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A mon seul désir (La Dame à la Licorne, Cluny) Ref: Adl_7462X / petit modèle avec bordure - Prix spécial cadeau Tapisserie A mon seul désir, appartenant à l´ensemble connu sous le nom de La Dame à la Licorne, qui regroupe en fait 6 tapisseries différentes se trouvant toutes au Musée de Cluny Tissée entre 1480 et 1500, ces tapisseries fûrent offertes en cadeau par Jean Dechabannes à la famille Le Viste. Cette tenture est restée fort longtemps à l´état d´abandon au château Boussac en Creuse. Grâce à une intervention de Georges Sand les six tapisseries de la dame à la Licorne purent être ramenées à Paris La première tapisserie A Mon Seul Désir est accompagnée de cinq autres représentant les cinq sens de l´homme Le lion représente la force, la licorne la pureté, le griffon sur le coussin la fidélité maritale, le chêne, le houx, l´oranger et le pin, les quatre points cardinaux, le petit singe l´animalité de l´homme. Les lièvres sont la symbolique de la vie souterraine et le héron royal et le faucon symbolisent le bien et le mal. Nous pouvons aussi reconnaître sur cette tenture une fameuse mode dite des mille fleurs apparue en 1500 La dame à la licorne se dépouille de ces bijoux pour passer de la vie matérielle à la vie spirituelle. D´autre part, les armes aux croissants argentés représentent l´héraldique de Jean Le Viste Ce joyau de la tapisserie médiévale nous rappelle une mise en scène respectant le triangle d´or technique, artistique et réputé dans le monde de la peinture. Composition : 100% coton - doublée d´une toile de coton écrue avec une coulisse d´accroche et munie de son certificat - Disponibilité prévue sous 3 à 4 semaines
Dimensions: Hauteur 50cm x Longueur 67cm Attention dans cette finition avec bordure ajoutée, la tapisserie fait environ 15 cm de plus en longueur et en hauteur Fabrication artisanale française
Exposé au Louvre, ce joyau à l'origine des collections nationales va être restauré. Une opération délicate dont le but est d'ôter environ la moitié des vernis déposés successivement depuis le XVIe siècle, et aujourd'hui oxydés.
AU XIXe siècle, le Sâr Peladan voyait en lui «le frère jumeau de La Joconde». Plus près de nous, l'historien d'art, professeur à Oxford et biographe de Léonard, Martin Kemp, a jugé le tableau «le plus représentatifde Vinci». À la fin du mois, ce Saint Jean-Baptiste, joyau des collections nationales - une des trois œuvres peintes que le génie toscan avait emmenées avec lui à la cour de François Ier et au château du Clos Lucé, sa dernière demeure, sera décroché. Le Louvre le retire de sa Grande Galerie pour une durée indéterminée
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/week-end/culture/expositions/021471299150-balthus-et-la-reouverture-de-la-chambre-turque-1174853.php?p42xvH69H0Rz1fUI.99
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