Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Photo et mots inédits
J'aime regarder d'en haut
La grande ville, si beau
Est le désir de savoir
Les mots et l'art de voir.
Parvis des Halles le 13 février et mots du 26 février 2010.
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J'aime regarder d'en haut
La grande ville, si beau
Est le désir de savoir
Les mots et l'art de voir.
Parvis des Halles le 13 février et mots du 26 février 2010.
Premiers bourgeons de février
Premiers frissons du printemps
Rouge d'un vrai long baiser
Mots et photo perso du matin du 26 février(01)2010
Pour lire d'autres mots de moi, cf. mes 7 livres en vente sur ce blog.
Hier, un air de printemps soufflait dans le ciel.
Aujourd'hui, un vent diabolique donne des airs de mer au Rhône.
Cet homme qui marche, c’est le mien,
Je crois le connaître bien
Il m’a choisi
Et je l’ai choisi
Le matin et le soir
Il marche avec espoir
Vers moi et je le rejoins
Nous marchons main dans la main
Mais la journée, il est seul pour marcher
Et pour ça ,je ne cesse de l’admirer
Car dans son domaine, il est le meilleur
Et avec moi, il est aussi le meilleur
Cet homme qui marche
Et travaille
Cet homme que j’aime
Et que j’admire
Le 31/12/2007
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 7 livres en vente sur ce blog.
Mouvance : mondialisation ;
Errance puis expatriation.
Violence de l’incompréhension
Des proches ; souffrance
Renvoi en enfance,
En arrière ; inconstance.
Instinctivement, l’autre
Cherche un ancrage ;
Egoïstement, il te rejette.
Tu peux juste vivre décemment
Et qu’ils saisiront empiriquement
Ta démarche. Innocemment,
Tu y crois et vas boire
Les inviter, les recevoir
Sans penser les décevoir.
Tu ne peux plus danser
Ni rire sans y penser
Tu as même du mal à respirer.
Avec les mots d'Ecriture ludique:http://www.ecritureludique.net/article-18333520.html
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 7 livres en vente sur ce blog.
Des bouts de ta vie
De tes envies
De tes passions
De la poésie-chanson
C'est que tu nous livres
Elisabeth, avec la guitare
De ton âme
Qui nous enchante.
Poème écrit dans un commentaire sur le blog de poésies d'Elisabeth: http://depoesiesenpoesies.hautetfort.com/archive/2007/03/18/petit-bouts-de-vie.html
Son autre blog:http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/
Merci Elisabeth pour ta fidélité à mon blog et mes livres.
Pas d'alternative
Continuer
Quoiqu'il arrive
Avancer
Quoiqu'il en coûte.
Le 21/02/2007
D'abord publiés chez Ambroise.
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Le mot de trop qu'on dit
Le mot qui manque
Un silence
Qui fait du bruit
02/07
D'abord publiés chez Ambroise.
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Bout de temps
Qui s'arrête trop longtemps
Ou s'accélère
Trop vite
Le 17/02/2007
Publiés d'abord chez Ambroise.
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Une petite bougie qui vacille en moi...
Une lumière artificielle....
Une lumière naturelle qui va et vient...
Tout en harmonie ou dys-harmonie
Le 21/02/2007
D'abord publiés chez Ambroise.
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Bout de lumière
Qui émerveille
Et fait reculer
Les peurs cachées
Inspirés en février 2007 par une photo d'Ambroise.
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Où est ma maison ?
Je perds la raison
Où est ma place ?
Je perds mon âme
Le 8 novembre 2006
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Soleil de nuit
Dans le matin charmeur
Qui es-tu
Pour me dire ainsi
Que je n’ai pas de cœur.
Enfant étoilé
Par le petit matin
Enfant diabolo
Pauvre enfant apeuré
Pauvre bébé transi
Par le froid et par l’aurore
Bleu et rose
Dans la lune rouge.
Pauvre petit être
Seul et désespéré.
Poème d'adolescence(comme c'est indiqué en bas de la note).
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La main cherche
Tâtonne doucement
Pour un moment
De tendresse
Ce poème(complet) a été exposé le 26 juin 2005 dans le parc municipal de la Combe Persil à Dijon, le jardin des poètes:
Exposition itinérante 2005 des poètes de l'amitié-poètes sans frontières
Source de l'image:http://ecrivainsenherbe.forumculture.net/Autour-de-l-ecriture-c10/CONCOURS-f25/Concours-Inter-forum-avec-le-forum-des-jeunes-ecrivains-t5414-0.htm
J'ai pensé à ce poème pour l'atelier textuel:
Atelier textuel
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SUREMENT la circulation
VERS Saint-Étienne et Lyon
Une rumeur FAMILIERE, un fond
Qui ne fait pas lâcher le CRAYON
Car la concentration est une QUALITE
Dont il aime volontiers se VANTER
Pas un seul REGARD vers la rue éclairée
INCONSCIENT il noircit le papier
Monsieur LEGLAND, rongé par le CRABE
Ecrit pour laisser une toute petite trace
De son passage sur cette fichue terre
Avant le néant qu’on dit céleste
Le 5/12/2007
Elle n'est pas jolie
Mais elle a un mari
Et des petites amies
Elle est libre, elle écrit
Mais elle s'ennuie
D'un monde infini
Alors elle met ainsi
Une pierre a sa vie
Et s'enfuit[1]
[1] Virginia Woolf a mis des cailloux dans ses poches et s’est enfoncé dans l’eau.
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Je serai toujours sourire
Je serai toujours bonheur
Je serai ton soleil
Celui que tu attends
Celui que tu espères.
Ma maison sera la tienne ;
Et mes murs sont bleus
Le bleu de tes rêves.
Mes larmes seront les tiennes
Mais je te donnerai la joie
Tu n’auras qu’à chauffer tes mains
Dans les creux de mon corps
Je serai ton foyer toujours
Comme un enfant fidèle et entêté
J’attendrai ton retour le soir
Tu n’auras qu’à te reposer sur mon cœur.
Je serai toujours sourire
Et ton rire couvrira le mien
Je n’ai que le cœur plein d’espoir
Tes mains seront les étoiles de ma nuit
J’appellerai tes outrages
Et je serai ton soleil
Je serai le soleil
J’effacerai tes souffrances
Celles qui te font peur.
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Les mots sont capricieux
Il faut jouer avec eux
Pour leur faire dire tout
Ce que l’on veut.
Je ne suis pas Valéry
Mais ces mots-ci
Viennent de mon cœur
Et s’adressent à une amie.
Quant à ton petit bout d’homme
Je lui envoie des baisers comme
Ceux du pays des songes,
Doux comme des murmures.
Que te dire d’autre
Sans risquer la rupture,
La rupture de l’harmonie
Déjà précaire de ce poème.
POUR L'ANNIVERSAIRE DU FILS D'UNE AMIE
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Mon cœur est à prendre
Ne le laisse pas partir
Mon cœur est à vendre
Ne le laisse pas mourir
Mon cœur est à toi
Parce qu’il t’aime
Je te le donne. Pourquoi ?
Parce que je t’aime
Mon cœur est à prendre
Ne le laisse pas partir
Mon cœur est à vendre
Ne le laisse pas mourir
Mon cœur est parti
Tu l’as laissé pleurer
Mon cœur est parti
Tu l’as laissé s’envoler.
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Ton cœur avait laissé dans mes yeux
La couleur de tes baisers
Mais tout s’est effacé
Ne restent plus que nos adieux
Le temps sur ton visage avait écrit
La promesse d’un bonheur infini
Mais même lui il nous a trahi
Et jeté nos cœurs dans la nuit
Ton regard s’est figé à jamais
Sur mes mains déjà éteintes
Et comme pour une dernière étreinte
A tenté de dire que tu m’aimais.
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Je t’aime parce que tu n’es pas
Parce que tu ne m’aimes pas
Pour ton sourire qui ressemble
Tellement aux autres ; je t’aime
Pour le soleil de tes yeux.
Si tu ne m’aimais pas, je t’aimerai toujours
Si tu t’en allais, je resterai toujours
Fidèle à tes regards, écoutant tes mots
Toujours, inlassablement et je me passerai
Tes gestes sur un écran couleur
Si tu me faisais mal par tes coups
Par tes silences trop doux, je me tuerai
Chaque jour mais je ressusciterai pour toi
Toujours, inlassablement. Je t’aime pour ta bouche
Qui meurtrit mes espoirs
Je t’aime comme un bébé, confiant toujours
Inlassablement et si tu me trahissais
J’embrasserai tes cheveux et je serai toujours là
Et si tu as seulement besoin de moi
J’attraperai tes rêves pour toi, toujours inlassablement
Avec mes mains blessées.
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Tes yeux et tes mains
Ont endormi mes défenses
Et je voyais l’ivresse du vin
Courir dans tes veines
Que te dire que tu ne sais déjà
Mes défauts, mes qualités
Mes tristesses et mes joies
Tout ce que je ne t’ai pas caché
Jour après jour, je t’aime
Et je m’en émerveille.
Je veux te le dire
Pour que cet amour rejoigne le soleil.
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Pour rappel, voici la règle :
1.Choisir une image parmi toutes celles qui se trouvent ci-dessous (sachant qu'une même image peut-être choisie par plusieurs personnes),
2.Ecrire ce qu'elle vous inspire - souvenir, moment de votre vie, texte libre, poème...
3.Publier votre version sur votre blog,nous envoyer un petit message à equipedechoc@hotmail.fr afin de faire un lien de chez nous vers chez vous.
Il n'y a pas de date limite d'inscription, ni de date limite de publication...
Si vous souhaitez participer, inscrivez-vous ici via un com, en précisant l'image choisie.
VOICI MON POEME SUR L'IMAGE 1 CI-DESSUS:
Marcher sur des nuages
Avec des ailes de poète
Le 9/11/2007
Toi
Mon alpha
Mon gamma
Et mon oméga
Le 5 septembre 2006
Ce poème (complet) est désormais dans mon recueil "Paysages. Poèmes à mon mari" en vente sur ce blog.
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 7 recueils en vente sur ce blog.