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Mes participations aux jeux d'écriture - Page 71

  • Pourquoi je suis seule(extrait)

    Semaine du 14 au 20 septembre 2015 - Anaphores

     
    Pour cette nouvelle semaine, nous vous proposons un sujet d'écriture inspiré d'Alain André, dans Babel heureuse, qui lui-même s'est inspiré d'un poème de Tao Tö King : votre texte devra débuter par « Tout le monde… » (signalé en gras). Vous développerez alors cette phrase.

    Lorsque l’écriture s’arrête, commencer la phrase suivante par « Moi seul… (toujours signalé en gras) » et développez.

    Recommencer ensuite sur ces deux anaphores et de la même façon, en mettant en place une alternance, s’apparentant à une litanie.

    Votre litanie sera de la longueur qu'il vous plaira (sachant que nous ne publions que deux pages maximum) et comptera le nombre de couple d'anaphores qu'il vous conviendra. Seule limite : le dimanche 17 septembre à minuit, date à laquelle tout le monde devra avoir rendu sa copie à cette adresse : impromptuslitteraires(at)gmail.com.
     

    http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/

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  • Mon texte inédit sur ce blog:Portraits de femmes

     

     

     

    Quand je regarde et/ou je lis des portraits de femmes variées et enrichissants ou "avariés" et consternants; quand je découvre les parcours de ces femmes d'hier et d'aujourd'hui, je me dis qu'aurais-je été, qui serais-je si j'étais née à cette époque, sous l'Ancien Régime, au dix-neuvième siècle comme mes arrière grand-mère, dans la première moitié du vingtième siècle comme mes grand-mères ou ma mère encore. Il est vrai que je me pose aussi la question  lorsque je vois ou lis des portraits d'hommes qui se sont comportés en héros ou au contraire ont agi comme des salauds? Qu'aurais-je fait par exemple si j'avais été torturé ou poursuivi comme mon grand-père par l'occupant? Aurais-je résisté comme lui et d'autres ou aurais-je succombé à la pression morale  et/ou la douleur, une campagne dont je connais déjà un  peu le côté pernicieux et tout simplement insupportable? Quand   je parcoure dans les grandes lignes des faits divers ou récits de monstres ordinaires ou même seulement de banalité ou bêtise  affligeante, je me dis parfois qui suis-je pour les juger ces femmes qui n'ont pas eu cette instruction qui donne des repères, des exemples d'aînées parfois écrasants mais aussi stimulants? Je me pose plus la question face à des femmes (que pour des hommes) que j'admire  tellement  l'écart entre la  hauteur de vue de certaines et leur indépendance  d'esprit (de toutes sortes) et l'asservissement(sous divers aspects) qui  a tout de  même semblé être le lot de beaucoup de femmes à de nombreuses époques et dans de nombreuses contrées. J'ai pu voir aussi ce qu'il en était  des femmes dans d'autres pays que le nôtre où il faut, tout de même, mieux être  femme qu'ailleurs: droit à l'avortement, à la contraception, à la sexualité, à travailler etc. Rien n'est parfait mais il me semble que c'est parfois aussi le fait des femmes elles-mêmes , certaines paraissant oublier qu'aucun droit n'est acquis à jamais; des femmes ont lutté avant nous, quelle force a t-il fallu à Olympe de Gouge pour déclarer les droits des femmes?  Quel courage a t-il fallu à Simone Weil(qui avait pourtant déjà tant souffert auparavant) pour se lever contre son propre camp, résister aux paroles abjectes de ses confrères et nous donner le droit l'avortement, même si y recourir restera, je crois toujours une souffrance. J'ai vu aussi un jour  Gisèle Halimi dont la culture la prédisposait peut-être autant à la soumission qu'aux combats qu'elle a menés? Comment face à ce que j'appelle des héroïnes, des femmes  de tous horizons peuvent encore se comporter à vie comme des midinettes prépubères(que j'ai été), croire à des histoires stupides de princes charmants et promouvoir des modèles  de pacotille qui scient la branche que nous avions atteinte par nos glorieuses aïeules qui n'avaient pas nos droits mais devaient les arracher.

    9 septembre 2015

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog

     

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  • La maison vide

    Défi #367

    L'histoire mystérieuse

    de la maison abandonnée !

    Maison abandonnée

     

    Bonne rentrée à vous tous et 

    bonne recherche !

    A tout bientôt à notre adresse :

    samedidefi@gmail.com

    http://samedidefi.canalblog.com/archives/2015/09/05/32581014.html

     

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  • Mon poème inédit sur ce blog:Clair de lune

    N'auriez-vous pas oublié ce moment de bonheur que connaissent les rimailleurs?
    Voici un moyen facile d'écrire un poème, les rimes étant toutes trouvées.
    Prenez le dernier mot de chaque vers du poème de Paul Verlaine « Clair de lune » et imaginez à votre manière ce qui précède, sans obligation de compter le nombre de pieds.
    Essayez de ne pas lire ou relire le poème de l'auteur pour ne pas être influencé. Voici dans l'ordre les mots à faire rimer:

    choisi
    bergamasque(s)
    quasi
    fantasque(s)

    mineur
    opportune
    bonheur
    lune

    beaux
    arbre(s)
    eau
    marbre(s)

    Envoyez-nous votre poème avant dimanche 6 septembre à minuit (lune claire ou pas) à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com

    http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/p/le-theme-de-la-semaine.html

     

     

     

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  • Mon texte inédit sur ce blog:Les côtelettes d'agneau

    sujet semaine 34

    personnages en quête d'auteurs

    sujet semaine 34
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    festival "images singulieres" Sète
    (auteurs des clichés : Stéphane Lavoué Bieke Depoorter )

     

    LE MOT DE LA SEMAINE : CHIHUAHUA

    http://miletune.over-blog.com/tag/les%20sujets/

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  • Océan dévasté(extrait)

    Défi n° 148 Océan

     

    Croqueurs.jpg

     

    On l'a rimé, on l'a chanté sur tous les rythmes et tous les tons, à toutes les époques...

    C'est l'océan, la mer, le grand bleu...

    Choisissez votre océan ou votre mer et rendez-lui hommage...

    Le Lundi 29 Juin

    Et pour les Jeudis en poésie...

    Trouvez un poème ou une chanson (et dites pourquoi vous l'aimez) ou écrivez-en un/une

    Jeudi 25 Juin : Les marins ou les ports

    Jeudi 2 Juillet : Les oiseaux de mer ou les îles

     

    Et pas seulement...

    Je vous propose de conserver ces thèmes tout l'été (pour ceux qui ne seraient pas disponibles fin Juin, début Juillet mais après ou pour ceux qui voudraient écrire plusieurs oeuvres sur ces thèmes...) et d'y ajouter : "navires en détresse". Je tiendrai la liste à jour tout l'été.

    Merci de m'aider en venant ici ou sur le blog des Croqueurs dire que vous avez participé.

     

    (Pour les Croqueurs de mots)

     

     

     

     

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  • Nager(extrait)

    Défi n° 148 Océan

     

    Croqueurs.jpg

     

    On l'a rimé, on l'a chanté sur tous les rythmes et tous les tons, à toutes les époques...

    C'est l'océan, la mer, le grand bleu...

    Choisissez votre océan ou votre mer et rendez-lui hommage...

    Le Lundi 29 Juin

    Et pour les Jeudis en poésie...

    Trouvez un poème ou une chanson (et dites pourquoi vous l'aimez) ou écrivez-en un/une

    Jeudi 25 Juin : Les marins ou les ports

    Jeudi 2 Juillet : Les oiseaux de mer ou les îles

     

    Et pas seulement...

    Je vous propose de conserver ces thèmes tout l'été (pour ceux qui ne seraient pas disponibles fin Juin, début Juillet mais après ou pour ceux qui voudraient écrire plusieurs oeuvres sur ces thèmes...) et d'y ajouter : "navires en détresse". Je tiendrai la liste à jour tout l'été.

    Merci de m'aider en venant ici ou sur le blog des Croqueurs dire que vous avez participé.

     

    (Pour les Croqueurs de mots)

    Mon poème ci-dessous:

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  • Mon poème inédit sur ce blog:L'heure de mettre une montre

    L’heure de mettre une montre

    J’ai vécu mes vint-cinq premières années

    Sans montre autour du cou ou au poignet

    Ce n’est pas que je n’en avais ou n’en voulais pas

    Mais je les détraquais toutes  en collier ou au bras

     

    Etait-ce mon magnétisme, des ondes mauvaises ou bonnes

    Qui arrêtaient, avançaient ou reculaient l’heure

    De mettre une montre au temps  arrêté de mon enfance

    Et plus tard, aux instants qui ne vieillissent pas assez vite

     

    Que ce soit la jolie montre bijou doré à porter en pendentif

    Ou la joyeuse Swatch aux couleurs vives  et gais motifs

    Rien ne résistait à la valse de mes désirs et de mes lectures

    Il fallait que les montres, les hommes et les livres me cèdent

     

    Puis à une heure  où je n’étais ni en retard, ni en avance

    Je suis arrivée à temps au rendez-vous avec une montre

    Je n’ai pas pu ni  arrêter cette seconde, ni en  fixer la date

    A cette minute même, la vie à mon bras a continué à s’écouler

     

    J’ai alors arrêté ma collection d’hommes mais pas de livres

    Les montres ont cédé à mon désir mais le temps reste inflexible

    Je joue avec lui à coup de bracelets de couleur en plastique

    C’est ma façon de danser sur le ballet des heures.

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog

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  • Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil ! (allusion à une chanson de Nana Mouskouri)

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil ! (allusion à une chanson de Nana Mouskouri)

     

    "Soleil, je t’adore comme les sauvages
    A plat ventre sur le rivage (Jean Cocteau) »

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

    Ton retour est source de réjouissance

    Ton départ provoque la souffrance

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

    Ne pars jamais trop loin de moi

    Marche bien dans mes pas

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

    Ne laisse pas ton aura s’altérer

    Ne cesse jamais de m’effleurer

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

    Allons  écouter une cavatine de Bellini

    A Venise, la sérénissime italienne

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

    Ne nous soucions pas du tocsin

    Que mon amant  utilise ses mains

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

    Là-bas, faisons tout pour que l’étincelle

    Ne  demeure pas qu’un fragment de soleil

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

     

    Je n’aime pas les bichons

    A l’Arsenal : je préfère les lions

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

    Je ne pas laisse pas manipuler par la technologie

    Je préfère souscrire aux lumières des librairies

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

     

    Un œil dans mon livre, un autre dans le paysage

    Sous le soleil, je  tourne les pages

     

    Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil ! (allusion à une chanson de Nana Mouskouri)

     Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog

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  • Défi du lundi

    Vocalise

    Vocalise

    Avant de piquer ta crise

    Oralise

    Avant que tu t’enlises

    Vocalise

    Avant d’être la tour de la Pise

    Oralise

    Avant de te fracasser sur la banquise

    Vocalise

    Avant que ton entreprise

    Ne se brise

    Sur son assise

    Oralise

    Ta paillardise

    Vocalise

    Tagourmandise

    Oralise

    Et fait la bise

    A ta promise

    Jamais ne balise

    Tu vaincras la bêtise

    Vocalise

    Ta maîtrise

    Aucune couardise

    N'est admise

    Oralise

    Et enlève ta chemise

    Même avec balourdise

    Sois grise

    Et surtout insoumise

    Vocalise

     

    Samedi 30 mai 2015

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