Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Mes photos - Page 45

  • Nous avons aimé voir cet après-midi l'église de Rive-de-Gier

    100_2048.JPG

    Source:Wikipédia

    Photos perso

    N'oubliez pas de commander mes livres en cliquant sur les bannères sur ce blog et l'autre plus petit, en lien à droite

    Lire la suite

  • Catégories : Lyon(Rhône,69:études,travail), Mes photos

    Monument lumière

    100_2041.JPG

    Un monument en forme d'écran géant courbe a été érigé à leur mémoire place Monplaisir à Lyon en face de la Villa Lumière, ancienne résidence d'Antoine Lumière, leur père, qui abrite aujourd'hui l'Institut Lumière. La partie concave, peinte en blanc uni, permet la projection de films en plein air.

    source: wikipédia: photo perso

    N'oubliez pas de commander mes livres en cliquant sur les bannières sur ce blog

  • Théâtre des Célestins hier soir

    Imaginons notre globe terrestre agité par tant de tempêtes et de chaos, soudain recouvert de minuscules miroirs découpés en carrés parfaitement juxtaposés, figurant ainsi une boule à facettes gigantesque réfléchissant vers les astres nos pulsions, nos émotions, nos interprétations, nos désirs, nos envies et nos illusions…
    Ne dérogeant pas à cette règle qui édicterait que le Théâtre serait le reflet de notre monde, les Célestins prendront à leur tour, au cours de la saison 2011/2012, l’allure d’une boule à facettes, miroir tantôt déformant, souvent intransigeant de nos réalités et de nos vécus, projetant ainsi vers le dehors images, paroles et gestes transcendés par la grâce et la créativité des artistes qui nous accompagnent.
    Car c’est à une véritable itinérance au milieu d’un parcours balisé de miroirs, telle une attraction de fête foraine suscitant tour à tour le rire, l’étonnement et le questionnement à laquelle nous vous convions.
    Ces miroirs, ce sont des spectacles qui se parlent et se répondent, inscrits, pour bon nombre d’entre eux, en diptyque, en triptyque, générant, de fait, un compagnonnage encore plus affirmé avec les artistes pour un voyage plus en profondeur, plus durable…
    Ainsi, le petit Chinois du Dragon d’or (de Roland Schimmelpfennig, mis en scène par Claudia Stavisky, créé en mars 2011 puis repris en octobre aux Célestins) dérivant à contre-courant sur le Huang He, le fleuve Jaune, fait écho à Vanina dans Une nuit arabe (de Roland Schimmelpfennig mis en scène par Claudia Stavisky qui sera créé en septembre 2011) qui rêve de fuir vers le désert, dans la ville de Kinsh el Sar.
    Au beau milieu de toutes les facettes, les Célestins ont glissé un petit miroir correcteur rétablissant notablement certains déséquilibres paritaires en honorant les femmes créatrices.
    Nathalie Fillion créera, en janvier prochain aux Célestins, la nouvelle pièce dont elle est l’auteure, À l’Ouest.
    Sur le territoire de l’intime et en solitaire (ou presque !), de merveilleuses interprètes comme Sophie Marceau (Une histoire d’âme), Catherine Frot (Oh les beaux jours), Simona Maïcanescu (Fièvre), Martine Vandeville (La Rimb), Cécile Garcia Fogel (Fous dans la forêt / Shakespeare Songs) s’échapperont de leur psyché pour mieux nous enchanter, nous transporter.
    Une saison délibérément ponctuée de spectacles qui s’érigent en réflecteurs tels Ô mon pays ! (un diptyque de la compagnie Pôle Nord), Ça va ? Combien de « ça va » faudrait-il pour que ça aille vraiment ? et Verticale de fureur (réalisés par le Groupe Décembre et le Théâtre Narration) ainsi que Nicomède et Suréna, deux magistrales tragédies de Corneille mises en scène par Brigitte Jaques-Wajeman.
    En outre, la complicité qui nous unit avec Wajdi Mouawad (les Célestins ont accueilli le quatuor intitulé Le Sang des promesses regroupant Littoral, Incendies, Forêts et Ciels, puis lors de la saison écoulée, Seuls), nous entraînera vers l’exploration des tragédies de Sophocle avec, dès cette saison, la trilogie Des Femmes composée des Trachiniennes, d’Antigone et d’Électre. Ici encore, le désespoir en amour de Déjanire répondra au désir de vengeance d’Électre et à la soif de justice d’Antigone.
    Au registre des complicités, celle entretenue avec le Maly Drama Théâtre de Saint-Pétersbourg, permettra de créer un réel événement avec la venue pour la première fois en France des Trois Sœurs de Tchekhov mises en scène par Lev Dodine et de Lorenzaccio (en version russe surtitrée) de Musset dirigé par Claudia Stavisky, spectacle créé en décembre 2010 à Saint-Pétersbourg. Les deux spectacles seront interprétés par les comédiens de la troupe permanente du Maly Drama Théâtre révélant, au travers de cette double résonance, une identité, une densité et une intensité tout à fait exceptionnelles.
    Au chapitre international encore, la deuxième édition du festival Sens Interdits, espace de confrontation esthétique des trajectoires politiques, historiques et culturelles des peuples, génèrera un singulier kaléidoscope de formes théâtrales, armes improbables et pourtant si vaillantes et déterminées contre la barbarie, l’oppression et la tyrannie. L’édition 2011 accueillera des équipes en provenance du Cambodge, de Tunisie, d’Afghanistan, du Chili, du Mali, de Russie, de Pologne, de République tchèque et des Pays-Bas.
    Cette multiplicité de propositions, qu’elles émanent de compagnies régionales ou de prestigieuses productions nationales et internationales, s’imbriquent entre elles et se coordonnent pour nous dévoiler la complexité de ce monde et nous offrir des milliers de faisceaux lumineux, voies fluorescentes dessinées dans la nuit, chemins fertiles à la profusion de nos réflexions et interrogations, sur lesquels nous pouvons progresser afin d’apporter notre contribution à l’indispensable transformation de ce monde trop enlisé dans ce qu’on nomme, la crise.
    C’est en effet conjointement, artistes et public réunis, que la magie va s’opérer.
    Antonin Artaud, dans le Théâtre et son double (nous y voilà encore !) exhortait la passivité du public et en appelait à l’éveil de ses sens au travers de l’instauration d’un nouveau langage théâtral.
    Aujourd’hui, ce n’est pas un langage, mais des langages démultipliés, animés par la pluralité et l’éclectisme, qui vous seront livrés au cours de cette saison 2011/2012 en attente de vos ressentis et nous l’espérons, de votre adhésion.
    Ensemble, rassemblons-nous sous cette boule à facettes qui, symbole de notre volonté de diversité, retrouvera une place plus traditionnelle, en fin de saison, avec la venue des « filles » du Cabaret New Burlesque immortalisées par le film de Mathieu Amalric, Tournée.
    Ensemble, mêlons nos figures et nos pensées sous cet objet ludique et festif et envoyons vers le monde nos énergies galvanisées par la féérie de nos émotions artistiques… Bonne saison à tous !

    Claudia Stavisky et Patrick Penot

    100_1998 théâtre.JPG100_1999.JPGhttp://www.celestins-lyon.org/index.php/Menu-thematique/Les-Celestins/Les-Celestins-Theatre-de-creation

  • Nous avons aimé hier soir:19ème édition de la traditionnelle soirée "Tapis Rouge" de la rue Auguste Comte.

    100_1992.JPGChaque année  le premier Jeudi d'Octobre, l'Association Quartier Auguste Comte organise le " Tapis Rouge " manifestation où les commerçants reçoivent dans leurs magasins, ouverts pour l'occasion tard dans la soirée, des amateurs d'objets anciens aux simples curieux.

    Un Tapis Rouge est déroulé dans la rue Auguste Comte et les rues adjacentes devenues piétonnes pour l'occasion. Les commerçants animent également l'évènement, pour l'occasion, les vitrines sont décorées avec passion et raffinement. Ils sont également présents pour accueillir dans la bonne humeur les nombreux visiteurs.

    Chaque boutique choisissant une Personnalité Lyonnaise de son choix, plus ou moins en rapport avec son activité.
    Ce soir là, la rue sera piétonne et les boutiques seront ouvertes jusque tard dans la soirée.
    Participation comme chaque année, avec les Vignerons du Beaujolais.

    Chaque année  le premier Jeudi d'Octobre, l'Association Quartier Auguste Comte organise le " Tapis Rouge " manifestation où les commerçants reçoivent dans leurs magasins, ouverts pour l'occasion tard dans la soirée, des amateurs d'objets anciens aux simples curieux.

    Un Tapis Rouge est déroulé dans la rue Auguste Comte et les rues adjacentes devenues piétonnes pour l'occasion. Les commerçants animent également l'évènement, pour l'occasion, les vitrines sont décorées avec passion et raffinement. Ils sont également présents pour accueillir dans la bonne humeur les nombreux visiteurs.

    Chaque boutique choisissant une Personnalité Lyonnaise de son choix, plus ou moins en rapport avec son activité.
    Ce soir là, la rue sera piétonne et les boutiques seront ouvertes jusque tard dans la soirée.
    Participation comme chaque année, avec les Vignerons du Beaujolais

    4019_quartier_auguste_comte.gifhttp://www.lyonweb.net/agenda/e/6020/Tapis-Rouge.htm

    Lire la suite

  • Catégories : Mes photos

    St Rémy de Provence le week-end dernier

    Saint Rémy de Provence, petite ville du parc Naturel régional des Alpilles, vous invite à découvrir ses richesses : culture, patrimoine et fêtes.

    100_1941 ST REMY.JPG

    Dans la  capitale provençale de l’art de vivre où est né Nostradamus, vous trouverez : la gastronomie, les produits du terroir, l’huile d’olive, les vignobles « AOC les Baux de Provence », les hôtels et chambres d’hôtes de charme, les campings de qualité et les locations, l’artisanat, le marché Provençal, les artistes, les belles boutiques et galeries d’art, les ballades et randonnées nature, les lieux peints par Van Gogh, le site archéologique romain, les traditions, les festivals et 300 jours de soleil par an ...
    http://www.saintremy-de-provence.com/

  • Catégories : Mes photos

    Le Baux de Provence le week-end dernier

    100_1931.JPG

    « Race d'aiglons jamais vassale, - qui de la pointe de ses ailes - effleura la crête de toutes ses hauteurs »

    Fréderic Mistral Chant I - Calendal

     
    Le Phare de la Provence
    Un des sites majeurs et lieux de mémoire régionale mondialement connus, Les Baux de Provence mêle à un patrimoine médiéval et Renaissance exceptionnel, une richesse d'accueil et de culture qui en font le Phare de la Provence.

    Décors grandioses pour faire revivre les témoignages du passé, perpétuer les traditions, abriter l'art des hommes venus s'y installer, accueillir des spectacles prestigieux.

    Ces lieux chargés d'histoire offrent bien d'autres tentations encore. La tradition de bien recevoir y est plus que jamais présente grâce à ses restaurants gastronomiques et ses hôtels de prestige. L'appellation des Baux de Provence est un symbole de qualité : les vins, nés de roche et de soleil, y sont chaleureux, son huile d'olive y est ardente et fruitée.

     

    A noter

    • Arman s'installe aux Baux-de-Provence

      Du 4 juin au 16 octobre 2011

      Le Centre Pompidou a consacré à l'automne 2010, une grande exposition à Arman, reprise au Musée Tinguely à Bâle. La cité des Baux-de-Provence prend la relève du 4 juin au 16 octobre 2011, en permettant à chacun de découvrir ou redécouvrir différemment l'univers d'Arman, ses ateliers et ses œuvres. Artiste français, peintre, sculpteur et plasticien, célèbre pour ses « accumulations », Arman est l'un des membres fondateurs du mouvement des Nouveaux Réalistes.

    • http://www.lesbauxdeprovence.com/

    • pHOTO PERSO

     
  • Catégories : Mes photos

    Aigues-mortes le week-end dernier

    100_1894.JPGL'origine d'Aigues-Mortes se perd dans la nuit des temps. Les hommes pêchaient, ramassaient le sel, domptaient les caprices de la nature sauvage d'un climat paludéen bien avant que les desseins et les gestes de Louis IX vinssent auréoler au XIIIème siècle, l'histoire de ces lieux. Dès lors, Aigues-Mortes, masse rude campée dans l'immensité ne cessera d'évoluer, de surprendre, traversant inexorablement les guerres, les conflits, les ères de paix et de misère. Ses tours et ses remparts seront marqués par l'empreinte du temps, hantés par le mystère de leur résistance.

     Aujourd'hui, Aigues-Mortes, conserve ses traditions taurines. Haut lieu de la gastronomie camarguaise, elle se tourne vers la Méditerranée et allie le secret du passé au charme du futur.

     

    VIIIème siècle      Les Croisades      L'enceinte, la ville      La Tour de Constance      Les Tâcherons

    L'église      Les couvents      Les Templiers      La Tour Carbonnière      Les Pénitents

    Fort de Peccais      XV siècle      Le Logis du Gouverneur      Les épidémies      Les Guerres de Religions

    La Révolution      Les Conflits      XXI siècle      Un port

    http://www.ot-aiguesmortes.fr/FR/Histoire.htm

     

    photos perso

    Lire la suite

  • Catégories : Balades, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes photos, Mes textes en prose

    Les Salins du midi suite

    D'autres photos de moi (avec des topos empruntés)sur notre voyage (long en temps et km)de plaisir et d'étude de ce we à venir si je trouve le temps entre le travail, l'écriture, la lecture (de plusieurs livres en même temps sur plusieurs thèmes),les balade(courte), le sport etc. LA VIE REELLE

    Mes photos(catégorie de ce blog de la partie " ce que j'écris/ce que je crée) comme mes lectures, visites, voyages ou balades

    ne sont pas un loisir

     mais une partie d'un tout, ma vie qui nourrit ce que j'écris et que vous pouvez commander en passant par les bannières sur ce blog.

    100_1875.JPG

    Lire la suite

  • Catégories : Balades, Mes photos

    Les chevaux de Camargue(ce week-end)

    Mes photos(catégorie de ce blog de la partie " ce que j'écris/ce que je crée) comme mes lectures, visites, voyages ou balades

    ne sont pas un loisir

     mais une partie d'un tout, ma vie qui nourrit ce que j'écris et que vous pouvez commander en passant par les bannières sur ce blog.

    chevaux100_1841.JPGchevaux 100_1847.JPG100_1842.JPG100_1843.JPG100_1844.JPG100_1845.JPG100_1846.JPG

  • Catégories : Mes photos

    Le port des Saintes-Maries de la mer

    Photos perso

    Le port de plaisance des Saintes-Maires de la Mer, Port Gardian, accueille les plaisanciers qui cabotent en Méditerranée et propose :
    22 anneaux pour les pêcheurs
    – 153 anneaux pour la location
    – 111 pour les amodiations
    – 84 pour le passage
    Au port des Saintes-Maries, les plaisanciers vivent leur loisirs à taille humaine, dans une ambiance bon enfant où chacun vit et partage ses passions.
    100_1794.JPG100_1793 port.JPG

    Lire la suite

  • Catégories : Mes photos

    Statue de Mireille aux Saintes-Maries-de-la-Mer, en hommage à Frédéric Mistral pour son poème en 12 chants "Miréio " (Mireille)

    100_1833.JPGPhoto perso

    A Mireille... de Frédéric Mistral

     

    Avec tant de soleil qu'une fille est tombée

    Entre les bras du Rhône tout près de la madone

    Les musiques jolies et le chant des cigales

    Venus de l'Italie en passant par les Alpes

    Viennent pour la bercer en Méditerranée

    Ecoutez-le chanter quand souffle le Mistral

    Le beau pays qui est le mien

     

    Mireille

    http://membres.multimania.fr/mimijj/saintes-maries-de-la-mer.html

  • Nous avons aimé ce week-end:Les Saintes Maries de la MER

    100_1827.JPGPhotos perso du musée

    100_1837.JPG

    Ce musée est un hommage au marquis Folco de  Baroncelli-Javon (1869-1943), personnage emblématique de la Camargue. Lou Marquès, dirigeant du journal félibréen « l’Aïoli » en Avignon, ardent défenseur des coutumes du patrimoine écologique , traditionnel et culturel de la Camargue, il mène une vie de gardian et milite en faveur de la tolérance. C’est à lui que l’on doit la reconnaissance du pèlerinage gitan par les autorités ecclésiastiques.

    Le musée abrite les témoignages des traditions camarguaises, des collections consacrées à la zoologie de la Camargue, à l’archéologie des Saintes Maries de la Mer et au folklore régional. Les pièces ont été réunies en 1942 par un groupe de mainteneurs locaux.

    Le musée est  installé dans l’ancien Hôtel de Ville, aussi prétoire de justice et de paix, construit en 1876 par l’architecte arlésien Véran, qui succède au premier hôtel de ville édifié en 1655. De cet édifice, seuls subsistent les médaillons de marbre aux armoiries de France et de Navarre d’une part, des Saintes Maries de la Mer, d’autre part, sculptés par l’artiste lyonnais Pierre Sibrent, au XVIIème siècle. .

    http://www.saintesmaries.com/page.php?haut=1&navig=visiter&ssnavig=visiter3&sssnavig=visiter&page=visiter3

  • Catégories : Mes photos

    L'église des Saintes-Marie de la MER

    Construite près de l’embouchure du Petit-Rhône, l’ Eglise des Saintes Maries de la Mer avait une position stratégique importante. Car au moment de son édification, aux IX° et XII° siècles, les pirates sévissaient sur la côte et il fallait se défendre contre les invasions.

    L’église domine le village et est visible à 10 km depuis l’intérieur des terres. Il s’agit d’une véritable forteresse, formée d’une nef unique et droite, sans ornement et haute de 15 mètres. Le toit est entouré d’un chemin de ronde, avec créneaux et mâchicoulis et servit de tour de guet. Le chœur et l’abside sont surmontés par un donjon en hémicycle qui renferme l’ancienne salle du corps de garde appelée « chapelle haute ». Les murs de l’église sont percés de meurtrières. Elle servait de refuge pour la population et on y trouve même un puits d’eau douce. Aujourd’hui, la statue de Sara, élément essentiel du patrimoine des gitans, est placée dans la crypte, à droite de l’autel. On remarquera également, dans l’église un autel païen du IV° siècle avant J.C.

    Visite panoramique >>

    http://www.saintesmaries.com/page.php?haut=1&navig=visiter&ssnavig=visiter2&sssnavig=visiter&page=visiter2Photos

    photos perso

     

    100_1830.JPG100_1831.JPG

     

    Lire la suite

  • Nous avons aimé dimanche:Musée des transports urbains(Journées du patrimoine)

    Seule ville française à avoir toujours conservé une ligne de tramway dans l'hypercentre, Saint-Etienne se devait de posséder un musée des transports urbains. 

     

    En effet, le tramway garde une place toute particulière dans le coeur des stéphanois. Le musée, d'une superficie de 1200m², rend hommage aux salariés de la CFVE et de la STAS, qui ont consacré une grande partie de leur vie à construire, jour après jour, les transports urbains que nous utilisons aujourd'hui.

     

    Inauguré le 18 Juin 1993, ce musée retrace plus de 120 ans de savoir-faire aux services de plusieurs générations d'habitants.

     

     

    Visite :

     

    Tous les mercredis de 14h à 17h. Des visites peuvent avoir lieu d'autres jours, la demande en sera faite par mail à l'association qui gère le musée.

     

     

        >  Adresse mail : musee.transports-urbains42@orange.fr

        >  Téléphone au 0675071016 

      

     

    Localisation :

     

     

    Musée des Transports Urbains - STAS

    Avenue Pierre Mendès-France BP 90055

    42272 Saint-Priest-en-Jarez

     

     

    Entrée payante :

     

    Plein Tarif : 3 €

    Demi-Tarif : 1.50 €

    http://www.reseau-stas.fr/presentation/?rub_code=81

    Photos perso

     

    100_1754.JPG100_1755.JPG100_1756.JPG100_1757.JPG100_1758.JPG