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Voyage - Page 50

  • Catégories : Paysages chez Lamartine, de bohémiens. Deux essais, Voyage

    Adieu, torero d’Olivier Deck

    Adieu, torero d'Olivier Deck

    Adieu, torero fait partie de la sélection « Roman » du sixième Prix littéraire des lycéens et apprentis rhônalpins 2013-2014.

    Olivier Deck est né à Pau et vit dans les Landes. Écrivain, poète, nouvelliste, peintre et musicien, mais aussi chanteur, réalisateur, il est l’auteur d’une œuvre protéiforme. Il est également passionné de tauromachie et un grand voyageur.

    Biographie

    http://www.editionsin8.com/olivier-deck

    Site de l’auteur

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  • La SNCF passe à la vitesse supérieure dans le covoiturage

    Porte-à-Porte, nouveau service de la compagnie

    09/09/2013 Industrie & Services - Les Echos - 51%
    La SNCF entend désormais prendre en charge les voyageurs de leur point de départ jusqu'à leur destination finale.

    iDTGV, pionnier du « bout en bout »

    09/09/2013 Industrie & Services - Les Echos - 48%
    La filiale de la SNCF propose à ses clients du porte-à-porte en navette, mais aussi en autocar vers les stations de ski.

    09/09/2013 Industrie & Services - Les Echos - 50%

    La compagnie a racheté le site 123envoiture.com, dans lequel elle avait déjà investi en 2009.Elle table sur de nombreuses synergies possibles.

  • Catégories : Voyage

    Nous avons vu hier soir au cinéma:Gare du nord

    Gare du NordParis, Gare du Nord, tout peut y arriver, même des trains. On aimerait y rester, mais il faut se dépêcher... Comme des milliers de vies qui s’y croisent, Ismaël, Mathilde, Sacha et Joan vont s’y rencontrer. Chaque jour, Ismaël est ébloui, fasciné, épuisé par ce lieu. C’est sur le quai du RER qu’il voit Mathilde pour la première fois. Peu à peu, ils tombent amoureux. Ils croisent Sacha et Joan. Sacha est à la recherche de sa fille disparue, Joan passe sa vie dans cette gare entre Lille, Londres et Paris. La gare est comme une bulle que tous traversent, Français, immigrés, émigrés, voyageurs, fantômes... C’est un carrefour où chaque vie passe vite et disparait

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  • Catégories : Voyage

    TURQUIE Carnet de Voyage 2011

    TURQUIE Carnet de Voyage 2011Un nouveau format très pratique et une nouvelle maquette est lancé pour la collection Carnets de Voyage. Destinés à tous les voyageurs qui partent en courts séjours et recherchent un guide complet au meilleur prix. Richement illustrés, ils proposent surtout des informations culturelles et de découverte : l'essentiel et plus ! Il est le compagnon idéal pour comprendre le pays et profiter au mieux de son séjour. Vous y retrouverez toutes les bonnes adresses et tous les bons plans pour optimiser votre séjour. Idéal pour le voyageur indépendant mais aussi le voyageur en groupe qui souhaitera s'échapper de son « resort ».

    http://boutique.petitfute.com/carnet-de-voyage-turquie-2011.html

  • Catégories : Voyage

    La terre pachtoune entre guerre et paix

    • Par Cyril Drouhet
    • Mis à jourle 06/09/2013 à 17:52
    • Publiéle 06/09/2013 à 17:11

    REPORTAGE - Nos reporters ont pu pénétrer au Pakistan dans les «zones tribales» frontalières de l'Afghanistan. Un monde interdit aux étrangers, régi par des coutumes ancestrales et considéré comme un repaire des talibans.

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  • Catégories : Voyage

    Turquie : un fleuve détourné par Crésus en 550 av. J.-C.

    Trieste, ville ouverte

    Par Jean-Pascal Billaud, publié le13/03/2013 à 08:00

    Cité portuaire en pleine effervescence, Trieste est le carrefour des humeurs italienne, slave et viennoise qui se projettent au coeur de la nouvelle Europe. C'est le moment d'en saisir toute la magie. 

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    Trieste, ville ouverte

    La piazza dell'Unita.

    © Atlantide Phototravel/Corbis

    A première vue, Trieste s'offre tout entière sur la piazza dell'Unita, célébrant son rattachement à l'Italie en 1918, après un long protectorat austro-hongrois. Bras grands ouverts au reste du monde, son effigie ailée vole au sommet de la fontaine des Quatre-Continents. La place, immense scène d'opéra, avec mer Adriatique et ciel changeants en toile de fond, fut restructurée pour le troisième millénaire par l'architecte français Bernard Huet. Elle est sillonnée par des passants dopés au "capo in b" (cappuccino in bicchiere), café hyperdistillé servi dans un minuscule verre qu'on avale, debout, au comptoir. Ils s'engouffrent dans les édifices du commerce ou du gouvernement qui bordent quais et corsos, collection unique d'architectures grandiloquentes. Ce méli-mélo stylistique fraîchement toiletté -maniérisme baroque ou gothique post-vénitien, colonnades néoclassiques ou mosaïques Art nouveau, styles Liberty ou rococo, en passant par les portiques en sucre glacé du Savoia Excelsior, "le plus luxueux palace de l'Empire" lors de sa construction en 1912- accompagna une prospérité galopante, puis un déclin mélancolique, quand le Rideau de fer tomba sur ses frontières orientales. 

    Un petit plat et un "capo in b" au comptoir, scénario habituel sur la piazza dell'Unita.

    Un petit plat et un "capo in b" au comptoir, scénario habituel sur la piazza dell'Unita.

    REUTERS

    Après avoir remis en beauté les pompeux monuments de la période habsbourgeoise, entre 1750 et 1914, les pros de la culture lorgnent ces jours-ci sur les milliers de mètres carrés d'entrepôts désertés qui prolongent les quais et s'allongent à l'est de la baie, sur les espaces préservés de la zone franche. Ils réhabilitent ces lieux gigantesques, que décorèrent à l'image de leurs palais du commerce les bâtisseurs d'empires maritimes, profitant du statut de port franc octroyé par l'Autriche en 1719. Déjà, le Magazzino 26 -le plus grand des hangars couverts de lierre s'alignant sur les kilomètres du Porto-Vecchio, trois immenses étages soutenus par des colonnades massives de pierre et de fonte coiffées de chapiteaux corinthiens- a accueilli la dernière Biennale de Venise "hors les murs". Le marché au poisson, surnommé par les pêcheurs "Santa Maria del Guatto" (Sainte-Marie du poisson pas cher) pour son allure incongrue de basilique 1900 aux bas-reliefs de coquillages et crustacés, s'est métamorphosé en "Salone degli incanti" (Salon des enchantements) pour événements "de prestige". On y célébrera en peintures l'entrée de la Croatie dans l'Union européenne, en juillet prochain. Les autres appareillages du Vieux-Port, telle la forteresse d'opérette de la Lloyd Adriatico, attendent encore la baguette magique de la municipalité, qui doit négocier avec les embarras diplomatiques de la zone franche... et la crise économique actuelle ! 

    Vernissage de la Biennale de Venise "hors les murs" au Magazzino 26.

    Vernissage de la Biennale de Venise "hors les murs" au Magazzino 26.

    D.Balbi/Photokroma/DR

    Les triestins ont une inaltérable passion pour leur ville.

    Sa magnificence reste sa plus grande séduction quand elle attire les affairistes cosmopolites et encourage des exploits aussi romanesques que lucratifs. Armateurs, banquiers et assureurs en sont les héros -le canal de Suez fut percé grâce aux coffres-forts du baron Revoltella, ami intime de Ferdinand de Lesseps. Ce beau monde fut bientôt rejoint par quelques génies littéraires décalés ou en transit: James Joyce, professeur d'anglais à qui son élève Italo Svevo, fabricant de peinture sous-marine, inspire le Leopold Bloom d'Ulysse, avant de devenir l'auteur tardif et déboussolé de La Conscience de Zeno; Rainer Maria Rilke, élégiaque courtisan en résidence chez la princesse Maria della Torre e Tasso dans son château de Duino. Leurs errances épiques tracent encore, entre sentiers venteux, quartiers chauds et cafés littéraires aux réminiscences viennoises, des itinéraires parallèles soigneusement balisés. 

    Des atlantes façon Musclor 

    En glissant sur le damier du borgo Teresiano, quadrillage strict et immeubles calibrés, quartier ordonné dès la fin du XVIIIe siècle par l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche, les flâneurs sont escortés, et émoustillés, par la multitude de corps nus qui en peuplent les façades. Des atlantes, façon Musclor, réapparaissent sous les toits, flirtant avec des nymphes échevelées et, planant au-dessus des volutes de la casa Smolars, un couple de géants dénudés affole les passants. Quant aux clients des terrasses des cafés, sous les frondaisons de la très animée viale XX Settembre, ils reluquent deux caryatides aux arrogants tétons, soutenant l'entrée du cinéma Ambasciatori. Baptisées Barbara et Gigogin, elles furent les pensionnaires vedettes de la villa Orientale, lupanar huppé de la Belle Epoque. 

    Le château de Miramare.

    Le château de Miramare.

    REUTERS

    De l'autre coté de la ville, en grimpant par les rues aux ambiances plus latines qui serpentent autour de la cathédrale de San Giusto, quelques demeures, revisitées en musées, accueillent leurs invités dans la fastueuse intimité des grandes familles triestines. Sous les combles de la villa des Sartorio, potentats du grain, 254 dessins de Tiepolo font contrepoint à un délirant décor néogothique. Le palais Revoltella a annexé deux bâtiments voisins pour une double vue: d'un côté, salons d'apparat ruisselants d'or, de marbre et de soieries; de l'autre, une galerie d'art moderne aux volumes blancs et rigoureux due à l'architecte Carlo Scarpa. Dans l'enfilade des pièces de la casa Morpurgo, on surprend, flottant sur les parquets cirés entre les meubles Boulle, les fantômes d'une haute société levantine qui sillonnait la Méditerranée et resplendissait à Trieste. Seul le château de Miramare, à l'extrémité de la baie, sur son promontoire battu par les rafales de la bora, dépasse en trésors et péripéties romantiques ces extravagances. Maximilien d'Autriche, plus jardinier que guerrier, y vécut un conte de fées dramatique: il troqua l'éden princier qu'il avait rêvé avec une épouse adorée pour un empire mexicain d'or et de pacotille, y revenant trois ans plus tard cadavre criblé de balles révolutionnaires, accompagné d'une veuve qui en perdit la tête. Au crépuscule, en promenade rituelle sur le môle Audace, étrangers et Triestins mêlés remémorent sur ces rivages une fortune aussi capricieuse que les cieux de l'Adriatique et rêvent... 

    Pratique

    Comment y aller?
    Italie and co propose un forfait à partir de 470 euros par personne incluant les vols A/R Paris-Venise (à 1h30 de Trieste environ), trois jours de location de voiture et deux nuits au Savoia Excelsior, avec les petits déjeuners. 

    Où dormir?
    Le Savoia Excelsior Palace.Sous les verrières, les ors et les stucs rénovés, un superbe palace pour une escapade ultra-romantique et abordable, dans des chambres face à l'Adriatique. A partir de 160 euros la nuit en chambre double. Renseignements: 00-39-040-779-41.
    L'Urban Hotel. Implanté dans les ruines romaines au pied de la città vecchia, un exercice de design contemporain pour se reposer les yeux des ornements omniprésents alentour, tout en blancheur et bois blond réveillés par les couleurs vives du mobilier de Ron Arad pour Morosco.
    A partir de 114 euros la nuit en chambre double . 00-39-040-302-065. 

    Où déjeunier, dîner?
    Salumar,le "labo du poisson", pour un rebechin (buffet) très frais, garni de calamars, de saumon ou d'une purée de polenta blanche et de morue, arrosé de vins blancs du Frioul. Fréquenté par la jeunesse locale. Tartines à partir de 2 euros, plats, 8 euros
    13, via di Cavana, 00-39-040-322-97-43.
    Al Bagatto. Dans des boiseries très Mitteleuropa, on dîne au milieu d'une véritable "librairie" de crus locaux à l'une des meilleures tables familiales de la ville. Sublime tartare de loup de mer aux pommes fruits et ricotta, et risotto aux palourdes et citron vert.
    Environ 60 euros le repas. 7, via Cadorna, 00-39-040-301-771.
    Al Bragozzo. Sur le front de mer, plats marins (exquis bar à la croûte de sel, somptueux spaghettis à la langouste) à déguster dans tous leurs états, crus ou cuits, après une dégustation de la spécialité d'anchois marinés.
    Environ 30 euros le repas. 22, riva Nazario Sauro, 00-39-040-314-111. 

    Où boire un café?
    Caffè San Marco.Lieu légendaire à l'ambiance viennoise, pour savourer cappuccino et pâtisseries en compagnie de douairières et d'étudiants, émules de Joyce, refaisant le monde.
    18, via Battisti.
    La Portizza.Réputé pour ses cocktails Negroni, alliage de Campari, de gin et de vermouth.
    5b, piazza della Borsa. 

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    Trieste, ville ouverte

    Par Jean-Pascal Billaud, publié le13/03/2013 à 08:00

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    Home ACTUALITE Sciences
    Le spéléologue Éric Gilli dans le souterrain qu'il a découvert. Il avait repéré les deux entrées du tunnel en 1984, lors d'un de ses nombreux voyages dans la région.

    Le spéléologue Éric Gilli dans le souterrain qu'il a découvert. Il avait repéré les deux entrées du tunnel en 1984, lors d'un de ses nombreux voyages dans la région. Crédits photo : Eric Gilli

    INFOGRAPHIE - Un géologue français a mis au jour un tunnel de 177 m de long dont Hérodote attribuait la paternité à Thalès.

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  • Catégories : Voyage

    Trieste, l'exquise mélancolie

    Home VOYAGE Voyages
      • Par François Simon
      • Mis à jourle 06/05/2013 à 15:53
      • Publiéle 03/05/2013 à 17:04

    EN IMAGES - Voisine de Venise, Trieste, prise par le roulis d'une histoire hautement contrariée, goûte aujourd'hui une paix dans le calme d'un tourisme de discrétion, avec, à la clé, le souvenir d'écrivains illustres et l'incroyable dispositif de cafés dignes de Vienne.

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  • Catégories : Voyage

    Le scénario maudit de Federico Fellini

    Home CULTURE Culture
    Federico Fellini est décédé à Rome le 31 octobre 1993 à l'âge de 73 ans

    Federico Fellini est décédé à Rome le 31 octobre 1993 à l'âge de 73 ans Crédits photo : Rainer Klostermeier/ASSOCIATED PRESS

    La trame que le maestro avait écrite et qui n'a jamais pu être tournée est publié sous forme de roman.

     
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    Federico Fellini

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  • Catégories : Voyage

    J'ai ramené ce soir de la médiathèque:Les lumineuses

    1931, Chicago. Traqué par la police, Harper Curtis, un marginal violent, se réfugie dans une maison abandonnée. A l'intérieur, il a une vision : des visages de femmes, auréolés de lumière. Il comprend qu'il doit les trouver... et les tuer. Dans sa transe, Harper découvre que grâce à cette demeure, il peut voyager dans le temps. Débute alors sa croisade meurtrière à travers le XXe siècle : années 1950, 1970, 1990... D'une décennie à l'autre, il sème la mort sur son passage, laissant en guise de signature des indices anachroniques sur le corps de ses victimes.
    Mais l'une d'elles survit aux terribles blessures qu'il lui a infligées. Et va tout faire pour le retrouver.

    http://www.pressesdelacite.com/site/les_lumineuses_&100&9782258101258.html

  • Catégories : Voyage

    Ombres et lumières de Venise à Vézelay

    Samedi 24 août, le dernier concert des Rencontres Musicales de Vézelay était consacré à Antonio Caldara et Antonio Vivaldi.

     
    26/8/13
     

    Les rencontres musicales de Vezelay dans la basilique Sainte Marie Madeleine qui a cristallisé tant de moments forts de l’histoire spirituelle de l’Europe, offrent, année après année, l’occasion de voyages musicaux étonnants.

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  • Catégories : Voyage

    Buffet Crampon fabrique à Mantes-la-Ville les clarinettes des virtuoses

    Home MON FIGARO Mon Figaro
      • Par Jean-Pierre Robin
      • Mis à jourle 15/08/2013 à 21:47
      • Publiéle 15/08/2013 à 15:54

    C'est un connaisseur de génie qui s'exprime: «Ah, si nous avions des clarinettes dans nos orchestres!», écrit à son père Wolf­gang Amadeus Mozart le 3 décembre 1778, en voyage à Mannheim. Le compositeur de Salzbourg appréciait plus que tout cet instrument à vent, conçu à la toute fin du XVIIe siècle et trop récent pour que Jean-Sébastien Bach l'ait jamais utilisé. Mozart est le premier à avoir écrit des chefs-d'œuvre absolus dont les clarinettistes lui sauront éternellement gré. Il aurait adoré se rendre à Mantes-la-Ville, à 50 kilomètres de Paris, dans l'usine Buffet Crampon où s'expérimentent, se fabriquent et se testent les clarinettes les plus recherchées par les virtuoses du monde entier.

    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/08/15/10001-20130815ARTFIG00115-buffet-crampon-fabrique-a-mantes-la-ville-les-clarinettes-des-virtuoses.php

  • Catégories : Voyage

    La Volga entre bulbes et bouleaux

     

    EN IMAGES - Cet été, notre série évasion vous emmène à la découverte des sources des grands fleuves. Après le Gange, voici la Volga qui, avant un périple de 3 700 kilomètres s'achevant dans la mer Caspienne, s'élance modestement d'une colline boisée du Valdaï, entre Saint-Pétersbourg et Moscou.

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  • Catégories : Voyage

    Romances d’Arabie

    19 juin 2013 à 19:06

    Critique Gilles Kepel revisite les pays musulmans à l’heure des révolutions

    Par JEAN-PIERRE PERRIN
    Libération

    Une affiche de cinéma, à la belle époque des documentaires militants sur les révolutions du tiers-monde. Gilles Kepel, alors «jeune gauchiste», n’a plus aucun souvenir du film qui exaltait la lutte du Floga, un mythique front de libération du sultanat d’Oman. Mais de l’affiche il n’a rien oublié et la décrit encore avec une manière d’adoration : «une jeune femme à la peau cuivrée, en short kaki, les cheveux courts bouclés, assise en tailleur à même le sol, jambes et cuisses bronzées, tenant droit un fusil dont la crosse reposait à terre, sourire conquérant aux lèvres». Le ravissement continue : «Elle évoquait ma première répétitrice d’arabe à la fac de Censier, Fayza. Pour les beaux yeux de cette Joconde yéménite, je m’étais épuisé en vain à réaliser à la perfection gutturales, laryngales et fricatives au laboratoire de langues.»Ce ne sont pas seulement les études des grands aînés, Rodinson, Massignon, ou la quête épique de Lawrence qui poussent à devenir orientaliste. Il y a aussi les femmes, présentes tout au long de cette Passion arabe, où Kepel raconte sous la forme d’un journal de voyage les récentes révolutions arabes, du Maghreb au Machreq, via la péninsule arabique. Passion, au sens amoureux du mot, et aussi christique : le livre peut se lire comme le récit de la montée au calvaire d’un monde arabe qui n’en finit pas de s’autocrucifier - comme les stations du Golgotha, il est divisé en 14 chapitres.

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  • Catégories : Voyage

    J'ai aimé récemment:Deon Meyer, l'Afrikaner fasciné par le noir

    Le Monde | 19.06.2013 à 17h59 | Par Macha Séry

     
     
    Deon Meyer, chef de file du polar sud-africain ? L'idée fait sourire ce romancier peu loquace, de passage à Paris pour la promotion de son dernier roman, "7 jours".

     

    On aura beau faire, impossible de prononcer à l'afrikaans le nom de Benny Griessel, héros de 7 jours, le nouveau polar de Deon Meyer. Par chance, celui-ci est patient. Et, dans sa barbe blanche piquetée de poils roux, il a le rire facile. Gommer le "g" puis rugir le "r". Oui, pas de doute, l'homme qui claque sa langue à répétition est jovial. Pedigree ? Bon vivant. Au rang de ses passions : la musique, le rugby, la moto, la photographie, la cuisine, les voyages, la danse, "oh, et la France", ajoute-t-il. Lors de son passage à Paris, il a posté sur son compte Twitter de magnifiques clichés des quais de Seine et une vue de la pierre tombale de Sartre et Simone de Beauvoir, au cimetière du Montparnasse, où il s'est rendu en pèlerinage.

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  • Noir et Bleu. Un rêve méditerranéen...

    Le noir et le bleu, Goya et Miro, ombre e sole

     

    Les Lumières et leurs ombres, tels l’envers et l’endroit d’un même monde, qui répond à l’idée même de civilisation, née au xviiie siècle.

     

    Goya en est la clef. Illuminados, homme des Lumières, il est un des rares qui aient su voir leurs ombres. Dans ses Désastres de la guerre il fait surgir « ce qui, en l’homme, aspire à le détruire » (Malraux).

     

    Ce noir-là, sorte de basse continue, se retrouve dans tout le parcours de l’exposition.

     

    Mais le noir appelle le bleu…

     

    Bleu : « Ceci est la couleur de mes rêves. » Miro se retire dans son île, à Majorque, et s’immerge dans la Méditerranée. Puissance inaugurale du rêve, de l’utopie, son bleu est un symbole, une icône même de ce désir de trouver en l’homme ce qui parvient à le créer.

     

    Un rêve méditerranéen… Rêve souvent unilatéral, projection du Nord sur le Sud, qui nous conduit à aller voir de l’autre côté du miroir ce qui se passe. Quel est le rêve de l’Autre ?

     

    Traversée dans les imaginaires et les représentations de la Méditerranée, cette exposition est une invitation au récit et au voyage, en douze moments, parmi des nappes de temps, du xviiie siècle à nos jours.

     

    Une invitation au rêve, qui n’oublie jamais de regarder bien en face les cauchemars de l’histoire, car « il n’est pas de document de civilisation qui ne soit en même temps un document de barbarie » (Walter Benjamin).

     

     

    ----------------------------------------------------------

    Coproduction : MuCEM, Marseille-Provence 2013, Rmn-Grand Palais

    Avec le soutien de Louis Vuitton, partenaire du MuCEM et EDF, partenaire officiel de MP2013

    En partenariat avec : France Info, France Bleu Provence, France 3, RFI, Radio Monte Carlo Doulaliya

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  • Catégories : Voyage

    Art des jardins, art de vivre en Chine

    Voyage culturel : Art des jardins, art de vivre en ChineAu sud du delta du fleuve Bleu et aux alentours de Shanghai, les Chinois ont inventé de véritables havres de beauté et de paix qui ne se laissent pas ternir par l'incroyable expansion économique du pays. Bien au contraire, les villes d'eau et les multiples jardins inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco permettent plus que jamais à la population de retrouver l'harmonie et le bien-être. Des paysages bucoliques, des villages préservant l'architecture traditionnelle, une mythique montagne Jaune aux brumes mystérieuses, un lac de l'Ouest entouré d'un écrin de verdure et habité de légendes sont autant de lieux de repos et de création artistique. Vous dégusterez les thés verts les plus réputés. Vous entendrez les grands poètes chinois qui ont magnifiquement célébré l'art de vivre au sud du Yang-Tsé-Kiang. Avec Michèle Zedde, conférencière sinologue et conteuse, partez à la découverte de cette Chine déjà vantée par Marco Polo pour sa richesse et sa beauté.

    Au sud du delta du fleuve Bleu et aux alentours de Shanghai, les Chinois ont inventé de véritables havres de beauté et de paix qui ne se laissent pas ternir par l'incroyable expansion économique du pays. Bien au contraire, les villes d'eau et les multiples jardins inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco permettent plus que jamais à la population de retrouver l'harmonie et le bien-être. Des paysages bucoliques, des villages préservant l'architecture traditionnelle, une mythique montagne Jaune aux brumes mystérieuses, un lac de l'Ouest entouré d'un écrin de verdure et habité de légendes sont autant de lieux de repos et de création artistique. Vous dégusterez les thés verts les plus réputés. Vous entendrez les grands poètes chinois qui ont magnifiquement célébré l'art de vivre au sud du Yang-Tsé-Kiang. Avec Michèle Zedde, conférencière sinologue et conteuse, partez à la découverte de cette Chine déjà vantée par Marco Polo pour sa richesse et sa beauté.

  • Catégories : Voyage

    Sunset Boulevard: Hollywood, glamour et septième art

    Armelle Vincent

    • Mis à jourle 12/08/2013 à 15:55
    • Publiéle 11/08/2013 à 17:38

    Son badge dit qu'elle s'appelle Janet. Ses cheveux blonds décolorés, limite paille, sont ramassés en un chignon lâche, sa frange est contenue par une visière portant le nom du diner où elle trime comme serveuse: Mel's Drive-In. Sa peau très blanche est légèrement grêlée et son rouge à lèvres déborde malgré le trait plus foncé soulignant le contour de sa bouche charnue. Elle a la cinquantaine et quelque chose de pathétique. Qui le serait tellement moins si, au lieu d'être au 8585 Sunset Boulevard, son employeur était dans un quartier ­populaire.

    http://www.lefigaro.fr/voyages/2013/08/11/30003-20130811ARTFIG00111-hollywood-glamour-et-septieme-art.php

  • Catégories : Voyage

    Le Gange né de l'Himalaya

    Home VOYAGE Voyages

    EN IMAGES - Cet été, notre série Evasion vous emmène à la découverte des sources des grands fleuves. Après le Colorado, voici le Gange. Nombreux sont les hindous qui se rendent en pèlerinage à ses sources, au pied d'un glacier de l' Himalaya, à 4 000 mètres d'altitude

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  • Catégories : Voyage

    Baudelaire

    Jean  PrévostJean Prévost

    Baudelaire


    Présenté par Claude Pichois

    Jean Prévost prend ici Baudelaire à bras-le-corps et l'oblige à nous parler de lui. Les pages sur l'importance du voyage aux Mascareignes, sur Balzac ou Stendhal, Delacroix ou Goya, sur l'influence du physique, sur le rythme, toutes ces pages restent fortes et vives. Elles constituent à la fois une introduction à la connaissance de Baudelaire et une interprétation de son œuvre, étudiée en profondeur.
  • Catégories : Voyage

    A Pommard, un nouveau grand millésime de l'art

    Pomm'Art 2013 offre la vie de château aux artistes contemporains

     

    Dès le 19 avril, au Château de Pommard, en Bourgogne, Pomm'Art 2013 ouvre ses portes!... Une exposition d'art contemporain à déguster comme un Grand Vin.

    A la carte du millésime 2013, côtoyant Marc Chagall, Andy Warhol, Roy Lichtenstein, Julien Marinetti, Richard Orlinski, Josepha, Stéphane Cipre... Les sculptures, uniques, de Paul Beckrich.

    Pomm'Art 2013, une exposition grisante

    Depuis cinq ans, maintenant, la collaboration entre les Galeries Bartoux et le Château de Pommard, domaine viticole de 20 hectares mondialement réputé, donne du corps, et un précieux bouquet, à des expositions d'art

     
     

    contemporain dont l'écrin est le château lui-même.

    Cette année encore, l'assemblage promet une visite grisante, tant dans les jardins que dans la galerie du château.

    A consommer sans modération

    Grandiose, à l'image de ce site légendaire et de la palette des créations exposées, Pomm'Art 2013 présente (et propose à la vente) des oeuvres, pour certaines monumentales, dont la notoriété rayonne sur les cinq continents.

    Dans le parc, dominent les sculptures de Josepha, d'Orlinski, de Cipre... et dans l'une des galeries du château, non loin des cimaises éclairées par des

     
     

    oeuvres de Matisse, de Miró ou de Picasso, deux pièces uniques, ciselées par Paul Beckrich à la manière d'un orfèvre, attirent tout particulièrement les regards.

    Paul Beckrich, le parcours d'une imagination libérée

    La mère de Paul Beckrich était styliste dans une maison de couture. Serait-ce là l'origines des amours de Beckrich pour la noblesse des étoffes, sculptées, qui habillent ses oeuvres d'aujourd'hui?

    Autour de ses 20 ans, tout jeune employé de banque (une voie sans issue pour ce jeune breton né, en 1955, pour être assurément artiste), Paul Beckrich a

     
     

    l'heureuse idée de suivre un stage d'émaillage et de tournage... Des heures, précieuses, qui l'incitent à vite quitter la banque pour l'artisanat et les marchés, où il propose, avec bonheur, ses émaux, ses coupes, ses vases et poteries!

    Bientôt, ses premiers personnages voient le jour, modelés dans la terre, le grés. Enseignant, aussi, dans les centres culturels, Paul Beckrich est sélectionné, en 1987, pour un concours qui le conduit au Japon.

    Le thème du concours est "le vent", et dans ce sujet, pourtant imposé, Beckrich puise un nouveau souffle, une bouffée de liberté créatrice.

    Pour la première fois, ses personnages apparaissent vêtus de légers voiles, qui sont comme tissés dans la céramique. Parcourues par la magie du

     
     

    mouvement, ces créations laissent entrevoir les premiers élans du sculpteur pour une oeuvre qui s'impose par son art de la posture.

    La rencontre avec le succès, scellée dans le bronze

    Hostile à tout système qui risquerait de l'enfermer, à terme, dans des créations répétitives, le sculpteur s'éloigne de la céramique, de la terre, dont il pense avoir fait le tour. Il "s'attaque" à la majesté du bronze, avec, pour allié, le célèbre Atelier de fonderie Delval.

    En osmose avec la fonderie, Paul Beckrich se lance à la conquête de patines inexplorées, claires ou foncées, aborde des camaïeux, inédits, de prunes, de bleus, de verts, décline les oppositions de matières, depuis le

     
     

    polissage jusqu'aux incrustations d'or ou d'argent.

    Remarqués, dans la fonderie Delval, par Robert et Jean Guy Bartoux, les premiers bronzes de Paul Beckrich marquent les débuts de la lumineuse collaboration entre l'artiste et les Galeries Bartoux.

    Au château de Pommard, les deux sculptures en bronze de Paul Beckrich, incrustées de pierres précieuses, flamboient comme des joyaux. Elles témoignent de la singularité du talent de l'artiste.

    Paul Beckrich, ce joyau du mouvement, de la vie

    Bien que figées dans l'éternité, les oeuvres de Paul Beckrich sont portées par

     
     

    la grâce du mouvement. Elles semblent toujours prêtes à s'élancer dans la vie, dans l'action avec noblesse et fière allure.

    Glorieux personnages des contrées du soleil levant ou d'Afrique, princes ou guerriers en tenue d'apparats, sultans sertis de mille et une nuances ... L'inspiration de Paul Beckrich voyage dans les cultures lointaines, invite à s'abreuver aux sources de couleurs luxuriantes. Ses sculptures sont autant d'instantanés oniriques, où l'esprit et les sens vibrent dans de sensuelles correspondances.

    Qui pourrait demeurer insensible (on n'ose dire... "de marbre"!) devant ces bronzes, chatoyants, qui donnent à voir l'âme de personnages

     
     

    millénaires, infiniment présents !?

    Pomm'Art 2013 ouvre ses portes, au coeur du Château de Pommard, dès le 19 avril 2013 et accueille les visiteurs tous les jours, de 10 heures à 18 heures (entrée 21 euros comprenant visite, dégustation commentée et accès exposition - gratuit pour les moins de 16 ans).

    L'exposition prendra fin bien après les vendanges... le 30 novembre 2013.

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  • Catégories : Voyage

    Agadir, l'autre escapade au Maroc

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    Le style du Sofitel Agadir Thalassa Sea & Spa, tout en lignes basses et tendues,navigue entre artisanat marocain et design occidental. Crédits photo : Grégoire Gardette/Sofitel-Groupe ACCOR

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    à ses portes, elle s'est donné les moyens de séduire ses visiteurs

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  • Catégories : Voyage

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