Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Lyon vote la création de sa méga-université
Lyon vote la création de sa méga-université
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Lyon vote la création de sa méga-université
exposition du 20 mai au 23 août Bibliothèque de la Part-Dieu + d'infos |
36, cours Général Giraud
69001 Lyon
A la découverte des Pentes vertes ouest
sam, dim 15h RV : Place Sathonay, devant les escaliers qui montent au Jardin des Plantes.
4, impasse d'Ypres
69004 Lyon
Remise d'un document de visite
sam, dim 10h-19h
40, montée Saint-Barthélémy
69005 Lyon
Visite botanique
ven 10h
Visite guidée
sam-dim 15h
Visite libre
sam-dim 6h-23h30
27, montée du chemin neuf
69005 Lyon
Visite libre du Jardin des Terrasses
Sam 11h-17h Dim 11h-17h
Jardin botanique de Lyon
69006 Lyon
Tous au potager
sam 14h et 16h dim 14h et 16h
Parc de la Tête d'Or
69006 Lyon
Le Parc de la Tête d’Or témoin d’une riche histoire
sam, dim 10h. RV : Porte des Enfants du Rhône
Site Descartes - 15, parvis René Descartes
69007 Lyon
Le jardin de Gilles Clément expliqué aux enfants (et aux grands)
sam 11h
Visites scolaires
ven sur inscription des écoles
Angle des rues Delessert et Gouy
69007 Lyon
Les explorateurs
Vend 9h - 17h sam 10h - 17h
Promenade Buissonnière
Sam 10h
Promenade Buissonnière
Ven 9h et Ven 14h
6 et 24, rue Stéphane Coignet
69008 Lyon
L'enfant au jardin : un autre regard sur le quartier
ven 14h30-17h
L'enfant au jardin : un autre regard sur le quartier
sam 10h-20h
Le Monde.fr | 22.05.2014 à 11h27
Rencontre entre David Treuer et Leonora Miano modéré par Catherine Simon. | © Bertrand Gaudillère / Item
Introduction Documents d'histoire, sources d'inspiration pour la création contemporaine, les collections sont orientées selon deux grands pôles : l'Orient et l'Occident. Tapisseries coptes, tissus de la Perse sassanide, tissus byzantins et musulmans, tapis d'Asie mineure, retracent l'évolution des civilisations orientales. La genèse de l'Occident se fonde sur les productions de Sicile et des républiques italiennes, bientôt relayées par l'essor artistique français. Les productions lyonnaises occupent une place prépondérante avec les dessinateurs ornemanistes Pillement, Philippe de Lasalle ou Dugourc. Le XIXe siècle est illustré par les commandes impériales et royales, qui ont permis une reprise de l'activité textile lyonnaise. Le savoir-faire lyonnais est enfin confirmé jusqu'au XXe siècle avec des talents tels que Raoul Dufy et Sonia Delaunay. |
Du 13 mars au 21 avril 2012, les Archives municipales présentent « le 7e fête ses cent ans». Pour marquer l’anniversaire de l’arrondissement, cette exposition vous invite à voyager à travers 100 ans d’Histoire, qui ont inspiré les artistes de Cité Création dans la réalisation de « la Fresque du centenaire ».
Vive le Confort Moderne !
Exposition du 12 octobre 2013 au 14 décembre 2014
Au lendemain de la Grande Guerre, tout est à faire : reconstruire, aménager, renouveler l’équipement archaïque des foyers. L’amélioration du pouvoir d’achat des familles, la généralisation du crédit, le génie créatif des industriels et les réclames publicitaires jouant déjà sur tous les registres de la séduction, promettent aux néo-citadins un monde nouveau.
Ainsi s’amorce une véritable révolution du quotidien : suces-poussière, douches à air chaud, machines lavantes ou armoires réfrigérantes allègent les corvées des ménagères. Dans cette dynamique, l’objet domestique offre ainsi la clef ouvrant les portes d’un monde meilleur où le vivre-mieux est à la portée de tous.
Cette période des années 20-40 devient l’antichambre de la société de consommation. Les objets dessinés et manufacturés en série pour le plus grand nombre, sont déjà pensés pour être remplacés au plus vite par des nouveautés encore plus désirables...
Cette exposition, ainsi que tous les rendez-vous culturels, éducatifs et festifs qui l’accompagnent, vous invite à un voyage inédit, pour saisir comment cette infernale stratégie du désir, fabriqua les Temps Modernes.
Informations et réservation au 04.78.75.16.75.
D’habitude, les tableaux sont à l’intérieur des musées. Dans le musée urbain Tony Garnier c’est le contraire, ils sont dehors :
Ce musée Tony Garnier « en plein air » et en pleine ville est une balade faisable à pied ou à Vélo’v en groupes ou en famille. Le quartier lui-même participe de la visite puisqu’il a été la première approche de la »cité idéale » rêvée, théorisée et détaillée par l’architecte urbaniste Tony Garnier (lauréat du prix de Rome, il a séjourné à la Villa Médicis entre 1899 et 1904).
C’est cette cité idéale et ses autres vues mondiales que vous allez visiter à travers ces 25 oeuvres.
On y va.
exposition
bibliothèque
Part Dieu
8 mars au
31 mai 2014
Sculptures, installations, performances… Michael Elmgreen et Ingar Dragset ressuscitent esprit critique et humour subversif autour de sujets tels que la politique sociale, le poids institutionnel ou la marche du monde en général. Leur travail prend volontiers place dans l’espace public. Jouant sur le décalage et le déplacement, ils créent des situations signifiantes, installant une boutique Prada en plein désert Texan (2005) ou conduisant un projet collectif pour reconstituer dans le pavillon du Danemark de la 53è Biennale de Venise (2009) la maison d’un collectionneur.
Michael Elmgreen est né en 1961 à Copenhague (Danemark). Ingar Dragset est né en 1968 à Trondheim (Norvège). Ils vivent et travaillent à Berlin (Allemagne).
Cette séquence est la seule de la rive droite réalisée dans la première tranche du projet Rives de Saône.
Elle s’étend du pont Bonaparte aux bretelles du pont Maréchal-Juin, où plusieurs édifices historiques se succèdent en front de quai : le chevet de la primatiale Saint-Jean, le Palais Saint-Jean et l’ancien Palais de justice, construit par Louis-Pierre Baltard entre 1835 et 1847.
La passerelle, construite en 1983 est suspendue par des haubans plantés dans un mât unique ancré sur la rive gauche de la Saône. Elle enjambe la rivière depuis le quai Saint-Antoine, sur la presqu’île, pour déboucher devant le Palais de Justice.
L’impulsion donnée au plus haut niveau de l’Etat pour susciter des initiatives en matière de commémoration du Centenaire de la Grande Guerre ne pouvait laisser indifférents les services d’archives des collectivités territoriales, dépositaires de la mémoire collective et individuelle du territoire.
Récits, théâtre, journal, poésie, essais, aphorismes, abécédaire… Œuvre avant tout autobiographique, aucun genre littéraire n’a échappé à Louis Calaferte dont les écrits sont aussi abondants et inspirés que divers. Homme volontairement isolé, créateur prolixe, auteur de plus d’une centaine d’ouvrages, il laisse à son décès, le 2 mai 1994, des milliers de pages manuscrites et des archives littéraires constituées, entre autres, de dessins, d’illustrations, d’affiches, de correspondances.
Guillemette Calaferte, selon le vœu de l’écrivain et au fil des parutions, a donné depuis 1996 cet ensemble à la Bibliothèque municipale de Lyon. Le département Langues et Littératures de la BmL a traité et encodé les documents offrant ainsi aux chercheurs un fonds Louis Calaferte exhaustif quasi unique. L’exposition de 1988, où Louis Calaferte proposait ses créations graphiques et celle de 1996, au moment de la première donation, mettant l’accent sur l’œuvre théâtrale, lui rendaient hommage.