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Sport - Page 40

  • Nicollin : «L'argent fait souvent le champion»

    nicollin.jpgFOOTBALL - Le président-mécène de Montpellier, doyen des dirigeants de clubs de L1, reconnaît que seules de rares équipes démunies réussissent.
    » Clubs de Ligue 1 cherche sponsor pour arrondir ses fins de mois

    Suite et fin ici:

    http://www.lefigaro.fr/sport/2009/10/29/02001-20091029ARTFIG00416-louis-nicollin-l-argent-fait-souvent-le-champion-.php

  • Catégories : Sport

    OL qualifié!

    Eurosport - mar, 03 nov 21:39:00 2009

    lyon.jpgLigue des Champions - Källström : "On ne jouera pas le nul"

    Alors que Lyon n'a besoin que d'un point contre Liverpool pour obtenir son billet pour les 8e de finale de la Ligue des Champions, Kim Källström assure que l'OL visera la victoire. Le Suédois reconnaît par ailleurs craindre tout particulièrement la force de frappe de Fernando Torres.

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  • Euro 2016 : les douze stades retenus pour la candidature française

    FOOTBALL - Le Conseil Fédéral de la FFF a dévoilé mercredi la liste des stades retenus en vue de l'Euro 2016, sans distinguer les titulaires des réservistes. Metz et Montpellier sont les deux grands perdants.

    La suite ici:

    http://www.lefigaro.fr/sport/2009/11/11/02001-20091111ARTSPO00479-une-liste-sans-surprise.php

  • Catégories : Sport

    Agassi s'est drogué durant sa carrière

    agassi.jpgDans un livre, le champion de tennis américain reconnaît avoir consommé de la méthamphétamine et avoir menti pour éviter une suspension sportive.

    Suite et fin ici:

    http://www.lefigaro.fr/tennis/2009/10/28/02004-20091028ARTFIG00242-andre-agassi-admet-s-etre-drogue-durant-sa-carriere-.php

    ARTICLE POUR CEUX QUI STIGMATISENT LE CYCLISME

    et aussi:

    "Sa carrière finie, Agassi peut se confesser"

    Interview

    Retraite. Meriem Selmi, psychologue à l’Insep, analyse le rapport amour-haine du champion face à son sport.

    Par ELISABETH PINEAU

    Sortie lundi aux Etats-Unis, l'autobiographie d'Andre Agassi est truffée de révélations surprenantes : son père lui filait des cachetons quand il était môme ; il n'avait qu'une crainte, lors de sa première finale à Roland-Garros, en 1990, perdre sa moumoute ; en 1997, il était accro à la méthamphétamine et a entourloupé l'ATP... Qui dit passion, dit à la fois amour et haine ; on peut donc comprendre qu'à un moment donné, l'athlète puisse saturer et ne plus aimer son sport... Aujourd'hui, sa carrière finie, il peut se confesser...>>

    http://www.liberation.fr/sports/0101602412-sa-carriere-finie-agassi-peut-se-confesser

    La suite dans le libé d'aujourd'hui

  • Catégories : Sport

    Pierre, papier ou ciseaux, là est la question

    LEMONDE.FR | 06.11.09 | 15h25  •  Mis à jour le 06.11.09 | 15h43 pierre.jpg

    REUTERS/© Mark Blinch / Reuters
    Des participants en plein duel lors des championnats du monde 2006 de pierre-papiers-ciseaux.

    Le 14 novembre est une date importante pour les fans de sport. Certes, à Dublin, l'équipe de France de football jouera une partie de son avenir mondial contre l'Irlande, mais c'est à Toronto (Canada)  que se disputera une autre compétition d'envergure internationale, les championnats du monde de pierre-papiers-ciseaux.

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  • Assises Internationales du Roman à Lyon

    air_cube_2009_petit__article.jpg

    AIR # 3e édition

    Les Assises Internationales du Roman : Un événement conçu et organisé par Le Monde et la Villa Gillet

     

    « Comment le roman nous parle-t-il du monde ? De quelle façon la littérature peut-elle non seulement refléter la réalité, mais aussi, pourquoi pas, la transformer?

    C’est autour de ces questions que se sont dessinées les Assises Internationales du Roman, co-organisées depuis 2007 par Le Monde et la Villa Gillet. Le projet partait d’un constat très simple : le roman n’est pas mort, ni même agonisant, mais vivant, vivace et indispensable, tant du point de vue esthétique que politique, au sens large du terme.

    Car la littérature ne se contente pas de représenter le monde, elle l’éclaire et tente d’en percer les mystères. Elle en fait saillir les paradoxes, les profondeurs inattendues, les contradictions et les douleurs, plus clairement que beaucoup de traités. Outil de compréhension, en même temps que support de rêve, le roman est un lieu de liberté.

    Dès l’origine, les Assises ont été appuyées sur un postulat fondamental : il ne s’agissait pas d’organiser une énième foire du livre, où chaque auteur viendrait défendre son propre ouvrage, mais des rencontres, autour de thèmes bien précis et de textes préparés à l’avance.

    Discuter de littérature, en somme, plutôt que de parler-des-livres-dont-on-parle. Soutenue par la Région Rhône-Alpes, la Ville de Lyon et l’État, renforcée par une co-réalisation avec les Subsistances et par de précieux partenariats – en particulier avec France Inter et les éditions Christian Bourgois, qui publient les interventions lues pendant les Assises et le Lexique Nomade, recueil de courts textes écrits par les auteurs invités – la manifestation a maintenu ce pari d’exigence. Et développé, au fil des années, les enrichissements qui font sa force aujourd’hui : débats nocturnes, conférences de romanciers étrangers de maintenant sur des écrivains français d’hier, grands entretiens avec des personnalités extérieures à la littérature, lectures musicales etc. Avec, toujours, le souci de l’excellence et ce désir, aussi fou que délicieux : faire en sorte, sans cesse, que l’esprit circule. »

     

    Raphaëlle Rérolle - Chef-adjoint au Monde des Livres

    Guy Walter - Directeur de la Villa Gillet et des Subsistances

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  • FRIDA (KAHLO)(extrait)

     

     

    medium_fridaphoto.2.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vous avez transcrit une cascade de douleurs

    Avec une avalanche de couleurs

     

     

     

     

     

     

     

    medium_KahloAutoportraitSinge.2.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le 5 septembre 2006

    Poème complet lisible dans le recueil "Paysages" en vente en haut de ce blog.

  • Je pars ce matin pour quelques jours

    medium_passage_brady.jpgà Paris.

    J'ai programmé des notes et il y en a plein d'autres anciennes...

    Vos commentaires(modérés) seront validés à mon retour ou entre deux ... si je trouve un cyber ... et du temps.

    Projets:revoir des lieux que je n'ai pas vus depuis trois ans... et en découvrir d'autres.

    La gare de l'est refaite.

    Manger indien et de quoi cuisiner... indien à mon retour.

    Faire une virée chez Gibert boulevard Saint-Michel... et dans quelques librairies connues et aimées/ou que j'ai evie de découvrir.

    Aller au musée du Quai Branly ouvert quand j'étais au Maroc.

    Une expo... de peinture sans doute.

    Revoir ma Sorbonne et ma bibliothèque.

    Revoir mon ancien appart.

    Retourner sur les lieux baudelairiens et nervaliens.

    Tout dépendra du temps(météo; si sec, plus de balades; si humide, plus de lieux fermés) et du temps: mon mari part pour le travail d'où adaptation.

    Mes notes sur mon précédent séjour parisien:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/27/mon-texte-en-prose-inedit-sur-ce-blog-il-y-a-un-an-a-paris-4.html#comments

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/26/il-y-a-un-an-en-france-a-paris-3.html#comments

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/25/il-y-a-un-an-en-france-paris-2.html#comments

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/25/il-y-a-un-an-en-france-paris-1.html#comments

    Un voyage de 10h en voiture (aller-retour) qui va sûrement  me faire mal au dos(après  douleurs des épaules aux pieds depuis plusieurs mois,visite médecin vendredi, precription d'une radio le 16 et IRM  le 18 mars pour voir si le tassement de vertèbres ne s'est pas aggravé) mais  aussi me faire penser à autre chose qu'à nos affaires toujours au Maroc... et autres choses négatives.

     

  • Lu sur le net:Le rire moderne

    Appel à contribution
    Information publiée le vendredi 28 novembre 2008 par Alexandre Gefen (source : Alain Vaillant)
    Date limite : 15 janvier 2009


    Appel à communications


    LE RIRE MODERNE

    Paris X – Nanterre, 15-17 octobre 2009

     

    Colloque organisé par l'équipe PHisTeM (Poétique historique des textes modernes ; resp. : Alain Vaillant et Roselyne de Villeneuve) du Centre des sciences de la littérature française de l'université Paris X – Nanterre.


    La singularité du XIXe siècle français, venant après la chute de l'Ancien Régime et la Révolution française, peut être caractérisée de bien des manières. Politiquement, par le lent, difficile et contrarié apprentissage du parlementarisme et de la vie démocratique ; économiquement, par l'entrée dans l'ère du capitalisme industriel et par la constitution d'un marché massifié des biens de consommation ; socialement, par l'irrésistible ascension de la bourgeoisie et des classes moyennes, ainsi que par l'émergence d'un prolétariat urbain ; plus généralement, par un bouleversement profond et irréversible de tous les aspects de la vie quotidienne. Mais, du point de vue culturel, l'innovation la plus spectaculaire, la plus indiscutable et, cependant, peut-être la moins considérée est la consécration du rire, au point que cette présence obsédante et multiforme du rire paraisse à bon droit comme la marque distinctive de la modernité.

    baudelaire.jpg

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  • J'ai terminé le 29 novembre 2008: "Zelda" de Jacques Tournier

    zelda 2.jpgEditeur : Grasset
    Publication :5/3/2008

    « C’est cette volonté de lucidité, qu’elle gardera jusqu’au bout, qui rend si douloureux son combat contre elle-même »

    'En 1983, les éditions Belfond m'ont proposé de traduire un recueil de nouvelles de Scott Fitzgerald : 'Love Boat'. Vingt-cinq ans déjà. Trois autres recueils ont suivi (cinquante nouvelles) et deux chefs-d' oeuvre : 'Tendre est la nuit' (1985) et 'Gatsby le magnifique' (1996). Traduire ces livres a fini par faire naître entre nous une sorte de familiarité respectueuse qui s'est vite étendue à Zelda, présente à chaque page. Je me suis laissé prendre à l'image brillante d'un couple symbolisant les années d'or de l'immédiat après-guerre. En déchiffrant phrase à phrase les aveux secrets de 'Tendre est la nuit',j'ai compris que ces apparences étaient vaines, qu'il existait entre Scott et Zelda un amour d'autant plus profond qu'il a résisté à de grandes douleurs et à de longs déchirements, qu'accentuaient la schizophrénie de l'une et l'alcoolisme maladif de l'autre.'

    Jacques Tournier

     

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  • Extrait de "L'enfant prodige" d'Irène Némirovsky

    co48325.gifDans la taverne d’un port de la mer Noire, Ismaël, un petit garçon juif doté d'une voix et d'un sens de la poésie hors du commun, chante les douleurs et les joies des truands, des prostituées, de tous les misérables qui se retrouvent dans le bouge. Un soir, un poète déchu et ivrogne, qui fait couler à flots l'or et la vodka, écoute le gamin et en est subjugué. Il l'offre à sa maîtresse, riche veuve désoeuvrée, qui s'entiche de l'enfant. Arraché à la pauvreté, Ismaël goûte au luxe d’une société aristocratique aussi prompte à l’enthousiasme qu’au mépris, qui le rejettera inexorablement, l'abandonnant bientôt à un cruel destin.

    La voix envoûtante de Jeanne Balibar nous entraîne dans ce conte tragique d’une enfance sacrifiée à l’impitoyable égoïsme des adultes. Et comme Ismaël, elle nous chante de sa voix pure les mélodies mélancoliques qui font pleurer truands et seigneurs.

    http://www.ecoutezlire.gallimard.fr/detail.asp?id=48325

  • Picasso et le cirque

    picassoetlecirque.jpgLes liens que Picasso a entretenus avec le monde du cirque ont été très fréquents tout au long de sa carrière. Dans la Barcelone du tournant du XIXe siècle, Picasso va voir les cirques de passage dans la ville, bien qu'il ne reste aucune trace de ce moment dans son œuvre. Plus tard, les cirques ambulants des boulevards de Paris deviendront un lieu de rendez-vous habituel pour le jeune Picasso et ses amis lors de leurs premiers séjours dans cette ville. C'est à la fin de l'année 1904 et en 1905 que le cirque – le Medrano est un point de référence dans sa vie et dans son œuvre – s'érige le thème central de ses compositions de l'époque. L'artiste crée une scène fictive où des acrobates et des équilibristes – qui apparaisent déjà dans la tradition littéraire et picturale du romantisme pour symboliser la solitude et la souffrance humaine – jouent des rôles de la vie quotidienne, expriment leurs problèmes personnels, leur solitude et l'incompréhension à laquelle leurs sentiments sont en butte. Les scènes de famille où les saltimbanques et les arlequins deviennent les véritables protagonistes de cette période sont l'héritage des groupes familiaux qui ont leurs racines dans la période bleue. Ces compositions seront à l'origine d'un grand tableau auquel Picasso pensait depuis longtemps, La Famille de saltimbanques, réalisé en 1905. Comme le Minotaure le sera dans les années 1930, l'Arlequin devient l'alter ego de l'artiste. Ce personnage, qui renvoie aux personnages marginaux de la période bleue, sera le véritable héros de ce que l'on appelait la période rose.

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  • Catégories : Sport

    Dans ma lecture du "Cyclisme" en 1001 photos

    cyclisme.jpg

    Créée en 1891, la course cycliste Bordeaux-Paris a connu 86 éditions, la dernière en 1988.

    Cette épreuve était unique en son genre, par sa longueur d'environ 600 km et par son déroulement. Pendant la seconde partie du parcours, le coureur se plaçait derrière un engin motorisé appelé derny, conduit par l'entraîneur, afin de réduire la résistance de l'air, ce qui lui permettait d'atteindre des vitesses de l'ordre de 50 à 60 km/h. Ce règlement a cependant subi de nombreuses adaptations successives.

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  • Catégories : Sport

    Dans ma lecture du "Cyclisme" en 1001 photos

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    Louis Mottiat (6 juillet 1889 à Bouffioulx, Belgique-5 juin 1972) est un cycliste belge.

    Sommaire
    1 Biographie
    2 Palmarès
    3 Résultats sur le Tour de France
    4 Anecdote
     

    Biographie
    Cycliste professionnel de 1912 à 1925.

    Palmarès
    8 victoires d’étapes sur le Tour de France
    victoire sur Bordeaux-Paris en 1913
    victoire sur Paris-Bruxellesen 1914
    victoire sur le Tour de Belgique en 1914 et 1920
    victoires sur Liège-Bastogne-Liège en 1921 et 1922
    victoire sur Paris-Brest-Paris en 1921
    victoire sur Paris-Tours en 1924

    Résultats sur le Tour de France
    Tour de France 1912 : vainqueur d'une étape
    Tour de France 1920 : vainqueur d'une étape
    Tour de France 1921 : vainqueur de quatre étapes
    Tour de France 1924 : vainqueur d'une étape
    Tour de France 1925 : vainqueur d'une étape

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  • Je suis en train de lire:Peter Robinson, "Froid comme la tombe"

    froid.gifHistoires de famille délicates

    par Dinah Brand
    Lire, février 2002


    L'inspecteur divisionnaire Alan Banks aime le pur malt, siroté près de sa cheminée en écoutant quelques CD de jazz ou de musique classique. Des instants de répit au milieu des nombreuses galères de son métier. La dernière en date est de taille: son supérieur, plutôt vachard, lui demande de retrouver sa fille de seize ans, fugueuse invétérée dont il vient de voir la photo sur un site porno. Vite récupérée par Banks, la jeune Emily est retrouvée morte quelques jours plus tard, assassinée d'une manière particulièrement atroce. Banks se sent tenu de retrouver l'assassin de cette gamine sans défense qu'il a appris à connaître et même à apprécier. Cette découverte va l'obliger à plonger dans des histoires de famille tout à fait délicates.

    Peter Robinson est à la fois un ami et un disciple de John Harvey. On retrouve chez son personnage, Alan Banks, le même charme que chez Resnik, le flic sentimental et amateur de jazz du célèbre romancier anglais. L'enquête est minutieuse et subtile, mais ce qui prime chez Peter Robinson est la manière de raconter la vie quotidienne de son héros, ses angoisses de flic, ses difficultés familiales. Peu à peu, l'inspecteur devient un familier, avec ses envies de bonne cuisine et son plaisir à regarder le soleil se lever sur la lande. Face à des morts tragiques, il ne s'affiche pas comme un justicier mais comme un homme qui fait son devoir, sûr de lui, capable de gestes médiocres qu'il rachète comme il peut. Le charme opère, sans mièvrerie, sans facilité, dans cette histoire policière intrigante et humaine à la fois.

    http://www.lire.fr/critique.asp/idC=39398/idR=216/idTC=3/idG=5

  • Catégories : Sport

    J'ai lu: "Le Cyclisme" en 1001 photos"

    cyclisme.jpg

    François Faber (né le 26 janvier 1887 à Aulnay-sur-Iton, Eure - mort le 9 mai 1915 à Carency (Pas-de-Calais) est un coureur cycliste de nationalité luxembourgeoise, vainqueur du Tour de France en 1909.

    Biographie

    • François Faber est le demi-frère d'Ernest Paul.
    • Natif de l’Eure, François Faber était Luxembourgeois par ses parents. Luxembourgeois de passeport, Faber était en fait Français de cœur.
    • Son père, Jean-François, est originaire de Wiltz dans le grand-duché du Luxembourg
    • Sa mère, Marie-Paule, est née en Lorraine.
    • Cycliste professionnel de 1906 à 1914 (27 victoires), il était surnommé le géant de Colombes.
    • Faber porte les couleurs de « Labor » en 1906 et 1907, passe chez « Peugeot » en 1908, puis rejoint « Alcyon » de 1909 à 1911. Membre de l’équipe « Automoto » en 1912, il retrouve « Peugeot » en 1913 et 1914.

    Au déclenchement de la Première Guerre mondiale, et cinq jours plus tard, il s’engage dans la Légion étrangère )Mle 1921). Il signe un contrat d’EVDG au bureau de recrutement de la Seine, Il est affecté au 1er régiment étranger au dépôt de Bayonne, le 22 août 1914.

    Caporal du 2e RM du 1er RE, il est tué à l’ennemi le 9 mai 1915 au cours de la bataille des « ouvrages blancs » à Mont Saint Eloi près de Berthonval.

    Le matin de sa mort, Faber reçoit une lettre l’informant de la naissance d’un fils. Une plaque à sa mémoire déposée à la nécropole nationale de Notre Dame de Lorette, rappelle son sacrifice.

    Son demi-frère Ernest Paul, né le 5 déc. 1881 à Villotte-sur-Ource en Côte d'or, décédé le 9 sept. 1964 à Saint-Gatien-des-Bois est également un vainqueur d’une étape sur le Tour de France.

    Décorations

    • Cité à l’ordre de la division avec croix de guerre 1914 – 1918.
    • Médaillé militaire à titre posthume au Journal officiel du 24 mai 1922.

    Anecdote

    Le même jour, un autre François Faber, matricule 1668 s’engage au même centre de recrutement. Ce dernier, né le 17 juil. 1893, à Beggen Wimtzig au grand-duché du Luxembourg, disparait le 9 mai 1915 à Berthonval, il est déclaré décédé par jugement rendu le 25 fév. 1921 par le tribunal de la Seine.

    Palmarès

    Résultats sur le Tour de France

    Bibliographie

    • François Faber, du Tour de France au champ d'honneur, Pascal Leroy - Editinos L'Harmattan - Paris - 2006

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Faber

    Cette note a été selectionnée par Lartino:

    http://www.lartino.fr/ai-lu-cyclisme-1001-photos-pn1141.html

  • Catégories : Sport

    Dans ma lecture du "Cyclisme" en 1001 photos

    tandem.jpg

     

    Ancien modèle de tandem pour quatre cyclistes. La photo date de 1898. Remarquez la position du dernier tandemiste.

     

     

    Un tandem est une bicyclette à deux places, situées l'une derrière l'autre. Son nom, d'origine anglaise, est un emprunt au latin tandem, qui signifie « enfin ». Le mot tandem était utilisé dans l'argot étudiant anglais pour exprimer l'idée de longueur. Les étudiants raillaient les carrosses des personnes huppées, attelés d'une double colonne de chevaux, l'une à l'avant, et l'autre à l'arrière. Ces hippomobiles devenaient irraisonnablement longues. Le jeu des étudiants aurait été alors de crier « Tandem ! », soit « Enfin ! », quand la dernière rangée de chevaux était passée devant eux. Le propriétaire était ridiculisé et les chevaux effrayés. « Tandem » désigna alors argotiquement ces attelages, puis au fur et à mesure a désigné un cabriolet à deux chevaux attelés en flèche. Toutefois, on peut trouver une autre explication dans des traités sur les attelages hippomobiles : l'attelage de deux chevaux en flèche (à la Tandem) aurait été popularisé par un écuyer anglais du XVIIIe siècle, Lord Tandem. Mais l'existence de Lord Tandem ne semble pas avérée. Le sens actuel est attesté en 1884. Le double attelage a laissé place à un double pédalier...

    Les deux cyclistes pédalent à la même cadence car, sur la plupart des modèles, leurs pédaliers respectifs sont reliés par une chaîne montée sur des plateaux de taille identique, situés du côté opposé à la chaîne de transmission de leurs efforts vers la roue arrière. Il existe quelques modèles qui possédent une roue libre au niveau des pédaliers, permettant de désynchroniser le pédalage. Le cycliste situé à l'arrière dispose de plus d'un guidon fixe monté directement sur le cadre. L'efficacité du tandem est plus grande que celle d'un vélo : les efforts combinés des deux cyclistes ne sont freinés que par la résistance à l'air d'un seul d'entre eux, et par la résistance au roulement des deux roues de l'engin. Cette efficacité est surtout sensible sur des terrains roulants, en côte, par contre, le tandem est moins performant que le vélo classique.

    En raison de la possibilité pour le cycliste situé à l'arrière de ne pas avoir à se préoccuper du guidage de l'engin, il est fréquemment utilisé par les aveugles, qui peuvent ainsi pratiquer le cyclisme en binôme.

    Modèle inhabituel
    Modèle inhabituel

    Le tandem a connu son heure de gloire dans les années 1930, lorsque les congés payés furent instaurés : il permettait aux couples d'ouvriers ne pouvant pas s'offrir le luxe d'une automobile de se promener ensemble sur les routes.

    L'expression travailler en tandem tire son origine du nom de l'engin, en faisant référence à l'efficacité du duo de cyclistes.

     
    Ancien modèle de tandem pour quatre cyclistes. La photo date de 1898. Remarquez la position du dernier tandemiste

    De même que le vélo, le tandem a évolué et s'est diversifié en fonction des usages qu'on lui réserve. Ainsi, il existe des tandems de VTT et des tandems couchés. Par ailleurs, il en existe des versions sur lesquelles les cyclistes sont côte à côte, ainsi que des versions à 3 ou 4 places (triplette, quadruplette), voire plus. Il existe également des tandems courts de la longueur d'une bicyclette classique et dont la deuxiéme personne est assise à la place du porte baggage et pédale à travers la roue arriére.

    Voir aussi

    Liens externes

    http://www.cmieuxa2.com
    http://tandems.free.fr
    http://perso.wanadoo.fr/tandem.club.de.france/

  • Catégories : Sport

    Dans ma lecture du "Cyclisme" en 1001 photos

    l_lesna_2.jpgLucien Lesna naît en 1863 à Locle (Le Locle) petite ville nichée à 1000 mètres d’altitude près de Neufchatel en Suisse. Ces parents sont français mais nous ignorons tout de leur profession en tout cas ils déménagent un peu plus tard à Genève où Lucien Lesna va tardivement découvrir le cylisme. En effet lorsqu’il aborde la compétition il a déjà 26 ans. Il démontre tout de suite d'exceptionnelles qualités d'endurance ainsi qu’un caractère bien trempé. Ce champion est un drôle de bonhomme, une trajectoire unique dans le monde du cyclisme faite d’accidents, d’exploits et aussi de mystères.

     

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  • Catégories : Sport

    J'y étais!!!!

    tour sté.gif

    Duel victorieux pour Burghardt

    C’est en quittant le peloton pour une contre-attaque aléatoire que Burghardt a commencé l’étape. Il la termine les bras en l’air, après avoir battu dans un sprint à deux Carlos Barredo, qu’il a rejoint pour former le duo de pointe du jour.

    Chute pour Cunego
    La première tentative d’échappée est menée au km 2 par Burghardt (COL), Pozzato (LIQ), Lang (GST), Bichot (AGR), Schröder (MRM), Augé et Monfort (COF). Leur insistance n’est pas récompensée, puisque leur avantage maximal n’atteint que 55’’ au km 18. Les équipes Quick Step et Bouygues Télécom se chargent de reprendre les attaquants, qui sont contraints de se rendre, en deux temps, après le passage sur la ligne du sprint de Grenoble. L’allure particulièrement rapide du peloton (55,7 km dans la première heure) met par ailleurs en difficulté Damiano Cunego, qui a chuté au km 28 et qui ne parviendra jamais à combler son retard. Il passe le reste de l’étape à plus de dix minutes derrière le peloton, avec quatre de ses coéquipiers.

    Barredo trouve la faille
    Ce n’est qu’au kilomètre 68 que Carlos Barredo (QST) trouve la faille et distance le peloton. Plusieurs contre attaquants se sentent inspirés par ce mouvement, mais seul Markus Burghardt réussit à rejoindre Barredo, dans la descente suivant le col de Parménie (km 78). Quant à Romain Feillu (AGR), Mikel Astarloza (EUS) et Christophe Le Mével (C.A), ils font cause commune et passent l’essentiel de la journée dans la position inconfortable de « coureurs intercalés ».

    Burghardt, en pistard
    Le trio ne se retrouve jamais en position d’inquiéter Barredo et Burghardt, qui atteignent les 20 derniers kilomètres de course avec 4’25’’ d’avance, tandis que le peloton, mené par les CSC, ne s’affole pas des 10’ de retard qu’il accuse. Assurés de voir la capitale du Forez sans rencontrer d’éléments perturbateurs, les deux hommes de tête se préparent une longue explication finale qui débute dans la montée vers la Croix de Montvieux. Dans le dernier kilomètre, Barredo place la première d’une série d’accélérations, qui resteront toutes sans effet. Burghardt réagissant efficacement à toutes les attaques, Barredo dresse le constat de son impuissance : les deux hommes passent donc les trois derniers kilomètres à s’observer. Sous la flamme rouge, Barredo se place stratégiquement derrière son rival. A 200 m de la ligne, ils sont toujours quasiment à l’arrêt. C’est le moment que choisit Burghardt pour se lancer en puissance. Barredo ne parvient pas à contrer.

    Des points pour Freire
    Derrière, le sprint pour la troisième place est remporté par Romain Feillu (à 3’33’’ du vainqueur). Celui pour la 6ème place est pour Samuël Dumoulin, dans un groupe de 5 coureurs. Les points attribués pour la 11ème place à l’arrivée vont dans la cagnotte du maillot vert Oscar Freire, vainqueur du sprint du peloton devant Zabel et Hushovd.

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