque)
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La toile du monde / Antonin Varenne(médiathèque)
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Le polar pour les nuls(médiathèque)
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J'ai arrêté page 47(je ne sais pas si je reprendrais):Empire des chimères / Antoine Chainas(médiathèque)
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Empire des chimères(médiathèque)
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L'imprimeur de Venise(médiathèque) PASSIONNANT ET INSTRUCTIF
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J'ai lu hier:CONNAISSANCE DES ARTS Novembre 2018(médiathèque)
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J'ai terminé cette nuit d'insomnie:Une femme entre nous(médiathèque) BIEN FICELE
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Une nuit avec Jean Seberg(médiathèque) TRES BIEN
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L'unité alphabet(médiathèque) GENIAL
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J'ai aimé ce matin:Le musée Joseph Déchelette
Informations pratiques
Le musée est ouvert au public tous les jours (sauf le mardi et les jours fériés) : de 10h à 12h et de 14h à 18h,
le samedi de 10h à 18h,
le dimanche de 14h à 18hOuvert sur demande pour les groupes le mardi
Des visites guidées et des animations sont organisées sur rendez-vous
Entrée : 4,50 € - Demi-tarif : 2,50 €
Carte abonnement : 9 €
Visite guidée groupe à partir de 10 personnes : 50 € + demi-tarif / personne
Visite guidée individuelle : 7,50 €Gratuit pour les moins de 26 ans
Etudiants : demi-tarif
Gratuité tout public le mercredi après-midiAssociations
- Culture
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Association des Amis du Musée et de la Médiathèque de Roanne
http://www.roanneasso.fr/asso/725-amis-du-musee-et-de-la-mediatheque-de-roanne.htm
Contacter le musée
Musée Joseph Déchelette - Culture
22, rue Anatole France
42300 Roanne04 77 23 68 77
04 77 23 68 78
musee@mairie-roanne.fr -
J'ai aimé: Revue Arpa(poésie) numéro 99
Numéro 99 / SOMMAIRE Poèmes et proses : Horacio Castillo(traduit par Yves Roullière) • Gérard Pfister • Jean-Christophe Ribeyre • Philippe Rosset • Tonin Palazzotto • Robert Nédélec • Alain Quagliarini • Solesli • Isabelle Lévesque • Marie-Josée Desvignes • Philippe Fouché-Saillenfest • Christianne Rollet • Henri Heurtebise • Camille Ganne • Jacques Allemand • Thibault Marthouret • Jean-Louis Cluse • Anne Lugon-Moulin • Sanford Fraser(traduit par Françoise Parouty) • Jean-Pierre Farines
Études : Jeanne-Marie Baude • Jean-Pierre Lemaire
Chronique et lectures : Katty Verny-Dugelay • Denise Borias • Lucien Wasselin • Max Alhau • Colette Minois • Gérard Bocholier
Gravures : Fabienne Yvetot
http://www.arpa-poesie.fr/Derniernumero.html
Le genre de revue qu'on trouve trop rarement en librairie(quand on trouve des revues de poésie... ou même de la poésie) mais que j'achète quand j'en trouve car ça fait vivre la poésie(pas comme celle sur les blogs) ou que j'emprunte dans les bonnes médiathèques comme celle de Saint-Etienne.
Une autre raison de vouloir me réinstaller dans une grande ville
Fabienne Yvetot -
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Des bibliothèques, Les médiathèques de Saint-Etienne, Mes textes en prose, Mes textes en prose, Mes textes en prose, Saint-Etienne(Loire(42,Rhône-Alpes: vie, travail)
Je reprends avec plaisir mes habitudes de citadine
dans la 14 e ville de France... grande mais à taille humaine.. avec des ilôts de verdure ... et la campagne pas loin:
- transports en commun nombreux(tram,trolley,bus) sans oublier de marcher
-cinémas surtout d'art et d'essai(2 plus Cinémathèque et Goethe Institut)
-une médiathèque génial et son réseau sur toute la ville
-piscine
-gym
- de belles librairies et des bouquinistes
Photo perso d'aujourd'hui du haut d'une des collines(7 collines[7] comme Rome)
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Vers d'infinis paysages au 13e Printemps des poètes
D'infinis Paysages...
Rédigé par Clémentine Baron, le lundi 07 mars 2011 à 11h01
Aujourd’hui débute la 13e édition du printemps des poètes, avec pour thème « D’infinis paysages » et en particulier les infinis paysages ultra-marins en cette année qui leur est dédiée.
La cérémonie d’ouverture aura lieu à midi et demi à la station Auber (RER A) où Juliette Binoche, marraine de l’édition 2011, nous lira certainement quelques vers. Puis, de 13 h 30 à 16 h 30, défileront dans les rues de Paris, plus de 400 comédiens qui réciteront des poèmes en pleine rue (voir l’itinéraire).
À l’instar de la fête de la musique, le printemps des poètes regroupe chaque année depuis 1999 des millions d’amateurs de poésie à travers plus de 12 000 manifestations, en France et à l’étranger. Ainsi, différents évènements seront organisés entre le 7 et le 21 mars : dans les bibliothèques et médiathèques, mais aussi dans les établissements scolaires, en toutes sortes de lieux culturels et enfin, dans les rues de certaines villes, dont en France : Paris, Lyon, Tours, Montpellier et La Rochelle.
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Poésie des usines, par Brice Vanel
Du 11 octobre au 31 décembre 2010. Médiathèque du Grand Troyes.
Mon moyen d’expression est la photographie, d’autres écrivent des poèmes, des romans, certains allient musique et paroles comme Romain Dudek.
Une de ses chansons "Poésie des usines" (tirée de l'album du même nom sorti en 2006)
retranscrit bien le message et l'émotion que je veux faire passer dans mes photos du patrimoine industriel.
Voici le premier couplet et le refrain de cette chanson :" C'est pas tellement que c'était Noël
Ça fait longtemps qu'on y croit plus
C'est pas tellement qu'elles étaient belles
Nos machines mais elles n'y sont plus
C'est pas tellement que c'était Noël
C'est pas tellement qu'elles étaient belles
Dans les aciéries, au fond des mines
Y'a d'la poésie dans les usines
Dans les ateliers, dans les cantines
Y'a d'la poésie dans les usines
Dans le cambouis, dans la calamine
Y'a d'la poésie dans les usines
Dans les outils, dans les machines
Y'a d'la poésie dans les usines (…) "Brice Vanel
Toutes les photos de cette exposition ont été prises dans l'Aube.
http://www.mediatheque-agglo-troyes.fr/webmat/content/poesie-des-usines-par-brice-vanel
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Le patrimoine industriel dans l'œil de Brice Vanel, mon petit frère
Adepte du noir et blanc, en argentique ou en numérique, Brice Vanel a saisi dans son objectif le patrimoine industriel aubois.
Passionné d'histoire, cet autodidacte arpente depuis plus de quinze ans les anciennes usines troyennes et plus largement auboises. Des pans du passé auquel ce Troyen a décidé de s'intéresser, tout simplement parce que cette histoire est intrinsèquement liée à la sienne. « Mes parents et grands-parents ont travaillé dans certains de ces sites. C'est une façon de leur rendre hommage ainsi qu'à tous ces salariés, qui ont œuvré pendant des décennies pour faire de Troyes, la capitale de la bonneterie ». Car ces photos apparemment sans vie possèdent une histoire, une âme qui n'appartiennent qu'à elles.
Brice Vanel décide il y a cinq ans de franchir le pas et de présenter son travail, confidentiel jusque-là. D'abord au salon de coiffure Edito, puis à la Maison de la presse, les Inattendus, l'Arrivage et enfin la médiathèque de l'agglomération troyenne. « C'est une fierté de pouvoir exposer dans ce lieu chargé d'Histoire et d'histoires. »
Pas question de faire un historique de ces usines. Chacune des 28 photos est accompagnée d'un titre, de l'activité et de la ville de l'établissement. « C'estune façon de préserver les endroits. L'idée est de faire ressortir l'émotion, les joies, les peines des ouvriers et ouvrières qui y ont travaillé. Pour Troyes, ce passé est douloureux. Cela permet de faire le deuil. Mais je laisse les visiteurs faire leur propre interprétation des choses. »
Son ambition est de faire tourner cette exposition dans le département ou la région mais comme dit Brice Vanel : « Chaque chose en son temps ».
- « Regards sur le patrimoine » de Brice Vanel, jusqu'au 31 décembre 2010 à la médiathèque de l'agglomération troyenne. Entrée libre. -
Fière de mon petit frère 2
Le patrimoine industriel dans l'œil de Brice Vanel
Concert blues avec les Mauvaises Nouvelles Blues band au Mac Callary'sJUSQU'AU 31 DECEMBRE -
Adepte du noir et blanc, en argentique ou en numérique, Brice Vanel a saisi dans son objectif le patrimoine industriel aubois.
Passionné d'histoire, cet autodidacte arpente depuis plus de quinze ans les anciennes usines troyennes et plus largement auboises. Des pans du passé auquel ce Troyen a décidé de s'intéresser, tout simplement parce que cette histoire est intrinsèquement liée à la sienne. « Mes parents et grands-parents ont travaillé dans certains de ces sites. C'est une façon de leur rendre hommage ainsi qu'à tous ces salariés, qui ont œuvré pendant des décennies pour faire de Troyes, la capitale de la bonneterie ». Car ces photos apparemment sans vie possèdent une histoire, une âme qui n'appartiennent qu'à elles.
Brice Vanel décide il y a cinq ans de franchir le pas et de présenter son travail, confidentiel jusque-là. D'abord au salon de coiffure Edito, puis à la Maison de la presse, les Inattendus, l'Arrivage et enfin la médiathèque de l'agglomération troyenne. « C'est une fierté de pouvoir exposer dans ce lieu chargé d'Histoire et d'histoires. »
Pas question de faire un historique de ces usines. Chacune des 28 photos est accompagnée d'un titre, de l'activité et de la ville de l'établissement. « C'estune façon de préserver les endroits. L'idée est de faire ressortir l'émotion, les joies, les peines des ouvriers et ouvrières qui y ont travaillé. Pour Troyes, ce passé est douloureux. Cela permet de faire le deuil. Mais je laisse les visiteurs faire leur propre interprétation des choses. »
Son ambition est de faire tourner cette exposition dans le département ou la région mais comme dit Brice Vanel : « Chaque chose en son temps ».
- « Regards sur le patrimoine » de Brice Vanel, jusqu'au 31 décembre à la médiathèque de l'agglomération troyenne. Entrée libre. -
Fier de mon petit frère
Exposition "Poésie des usines" à la médiathèque de l'agglomération troyenne
Par Brice VANEL, mardi 19 octobre 2010 à 07:18 :: Exploration urbaine :: #91 :: rss
Jusqu'au 31 décembre
Mieux vaut tard que jamais! Voici une petite mise à jour de mon blog avec un petit événement pour moi : une expo dans une grande et belle médiathèque. Je vous invite donc à venir voir les 28 photos que j'expose jusqu'au 31 décembre et n'hésitez pas à laisser un mot sur le livre d'or! Bonne visite! Et promis, j'essaie de mettre à jour mon blog plus souvent, en attendant un site!
SUR SON BLOG:
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Tour de France près de chez moi
Etape 11 Étape 11 • Sisteron > Bourg-lès-Valence • 184.5 km
- Profil
Départ: Sisteron
Pour la première fois de son histoire, la perle de la Haute Provence a l’honneur de briller sur le Grande Boucle. Frontière entre paysage alpin et méridional, entre le Dauphiné et la Provence, la ville natale du poète Paul
Arène est une séductrice qui peut se targuer de bénéficier d’un taux d’ensoleillement moyen de 300 jours par an. C’est aussi une gourmande qui, grâce à ses produits du terroir, dont la douceur de ses agneaux et le sucré de ses pommes, sait se faire apprécier des gastronomes. Bien ancrée sur le socle de son riche passé que symbolise sa monumentale citadelle au donjon datant du XIIe siècle, elle sait évoluer avec son temps. Caressée par le flot de la Durance, secouée par les assauts du mistral, illuminée par la vibrante lumière du Haut Pays Provençal, « il émane de cette ville une force stupéfiante, la force de l’éternité en marche que rien n’arrêtera, pas même la fin du monde. » a écrit à son propos le romancier et journaliste Franz-Olivier Giesbert. Un arrêt s’impose donc à Sisteron, où l’accueil est royal … aussi pour la petite reine.
Arrivée: Bourg-lès-Valence
A une heure de Lyon et deux heures de Marseille, au cœur de la vallée du Rhône et au nord de l’agglomération de Valence dont elle est limitrophe, Bourg-lès-Valence est une ville de 20 000 habitants. La cité bourcaine doit son identité à une histoire liée à l’industrie et à la proximité du fleuve, à une vie économique toujours active, à des paysages naturels et ruraux préservés, comme les berges du Rhône. Dotée d’équipements collectifs variés dont une médiathèque flambant neuve, élément structurant d’un centre-ville en plein essor, d’un tissu associatif dense et varié, d’une dynamique sportive complémentaire et rythmée, elle offre une belle qualité de vie à ses habitants et s'engage volontairement dans le domaine du développement durable. Bourg-lès-Valence est en effet la première ville du département de la Drôme à mettre à la disposition de ses concitoyens des vélos électriques. Fleuron du passé industriel de la ville, l’ancienne Cartoucherie nationale magnifiquement réhabilitée abrite le Pôle Images Sud Rhône-Alpes de renommée internationale dédié au cinéma d’animation.
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La Galaure le 3 juin 2010
Des nouvelles le 21/05/2008 11:26
Hier après-midi nous sommes allés visiter un meublé à Saint-Vallier.
Ci-contre,square des bords du Rhône à défaut d'avoir trouvé une vue plus générale.
Saint-Vallier est une Commune de 4 318 habitants, d’une superficie de 464 hectares, située au bord du Rhône dans le Nord-Drôme. Elle a pour communes limitrophes : Laveyron, Beausemblant, Saint-Uze, Saint-Barthélémy de Vals, Ponsas, ainsi que les communes de Sarras et Ozon, dans l’Ardèche. La longueur de voirie de la Commune est de 26 289 m.
Chef-lieu de Canton, Saint-Vallier est un pôle administratif, commercial, industriel, éducatif, culturel et associatif important, qui de par sa situation, représente un bourg-centre. Son bassin de population est d’environ 15 000 habitants. Le tissu urbain est dense, et la ville s’est développée de manière linéaire, le long du Rhône.Un peu d’histoire
SAINT VALLIER dispose d’un patrimoine bâti intéressant qu’elle a su mettre en valeur.
Les éléments les plus remarquables du patrimoine bâti historique de SAINT-VALLIER sont l’église et le château, qui échappèrent au bombardement américain du 16 Août 1944.
Tous les vestiges du passé peuvent être découverts en suivant le parcours historique fléché, qui forme un véritable circuit dans la vieille ville.
L’église primitive, de style roman datait du XIIème siècle. Il n’en reste plus qu’un mur, sur la façade sud. Le contraste des teintes est dû à l’utilisation de roches différentes : ocre de molasse, blanc de calcaire et noir de pierre volcanique. Le chœur est de style gothique flamboyant et comporte un beau retable classique du XVIIème siècle. Le clocher fut érigé entre 1611 et 1623.
Le château de Diane de Poitiers fut construit au XVème siècle. Bâtiment carré avec tours d’angle, il est entouré d’un parc dessiné par Le Nôtre. Des terrasses y furent ajoutées en 1752. Diane de Poitiers, maîtresse de François Ier, puis d’Henri II, y séjourna dans sa jeunesse.
Le château ne se visite pas, mais on peut en admirer une partie en remontant la rive gauche de la Galaure.
Au IXème siècle, la cité de SAINT-VALLIER s’enferma dans des remparts. Ceux-ci ne sont plus visibles que de la place d’Orsolles, mais constituent néanmoins les bases de la trame urbaine de la commune.
Le patrimoine de la ville compte aussi deux tours. Une du IVème siècle, demi-cylindrique se trouve au nord de la commune, près de la voie ferrée. L’autre se situe Place Aristide Briand.
Divers éléments de la vie d’autrefois sont aussi restés en place, tels que le four banal, seul four à pain de la ville jadis, ou la vieille pompe sur la place du même nom.
La halle, construite en 1852, abrite encore aujourd’hui le marché hebdomadaire du jeudi. Des travaux de réfection et d’embellissement vont être entrepris.
Certaines rues sont aussi bien spéciales puisqu’ayant une histoire particulière, comme la rue de la Franchise, ou la rue des Bénédictins, ou bien encore la rue du Ravelin.Parcours historique
Télécharger le parcours : version pdf / version word
1) L’église
L’architecture romane de cette église date du XIIème siècle. Mais le monument a connu de profondes modifications durant 800 ans. Seule la partie proche de la petite porte (direction sud) date du 12ème siècle.
2) La Place d’Orsolles
Les remparts de Saint Vallier ne sont visibles que sur cette place, à cause des maisons qui se sont
construites de part et d’autre des remparts. Cette place, appelée Place d’Orsolles, est le témoignage de l’ancien nom de Saint Vallier : Orsulis où Saint Valère est venu prêcher et où il fût martyr. Le nom se
transforma alors en Saint Vallier du nom de Saint Valère.
3) Rue de la Franchise
Pour éviter de payer “la taille” une taxe nationale, les habitants de Saint Vallier ont demandé à leur roi “Aymar VI de Poitiers” de la remplacer une redevance annuelle “le droit de Villefranche”. Pour célébrer cet événement, une pierre fût encastrée à l’angle d’une maison de cette rue d’où son appellation.
4) La Tour du IVème siècle
Cette tour est une tour demi-cylindrique ouverte à la gorge, qui a la forme, le volume et la hauteur des tours du IVème siècle. Actuellement, elle est remblayée de 5 m et a été descendue de 3m. A l’origine, cette tour faisait 16,50m ; ses murs diminuaient de 0,25m à chaque étage. Elle comportait trois étages.
5) Le Paris-Lyon-Marseille
Construit en 1850, le premier train français allait de Paris à Marseille. Il coupa la vieille ville en deux. La ligne est à peu près restée au même niveau depuis le début, mais autrefois tout l’endroit était occupé par des maisons.
6) Le Château de Diane de Poitiers
Diane de Poitiers est née dans ce Château en 1499. Elle devient par la suite la favorite du roi Henri II. Quand elle meurt en 1566, sa fille Louise hérite du Château.
7) La médiathèque
Entrez dans la médiathèque et admirez du 2ème étage les jardins français et le Château malheureusement fermé au public pour le moment.
8) La rue du Ravelin
Cette rue fût autrefois la principale entrée Sud de la ville.
9) Place de la Pompe
Une pompe jadis a donné son nom à la place.
10) Le Four Banal
C’est l’endroit où l’on cuisait le pain dans le seul four de la ville.
11) Rue des Bénédictins
Il y avait un ordre de Saint Ruf qui fût très important. Le Piloris est l’endroit où étaient pendus les condamnés.
12) La Halle
Ce marché couvert a été construit en 1852.
13) Les remparts nord de la ville
Autrefois la ville de Saint Vallier était totalement entourée de remparts. Ce magasin est construit de part et d’autre des remparts. Pour percer ces remparts, il a fallu huit jours de travail ; leur dureté fût très surprenante.http://www.saintvallier.com/Inauguration-des-Urgences
Ce meublé est très bien pour nous qui n'avons pas de meubles(3/4 au Maroc et 1/4 à Saint-Quentin) car il y a tout ce qu'il faut pour (re)démarrer dans la cuisine, la chambre; c'est dans une maison avec une terrasse. Ne manque ... que...la télé et ...un PC....