Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Passion Venise
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21/11/2012 19:36
Une promenade à travers Venise en quelque cinquante toiles de Canaletto : voici ce que propose le musée Maillol, qui entend également montrer le processus de création de ces merveilleuses vedute grâce à la présentation de nombreux dessins et du carnet du peintre, exceptionnellement prêté.
Dossier de l'Art n° 199 - Les Arts de l'Islam au Louvre
Dossier de l'Art n° 200 - RAPHAEL LES DERNIERES ANNES
http://www.dossier-art.com/numero-18/canaletto-a-venise.3650.php
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
photo perso du musée Maillol samedi
précédente publication:
18/11/2012 18:02
La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.
Après les expositions Fra Angelico (Jacquemart-André), Cima (musée du Luxembourg), Le paysage à Rome (Grand Palais), ou encore Titien, Tintoret, Véronèse (Louvre), l’engouement pour la Renaissance italienne se semble pas prêt de s’achever. Pour notre plus grand plaisir.
C’est Canaletto, « le peintre de Venise », qui sera bientôt au centre de toutes les attentions car sujet d’un véritable petit duel muséal. Les prestigieux musées Maillol et Jacquemart-André présenteront simultanément une exposition consacrée au maître vénitien en septembre. Acte manqué ou guerre ouverte ?
Giovanni Antonio Canal (1697-1768), plus connu sous le nom de Canaletto, est la figure phare de la peinture vénitienne, surtout célèbre pour ses sublimes vues des canaux de la ville flottante. Ses œuvres d’une stupéfiante précision doivent beaucoup de leur beauté à la parfaite maîtrise que Canaletto avait de l’étude de la lumière. Contrairement à la majorité de ses contemporains, le peintre travaillait beaucoup en extérieur, d’où peut être son talent à « fixer » l’air si particulier de Venise.
1er état des lieux des expositions :
Le musée Maillol concentrera son propos sur la seule figure de Canaletto avec une sélection de plus de 50 œuvres du maître vénitien (en collaboration avec La Fondazione Musei Civici di Venezia ainsi qu’avec le Polo Museale Veneziano).
Jacquemart-André se distinguera par une étude comparée de Canaletto et Francesco Guardi. L’essentiel des œuvres présentées chez Jacquemart proviendra de prêts londonien et américain : British Museum, National Gallery, Collection Royale de la Couronne britannique, Frick Collection (New-York) et Philadelphia Museum of Art. La couronne britannique est en effet propriétaire de la plus importante collection de peintures et de dessins de Canaletto. Huit de ces œuvres seront exposées pour la première fois à Paris.
L’approche de Maillol pourrait se définir comme celle d’un véritable hommage au peintre ainsi qu’à la ville de Venise. Le musée affiche son désir de clore un cycle d’expositions consacrées aux vedutisti (De l’italien vues. Désigne l’étude très détaillée d’un paysage, le plus souvent urbain) en Europe dont Canaletto était la figure centrale.
C’est plus précisément à ce genre pictural que Jacquemart-André s’intéressera en démontrant la filiation des études de Canaletto et de Guardi. Les vedutisti de Canaletto auraient en effet grandement influencées celles de Guardi.
On attend avec impatience de comparer la différence d’approche des deux musées en relisant l’ Éloge de Venise, de Luigo Grotto Cieco d’Hadria, prononcée pour la consécration du Doge Sérénissime Luigi Mocenigo, le 23 août 1570 :
« (…) qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumière, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit à peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en énamoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientôt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se désole de ne point la revoir. De ce désir d’y retourner qui pèse sur tous ceux qui la quittèrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire à ceux qui la quittent, dans une prière douce: Veni etiam, reviens encore. »
Infos pratiques :
Musée Jacquemart-André : Canaletto- Guardi. Les deux maîtres de Venise (14 septembre 2012-14 janvier 2013)
Musée Maillol : Canaletto à Venise (19 septembre 2012- 10 février 2013)
http://toutelaculture.com/2012/08/canaletto-a-paris-rivalite-dans-les-musees/
Il n’est pas vrai que le spectacle de Venise soit mortifère. Aveuglé par son égotisme, Barrès nous a, là-dessus, fourvoyés. Insensible à la pompe des rentrées victorieuses, au défilé des galéasses, au ballet des galères pavoisées de couleurs, il avait refusé de se laisser...
Traduit par Frédéric WEINMANN |
LES MASQUES DE SAINT-MARC |
La visite de l'empereur François-Joseph et de son épouse Elizabeth est attendue dans la cité des doges, sous domination autrichienne. Dans le plus grand secret, afin de faire fléchir le Parlement qui compte réduire les dépenses militaires, François Joseph a mis sur pied un faux attentat contre sa propre personne. Un risque cependant bien mal calculé par son Altesse impériale : l'un des agresseurs supposé a bien l'intention de tuer le couple impérial ! L'issue fatale est parvenue aux oreilles du commissaire Tron, qui, grâce à des méthodes très personnelles, tente d'alerter l'entourage du Kaiser. La seule personne à le prendre au sérieux, n'est autre que Sissi... Parviendront-ils à renverser le cours de l'histoire? Traduit de l'allemand par Frédéric Weinmann |
http://www.10-18.fr/site/les_masques_de_saint_marc_&100&9782264051578.html
Précédentes publications:
27/01/2013 11:25
16/04/2013 08:41
http://www.amazon.fr/Monteverdi-Combattimento-Claudio/dp/B000F3T3D2
Pour donner votre avis, veuillez vous identifier.
Dominique Rolin est la dédicataire de ce Dictionnaire amoureux.
Venise apparaît dans presque tous ses livres, en grande partie écrits dans cette ville qu'elle appelle le plus souvent, par discrétion et un goût prononcé pour la clandestinité, « la ville étrangère ».
Pénélope, la désormais fameuse conservatrice de Versailles, qui a déjà révélé les inquiétants mystères de la tapisserie de Bayeux (Intrigue à l'anglaise) et du château de Versailles (Intrigue à Versailles), passe une semaine à Venise pour un savant colloque. Un illustre écrivain français, qui ne publie que sur cette ville, meurt tragiquement. Bientôt, ce sont tous les "écrivains français de Venise", club d'habitude paisible, qui sont menacés. Pénélope se retrouve au cœur d'une énigme dont l'origine remonterait au fameux Bal du Siècle, donné par Carlos de Beistegui dans son palais de la Sérénissime en 1951. Aidée par son fiancé le journaliste Wandrille, elle se lance sur la piste d'un tableau de Rembrandt que personne n'a jamais vu et qui dormirait quelque part sur une des îles de la lagune. Les plus grands hommes de lettres français commencent à craindre pour leur vie...
http://www.amazon.fr/Intrigue-%C3%A0-Venise-Adrien-Goetz/dp/2246779715
première publication:
07/04/2013 18:35
Il n'y a peut-être pas de jours de notre enfance que nous ayons si pleinement vécus que ceux que nous avons cru laisser sans les vivre, ceux que nous avons passés avec un livre préféré.
Je n'ai essayé, dans cette préface, que de réfléchir à mon tour sur le même sujet qu'avait traité Ruskin : l'utilité de la lecture.
Ruskin a donné à sa conférence le titre symbolique de Sésame, la parole magique qui ouvre la porte de la caverne des voleurs étant l'allégorie de la lecture qui nous ouvre la porte de ces trésors où est enfermée la plus précieuse sagesse des hommes : les livres.
Marcel Proust
Les deux conférences de John Ruskin (1819-1900), réunies sous le titre Sésame et les Lys, ont été publiées en 1865. La préface Sur la lecture et la traduction de Proust ont été publiées en 1906.
http://www.payot-rivages.net/livre_Sesame-et-les-Lys-John-Ruskin_ean13_9782743622374.html
Hugo Pratt (Auteur), Guido Fuga (Auteur), Lele Vianello (Auteur)
Une conversation et une promenade à travers Venise et ses îles, au cours de laquelle M. Brion et R. Huyghe racontent et expliquent l'histoire de la cité et les chefs-d'oeuvre qu'ils y croisent.
Au cours de conversations tenues à Venise, ville qu'ils aimaient passionnément et où ils firent de longs séjours, deux grands écrivains historiens évoquent le passé de la Cité des Doges, et les particularités de l'art qui s'y est développé au cours des siècles. Ce dialogue érudit mais toujours accessible donne au lecteur la sensation chaleureuse de partager, sous les lustres de cristal d'un palais vénitien, ou à une banquette du Café Florian, l'intimité intellectuelle de deux vieux amis nous offrant avec générosité le fruit de leurs travaux et réflexions. La réédition très attendue de ce que l'on peut considérer comme un éblouissant guide de Venise pour visiteurs exigeants et curieux.
http://www.laprocure.com/perdre-venise-rene-huyghe/9782917819159.html
Précédente publication:03/04/2013 19:52
23 février 2011
Parution en France du livre de Roberta Pianaro et Donna Leon: Brunetti passe à table
Découvrez l’authentique cuisine familiale italienne avec le commissaire Brunetti, aussi fin limier que bonne fourchette. Conçu autant pour les fans de Donna Leon que pour les amateurs de bonne chair, le présent ouvrage propose près de 100 recettes italiennes indémodables et faciles à réaliser, introduites par des textes inédits de Donna Leon.
Voir la fiche détaillée du livre
http://www.donnaleon.fr/evenements/brunetti-passe-a-table-2.html
Traduit par Frédéric WEINMANN |
GONDOLES DE VERRE |
http://www.10-18.fr/site/gondoles_de_verre_&100&9782264049827.html |
De toute l’histoire de l’art occidental, seul l’architecte Andrea Palladio, qui a aussi bien marqué ses contemporains que des architectes modernes, a exercé une influence aussi considérable sur l’architecture. Le palladianisme a franchi toutes les barrières culturelles des styles. Il s’est répandu à travers les nations néo-latines, mais a également exercé une grande influence en Allemagne, aux Pays-Bas, en Scandinavie et dans les pays d’Europe de l’Est et a posé les bases de l’architecture anglaise des XVIIe et XVIIIe siècles. Palladio vivait à une époque extrêmement stimulante du développement historique de l’architecture et son œuvre a contribué au passage de la Renaissance au baroque. Cet ouvrage offre une introduction détaillée à l’architecture de Palladio et présente toutes les réalisations que les spécialistes lui ont attribuées.
Une conversation et une promenade à travers Venise et ses îles, au cours de laquelle M. Brion et R. Huyghe racontent et expliquent l'histoire de la cité et les chefs-d'oeuvre qu'ils y croisent.
Au cours de conversations tenues à Venise, ville qu'ils aimaient passionnément et où ils firent de longs séjours, deux grands écrivains historiens évoquent le passé de la Cité des Doges, et les particularités de l'art qui s'y est développé au cours des siècles. Ce dialogue érudit mais toujours accessible donne au lecteur la sensation chaleureuse de partager, sous les lustres de cristal d'un palais vénitien, ou à une banquette du Café Florian, l'intimité intellectuelle de deux vieux amis nous offrant avec générosité le fruit de leurs travaux et réflexions. La réédition très attendue de ce que l'on peut considérer comme un éblouissant guide de Venise pour visiteurs exigeants et curieux.
http://www.laprocure.com/perdre-venise-rene-huyghe/9782917819159.html
Encore un coup de foudre entre "vaporetti" et "capuccini". Et c'est bon.
Si l'Italie vous laisse indifférent, si la langue à la fois chantante et râpeuse des Vénitiens ne vous provoque aucun frisson, si la ville la plus romantique et surpeuplée du monde vous donne de l'urticaire, ne lisez pas ce livre. Il est réservé aux amateurs de ruelles obscures, aux obsédés du soleil couchant sur le pont de l'Accademia, aux siroteurs de prosecco au bord de la Giudecca. Imaginez la rencontre d'une Américaine bon teint, cuisinière et critique gastronomique, avec un Vénitien aux yeux bleus. Coup de foudre. Elle décide de quitter sa confortable existence outre-Atlantique pour vivre avec lui. Il ne doit pas exister de récit plus fleur bleue que ces Mille Jours à Venise, mais il s'en dégage un charme gourmand, une élégante nostalgie qui ouvrent les portes du rêve. Des plages du Lido au marché du Rialto, la vie est peinte aux couleurs de la volupté. Alors, qu'importent les naïvetés de la narratrice, puisqu'elle restitue la ville sans la dénaturer : ses parfums de pêche mûre et d'eau croupie, ses vaporetti et ses capuccini au café Florian, auxquels elle ajoute des recettes de beignets aux fleurs de courgettes et de cèpes braisés.
A quarante ans, quittée par son compagnon, elle vide son compte en banque et part à Venise, pour ne pas sombrer. C'est l'hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge l'arrachent à sa solitude. Il y a là un aristocrate russe en fauteuil roulant, une jeune danseuse et son amant. Il y a aussi, dans la ville, un libraire amoureux des mots et de sa cité qui, peu à peu, fera renaître en elle l'attente du désir et de l'autre. Dans une langue ajustée aux émotions et à la détresse de son personnage, Claudie Gallay dépeint la transformation intérieure d'une femme à la recherche d'un nouveau souffle de vie. Et médite, dans le décor d'une Venise troublante et révélatrice, sur l'enjeu de la création et sur la force du sentiment amoureux.
http://www.evene.fr/livres/livre/claudie-gallay-seule-venise-18093.php
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