Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Venise à Paris: un chef d’oeuvre de Guardi à contempler
le 28 février 2014 12H45 | par
marche-de-l-artEn poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
le 28 février 2014 12H45 | par
marche-de-l-artCet artiste talentueux expose ses séries photographiques cohérentes et convaincantes dans deux expositions remarquables, au Jeu de paume et à La Maison rouge.
6/3/14 - 11 H 21
La passionnante « Traversée » à laquelle invite Mathieu Pernot au Jeu de paume, à Paris, dessine le portrait de ce photographe talentueux, creusant depuis vingt ans avec sensibilité et rigueur la question du regard porté sur l’autre. S’intéressant aux questions de la marginalité et des communautés invisibles, de l’urbanisme et de l’enfermement, ce quadragénaire aime confronter différentes représentations d’une même histoire.
La rue Constantine (IVe arrondissement de Paris), en 1866, devenue aujourd'hui la rue de Lutèce. (Photo Charles Marville. The Metropolitan Museum of Art New York.)
« La coïncidence entre le besoin de projeter ses plus libres fantasmes et, d'autre part, celui d'une "technique poétique" font de Desnos un poète de la surréalité, et donc de la modernité, en même temps qu'un poète qui se rattache à une tradition, celle des grands baroques. C'est là peut-être l'originalité de cette voix si douée qui, avec ses intempérances et ses turbulences, ses écarts, ses inégalités, mais toujours son intensité, est une de celles qui nous forcent le plus manifestement à reconnaître la présence de cette chose spécifique, irréductible, qui s'appelle la poésie. Au reste, et c'est ce qu'il faut dire encore, cette voix était celle d'un homme chez qui le besoin d'expérimenter sous toutes ses formes le langage poétique, allait naturellement avec celui d'expérimenter la vie sous toutes ses formes aussi ; d'un homme qui était plein de passion, curieux et joueur de tout, courageux, généreux et imprudent ; et qui est mort à quarante-cinq ans, dans les circonstances que l'on sait, d'avoir eu ce goût violent de la vie, et donc de la liberté, et d'avoir voulu le pousser jusqu'à ses dernières extrémités. » René Bertelé.
http://www.librairie-gallimard.com/9782070300853-corps-et-biens-robert-desnos/
« ... Constamment en marge du drame et du risque, successivement ponctuée par des chutes et des repentirs, mêlée aux railleries et aux mystifications où la profondeur du sentiment côtoie la légèreté et le défi, la vie tourmentée de Villon doit l'éclat de son dessin et de son mystère au fait d'avoir été doublée par la nécessité du poète de s'exprimer tout au long, non pas à l'aide d'un commentaire, mais avec la voix même de cette tendresse intérieure, foyer constant de chaleur et de fraternité, qui, nous prenant pour témoins, nous rend également solidaires de sa détresse. Si forte et insinuante est la valeur persuasive de la poésie de Villon, que souvent il nous semble toucher à un état de conscience mis à nu, tandis que la nudité même de sa voix est empreinte d'une douleur qui dépasse les conditions temporelles où elle se situe. C'est par le particularisme individuel de sa poésie que Villon atteint à l'universel. » Tristan Tzara.
http://www.librairie-gallimard.com/9782070320691-poesies-francois-villon/
1. Ferdinand Georg Waldmüller (1793-1875)
Le Vieux Violoniste, 1828
Aquarelle et gouache - 32,5 x 26,7
Paris, Musée du Louvre
Photo : SVV Ferri16/12/04 – Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - Les musées font assez rarement part de leurs acquisitions récentes. Le Louvre vient cependant de publier un communiqué pour annoncer plusieurs dons et achats dont nous avions déjà parlé (les deux tableaux de Michel-Ange Challe, la Déploration de François Barois et, pour le Musée Delacroix, le Portrait équestre de Jérôme Bonaparte par Géricault).
23/12/13 - Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - Par l’intermédiaire de la Société des Amis du Louvre, le musée vient de recevoir le don par Christian et Nathalie Volle et par Marie-Catherine Sahut de deux toiles peintes par Michel-Ange Challe (ou Charles-Michel-Ange-Challe) représentant respectivement Vénus et l’Amour et Danaë (ill. 1 et 2). Il s’agit des deux premiers tableaux de l’artiste à entrer dans les collections du Louvre alors que le département des sculptures avait acquis en 2011 une Vierge en marbre de son frère Simon (voir la brève du 8/12/12).
«Les hommes éveillés n'ont qu'un monde, mais les hommes endormis ont chacun leur monde.»
Héraclite
L'Argentine est l'un des creusets les plus prolifiques de la littérature hispanophone. Si l'oeuvre de Borges et la mémoire de la dictature y demeurent des pierres angulaires, la jeune garde n'hésite pas à s'aventurer dans des zones moins identifiées et un imaginaire volontiers pop.
Un nom sera sans doute sur de nombreuses lèvres au Salon : celui de Juan Gelman, le plus populaire des poètes nationaux, mort le 14 janvier à l'âge de 83 ans.
Paris est restée la première destination touristique mondiale en 2013 avec 32,3 millions d'arrivées de touristes dans les hôtels de la capitale, a indiqué lundi 10 mars le Comité régional du tourisme Paris Ile-de-France.
Quelques jours avant l'ouverture d'une rétrospective Van Gogh à Paris en 1947, le galeriste Pierre Loeb suggéra à Antonin Artaud (1896-1948) d'écrire un texte sur le peintre.
Prenant le contrepied de la thèse de l'aliénation, Artaud s'attacha à démontrer comment la lucidité supérieure de Van Gogh gênait les consciences ordinaires. En voulant l'empêcher d'émettre "d'insupportables vérités", ceux que sa peinture dérangeait le poussèrent au suicide.
En s'appuyant sur les catégories ou les désignations singulières mises en avant par Artaud dans Van Gogh le suicidé de la société, le parcours de l'exposition se déroule à travers une trentaine de tableaux, un choix de dessins et de lettres de Van Gogh ainsi qu'une sélection d'oeuvres graphiques du poète-dessinateur.
Le titre de l'exposition est issu du titre de l'ouvrage d'Antonin Artaud, Van Gogh le suicidé de la société
© Editions Gallimard, 1974.
Avec le généreux soutien de Ponticelli, Crédit du Nord, Wilhelm et Royal Talens.
Avec le soutien technologique de Sony et du Lab de l'Institut Culturel de Google ainsi que l'apport en peinture de Tollens.
Cette séquence est la seule de la rive droite réalisée dans la première tranche du projet Rives de Saône.
Elle s’étend du pont Bonaparte aux bretelles du pont Maréchal-Juin, où plusieurs édifices historiques se succèdent en front de quai : le chevet de la primatiale Saint-Jean, le Palais Saint-Jean et l’ancien Palais de justice, construit par Louis-Pierre Baltard entre 1835 et 1847.
La passerelle, construite en 1983 est suspendue par des haubans plantés dans un mât unique ancré sur la rive gauche de la Saône. Elle enjambe la rivière depuis le quai Saint-Antoine, sur la presqu’île, pour déboucher devant le Palais de Justice.
«Colorado Springs, Colorado», 1969. San Francisco et Matthew Marks Gallery, New York (Photo Robert Adams. Courtesy Fraenkel Gallery.)
Chez Artazart (Xe), les libraires spécialisés, toujours de bon conseil, savent attiser la curiosité. Crédits photo : ARTAZART
Trois adresses indispensables pour refaire sa bibliothèque d'ouvrages d'art, de graphisme, de photos ou de mode dans la capitale.