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Mes textes en prose - Page 37

  • Zao Wou-ki, un peintre en liberté

    Valérie Sasportas

    • Mis à jourle 10/04/2013 à 11:09

    Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

    C'est un grand peintre, un maî­­tre de l'abstraction du paysage. Un voyageur d'Orient. L'ami de Hans Hartung, Pierre Soulages, Jean Pollak, Ieoh Ming Pei, Henri ­Michaux et tant d'autres, croisés au cours de ses pérégrinations. Une valeur sûre du marché de l'art dont les toiles se vendent des millions. Un diptyque, intitulé 10.03.83, a été adjugé plus de 37 millions de dollars hongkongais (3,7 millions d'euros) le 6 avril chez Sotheby's à Hong­kong.

    En France, une autre de ses toiles, 28.8.67, s'est envolée pour plus de 1,5 million d'euros chez Ivoire Nantes. Zao Wou-ki s'est éteint en Suisse, mardi, à l'âge de 93 ans. Atteint de la maladie d'Alzheimer, le peintre avait été hospitalisé à deux reprises depuis la fin mars. Il aura vécu pour «le bonheur de peindre». Jusqu'à ce que la maladie l'en empêche définitivement. C'était il y a trois ans, âgé de 90 ans, il venait de réaliser une œuvre ultime, en même temps qu'une expérience artistique nouvelle: des vitraux. En Touraine, par l'intermédiaire de son ami poète François Cheng, il avait été convaincu d'orner à l'encre de Chine noire, parfois rehaussée de rouge, les vitraux du prieuré de Saint-Cosme, où avait vécu Pierre de Ronsard.

    Ces encres de Chine, Zao Wou-ki les avaient déjà réalisées, pour les besoins d'un ouvrage inédit: une monographie que lui avait consacrée l'ancien ministre Dominique de Villepin, commençant à ses œuvres de jeunesse, en 1935, et s'achevant sur cette série donc, d'encres de Chine. Dans cet ouvrage, jamais paru, l'ancien premier ministre signe une préface très justement intitulée «Dans le labyrinthe des lu­mières» pour étayer le parcours de la peinture de Zao Wou-ki. ­Ses bonnes feuilles étaient ­exposées au prieuré de Saint-Cosme, le jour de l'inauguration, en juillet 2010, à côté d'œuvres ­d'art décoratif méconnues de l'artiste, à la lumière presque insolente de ses vitraux laissant voir le pay­sage.

    Zao Wou-ki, le bonheur de peindre

    Le jour de l'inauguration des vitraux de Saint-Cosme, la maladie empêcha Zao Wou-ki de parler. Il ne put que sourire et l'on comprit qu'il ne peindrait sans doute plus. Revinrent alors en mémoire ces mots de son autobiographie, écrite en 1988 avec Françoise Marquet, sa troisième épouse et ancienne conservatrice du Musée d'art moderne de la Ville de Paris: «Je ne crains pas de vieillir ni de mourir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver. Je voudrais seulement qu'il me restât assez de temps pour faire ce dernier tableau auquel je travaille, encore plus osé, plus libre, que celui que je viens de terminer.» Le parcours de sa peinture est «l'itinéraire d'un peintre, d'Orient en Occident», comme l'écrit Dominique de Villepin.

    Zao Wou-ki naît T'chao Wou-ki -Wou ki étant le prénom- à Pékin le 1er février 1920, dans une famille de grands lettrés chinois. Il passe son enfance à étudier la calligraphie. Puis à 15 ans, il réussit l'examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Hangzhou où il étudie, durant six ans, les techniques occidentales: dessin, peinture à l'huile, pour la première fois, perspective. Les techniques chinoises aussi: peinture traditionnelle, calligraphie.

    «La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture»

    Ses professeurs sont chinois et européens. Mais leur académisme l'ennuie. Il leur préfère l'impressionnisme, le fauvisme qui éclatent en Europe. Ce qu'il veut, c'est «juxtaposer des formes, les assembler pour qu'on y retrouve le souffle de l'air sur le calme de l'eau», affirme l'artiste. La peinture à l'encre l'étouffe. «L'art chinois est devenu un ensemble de recettes de fabrication, le beau étant confondu avec le savoir-faire, affirme le peintre. La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture pour commencer à régler définitivement le problème. C'était ça ou mourir.» En 1948, il débarque à Marseille «après trente-six jours de bateau». Venu chercher Matisse et Picasso, Zao Wou-ki mettra dix ans avant de parvenir à se libérer de l'imitation (de ces deux-là mais aussi de Chagall et de Modigliani), trouver le style qu'on lui connaît.

    Folle échappée

    Dès son arrivée à Paris, il prend le pseudonyme de Zao Wou-ki et file le jour même au Musée du Louvre. Puis à Montparnasse. «Je connaissais le mot Montparnasse et je voulais y habiter parce qu'on m'avait dit qu'il était le quartier des artistes», raconte-t-il dans son autobiographie. Autre lieu découvert dans les revues d'art françaises en Chine: l'académie de la Grande Chaumière. Zao Wou-ki s'y précipite et s'y entoure de nouveaux amis: Sam Francis, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Maria Helena Viera da Silva. Chez l'imprimeur Desjobert, il découvre en 1949 la technique de la lithographie, qui l'émerveille. L'année suivante, sans même le connaître, Henri Michaux écrit spontanément huit poèmes pour orner huit de ses lithographies. Une amitié est née entre le peintre et le poète, qui lui présentera le marchand d'art Pierre Loeb, avec qui il travaillera jusqu'en 1957. Mais en 1951, c'est la rencontre avec un autre peintre qui ouvre son horizon: Paul Klee, ce passeur des mondes, l'incite à déconstruire le sien, à s'engager dans l'abstraction. Sa folle échappée occidentale l'a ramené, à l'hiver de sa vie, à l'Orient, avec les encres de Chine.

    En juillet 2012, son épouse Françoise Marquet a décidé de quitter le quartier de sa vie, Montparnasse, et la France où il a été élevé grand officier de la Légion d'honneur, pour la Suisse. Cette décision a provoqué un séisme familial et une bataille judiciaire évoquant l'affaire Bettencourt. Le fils du peintre, né d'un premier mariage, accusait sa belle-mère d'avoir fait déménager l'artiste pour mettre la main sur son œuvre. Françoise Marquet s'en défendait, arguant des conditions idéales pour la santé de l'artiste et pour gérer au mieux sa fortune et son œuvre. Avec la Fondation Zao Wou-ki établie à Genève, elle travaille à l'élaboration d'un attendu catalogue raisonné.

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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

      Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

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  • Le Grand Paris au milieu du gué ?

    Les Echos Par Laurence Salmon | 15/02/13

    C’est un chantier ambitieux et complexe s’il en est. Le Grand Paris, initié par Nicolas Sarkozy en 2007, concerne l’avenir et le rayonnement de la région capitale. L’objectif est d’en faire une métropole attractive, multiple, solidaire et durable, sur fond de compétition économique internationale.
    L’équation se résume assez simplement, de prime abord. Le projet du Grand Paris vise à redessiner les contours du territoire francilien, regroupant un peu plus du sixième de la population nationale (11,5 millions d’habitants), avec pour objectif, de booster l’économie de cette région qui contribue pour près de 30 % à la richesse du pays. « L’image de ce territoire est difficilement perceptible, sorte de marée urbaine où des pouvoirs politiques, techniques, économiques s’exercent à des échelles différentes, parfois complémentaires, parfois coïncidentes », souligne Jean-Pierre Courtiau, rédacteur en chef du nouveau magazine Objectif Grand Paris. Selon les porteurs du projet, il y a urgence à clarifier cette image au vu des dysfonctionnements de toutes sortes (saturation des transports en commun, pénurie de logements, inégalités territoriales et sociales…) qui entravent la qualité de vie de la région et son développement. La réussite du Grand Paris sous-tend la création d’une identité métropolitaine forte, qui passe par le rééquilibrage entre l’hyperattractivité de Paris, héritée de l’histoire du pays, et les banlieues, qui seraient à terme intégrées, comme jadis les faubourgs. En clair, il s’agit de sortir Paris du périphérique qui l’enserre, qui l’étouffe et qui génère de l’exclusion. Quel est le périmètre de ce Grand Paris ? Rien n’est pour l’instant encore tout à fait précisé. La Seine serait l’axe majeur autour duquel la métropole a vocation à s’ordonner. Mais là comme ailleurs, l’entrelacement des niveaux de réflexion et de décision complexifie le débat. Des réponses sont à trouver urgemment. On n’a guère le choix si la région capitale veut consolider sa place de pôle attractif, de première région économique d’Europe, dans un contexte de mondialisation marqué par la forte concurrence entre les villes-mondes, ces fameuses grandes métropoles à l’image de New York, Londres, Tokyo, Shanghai ou Hongkong. C’est à Nicolas Sarkozy que l’on doit ce plan stratégique pour l’aménagement de l’Île-de-France. En 2007, il déclarait vouloir faire du Grand Paris, « un laboratoire de la modernité humaine ». Pour ce faire, dix équipes internationales d’architectes et urbanistes furent mises à contribution pour enrichir la réflexion. Ce brainstorming fit l’objet d’une exposition à la Cité de l’architecture et du patrimoine en 2009. Avec rien que du beau monde : Richard Rogers, Jean Nouvel et Christian de Portzamparc, le jeune Djamel Klouche, Antoine Grumbach, Roland Castro… Impossible de tous les citer et de tout résumer. Mais tenter retrouver la mixité sociale perdue faisait en tout cas consensus. Une seconde consultation a été programmée en 2012, par l’Atelier international du Grand Paris. Cette structure, née en 2010, a pour mission de poursuivre cette production d’idées et de scénarios, et d’articuler de façon cohérente la constellation de projets de développement urbain, petits et grands, qui alimentent le chantier du Grand Paris. L’alternance politique à la tête du pays n’a pas remis pas en cause le Grand Paris. « Je prends un engagement, celui de créer les conditions nécessaires à l’émergence d’une métropole parisienne capable d’affronter, à l’échelle pertinente, tous les défis qui se présentent à elle », a rassuré François Hollande, quelques jours à peine après son élection à l’Elysée, en mai 2012. Toutefois, en décembre dernier, la remise à Cécile Duflot, ministre de l’Egalité des territoires et du Logement, du rapport Auzannet concernant le financement et le phasage du Grand Paris Express a jeté un froid. En effet, la pierre angulaire du Grand Paris est ce projet de supermétro automatique souterrain en forme de double boucle dont le coût avait été estimé, sous l’ère Sarkozy, à plus de 30 milliards d’euros. À charge pour ce « grand huit » de façonner et d’oxygéner durablement cette ville de demain, qui compte aujourd’hui 41 millions de déplacements quotidiens. Or la réévaluation des coûts (plus 9 milliards d’euros) et l’allongement du calendrier (plus 5 ans) font craindre qu’il soit sacrifié sur l’autel de la crise. La ministre rendra son arbitrage en février. « Paradoxalement, l’impôt pour le Grand Paris, lui, est prélevé depuis des mois auprès des entreprises, alors que le projet n’est pas encore lancé », s’étonnait un chef d’entreprise dans les colonnes des Echos. L’inquiétude grandit. De la réalisation du Grand Paris Express dépendent notamment les projets de construction de logements, question effectivement cruciale qui vise à réduire les déséquilibres sociaux et territoriaux. À suivre, donc

    http://associationgrandparis.fr/2013/02/15/le-grand-paris-au-milieu-du-gue/

  • Le Grand Paris au milieu du gué ?

    Les Echos Par Laurence Salmon | 15/02/13

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  • Cinq ans de retard pour le métro du Grand Paris

     

    Par Dominique Malecot | 15/02 | 07:00
     
     

    Le déplafonnement des taxes et l'augmentation du versement transport sont les pistes pour financer les travaux

    Le gouvernement annoncera début mars ses choix sur l'avenir du futur métro de rocade de la région parisienne Grand Paris Express. Pas question de sortir du cadre de la loi sur le Grand Paris, ce qui l'obligerait à revoir toute la procédure et ferait perdre des années.

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  • Fin de:L’âge d’or des cartes marines - Quand l’Europe découvrait le monde

    • Atlas Miller, planche du Brésil, portulan, 1519 | BnF, département des Cartes et plans
    • Atlas Miller, planche du Brésil, portulan, 1519
    • Informations pratiques

    • Site François-Mitterrand

      Plan d’accès au site F.-Mitterrand [fichier .pdf – 505 Ko – 20/11/09 – 1 p.]

      mardi - samedi de 10h à 19h
      dimanche de 13h à 19h
      sauf lundi et jours fériés

      tarif plein : 7 €
      tarif réduit : 5 €

      billet couplé 2 expositions : 10 €
      billet couplé 1 exposition + 1 exposition découverte : 8,5 €

      Réservations FNAC au               0892 684 694        0892 684 694(0,34 € TTC/min) et sur www.fnac.com

    du 23 octobre 2012 au 27 janvier 2013 François-Mitterrand / Grande Galerie

    Parmi les trésors de la Bibliothèque nationale de France, figurent des documents scientifiques d’exception dont la contemplation renvoie spontanément aux légendaires Grandes découvertes.
    Il s’agit des cartes marines enluminées sur parchemin, souvent rehaussées d’or, appelées couramment « cartes portulans », de l’italien portolano (livre d’instructions nautiques). Ces cartes donnent la succession des ports le long des côtes, tandis que l’espace maritime est sillonné par des lignes qui correspondent aux directions de la boussole. Ce système graphique permettait aux marins de s’orienter et de faire le point, en reportant sur la carte la distance qu’ils estimaient avoir parcourue.
    Le plus ancien portulan occidental connu serait de la fin du XIIIe siècle : c’est la fameuse « carte pisane », conservée au département des Cartes et plans. De ces premières cartes nautiques, seuls de rares vestiges ont survécu aux outrages du temps. Riche de cinq cents portulans, la BnF s’enorgueillit de posséder la plus grande collection au monde. Innovation technique, en même temps qu’objet de science et miroir de la quête d’un ailleurs, les « cartes portulans » s’imposent au regard contemporain comme de véritables oeuvres d’art dont le caractère spectaculaire tient autant à leur taille, souvent imposante, qu’à leur polychromie et à leur univers exotique.
    À partir d’une sélection de deux cents pièces majeures – cartes, globes, instruments astronomiques, objets d’art et d’ethnographie, animaux naturalisés, dessins, estampes, tableaux et manuscrits, issus des collections de la BnF ou prêtés exceptionnellement par le Quai Branly, Guimet, le Louvre, les Arts et métiers, le Mobilier national ou le musée de la Marine, le Service historique de la Défense, la British Library, des institutions italiennes et des collections régionales –, l’exposition aborde plusieurs questions : les conditions de navigation et l’usage des cartes ; les découvertes de l’Afrique, de l’Asie, des Amériques et du Pacifique et les rivalités entre les puissances maritimes, la circulation des savoirs géographiques entre océan Indien et Méditerranée ; la création et la diffusion d’une iconographie des Nouveaux Mondes avec leurs paysages, leurs peuples, leurs mœurs, leur faune et leur flore.

    http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/anx_expositions/f.age_dor_cartes_marines.html

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Fin de:L’âge d’or des cartes marines - Quand l’Europe découvrait le monde

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    Le plus ancien portulan occidental connu serait de la fin du XIIIe siècle : c’est la fameuse « carte pisane », conservée au département des Cartes et plans. De ces premières cartes nautiques, seuls de rares vestiges ont survécu aux outrages du temps. Riche de cinq cents portulans, la BnF s’enorgueillit de posséder la plus grande collection au monde. Innovation technique, en même temps qu’objet de science et miroir de la quête d’un ailleurs, les « cartes portulans » s’imposent au regard contemporain comme de véritables oeuvres d’art dont le caractère spectaculaire tient autant à leur taille, souvent imposante, qu’à leur polychromie et à leur univers exotique.
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    http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/anx_expositions/f.age_dor_cartes_marines.html

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  • Les trains mythiques

    Le train est sans doute le moyen de transport permettant de profiter au mieux de paysages magnifiques. Son allure modérée et ses grandes vitres permettent de se sentir en vacances dès le démarrage. Adeptes du slow travel, montez à bord des trains mythiques du monde !

    Europe, l’illustre Orient Express

    Ce train mythique a inspiré les plus belles plumes : Agatha Christie y a mis en scène son personnage fétiche Hercule Poirot; Graham Greene s’est inspiré du fameux train pour l’intrigue de « Stamboul Train »; sans oublier Guillaume Apollinaire  qui décrit des scènes plutôt crues se déroulant à bord du train, dans l’un de ses romans érotiques au nom très évocateur des Onze mille verges.

    L’Orient Express qui fonctionne depuis 1883 reliait Paris à Vienne et Istanbul.

    Depuis 1982, c’est la compagnie Venice-Simplon-Orient-Express qui gère les trajets. Le parcours s’étend de Calais à Istanbul, en passant par Paris, Venise, Vienne (ou Innsbruck)

    D’illustres passagers ont voyagé à bord : Agatha Cristie, Marlène Dietrich, Jean Gabin, Mata Hari, Lawrence d’Arabie et Pierre Loti.

    Le trajet classique (et romantique !) de l’Orient Express est sans doute celui qui relie Paris à Istanbul. Attention de ne pas le manquer : il n’y a qu’un seul départ par an ! Pour cette année, le départ a lieu le 2 septembre. Les prochains départs auront lieu le 31 août 2012 et le 30 août 2013.

    Budapest, Bucarest, Bulgarie … de magnifiques paysages dérouleront devant vos yeux pendant que vous serez très confortablement installés dans les célèbres cabines bleues et or. Le voyage est ponctué de délicieuses attentions comme le thé servi à l’heure du Tea Time, les dîners gastronomiques et les escales permettant de se dégourdir les jambes et d’apprécier des visites comme celles du château de Peles ou la très jolie campagne bulgare.

    Comptez 6 jours à bord du train, pour un prix allant de 6780 € pour une cabine double à 10 240€ pour la suite.

    La suite p.2> le Transsibérien

  • Fin de:Futurotextiles 3 2012-2014

     

    lille3000Lille3000 conçoit une exposition complètement nouvelle sur 1500 m2 qui sera inaugurée à l’occasion de l’ouverture du CETI et s’inscrira dans la saison FANTASTIC à Lille puis de la Cité des Sciences à Paris. Elle donnera lieu ensuite à un module itinérant.
    Nouvelles matières, ultra-light, dentelles étonnantes, seront au coeur de l’exposition qui inclura mode, design, art contemporain et objets industriels. Un focus sera mis sur les smart textiles, le recyclage et les matériaux composites. Un parcours s’ordonnera autour des secteurs concernés : les équipements, l’architecture, les transports, l’habitat et le mobilier, le sport et la protection, la médecine et le bien-être...Le Design en lien avec Lille Design et Futex aura une place importante.

    APPEL À PROJETS

    Lille3000 recherche de nouveaux prototypes et produits.
    Il s’agit d’illustrer les dernières applications, recherches et développements autour des textiles innovants.


    Communiqué 1 :  |Version française   |Version anglaise  

    Communiqué 2 :  |Version française   |Version anglaise

    http://www.ceti.com/fr/lactu-futurotextiles-3

     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Fin de:Futurotextiles 3 2012-2014

     

    lille3000Lille3000 conçoit une exposition complètement nouvelle sur 1500 m2 qui sera inaugurée à l’occasion de l’ouverture du CETI et s’inscrira dans la saison FANTASTIC à Lille puis de la Cité des Sciences à Paris. Elle donnera lieu ensuite à un module itinérant.
    Nouvelles matières, ultra-light, dentelles étonnantes, seront au coeur de l’exposition qui inclura mode, design, art contemporain et objets industriels. Un focus sera mis sur les smart textiles, le recyclage et les matériaux composites. Un parcours s’ordonnera autour des secteurs concernés : les équipements, l’architecture, les transports, l’habitat et le mobilier, le sport et la protection, la médecine et le bien-être...Le Design en lien avec Lille Design et Futex aura une place importante.

    APPEL À PROJETS

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    Il s’agit d’illustrer les dernières applications, recherches et développements autour des textiles innovants.


    Communiqué 1 :  |Version française   |Version anglaise  

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  • Fin de:Futurotextiles 3 2012-2014

     

    lille3000Lille3000 conçoit une exposition complètement nouvelle sur 1500 m2 qui sera inaugurée à l’occasion de l’ouverture du CETI et s’inscrira dans la saison FANTASTIC à Lille puis de la Cité des Sciences à Paris. Elle donnera lieu ensuite à un module itinérant.
    Nouvelles matières, ultra-light, dentelles étonnantes, seront au coeur de l’exposition qui inclura mode, design, art contemporain et objets industriels. Un focus sera mis sur les smart textiles, le recyclage et les matériaux composites. Un parcours s’ordonnera autour des secteurs concernés : les équipements, l’architecture, les transports, l’habitat et le mobilier, le sport et la protection, la médecine et le bien-être...Le Design en lien avec Lille Design et Futex aura une place importante.

    APPEL À PROJETS

    Lille3000 recherche de nouveaux prototypes et produits.
    Il s’agit d’illustrer les dernières applications, recherches et développements autour des textiles innovants.


    Communiqué 1 :  |Version française   |Version anglaise  

    Communiqué 2 :  |Version française   |Version anglaise

    http://www.ceti.com/fr/lactu-futurotextiles-3

     

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  • "D'autres couleurs" d'Orhan Pamuk

    Cet ensemble de textes dessine un extraordinaire portrait d'Orhan Pamuk, retraçant pour le lecteur la vie quotidienne et intellectuelle d'un grand écrivain, prix Nobel de littérature 2006.
     

  • Un tramway pour les nouveaux quartiers d'affaires parisiens

    Par Laurence Albert | 14/12 | 07:00

     

     

    Le prolongement du T3, inauguré demain, dessert le nord-est de la capitale, où s'installent les sièges sociaux.

    Un tramway pour les nouveaux quartiers d'affaires parisiens

    La station Ella-Fitzgerald, au pied des Moulins de Pantin (Seine-Saint-Denis) et du siège de la BNP est désormais fin prête. Autour de Rosa-Parks en revanche, tout n'est que grues et gravats. Bientôt, cependant, des centaines de parisiens se presseront sous son abri pour y attendre le tramway : la station se niche au coeur de l'un des plus gros chantiers de la capitale (200 hectares), Paris Nord-Est, d'où sort de terre un immense pôle tertiaire et de logement. Le tramway T3b, dernier-né des transports parisiens mis en service demain, ne pouvait l'ignorer.

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  • Un tramway pour les nouveaux quartiers d'affaires parisiens

    Par Laurence Albert | 14/12 | 07:00

     

     

    Le prolongement du T3, inauguré demain, dessert le nord-est de la capitale, où s'installent les sièges sociaux.

    Un tramway pour les nouveaux quartiers d'affaires parisiens

    La station Ella-Fitzgerald, au pied des Moulins de Pantin (Seine-Saint-Denis) et du siège de la BNP est désormais fin prête. Autour de Rosa-Parks en revanche, tout n'est que grues et gravats. Bientôt, cependant, des centaines de parisiens se presseront sous son abri pour y attendre le tramway : la station se niche au coeur de l'un des plus gros chantiers de la capitale (200 hectares), Paris Nord-Est, d'où sort de terre un immense pôle tertiaire et de logement. Le tramway T3b, dernier-né des transports parisiens mis en service demain, ne pouvait l'ignorer.

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  • Un tramway pour les nouveaux quartiers d'affaires parisiens

    Par Laurence Albert | 14/12 | 07:00

     

     

    Le prolongement du T3, inauguré demain, dessert le nord-est de la capitale, où s'installent les sièges sociaux.

    Un tramway pour les nouveaux quartiers d'affaires parisiens

    La station Ella-Fitzgerald, au pied des Moulins de Pantin (Seine-Saint-Denis) et du siège de la BNP est désormais fin prête. Autour de Rosa-Parks en revanche, tout n'est que grues et gravats. Bientôt, cependant, des centaines de parisiens se presseront sous son abri pour y attendre le tramway : la station se niche au coeur de l'un des plus gros chantiers de la capitale (200 hectares), Paris Nord-Est, d'où sort de terre un immense pôle tertiaire et de logement. Le tramway T3b, dernier-né des transports parisiens mis en service demain, ne pouvait l'ignorer.

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  • Ces bibliothèques qui font rêver les collectionneurs

    Par Valérie Sasportas, Béatrice De Rochebouet Publié le 06/12/2012 à 06:00 Album illustré de grandes compositions originales de Paul Delvaux, issu de la collection de Daniel Filipacchi. Crédits photo : ERIC FEFERBERG/AFP ImageForum/ERIC FEFERBERG/AFP ImageForum

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  • Ces bibliothèques qui font rêver les collectionneurs

    Par Valérie Sasportas, Béatrice De Rochebouet Publié le 06/12/2012 à 06:00 Album illustré de grandes compositions originales de Paul Delvaux, issu de la collection de Daniel Filipacchi. Crédits photo : ERIC FEFERBERG/AFP ImageForum/ERIC FEFERBERG/AFP ImageForum

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  • Ces bibliothèques qui font rêver les collectionneurs

    Par Valérie Sasportas, Béatrice De Rochebouet Publié le 06/12/2012 à 06:00 Album illustré de grandes compositions originales de Paul Delvaux, issu de la collection de Daniel Filipacchi. Crédits photo : ERIC FEFERBERG/AFP ImageForum/ERIC FEFERBERG/AFP ImageForum

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  • Le métro de Moscou dans la station 3madeleine" de la ligne 14(photo perso de vendredi)

    CDI paris bouquet nov 2012 033.jpg

    Madeleine rend hommage au métro de Moscou et à la culture populaire russe à travers un vaste vitrail sur le thème de la Poule aux œufs d'or, « Ryaba la petite poule ». Cette œuvre d'Ivan Loubennikov composée de vingt panneaux d'une surface de 40 m2 évoque les transformations historiques de la Russie à travers plusieurs symboles : un œuf de 80 kg en son centre, la faucille, le marteau, des boulons, des étoiles à cinq branches, des fers à cheval et des croix.

    Cette installation a été inaugurée le 26 mars 2009 par les présidents des métros de Paris et de Moscou en présence de l'artiste. Elle fait suite à l'installation en 2007 à la station Kievskaïa du métro de Moscou d'un entourage Guimard offert par la RATP dans le cadre des échanges culturels entre réseaux métropolitains du monde[21].

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_14_du_m%C3%A9tro_de_Paris

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  • Renault ressuscite la légende Alpine

    5 novembre 2012

    Le constructeur français va s'associer au britannique Caterham pour produire une nouvelle sportive sous la marque mythique du sport automobile hexagonal.

    http://www.parismatch.com/Conso-Match/Auto/Actu/Renault-ressuscite-la-legende-Alpine-443718

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  • Renault ressuscite la légende Alpine

    5 novembre 2012

    Le constructeur français va s'associer au britannique Caterham pour produire une nouvelle sportive sous la marque mythique du sport automobile hexagonal.

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    5 novembre 2012

    Le constructeur français va s'associer au britannique Caterham pour produire une nouvelle sportive sous la marque mythique du sport automobile hexagonal.

    http://www.parismatch.com/Conso-Match/Auto/Actu/Renault-ressuscite-la-legende-Alpine-443718

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