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Et ce n’est pas une maison abandonnée ! #Fichtre ! ^_^
Le petit formulaire à remplir quand vous avez un blog. Sinon, vous pouvez m’envoyer un mail (en haut à droite). Avant 22 h le dimanche, cela m’arrange.
A peine finissons-nous, grâce à vous et aux progrès de la science, de réviser nos connaissances à propos de la terre, que nous apprenons que la recherche a permis d'isoler et d'étudier :
Un pur hasard
Nul doute que vous en savez plus que nous à ce sujet, et que vous aurez à coeur de faire un effort de vulgarisation en nous adressant vos conclusions, vos observations personnelles ou le récit de vos expériences, en prose ou en vers, avant dimanche 21 mai à minuit à l'adresse habituelle : impromptuslitteraires[at]gmail.com
Semaine du 8 au 14 mai 2017 : La terre n'est pas ronde
Vous étiez tellement occupé, la semaine dernière, à caser des mots rares, que vous n’avez pas prêté attention à cette extraordinaire découverte scientifique qui remet en cause toutes nos connaissances : La terre n’est pas ronde Mais maintenant que vous en saisissez ou entrevoyez toutes les conséquences, il serait profitable à tous que vous nous en fassiez part, en nous adressant votre texte, en prose ou en vers, avant dimanche 14 mai à minuit à l’adresse habituelle : impromptuslitteraires[at]gmail.com
Après nous avoir décrit comment vous aimez l’amour, voici un tout autre exercicepuisque vous devrez utiliser les 4 mots suivants: flavescent, califourchon, ambigu(ë),chorègeainsi que la phrase : Calfeutrée dedans sa loge, la concierge priait en vainen les plaçant à l’endroitqu’il vous plaira dans votre texte.
Merci de souligner ou mettre en gras les 4 mots et la phrase imposés.
Votre texte devra nous parvenir avant dimanche 7 mai à minuit à l’adressehabituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com
Pour ce 85ème Café Thé, je vous ai proposé de contempler cette photo d'un petit chausson en forme de souris accroché à un grillage (photographié lors de la balade avec Cathycat) :
et de nous raconter son histoire : comment il est arrivé là, qui l'a abandonné ou perdu ou bien à quoi il vous fait penser...
Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...
Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant le résultat des votes (le 1er juin 2017)
Vous êtes 5 à avoir participé.
Il s'agit maintenant de voter pour vos 3 participations préférées en utilisant le module de vote, en bas à gauche jusqu'au
31 mai 2017 à ecureuilbleu33@live.fr...
(Si le module ne fonctionnait pas pour vous, cliquez ICI, mais uniquement dans ce cas-là)
Fille de comédiens, Françoise Dreyfus n'a que 13 ans lorsque, se promenant dans la rue avec sa mère, elle se voit proposer un rôle dans La Maison sous la mer de Henri Calef sorti en 1947. Son personnage dans le film s'appelle Anouk, un prénom qu'elle conservera. Si la jeune fille poursuit un temps ses études secondaires en Angleterre, elle s'inscrit bientôt au cours de théâtre Bauer-Thérond et prend des leçons de danse
Un choix de photo qui s’est imposé de lui-même, suite à une discussion ce matin … Ce café a déjà des résonances en moi. J’espère qu’il en aura aussi pour vous. Merci Fred Hedin pour la photo !
C’est un une femme désabusée qui s’est assise, ce matin-là, A cette table un peu en retrait du comptoir du Café Brune. Elle aimait ce café tenu par un sosie de Lio dont « Les brunes Comptent pas pour des prunes » avait inspiré pour le café ce nom là.
La femme désabusée était blonde et se prénommait d’ailleurs Blondie En hommage à la chanteuse du groupe qui portait aussi ce nom Comme ce groupe, elle avait eu son quart d’heure de renom. La sonnerie de son portable était leur tube planétaire « Call me »
Blondie et Lio ne se reconnaissait pas dans la musique de maintenant Elle connaissait des noms comme « Christine and the Queens » et « BBBrunes » Mais elles étaient restées coincées dans les quatre-vingt, le temps De leur adolescence, une époque sans sida, insouciante et prospère
Lio reçut un appel d’un fantôme des années soixante, Lucky Blondo Elle informa Blondie que leur ami, sosie du chanteur éponyme était mourant « Rien qu’une larme » passait dans le juke box scintillant Et rien ne convenait mieux à son agonie que sa chanson mélo
Lio recommença à s’affairer derrière le comptoir Blondie se dit qu’elle devrait refaire des racines noires Elle qui pensait avoir tout vécu, tout enduré, S’apercevait ainsi qu’elle s’était trompée.