Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai lu en voiture pendant notre voyage:Phares !
L'Estampille/L'Objet d'Art hors-série n° 73
Phares !
N° 73 - mars 2014 -
ISSN : 0998-8041
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N° 73 - mars 2014 -
ISSN : 0998-8041
La mer, de tous temps, est l’objet de fascination et de fantasmes. Le rêveur, le poète, le voyageur, le colonisateur, le commerçant, le navigateur,…. chacun développe un rapport intime et unique à cet infini miroir d’eau.
Fondée sur les collections du musée accumulées au fil du temps, l’exposition Retours de mer nous conte une histoire des relations de Dunkerque et plus largement de l’Occident avec le monde. Pour la plupart données par des Dunkerquois ou des habitants de la région, capitaines au long cours, armateurs, consuls, explorateurs, négociants, collectionneurs… ces collections nous font voyager à travers les continents, de l’Océanie aux Amériques, du Maghreb au Groenland, de l’Afrique de l’Ouest au Moyen-Orient et à l’Asie du Sud-Est.
Le musée de Dunkerque, comme celui de nombreuses autres villes portuaires, Boulogne-sur-Mer, Dieppe, Marseille, Nantes, La Rochelle…, offre ainsi un miroir de l’histoire des échanges entre les hommes, par-delà les mers et les frontières, qu’ils soient marqués par la curiosité, par des liens commerciaux, par la solidarité ou des rapports de force.
Articulée autour de quelques œuvres emblématiques et de cartes maritimes, l’exposition met en lumière les rapports ambivalents que l’homme peut entretenir avec la mer : d’une part, l’inquiétude et l’effroi qu’elle engendre (tempêtes, naufrages, tsunamis,…), les violences qui s’y déroulent (batailles navales, traite et esclavage, boat people,…), les dominations qu’elle facilite (conquêtes, colonisation, exploitations commerciales…) ; d’autre part, l’invitation au voyage, les rêves qu’elle suscite, les rencontres et les découvertes qu’elle favorise. Retours de mer évoque également la façon dont, aujourd’hui, la mondialisation redéfinit les cartes.
Dans le cadre de "Capitale régionale de la culture, Dunkerque 2013"
Cédric Gras et Sylvain Tesson ont en commun un goût pour les grands espaces et une approche poétique de la géographie. Les deux auteurs, qui sont aussi amis, évoquent leur rapport à l’écriture.
13/2/14 - 00 H 00
Du 6 au 9 mars, le Festival Etonnants Voyageurs migre au Maroc dans le cadre de la saison France-Maroc 2014.
Après le Montana, Dubin, Sarajevo, Haïfa, Bamako, Port-au-Prince et Brazzaville, le Festival Etonnants Voyageurs s'envole au Maroc et plus précisément dans sa capitale, Rabat, et sa voisine, Salé.
la manifestation se déroulera du 6 au 9 mars 2014. " Une édition d’Étonnants Voyageurs au Maroc, parce que nous sentons tous qu’en cette Méditerranée qui fut à la naissance de tant de civilisations
Le Musée du Monde - vol. 18
La collection « Le Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. C’est à Venise, dix-huitième destination de ce voyage en peinture, que, sous les ors et les fastes ternis de la Sérénissime, entre langueur et frénésie, Giovanni Antonio Canal, a planté son chevalet et posé sa chambre noire. Son Palais des Doges reflète avec minutie son observation aigüe des rites et des usages d’un quotidien au fil de l’eau.
Le Palais des Doges et la place Saint-Marc
Canaletto raconte sa ville, son décor, son temps, sa lumière, ses passions et ses doutes. Tel le maître de ballet d’agiles gondoles sillonnant les canaux vénitiens, sur une lagune où l’Europe entière fait escale, le peintre fixe l’architecture vivante de ses palais, consigne avec science, et un œil impartial, les faits et gestes de Vénitiens nostalgiques d’une splendeur qui ne sera bientôt plus qu’un souvenir. Car le XVIIIe siècle, dans la marche des Lumières, fera perdre à la cité de marchands son influence sur la Méditerranée, l’Orient et la destinée de l’Occident. Pourtant, les paysages urbains (vedute) pointilleux et descriptifs deviennent un genre pictural qui conquiert les esthètes de France et d’Angleterre. Ces vues réalistes renouvellent une tradition héritée du siècle précédent. Francesco Guardi, Bernardo Bellotto lui emboiteront le pas, inaugurant avec Marco Ricci ces caprices de peintres qui mêlent aux vestiges antiques d’un passé mythifié, les fantaisies contemporaines d’artistes inventifs et raffinés. Mais la leçon de peinture que dispense Canaletto à une postérité rivale sera et restera cette inaltérable force vive qui dans la magie de l’eau et de la lumière saisit le temps des hommes, en créant pour toujours, d’un regard introspectif, cette proximité humaine, sensible et rêveuse qui traverse les siècles comme un souvenir à partager.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
EN IMAGES - Après l'économie, la diplomatie, le sport et la communication, le Qatar joue une carte inattendue, celle du tourisme. Une destination testée en avant-première.
On croyait connaître l'écrivain inspiré, le soldat héroïque, le voyageur impénitent, l'entomologiste passionné... Sous la tenue et la retenue du seigneur des lettres allemandes, une belle biographie révèle les tourments d'un homme blessé.
On croyait connaître l'écrivain inspiré, le soldat héroïque, le voyageur impénitent, l'entomologiste passionné... Sous la tenue et la retenue du seigneur des lettres allemandes, une belle biographie révèle les tourments d'un homme blessé.
On croyait connaître l'écrivain inspiré, le soldat héroïque, le voyageur impénitent, l'entomologiste passionné... Sous la tenue et la retenue du seigneur des lettres allemandes, une belle biographie révèle les tourments d'un homme blessé.
Deux personnes, elle est écrivain, lui chargé de l’interviewer, ont survécu à leur
enfance se rencontrent,se racontent, l’ un à l’écoute de l’autre.
Le dialogue,d’abord prévu pour une durée de quelques heures, va durer sept
semaines et explorer les souvenirs de chacun notamment leur enfance terriblement
violente qui les rapproche aujourd’hui. Caissière dans un café d’une station
balnéaire, elle raconte comment elle va devenir un écrivain célèbre et reconnu.
Le besoin d’écrire de Caroline est si fort qu’il provoque son divorce : « divorcer
c’est comment rentrer de la guerre, recommencer à manger chaud,
pouvoir écrire dans un endroit confortable. »
Une histoire sur la naissance de l’écriture qui laisse longtemps des traces
une fois le livre refermé
Au XIVème siècle, Charles IV voulut faire de sa ville la nouvelle Jérusalem. Il la parsema d’églises et bâtit un pont célèbre sur la Moldau, d’où l’on contemple aujourd’hui la Prague gothique mais aussi les coupoles baroques, d’où l’on devine les palais Art Déco et les façades Art nouveau.
http://boutique.lefigaro.fr/produit/122622-rendez-vous-a-prague
Magnifiquement illustré, Le Figaro Voyageur vous emporte dans une promenade étourdissante au cœur de la ville qui adopta Mozart, inspira Kafka et accueillit la renommée de Mucha. Des rois de Bohème à Rodolphe II de Habsbourg, de Jean Hus à Vaclav Havel, retrouvez les figures de l’histoire mouvementée de la Bohème, contemplez les richesses insoupçonnées de ses collections d’art et la symphonie architecturale qui fait de Prague la reine de l’éclectisme.
Quitter Dakar, au rythme des foulées, aller jusqu’à Paris, se déplacer au gré des rencontres : tel était le pari de Pierre Cherruau. Ce reporter-écrivain a choisi de longer l’Atlantique à pied, d’emprunter des chemins de traverse pour raconter le continent africain. Nulle prouesse physique ou sportive, il a pris le pouls de l’Afrique, donné la parole aux habitants, écouté leurs colères, leurs enthousiasmes et leurs passions pour la terre rouge, couleur de latérite, qui les a vus naître.
Ce voyage est aussi personnel à plus d’un titre. La course est l’occasion de renouer en esprit avec un père parti trop tôt, cet autre Pierre Cherruau, lui aussi journaliste et écrivain, disparu avant d’avoir eu le temps d’écrire tous les livres rêvés. Un père qui en initiant son fils à la course, sur les rives de la Garonne lui a donné le goût de la liberté. Et puis, ses liens avec l’Afrique sont familiaux : sa femme est Sénégalaise et ses enfants, des héritiers de la culture nomade des peuls.
Ce récit, intime et sensible, est aussi un moment d’égarement volontaire, un « temps volé », où le professionnel de l’information cesse enfin d’être pressé et connecté, où il échappe à la frénésie de l’actualité. Il renoue avec ce qui fait l’essence de ce métier : les hommes et les imprévus
Le deuxième livre de Frank Bruno disponible dés le jeudi 18 octobre 2012 dans toutes les librairies francophones : « Ayeltgnu, le défi d’une vie debout« .
« Ayeltgnu ! » signifie « Tu as de la chance ! » en Tinglit, langue parlée en Alaska.C’est le leitmotiv de Frank Bruno lorsqu’il descend à la pagaie le fleuve Yukon malgré (ou parce que) il est amputé d’un membre inférieur depuis ses dix-huit ans.
Une aventure en solitaire de plusieurs semaines comme un voyage initiatique au plus profond de lui-même, au cour d’une nature a priori hostile, qui se révélera comme une douce compagne. Un livre d’espoir, magnifique de grandeur d’esprit et d’humilité.
Un livre de combat aussi. Depuis cette funeste soirée sur le porte-avions Foch où, jeune homme de 18 ans, Frank Bruno a perdu l’une de ses jambes, il n’a de cesse de relever le défi de la vie. Rien d’impossible au cabochard ! Sauveteur en mer, sportif de l’exploit et aventurier, rien dans sa vie n’est banal.
Frank Bruno a reçu le « Prix Peter Bird » en 2009, remis chaque année par la Guilde européenne du raid et qui récompense un aventurier pour sa détermination et son abnégation. Il a effectué, en duo, la première traversée à la rame de l’Atlantique par des handicapés, rejoint le pôle Nord, la traversée du Groenland d’Ouest en Est avec Nicolas Dubreuil, fait l’ascension du plus haut volcan du monde (+ 6000 m). Il est aussi président de l’association « Bout de vie » qui accompagne des blessés par la vie.
Aujourd’hui, il raconte son odyssée solitaire sur le fleuve Yukon, des milliers de kilomètres en kayak de Whitehorse à Grayling… un prétexte à se retrouver, à se regarder en face et à renouer avec l’harmonie fondamentale qui lie l’homme à la Nature. Un ouvrage sensible, grand public, écrit pour ceux qui doivent chaque jour conjurer le mauvais sort… les blessés de la vie certes mais aussi, certainement, le commun des mortels…
«Je ne peux suivre un chemin tout tracé, je n’en ai pas envie et je sais que c’est dans l’adversité que l’on grandit. Quand deux routes se présentent à moi, je prends toujours la plus difficile. Un jour, une petite fille m’a dit qu’elle savait pourquoi j’étais amputé ! Du haut de ses dix ans, elle affirmait que si j’avais cette différence, c’est parce que j’étais plus fort que les autres ! Je ne sais pas si c’est juste, mais ce qui est sûr c’est que, chaque fois que j’ai reçu de la souffrance, je ne l’ai pas prise comme une punition mais au contraire comme une pierre blanche posée sur un chemin parfois obscur.»
Editions : Au coin de la rue.
Collection : Au coin du monde
qui a fait un gentil article à propos d'"Oser Venise" sur son blog:
http://www.thebookedition.com/oser-venise-laura-vanel-coy...
Allez découvrir ce blog et les 2 autres d'Elisabeth
Enfin et surtout achetez ses livres en suivant les liens sur son blog.
La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Le quinzième volume nous entraîne dans le sillage de ce voyageur au regard simple et incisif. Un artiste loin des préjugés de son temps, qui réconcilie l’être et la nature.
Sur la plage
Une enfance péruvienne, une guerre de 1870 passée à bourlinguer pour la marine marchande ont nourri chez Paul Gauguin un goût de l’ailleurs. L’abandon de soi et des siens fut le prix de sa liberté dans un territoire immense et inconnu. Laissant derrière lui une brève carrière de courtier en Bourse et le possible confort d’une vie bourgeoise, il choisit l’aventure. Celle de la peinture, de l’impressionnisme aux nabis, du groupe de Pont-Aven à l’ambitieux projet de Van Gogh et de son grand atelier du Midi… Celle d’une recherche plastique, où l’imbrication harmonieuse et épaisse des formes unit figure et paysage. Dans l’élan de la découverte, sa quête le met à distance de son époque et de la course effrénée d’un progrès corrosif, voire illusoire. En visionnaire de l’essentiel, Gauguin capte le rythme de gens simples, leur immédiateté, leurs attitudes ordinaires, leur grâce discrète. Du même oeil, il immortalise Bretonnes et Polynésiennes, s’en faisant l’humble chroniqueur et l’éloquent avocat. Avec passion, et une douceur empreinte de mysticisme, il tente de réconcilier l’être et la nature. Les îles lointaines furent sa terre promise. Là, Sur la plage [Femmes de Tahiti], où le temps se traîne sans exotisme, où une mer d’huile épouse une indolence maorie dans des aplats colorés et massifs, ses Tahitiennes deviennent des déesses terriennes et maternelles. Pourtant leur silence parle à chacun et Gauguin y clame sa foi de peintre et d’homme. Semblant lancer une gifle à une modernité convenue, il revient aux sources, à l’originel : à l’autre. Comme Van Gogh ou Cézanne, il emprunte cette voie où l’épure, la sensation simple et vraie, la justesse appartiennent soudain à une vision philosophique du monde.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
William Bartram
collection Biophilia n°5 | Corti, février 13
édition naturaliste établie par Fabienne Raphoz | Illustrations en couleur
William Bartram (1739-1823) fut et reste l’un des premiers et l’un des plus grands naturalistes américains. Sa renommée, toujours immense aux États-Unis, il la doit à ses Voyages (1775-1778) qui demeurent l’un des livres les plus étonnants du 18 ème siècle (il fut traduit en France au moment de la Révolution).
William Bartram, sans le savoir, est un précurseur, car ses Voyages constituent un témoignage de première main sur des régions encore inexplorées du Nouveau-Monde (les deux Caroline, la Georgie et la Floride du Nord). Son apport sera décisif pour certaines disciplines (géographie, histoire naturelle, anthropologie, ornithologie, botanique). Ses descriptions précises, subtiles de la nature, des paysages, des Indiens, de la flore, des animaux, du vivant en général, anticiperont une nouvelle façon de voir et de parler du monde. S’il est surtout connu en Europe pour avoir inspiré Chateaubriand et les romantiques anglais (Wordsworth et Coleridge, notamment), son œuvre aura une influence non négligeable sur les écrivains américains de la nature, Emerson, Thoreau, etc.
William Bartram est aussi un visionnaire, car bien avant que les idées de Darwin aient conquis les esprits, il a l’intuition que l’observation du monde permet de l’appréhender et de donner à chaque chose sa place dans le cycle de la vie, d’où son respect des Indiens, sa condamnation de l’esclavage, son amour de la nature et sa défense des animaux.
Pour toutes ces raisons, la collection Biophilia accueille la première édition naturaliste des Voyages de Bartram dans la traduction d’époque remaniée. Elle comprend en outre un cahier en couleur de ses dessins et des photos prises sur le terrain de quelques paysages typiquement bartramiens d’aujourd’hui.
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Le "Piquet-Monségur", en Ariège, près du château où périrent brûlés plus de 200 Cathares en 1244... Les autres photos ont également été prises sur le site. (Photo jacme31 )
Le Journal des Expositions est en kiosques ce samedi 7 décembre. Consacré aux plus belles expositions en France et à l’international, il est dirigé par René-Marc Chaffardon, fondateur de Beaux-Arts Magazine et de Muséart.
À mi-chemin entre magazine et beau livre d’art, sa maquette privilégie les visuels et l’épure. Sur 172 pages, expos et musées sont à l’honneur à travers une sélection à la fois éclectique et curieuse qui fait la part belle aux capitales européennes mais aussi à la province française. Rendez-vous immanquables, lieux oubliés, carnets de voyage, chroniques portant sur un courant ou un artiste, temps forts et grands noms, entretien avec une personnalité, sélection de beau livres sont au programme. Chaque numéro comportera également un flash back sur un évènement marquant et pour ce premier opus, c’est l’exposition Toutankhamon de 1967 à Paris qui tient la vedette de cette séquence souvenir.
La régie du titre a été confiée aux Inrocks.
Calendrier de parutions - remise des éléments techniques 10 jours avant parution : 20 février, 17 avril, 19 juin, 11 septembre, 20 novembre.
- Périodicité : bimestrielle
- Format : 220 x 285, dos carré collé
- Tirage : 45 000 exemplaires
- Tarif brut PQ – publicité commerciale : 8 000 euros
- Tarif brut PQ - publicité culture : 7 000 euros
Contact publicité : Benjamin Cachot – 01 42 44 18 12 – benjamin.cachot@inrocks.com
http://www.lesblogsmedias.fr/2013/12/06/111404-premier-numero-pour-le-journal-des-expositions/
Trompée par son mari, tyrannisée par ses enfants en pleine crise d'adolescence, Clarisse craque ! Finies l'épouse idéale et la mère parfaite, Clarisse part à la reconquête de sa vie. Malgré les conseils de son entourage, elle est bien décidée à ne plus fermer les yeux. De rencontres fortuites en voyages impromptus, retrouver sa liberté ne se fait pas sans heurts ni désillusions. C'est alors qu'en solitaire, elle se décide pour une escapade vénitienne... Et si la magie de la ville des amoureux pouvait tout changer ?
http://evene.lefigaro.fr/livres/livre/marie-claude-gay-fugue-venitienne-1872651.php
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Pendant 20 mois, Marion et Julien ont sillonné la moitié de la planète à vélo dans le but de promouvoir le don du sang. Les 22.000 kilomètres parcourus leur ont permis de rallier la France à la Nouvelle-Zélande.