Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'exploit de Lyon à Liverpool
Vincent Duchesne
20/10/2009 | Mise à jour : 23:36
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Vincent Duchesne
20/10/2009 | Mise à jour : 23:36
Les Assises Internationales du Roman : Un événement conçu et organisé par Le Monde et la Villa Gillet
« Comment le roman nous parle-t-il du monde ? De quelle façon la littérature peut-elle non seulement refléter la réalité, mais aussi, pourquoi pas, la transformer?
C’est autour de ces questions que se sont dessinées les Assises Internationales du Roman, co-organisées depuis 2007 par Le Monde et la Villa Gillet. Le projet partait d’un constat très simple : le roman n’est pas mort, ni même agonisant, mais vivant, vivace et indispensable, tant du point de vue esthétique que politique, au sens large du terme.
Car la littérature ne se contente pas de représenter le monde, elle l’éclaire et tente d’en percer les mystères. Elle en fait saillir les paradoxes, les profondeurs inattendues, les contradictions et les douleurs, plus clairement que beaucoup de traités. Outil de compréhension, en même temps que support de rêve, le roman est un lieu de liberté.
Dès l’origine, les Assises ont été appuyées sur un postulat fondamental : il ne s’agissait pas d’organiser une énième foire du livre, où chaque auteur viendrait défendre son propre ouvrage, mais des rencontres, autour de thèmes bien précis et de textes préparés à l’avance.
Discuter de littérature, en somme, plutôt que de parler-des-livres-dont-on-parle. Soutenue par la Région Rhône-Alpes, la Ville de Lyon et l’État, renforcée par une co-réalisation avec les Subsistances et par de précieux partenariats – en particulier avec France Inter et les éditions Christian Bourgois, qui publient les interventions lues pendant les Assises et le Lexique Nomade, recueil de courts textes écrits par les auteurs invités – la manifestation a maintenu ce pari d’exigence. Et développé, au fil des années, les enrichissements qui font sa force aujourd’hui : débats nocturnes, conférences de romanciers étrangers de maintenant sur des écrivains français d’hier, grands entretiens avec des personnalités extérieures à la littérature, lectures musicales etc. Avec, toujours, le souci de l’excellence et ce désir, aussi fou que délicieux : faire en sorte, sans cesse, que l’esprit circule. »
Raphaëlle Rérolle - Chef-adjoint au Monde des Livres
Guy Walter - Directeur de la Villa Gillet et des Subsistances
Vous avez transcrit une cascade de douleurs
Avec une avalanche de couleurs
Le 5 septembre 2006
Poème complet lisible dans le recueil "Paysages" en vente en haut de ce blog.
J'ai programmé des notes et il y en a plein d'autres anciennes...
Vos commentaires(modérés) seront validés à mon retour ou entre deux ... si je trouve un cyber ... et du temps.
Projets:revoir des lieux que je n'ai pas vus depuis trois ans... et en découvrir d'autres.
La gare de l'est refaite.
Manger indien et de quoi cuisiner... indien à mon retour.
Faire une virée chez Gibert boulevard Saint-Michel... et dans quelques librairies connues et aimées/ou que j'ai evie de découvrir.
Aller au musée du Quai Branly ouvert quand j'étais au Maroc.
Une expo... de peinture sans doute.
Revoir ma Sorbonne et ma bibliothèque.
Revoir mon ancien appart.
Retourner sur les lieux baudelairiens et nervaliens.
Tout dépendra du temps(météo; si sec, plus de balades; si humide, plus de lieux fermés) et du temps: mon mari part pour le travail d'où adaptation.
Mes notes sur mon précédent séjour parisien:
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/26/il-y-a-un-an-en-france-a-paris-3.html#comments
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/25/il-y-a-un-an-en-france-paris-2.html#comments
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/25/il-y-a-un-an-en-france-paris-1.html#comments
Un voyage de 10h en voiture (aller-retour) qui va sûrement me faire mal au dos(après douleurs des épaules aux pieds depuis plusieurs mois,visite médecin vendredi, precription d'une radio le 16 et IRM le 18 mars pour voir si le tassement de vertèbres ne s'est pas aggravé) mais aussi me faire penser à autre chose qu'à nos affaires toujours au Maroc... et autres choses négatives.
MONDIAUX DE VAL D'ISÈRE - Marie Marchand-Arvier a pris une superbe médaille d'argent derrière l'intouchable Lindsey Vonn lors du Super-G.
» Suivez les mondiaux en direct avec sport24.com
Handball : les Français champions du monde
Au terme d'un match d'un engagement total, l'équipe de France a décroché son 3e titre mondial en dominant la Croatie (24-19). Un exploit extraordinaire, qui survient six mois tout juste après un sacre olympique.
Appel à contribution
Information publiée le vendredi 28 novembre 2008 par Alexandre Gefen (source : Alain Vaillant)
Date limite : 15 janvier 2009
Appel à communications
LE RIRE MODERNE
Paris X – Nanterre, 15-17 octobre 2009
Colloque organisé par l'équipe PHisTeM (Poétique historique des textes modernes ; resp. : Alain Vaillant et Roselyne de Villeneuve) du Centre des sciences de la littérature française de l'université Paris X – Nanterre.
La singularité du XIXe siècle français, venant après la chute de l'Ancien Régime et la Révolution française, peut être caractérisée de bien des manières. Politiquement, par le lent, difficile et contrarié apprentissage du parlementarisme et de la vie démocratique ; économiquement, par l'entrée dans l'ère du capitalisme industriel et par la constitution d'un marché massifié des biens de consommation ; socialement, par l'irrésistible ascension de la bourgeoisie et des classes moyennes, ainsi que par l'émergence d'un prolétariat urbain ; plus généralement, par un bouleversement profond et irréversible de tous les aspects de la vie quotidienne. Mais, du point de vue culturel, l'innovation la plus spectaculaire, la plus indiscutable et, cependant, peut-être la moins considérée est la consécration du rire, au point que cette présence obsédante et multiforme du rire paraisse à bon droit comme la marque distinctive de la modernité.
Editeur : Grasset
Publication :5/3/2008
« C’est cette volonté de lucidité, qu’elle gardera jusqu’au bout, qui rend si douloureux son combat contre elle-même »
'En 1983, les éditions Belfond m'ont proposé de traduire un recueil de nouvelles de Scott Fitzgerald : 'Love Boat'. Vingt-cinq ans déjà. Trois autres recueils ont suivi (cinquante nouvelles) et deux chefs-d' oeuvre : 'Tendre est la nuit' (1985) et 'Gatsby le magnifique' (1996). Traduire ces livres a fini par faire naître entre nous une sorte de familiarité respectueuse qui s'est vite étendue à Zelda, présente à chaque page. Je me suis laissé prendre à l'image brillante d'un couple symbolisant les années d'or de l'immédiat après-guerre. En déchiffrant phrase à phrase les aveux secrets de 'Tendre est la nuit',j'ai compris que ces apparences étaient vaines, qu'il existait entre Scott et Zelda un amour d'autant plus profond qu'il a résisté à de grandes douleurs et à de longs déchirements, qu'accentuaient la schizophrénie de l'une et l'alcoolisme maladif de l'autre.'
Jacques Tournier
Dans la taverne d’un port de la mer Noire, Ismaël, un petit garçon juif doté d'une voix et d'un sens de la poésie hors du commun, chante les douleurs et les joies des truands, des prostituées, de tous les misérables qui se retrouvent dans le bouge. Un soir, un poète déchu et ivrogne, qui fait couler à flots l'or et la vodka, écoute le gamin et en est subjugué. Il l'offre à sa maîtresse, riche veuve désoeuvrée, qui s'entiche de l'enfant. Arraché à la pauvreté, Ismaël goûte au luxe d’une société aristocratique aussi prompte à l’enthousiasme qu’au mépris, qui le rejettera inexorablement, l'abandonnant bientôt à un cruel destin.
La voix envoûtante de Jeanne Balibar nous entraîne dans ce conte tragique d’une enfance sacrifiée à l’impitoyable égoïsme des adultes. Et comme Ismaël, elle nous chante de sa voix pure les mélodies mélancoliques qui font pleurer truands et seigneurs.
Les liens que Picasso a entretenus avec le monde du cirque ont été très fréquents tout au long de sa carrière. Dans la Barcelone du tournant du XIXe siècle, Picasso va voir les cirques de passage dans la ville, bien qu'il ne reste aucune trace de ce moment dans son œuvre. Plus tard, les cirques ambulants des boulevards de Paris deviendront un lieu de rendez-vous habituel pour le jeune Picasso et ses amis lors de leurs premiers séjours dans cette ville. C'est à la fin de l'année 1904 et en 1905 que le cirque – le Medrano est un point de référence dans sa vie et dans son œuvre – s'érige le thème central de ses compositions de l'époque. L'artiste crée une scène fictive où des acrobates et des équilibristes – qui apparaisent déjà dans la tradition littéraire et picturale du romantisme pour symboliser la solitude et la souffrance humaine – jouent des rôles de la vie quotidienne, expriment leurs problèmes personnels, leur solitude et l'incompréhension à laquelle leurs sentiments sont en butte. Les scènes de famille où les saltimbanques et les arlequins deviennent les véritables protagonistes de cette période sont l'héritage des groupes familiaux qui ont leurs racines dans la période bleue. Ces compositions seront à l'origine d'un grand tableau auquel Picasso pensait depuis longtemps, La Famille de saltimbanques, réalisé en 1905. Comme le Minotaure le sera dans les années 1930, l'Arlequin devient l'alter ego de l'artiste. Ce personnage, qui renvoie aux personnages marginaux de la période bleue, sera le véritable héros de ce que l'on appelait la période rose.
Henri Desgranges, le directeur du journal L'auto a été coureur avant sa carrière de journaliste, ici dans une course en 1892.
Paris-Brest-Paris est une course cycliste créée en 1891 par Pierre Giffard du Petit Journal.
Créée en 1891, la course cycliste Bordeaux-Paris a connu 86 éditions, la dernière en 1988.
Cette épreuve était unique en son genre, par sa longueur d'environ 600 km et par son déroulement. Pendant la seconde partie du parcours, le coureur se plaçait derrière un engin motorisé appelé derny, conduit par l'entraîneur, afin de réduire la résistance de l'air, ce qui lui permettait d'atteindre des vitesses de l'ordre de 50 à 60 km/h. Ce règlement a cependant subi de nombreuses adaptations successives.
Histoires de famille délicates
par Dinah Brand
Lire, février 2002
L'inspecteur divisionnaire Alan Banks aime le pur malt, siroté près de sa cheminée en écoutant quelques CD de jazz ou de musique classique. Des instants de répit au milieu des nombreuses galères de son métier. La dernière en date est de taille: son supérieur, plutôt vachard, lui demande de retrouver sa fille de seize ans, fugueuse invétérée dont il vient de voir la photo sur un site porno. Vite récupérée par Banks, la jeune Emily est retrouvée morte quelques jours plus tard, assassinée d'une manière particulièrement atroce. Banks se sent tenu de retrouver l'assassin de cette gamine sans défense qu'il a appris à connaître et même à apprécier. Cette découverte va l'obliger à plonger dans des histoires de famille tout à fait délicates.
Peter Robinson est à la fois un ami et un disciple de John Harvey. On retrouve chez son personnage, Alan Banks, le même charme que chez Resnik, le flic sentimental et amateur de jazz du célèbre romancier anglais. L'enquête est minutieuse et subtile, mais ce qui prime chez Peter Robinson est la manière de raconter la vie quotidienne de son héros, ses angoisses de flic, ses difficultés familiales. Peu à peu, l'inspecteur devient un familier, avec ses envies de bonne cuisine et son plaisir à regarder le soleil se lever sur la lande. Face à des morts tragiques, il ne s'affiche pas comme un justicier mais comme un homme qui fait son devoir, sûr de lui, capable de gestes médiocres qu'il rachète comme il peut. Le charme opère, sans mièvrerie, sans facilité, dans cette histoire policière intrigante et humaine à la fois.
http://www.lire.fr/critique.asp/idC=39398/idR=216/idTC=3/idG=5
François Faber (né le 26 janvier 1887 à Aulnay-sur-Iton, Eure - mort le 9 mai 1915 à Carency (Pas-de-Calais) est un coureur cycliste de nationalité luxembourgeoise, vainqueur du Tour de France en 1909.
Au déclenchement de la Première Guerre mondiale, et cinq jours plus tard, il s’engage dans la Légion étrangère )Mle 1921). Il signe un contrat d’EVDG au bureau de recrutement de la Seine, Il est affecté au 1er régiment étranger au dépôt de Bayonne, le 22 août 1914.
Caporal du 2e RM du 1er RE, il est tué à l’ennemi le 9 mai 1915 au cours de la bataille des « ouvrages blancs » à Mont Saint Eloi près de Berthonval.
Le matin de sa mort, Faber reçoit une lettre l’informant de la naissance d’un fils. Une plaque à sa mémoire déposée à la nécropole nationale de Notre Dame de Lorette, rappelle son sacrifice.
Son demi-frère Ernest Paul, né le 5 déc. 1881 à Villotte-sur-Ource en Côte d'or, décédé le 9 sept. 1964 à Saint-Gatien-des-Bois est également un vainqueur d’une étape sur le Tour de France.
Le même jour, un autre François Faber, matricule 1668 s’engage au même centre de recrutement. Ce dernier, né le 17 juil. 1893, à Beggen Wimtzig au grand-duché du Luxembourg, disparait le 9 mai 1915 à Berthonval, il est déclaré décédé par jugement rendu le 25 fév. 1921 par le tribunal de la Seine.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Faber
Cette note a été selectionnée par Lartino:
http://www.lartino.fr/ai-lu-cyclisme-1001-photos-pn1141.html
Ancien modèle de tandem pour quatre cyclistes. La photo date de 1898. Remarquez la position du dernier tandemiste.
Un tandem est une bicyclette à deux places, situées l'une derrière l'autre. Son nom, d'origine anglaise, est un emprunt au latin tandem, qui signifie « enfin ». Le mot tandem était utilisé dans l'argot étudiant anglais pour exprimer l'idée de longueur. Les étudiants raillaient les carrosses des personnes huppées, attelés d'une double colonne de chevaux, l'une à l'avant, et l'autre à l'arrière. Ces hippomobiles devenaient irraisonnablement longues. Le jeu des étudiants aurait été alors de crier « Tandem ! », soit « Enfin ! », quand la dernière rangée de chevaux était passée devant eux. Le propriétaire était ridiculisé et les chevaux effrayés. « Tandem » désigna alors argotiquement ces attelages, puis au fur et à mesure a désigné un cabriolet à deux chevaux attelés en flèche. Toutefois, on peut trouver une autre explication dans des traités sur les attelages hippomobiles : l'attelage de deux chevaux en flèche (à la Tandem) aurait été popularisé par un écuyer anglais du XVIIIe siècle, Lord Tandem. Mais l'existence de Lord Tandem ne semble pas avérée. Le sens actuel est attesté en 1884. Le double attelage a laissé place à un double pédalier...
Les deux cyclistes pédalent à la même cadence car, sur la plupart des modèles, leurs pédaliers respectifs sont reliés par une chaîne montée sur des plateaux de taille identique, situés du côté opposé à la chaîne de transmission de leurs efforts vers la roue arrière. Il existe quelques modèles qui possédent une roue libre au niveau des pédaliers, permettant de désynchroniser le pédalage. Le cycliste situé à l'arrière dispose de plus d'un guidon fixe monté directement sur le cadre. L'efficacité du tandem est plus grande que celle d'un vélo : les efforts combinés des deux cyclistes ne sont freinés que par la résistance à l'air d'un seul d'entre eux, et par la résistance au roulement des deux roues de l'engin. Cette efficacité est surtout sensible sur des terrains roulants, en côte, par contre, le tandem est moins performant que le vélo classique.
En raison de la possibilité pour le cycliste situé à l'arrière de ne pas avoir à se préoccuper du guidage de l'engin, il est fréquemment utilisé par les aveugles, qui peuvent ainsi pratiquer le cyclisme en binôme.
Le tandem a connu son heure de gloire dans les années 1930, lorsque les congés payés furent instaurés : il permettait aux couples d'ouvriers ne pouvant pas s'offrir le luxe d'une automobile de se promener ensemble sur les routes.
L'expression travailler en tandem tire son origine du nom de l'engin, en faisant référence à l'efficacité du duo de cyclistes.
De même que le vélo, le tandem a évolué et s'est diversifié en fonction des usages qu'on lui réserve. Ainsi, il existe des tandems de VTT et des tandems couchés. Par ailleurs, il en existe des versions sur lesquelles les cyclistes sont côte à côte, ainsi que des versions à 3 ou 4 places (triplette, quadruplette), voire plus. Il existe également des tandems courts de la longueur d'une bicyclette classique et dont la deuxiéme personne est assise à la place du porte baggage et pédale à travers la roue arriére.
http://www.cmieuxa2.com
http://tandems.free.fr
http://perso.wanadoo.fr/tandem.club.de.france/
Lucien Lesna naît en 1863 à Locle (Le Locle) petite ville nichée à 1000 mètres d’altitude près de Neufchatel en Suisse. Ces parents sont français mais nous ignorons tout de leur profession en tout cas ils déménagent un peu plus tard à Genève où Lucien Lesna va tardivement découvrir le cylisme. En effet lorsqu’il aborde la compétition il a déjà 26 ans. Il démontre tout de suite d'exceptionnelles qualités d'endurance ainsi qu’un caractère bien trempé. Ce champion est un drôle de bonhomme, une trajectoire unique dans le monde du cyclisme faite d’accidents, d’exploits et aussi de mystères.
C’est en quittant le peloton pour une contre-attaque aléatoire que Burghardt a commencé l’étape. Il la termine les bras en l’air, après avoir battu dans un sprint à deux Carlos Barredo, qu’il a rejoint pour former le duo de pointe du jour.
Chute pour Cunego
La première tentative d’échappée est menée au km 2 par Burghardt (COL), Pozzato (LIQ), Lang (GST), Bichot (AGR), Schröder (MRM), Augé et Monfort (COF). Leur insistance n’est pas récompensée, puisque leur avantage maximal n’atteint que 55’’ au km 18. Les équipes Quick Step et Bouygues Télécom se chargent de reprendre les attaquants, qui sont contraints de se rendre, en deux temps, après le passage sur la ligne du sprint de Grenoble. L’allure particulièrement rapide du peloton (55,7 km dans la première heure) met par ailleurs en difficulté Damiano Cunego, qui a chuté au km 28 et qui ne parviendra jamais à combler son retard. Il passe le reste de l’étape à plus de dix minutes derrière le peloton, avec quatre de ses coéquipiers.
Barredo trouve la faille
Ce n’est qu’au kilomètre 68 que Carlos Barredo (QST) trouve la faille et distance le peloton. Plusieurs contre attaquants se sentent inspirés par ce mouvement, mais seul Markus Burghardt réussit à rejoindre Barredo, dans la descente suivant le col de Parménie (km 78). Quant à Romain Feillu (AGR), Mikel Astarloza (EUS) et Christophe Le Mével (C.A), ils font cause commune et passent l’essentiel de la journée dans la position inconfortable de « coureurs intercalés ».
Burghardt, en pistard
Le trio ne se retrouve jamais en position d’inquiéter Barredo et Burghardt, qui atteignent les 20 derniers kilomètres de course avec 4’25’’ d’avance, tandis que le peloton, mené par les CSC, ne s’affole pas des 10’ de retard qu’il accuse. Assurés de voir la capitale du Forez sans rencontrer d’éléments perturbateurs, les deux hommes de tête se préparent une longue explication finale qui débute dans la montée vers la Croix de Montvieux. Dans le dernier kilomètre, Barredo place la première d’une série d’accélérations, qui resteront toutes sans effet. Burghardt réagissant efficacement à toutes les attaques, Barredo dresse le constat de son impuissance : les deux hommes passent donc les trois derniers kilomètres à s’observer. Sous la flamme rouge, Barredo se place stratégiquement derrière son rival. A 200 m de la ligne, ils sont toujours quasiment à l’arrêt. C’est le moment que choisit Burghardt pour se lancer en puissance. Barredo ne parvient pas à contrer.
Des points pour Freire
Derrière, le sprint pour la troisième place est remporté par Romain Feillu (à 3’33’’ du vainqueur). Celui pour la 6ème place est pour Samuël Dumoulin, dans un groupe de 5 coureurs. Les points attribués pour la 11ème place à l’arrivée vont dans la cagnotte du maillot vert Oscar Freire, vainqueur du sprint du peloton devant Zabel et Hushovd.
Voir les images:
http://www.letour.fr/2008/TDF/LIVE/fr/1800/index.html
http://www.letour.fr/2008/TDF/LIVE/fr/1800/index.html
http://www.letour.fr/2008/TDF/LIVE/fr/1800/index.html
http://www.letour.fr/2008/TDF/LIVE/fr/1800/index.html
Voir la vidéo
http://www.letour.fr/2008/TDF/LIVE/fr/1800/videos.html?target=126837
....est parti de Lavelanet (après être arrivé hier à Foix où j'avais assisté notamment au feu d'artifice du 14 juillet magnifique avec le château de Foix) où j'ai vécu trois ans puis à Quillan où j'ai assisté au plus vieux critérium de France. Il arrive ce soir à Narbonne, la ville de Charles Trenet.
Le tour de France m'a aussi permis de revoir certains des châteaux cathares ... fascinants.
Sur Lavelanet, cf.
http://www.midi-pyrenees.biz/mp/ariege/ariege_lavelanet.htm
Sur Foix:
http://www.mairie-foix.fr/pagesEditos.asp?IDPAGE=55&sX_Menu_selectedID=m1_B9D35D06
Sur Quillan:
http://www.ville-quillan.fr/visiter.htm
Sur les châteaux cathares:
http://lescathares.free.fr/chateau/chateaux.html
Sur Narbonne:
http://www.narbonne-plage.com/index.php?pge=tourisme1&cat=Narbonne
Photo de la fontaine de Fontestorbes où j'ai emmené tous mes visiteurs:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fontaine_intermittente_de_Fontestorbes
Pour en savoir plus sur ce lieu magique:
http://www.midi-pyrenees.biz/mp/ariege/ariege_la_fontaine_de_fontestorbes.htm
Voir aussi le Défilé de Pierre Lys:
http://www.ville-quillan.fr/pierrelys.htm
Pour répondre à l'avance aux commentaires négatifs sur le vélo (et le dopage ... surtout hier), je vous invite à lire cet article de Libération de jeudi dernier(celui d'aujourd'hui est très bien aussi mais je ne l'ai pas trouvé sur le net) qui reflète mon sentiment mais ne m'empêche pas d'aimer le vélo envers et contre tout depuis au moins vingt ans.
Passion dans laquelle j'ai entraîné mon mari.
Pour une fois, une échappée qui va au bout, un français, vainqueur de l'étape et un français en jaune!!!!...
Du coup j'ai attendu l'arrivée pour aller faire mes 1375 m à la piscine...
Sport populaire par excellence, le cyclisme est profondément ancré dans notre culture. Chacun est monté au moins une fois sur un vélo pour en apprécier le sentiment de liberté. Du culte des champions au sport d’agrément ou au vélo urbain, cet univers passionnant est riche en émotions et en exploits légendaires et connaît un succès planétaire qui s’affranchit des modes. Des classiques aux grands tours en passant par les Championnats du monde, sans oublier les cols et les lieux mythiques, ce volumineux ouvrage de l’écrivain-journaliste Nicolas Moreau-Delacquis restitue le merveilleux univers de la petite reine, des balbutiements héroïques aux vélos futuristes. Route, piste, VTT, cyclo-cross, toutes les disciplines sont ici rassemblées à travers 1001 illustrations de champions de légende et de scènes d’anthologie. Qu’ils soient sprinters, grimpeurs, rouleurs ou baroudeurs, leur courage inspire l’admiration et incite à l’évasion. Le tout complété par des textes courts et des légendes percutantes et explicatives.
La Légende des Courses
Le Tour de France
Giro et Vuelta
Autres Grands Tours
Les autres courses par étapes en France
Les autres courses par étapes à l’étranger
Paris-Roubaix
Le Tour des Flandres
Liège-Bastogne-Liège
La Flèche Wallonne
Gand-Wevelgem
Amstel Gold Race
Paris-Bruxelles
Paris-Tours
Bordeaux-Paris
Milan-Sanremo
Tour de Lombardie
Championnats du Monde et Jeux Olympiques
Les Rois de la Piste
Effort et Pilotage (vtt, bmx, triathlon, cyclo-cross)
La Légende des Champions
Au Panthéon du Cyclisme
Les Rouleurs
Les Grimpeurs
Les Sprinters
Les Grands Tricolores
Les Populaires Tricolores
Les Baroudeurs Tricolores
Les Flèches Tricolores
Les Petites Reines
Planète Cyclisme
Arrêts sur Images
La Ferveur Populaire
Cyclosport et Cyclotourisme
Le Vélo Insolite
Art et Collections
Si du lointain, dont nous voici maintenant séparés,
Je ne te suis point étrangère, oh! le passé,
A toi, le commensal de mes douleurs!
Peut toujours t'apporter quelque bienfait encore,
Dis-le aussi, quelle est l'attente de l'amie,
Dans ces jardins, après les temps d'effroi
Et de ténèbres où nous faisons rencontre,
Près des fleuves, ici, du très-saint monde originel.
"Né en Angleterre en 1810, le grand bi, ou Ordinary High Wheel Bicycle, rencontre un grand succès. Atteignant jusqu'à 1,50 m de diamètre, la roue avant est conçue pour accroître le rendement et la vitesse."
Nicolas Moreau-Delacquis.