Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Claudio Monteverdi (1567-1643)
Baptisé à Crémone le 15 mai 1567 — mort à Venise le 29 novembre 1643.
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Baptisé à Crémone le 15 mai 1567 — mort à Venise le 29 novembre 1643.
Émile Savitry, Portrait de Django Reinhardt, 1933
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Enfant de la balle né à l’arrière d’une roulotte, aristocrate du swing grandi dans les bas-fonds de la « Zone », Django Reinhardt (1910-1953), « fils de l’air » comme se plaisait à le décrire Jean Cocteau, a conquis aussi bien les intellectuels férus de jazz que les danseurs des bals canailles ou la clientèle chic des cabarets sélects, grâce à la magie de sa guitare.
Django Reinhardt a fasciné ses contemporains par la manière dont son éclatante virtuosité a triomphé de son handicap, faisant oublier qu’il avait perdu l’usage de deux doigts dans l’incendie de sa roulotte, à l’âge de dix-huit ans. Prenant la tête, avec le violoniste Stéphane Grappelli, du Quintette du Hot Club de France, il a donné naissance à un nouveau style de jazz : le jazz manouche. Il a partagé la scène avec certains des plus grands noms : Coleman Hawkins, Duke Ellington ou Benny Carter.
Des bals de la rue de Lappe au Boeuf sur le toit, des boîtes de Pigalle à la Salle Pleyel, des grands cinémas des Champs-Élysées au Cirque Médrano ou aux puces de Saint-Ouen, le parcours de Django est une géographie parisienne en soi. Outre une collection de documents inédits et l’évocation de l’atelier des mythiques guitares Selmer, l’exposition fait une place à ceux qui ont su capter l’âme de Paris : des photographes comme Eugène Atget, Brassaï, Émile Savitry, Willy Ronis ou Robert Doisneau, mais aussi des écrivains, des peintres et sculpteurs.
http://www.citedelamusique.fr/francais/musee/expo_temporaires.aspx
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
http://www.amazon.fr/Simply-Rock-Roll-Legends-Coffret/dp/B007CJI5GS
du 26 octobre 2012 au 1er janvier 2013 - Avant première le 24 octobre
La comédie musicale absolue
Lorsque West Side Story ouvre à New York le 26 septembre 1957, en plein âge d’or de Broadway, les critiques sont loin d’imaginer le phénomène que ce musical va devenir. Les auteurs, Jerome Robbins, Leonard Bernstein
et Arthur Laurents, travaillaient depuis longtemps sur une version de Roméo et Juliette des temps modernes sans concrétiser le projet. Avec l’arrivée de Stephen Sondheim en 1955 pour en écrire les lyrics (chansons), le quatuor trouve l’équilibre parfait entre le livret, la musique, la danse et la mise en scène.
Pour la première et seule fois de toute l’histoire de la comédie musicale américaine, la chorégraphie de Jerome Robbins fait avancer le récit au même titre que le livret. Le film de 1961 et ses dix Oscars, dont celui du meilleur film, donnera une notoriété aux Jets et aux Sharks dans le monde entier, faisant de West Side Story une œuvre culte jamais égalée.
Spectacle présenté en version originale surtitrée
Acte I : 75 minutes
Entracte : 20 minutes
Acte II : 45 minutes
Photo: Nilz Boehme
VIDÉOS
Des audiodescriptions sont mises en place sur les spectacles suivants: le 25 novembre (dans le cadre du Mois Extra-Ordinaire), les 13 et 15 décembre 2012
Réalisation Accès Culture avec le soutien de la Mairie de Paris.
Des casques sont à retirer au contrôle après réservation préalable par téléphone au 01 40 28 28 40.
Le tarif appliqué est le demi-tarif, sur les catégories 1, 2, 3 et 6 pour le non-voyant et l'accompagnateur.
http://chatelet-theatre.com/2012-2013/west-side-story-fr
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Ravi Shankar et sa fille Anoushka, sur scène à Kolkata dans l'est de l'Inde en février 2009. J. SHAW / REUTERS
À trois reprises, le chanteur français a posé ses textes sur les musiques du pianiste américain décédé mercredi 5 décembre. Rappel en trois titres.
Le Monde.fr avec AFP | 05.12.2012 à 19h45 • Mis à jour le 06.12.2012 à 09h20
Né en 1920 à Concord, en Californie, dans une famille musicienne, Dave Brubeck s'est d'abord orienté vers une carrière de vétérinaire avant d'entreprendre des études de musique auprès de Darius Milhaud. C'est en 1951, qu'il fonde son quartette, avec lequel il interprète huit ans plus tard Take Five, inspiré par une composition de Desmond.
Le disque Time Out, qui réunit ce morceau légendaire et Blue Rondo à la Turk (composition de Brubeck), se vendra à plus d'un million d'exemplaires. Le quartette restera soudé pendant une quinzaine d'années. A partir de 1972, Dave Brubeck se produit avec deux de ses fils (Two Generations of Brubeck) et retrouve Mulligan en 1975.
Depuis une vingtaine d'années, le pianiste n'avait cessé de se produire dans tous les grands festivals de jazz internationaux, ne s'éloignant jamais trop du style qui avait fait son succès dans les années 1950 : utilisation du contrepoint, polyphonie, expérimentation sur les rythmes (Take Five est composé en 5/4).
Fidèle à sa formation classique, Dave Brubeck a par ailleurs composé deux ballets, une comédie musicale, trois oratorios, quatre cantates, une messe, plusieurs morceaux pour formation de jazz et orchestre symphonique, ainsi que de nombreuses œuvres pour piano. Marié depuis 1942, il était père de six enfants.
Lire aussi (en édition abonnés) : le portrait de Dave Brubeck par Sylvain Siclier.
Par Jean-Luc Wachthausen Publié le 26/10/2012 à 06:00
Par Assma Maad Mis à jour le 12/07/2012 à 15:28 | publié le 12/07/2012 à 12:41 Réactions (2)
Le 12 juillet 1962, un tout nouveau groupe, formé de Brian Jones, Mick Jagger, Keith Richards et trois autres musiciens faisait ses premiers pas sur scène, au Marquee Club, à Londres. Cinquante ans après, jour pour jour, les traits sont tirés, les rides apparentes. Certains membres ont été remplacés, mais les Rolling Stones demeurent. Pour fêter leur longue carrière, les musiciens sont revenus sur le lieu de leur premier concert, pour une photo historique.
Vingt ans après, il est une évidence qui d’emblée s’impose. Succès platiné à l’époque de sa sortie, Pop Satori est avant tout un album risqué. Un album qui fait alors rimer envergure avec futur. Il est un fier représentant de cette electropop visionnaire dont on pensait que seuls nos voisins britanniques avaient l’apanage. Entre arrangements idéalistes et mélodies osées, ambiances feutrées ou atmosphères désaxées, il excelle dans l’art du contre-pied. Ce sont ces qualités qui en font, aujourd’hui encore, une œuvre étourdissante. Et pas seulement pour cause de réhabilitation d’une décennie, les années 80, bien longtemps répudiées mais désormais exaltées. Ni pour les souvenirs qu’il ne manquera pas d’évoquer à tous ceux qui l’ont déjà croisé. Il s’agit d’un disque d’émois et de premières fois, de sentiments et de tâtonnements. Toujours en équilibre. Un jeu de piste que l’on se plaît à suivre, sans forcément savoir où il va nous mener. Où l’on désire même se perdre. Et où l’on se perd, d’ailleurs, une fois encore, étourdis entre autres par ces vingt-huit titres peu ou prou inédits – existe-t-il encore d’autres trésors comme ce Paris Le Flore murmuré avec les paroles anglaises originelles ? –, par cet incroyable remix signé Fischerspooner qui montre à quel point Tombé Pour La France était, de fait, en avance sur son temps. Par cette version sombre d’un Soleil De Minuit enfin à son zénith. Par ces versions live délurées – portées par un public déchaîné –, ces maquettes à peine déflorées – l’impertinence ensoleillée de Centerfold Romance… “Merci beaucoup”, se surprend-on alors à murmurer. Sans même savoir si le principal intéressé nous entendra.
Christophe Basterra.
Dans cet album, Etienne Daho reprend "Late night" de Syd Barret(cf. ci-dessous) et rend hommage à jACK kEROUAC(cf. ci-dessous) avec le Satori
Rock. Avec «Wrecking Ball», le Boss signe la BO indignée des ravages de la crise économique aux Etats-Unis.
Cette archive est payante.
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