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Cette semaine, c'est Gene M qui a concocté le thème de notre consigne d'écriture :
« C'est bien la dernière fois que... »
Nous l'avons si souvent prononcée cette phrase dans toutes sortes de circonstances. C'est bien la dernière fois que je te prête de l'argent... C'est bien la dernière fois que je reçois ta famille ... C'est bien la dernière fois que tu m'infliges ton amie Huguette...
Ces mots lancés avec colère, détermination ou ironie féroce sonnent comme un avertissement.
Mais avons- nous exécuté notre menace ou bien avons-nous piteusement continué à subir ? Racontez-nous une de vos dernières fois qui a eu une issue heureuse ou inattendue.
Vos textes, en prose ou en vers, doivent nous parvenir à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com avant dimanche 22 mai minuit.
Vous pouvez toujours, bien sûr, visiter la page Facebook des Impromptus Littéraires : Cette page est accessible ici !
Notre souhait est que cette page devienne un lieu d'échange à la fois convivial et décontracté, tout en conservant bien entendu l'esprit des Impromptus et le respect des Instructions Générales du site.
Vous pourrez vous exprimer à votre guise, poster des photos, proposer des idées de thème, parler de vos coups de cœur (ou coups de gueule) littéraires, nous faire part de vos impressions, suggestions, avis sur le site … etc …[1]
Nous nous efforçons d'illustrer les thèmes hebdomadaires, mais aussi de communiquer de façon plus interactive :)
N’hésitez pas à nous y rejoindre …
Les instructions générales de participation sont accessibles ici.
Pour revenir à la page d'accueil il faut cliquer ici
Notes
[1] Si vous êtes vous-même inscrits sur Facebook. Mais si vous n’êtes pas (encore) inscrits, ou ne le souhaitez pas, vous pouvez tout de même consulter la page, et nous faire des retours par mail.
Je suis le Festival de Cannes depuis plusieurs années et je l’ai fait cette année encore : la montée des marches, la cérémonie d’ouverture, les films projetés, les critiques, la réaction du public, la cérémonie de clôture et bien sûr le palmarès
Malentendu ? Quiproquo ? Ne nous prenons pas la tête sur ce rendez-vous manqué, d'autant plus savoureux que ce n'est pas tous les quatre matins qu'on rate un 29 février. Ceci m'a inspiré le thème (et le titre) de ce défi en instance, avec le feu vert de la "commanderie" (sic Jill) : Défi n �61 : Quiproquo sur la …
Cette semaine en déséquilibre nous a fait découvrir de belles histoires, drôles ou émouvantes. Pour la semaine à venir, nous vous proposons deux logo-rallyes au choix. Deux thèmes et dix mots par thème qui devront être obligatoirement utilisés dans vos textes (prose ou vers). 1 -Cuisine : glacer, lier, blanchir, napper, julienne, crème, assaisonner, barder, cuire, tamiser. 2 -Sport : athlète, appel, podium, course, transpirer, muscle, souplesse, dénivelé, compétition, randonnée. 3 règles simples : - Préciser le thème que vous aurez choisi (cuisine ou sport). - Mettre en gras les mots obligatoires afin de nous simplifier la mise en ligne. - Ne pas mélanger les mots des deux listes dans votre texte. Bien entendu, vous pouvez conjuguer les verbes inclus dans les listes et, si vous le souhaitez, vous pouvez nous envoyer deux textes, chacun traitant une des listes ... Cuisinez, faites du sport, écrivez ... et bonne semaine à toutes et tous
Après toutes ces digressions sur les tics et les tacs et leurs intervalles, quelle histoire allez-vous nous conter en découvrant les deux photos suivantes ?
Que vous en choisissiez une seule, ou les deux, votre texte en prose ou en vers devra nous parvenir à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com d'ici dimanche 28 février au soir.
Aussi ravissante que généreuse, Beth Raymer comprend qu’elle a tout intérêt à abandonner son métier de strip-teaseuse et quitte donc la Floride pour devenir barmaid à Las Vegas. Alors qu’elle ne trouve pas de travail, elle fait la connaissance de Dink, parieur sportif professionnel qui, croyant déceler un vrai potentiel chez la pétillante Beth, lui offre un boulot : elle est censée prendre des paris en son nom et démarcher des clients par téléphone. Dink a eu le nez creux : la jeune femme se révèle particulièrement douée et ne tarde pas à devenir sa mascotte jusqu’à ce que la roue tourne…
+ INFOGRAPHIE ANIMEE Dix lignes affichent des diminutions plus ou moins fortes des retards. En région parisienne, la situation reste très difficile sur les RER A et D.
J’étais plus vieille que la petite fille de la photo mais au niveau de mon expérience de vie, j’étais encore une enfant qui n’avait jamais quitté la maison de ses parents sauf séjour linguistique, pèlerinage et escapade nocturne. Mon souhait de poursuivre mes études post-bac à Paris ressemblait à un caprice car j’aurais pu aller dans la capitale régionale où se trouvaient toutes les facultés. Mais ça me paraissait trop près alors qu’en termes de transport, Paris était bien plus pratique. Plus qu’un caprice, c’était une folie car j’avais choisi une filière pour « faire comme papa » dont le fort coefficient en mathématiques me condamnait à échouer. En fait, par ce « caprice », je m’éloignais et me rapprochais de mon père. D’autant que ce dernier passait beaucoup de temps sur Paris. Nous avions trouvé à me loger en très proche banlieue dans une chambre de bonne où je n’avais ni plus, ni moins de place que dans ma chambre d’ado : seize mètres carrés avec un lit, une table-bureau, un frigo de camping, une plaque à gaz et un évier. Comme je n’avais pas de douche chez moi, ça ne me choquait pas de ne pas en avoir dans mon logis parisien. Les toilettes sur le palier n’étaient pas non plus moins communes que celles de mon nid familial. Là-bas, les escaliers étaient raides, étroits et la patine du temps les avait rendu encore plus dangereux. A Paris, monter au sixième étage (sans ascenseur) était périlleux surtout en début et fin de semaine avec des bagages. Ça avait aussi plus de gueule cet escalier en colimaçon qui donnait le vertige quand on cognait la rampe branlante.
4 janvier 2016
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