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Voyage - Page 51

  • Piaf, un chant d'amour

    Ce livre-album est un voyage. Un voyage au bout des nuits (et des jours) d’Edith Piaf. Une vie pas toujours rose, qu’elle a pourtant voulu chanter, voire louer, en guise d’exorcisme. Ce voyage, au cœur d’une époque en noir et blanc, est conduit par le trait d’un artiste, l’illustrateur Philippe Lorin, maître du crayonné et du fusain. Un portraitiste d’abord, mais aussi un gardien d’atmosphères, tel que l’aurait adoubé Arletty. Ce voyage est guidé par les mots de Patrick Mahé, auteur de nombreuses biographies, récits, « beaux livres » et romans. C’est lui qui en a conçu le découpage. Ancien rédacteur en chef de Paris Match, il a ponctué du « poids des mots » cette balade autour d’une vie, pas comme les autres… De Piaf, on croit tout connaître, tout savoir. Pas si sûr… De sa naissance mystérieuse à sa mort pathétique, à 44 ans – on l’a d’abord cachée pour conduire clandestinement sa dépouille de la Côte d’azur à son domicile Parisien – l’histoire vraie tutoie le légendaire. Ce livre album jalonne les mille et une étapes d’une vie tumultueuse. Elle signe le contre-point des fastes de « la Belle Epoque ». Son fanal tient en un mot : l’amour. Mais le désespoir et la mort en rythment trop souvent l’infernal tempo

    http://www.hoebeke.fr/ouvrages/391/

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Voyage

    L'âme de Lisbonne

    Mots clés : Lisbonne

    Lapaque, Sébastien
    21/11/2013 | Mise à jour : 16:34


    Lisbonne, histoire, promenades, anthologie et dictionnaire de Luisa Braz de Oliveira est une somme historique et poétique sur la capitale portugaise.

     

    Jamais nous ne nous lasserons de nous perdre dans le labyrinthe des rues de Lisbonne, la capitale portugaise aux azulejos éclatants de lumière bleue qu'aimèrent tant le jésuite António Vieira, le poèt...

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  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Voyage

    Charles Juliet

    Journal VII 1997-2003

    Charles Juliet

    Comme les précédents, ce nouveau tome du Journal de Charles Juliet, comporte des notes de voyage, des réflexions sur l’écriture et l’art, et cette fois, plus évidemment, sur le temps qui passe et sur l’âge qui vient. Avec une vraie confiance, maintenant, dans la vie et dans l’autre, avec l’apaisement :

    Un regard serein    apaisé

    Une plus large ouverture sur le monde

    L’exigence éthique inévitable

    Une écriture ferme et limpide

    Des notes dont certaines sont proches
    du poème en prose

    Pour restituer des moments de vie
    des rencontres    des souvenirs    des lectures
    des...

     

    voir tout le résumé du livre >>

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  • Pendant un voyage,j'ai lu:HOMME, FEMME… LES LOIS DU GENRE

    La loi ouvrant le mariage à tous a soulevé les passions. Mais n’est-­‐il pas la conséquence normale d’un processus engagé depuis plusieurs siècles ? Comment se sont construites les notions de féminité et de masculinité?
    Qu’en disent les biologistes, les psychiatres, les historiens les anthropologues?

    Le Point Références présente dans ce hors-­‐série un panorama de textes emblématiques du rapport homme-­‐femme à travers l’histoire et le monde. De la Bible aux « gender studies », d’Aristote à Judith Butler, de Rome à l’Afrique, l’identité sexuelle et les rôles assignés aux genres sont aussi variés que flexibles.
    L’anthropologue Françoise Héritier, digne successeur de Claude Lévy‐Strauss au Collège de France, mais aussi Catherine Vidal,
    Delphine Horvilleur, Florence Dupont, Rémi Brague et beaucoup d’autres analysent ces lois du genre que l’on a crues immuables.

    Et nous montrent que ces mutations sont bien plus qu’un simple effet de mode…

    http://boutique.lepoint.fr/produit/490/homme-femme%E2%80%A6-les-lois-du-genre

  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Venise, Voyage

    Un Bourguignon au pays des merveilles

    L’Italie comme terre de civilisation a toujours fasciné les Français, qu’ils aillent y chercher les antiquités de Rome, les merveilles de la Renaissance ou les délices du XVIIIe siècle. Charles de Brosses, jeune conseiller au parlement de Bourgogne, ne fait pas exception à la règle : comme tant de beaux esprits et de jeunes nobles de l’Ancien Régime, il sacrifie à l’usage du voyage en Italie afin de parfaire sa formation intellectuelle et artistique.

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  • Bernard NOEL

    Bernard Noël / L'Empreinte charnelle du verbe

    la revue Fusées, dans son n° 5 (oct 2001) consacre un épais dossier à Bernard Noël avec un inédit, cette étude majeure sur Antonin Artaud
    Bernard Noël / Antonin Artaud, corps imposthume

    retour remue.net
    retour page contemporains

    4 octobre 2002 :
    le ministère de l'intérieur se mêle de littérature - sur cette question de censure, nous avons déjà diffusé l'analyse de Jean-Marie Laclavetine, le point de vue d'éditeurs, dont Paul Otchakovsky-Laurens et Christian Bourgois, et la contribution d'écrivains, dont Michel Séonnet ou Leslie Kaplan : voir notre bulletin du 13 septembre

    pour revenir au coeur même de la question, nous vous proposons en téléchargement un texte fondamental, peut-être déjà dans votre bibliothèque en postface au Château de Cène : il s'agit de L'Outrage aux mots, de Bernard Noël, écrit en 1975 -

    L'Outrage aux mots - téléchargement RTF - © Pauvert - réservé à la consultation personnelle
    Ronald Klapka avait rendu compte dans remue.net de la publication en poche (collection L'Imaginaire) du Château de Cène / L'Outrage aux mots

    L'espace du poème
    extraits de la préface de Dominique Sampiero
    POL, 1998

    Bernard Noël / L'Acte de poésie
    Bernard Noël parle corps et poésie, septembre 1995, texte publiéà la suite des des entretiens de L'espace du poème

    Bernard Noël sur le site des édtitions POL

     

    François Bon (1997) : sur Bernard Noël
    hommage publié dans un dossier des Librairies l'Oeil de la Lettre, à l'initiative de Catherine Martin-Zay (Les Temps Modernes, Orléans)

    François Bon / écrire c'est comme s'effondrer au-dedans
    contribution à la revue Fusées en hommage à Bernard Noël
    (2001)

    dans "Le reste du voyage", trois poèmes performance de Bernard Noël : écrits du TGV

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  • Catégories : Baudelaire Charles, La littérature, Mes travaux universitaires, Voyage

    Baudelaire et les femmes 1. Jeanne Duval(Pour Elisabeth)

    435c53e99bedaed76c74ba535db9e05c.jpg

    Dans mon mémoire de maîtrise,

    "Des paysages de Baudelaire et Nerval"(« Le paysage dans les œuvres poétiques de Baudelaire et Nerval »

    (en vente ici:

    http://www.thebookedition.com/laura-vanel-coytte-des-paysages-de-baudelaire-et-nerval-p-8154.html#commentaires)

     

    Dans la 1 ere partie consacrée à la poétique du paysage,

    1.      La construction typologique du paysage,

           1.2. Des paysages littérairement et culturellement construits).,

                  1.2.3. Poétique de l’air

    1.2.3.5.       

                                                                                                    1.2.3.5. Les parfums

     

     

     

     

     

    Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure !
    Ô boucles ! Ô parfum chargé de nonchaloir !

     

     

     


    La langoureuse Asie et la brûlante Afrique,

     

     Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
     Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique !
    (« Les Fleurs du Mal », « La chevelure », v.1-2 et 6-8)

    La chevelure ardente de Jeanne Duval  réveille des souvenirs dorés et des visions lumineuses de vaisseaux :

     

     

    Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève !
    Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve
    De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts :
       
    Un port retentissant où mon âme peut boire
    À grands flots le parfum, le son et la couleur ;
    Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire
    ,( idem, v.13-18)

     



    « On sait peu de choses sur cette femme, une mulâtresse qui hantera la vie et l’œuvre de Baudelaire des années durant. « C’était une fille de couleur, d’une très haute taille, qui portait bien sa brune tête ingénue et superbe, couronnée d’une chevelure violemment crespelée, et dont la démarche de reine, pleine d’une grâce farouche, avait quelque chose à la fois de divin et de bestial. » C’est en ces termes que Théodore de Banville évoque la belle Jeanne dans ses Souvenirs.
    Baudelaire fait sa connaissance en 1842, à son retour de voyage: sans doute lui rappelait-elle "l'idéal de la beauté noire". Elle habitait au 6,rue de la Femme-sans-tête, près de l'hôtel Pimodan, et était alors comédienne dans un petit théâtre. Ce fut le début d'une liaison tempétueuse de presque toute une vie, qui inspirera de nombreux poèmes. Elle est la « maîtresse des maîtresses » dans le poème Le Balcon, et c’est sans doute ses charmes qui inspirèrent les vers de Parfum Exotique, La Chevelure, Le Serpent qui Danse, Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne, Sed Non Satiata, série de poèmes des Fleurs du Mal souvent citée comme le cycle de la « Vénus Noire ».
    Vampirisé, diabolisé, à la fois ange et démon, Jeanne Duval incarne la femme sensuelle, tentatrice, dangereuse, tribade, infidèle, troublant l’âme du poète épris d’une passion charnelle, qui prend la forme d’une dépendance forte. » (http://baudelaire.litteratura.com/?rub=vie&srub=per&id=5)

    Source de l'image:http://baudelaire.litteratura.com/?rub=vie&srub=per&id=5

  • Hubert Robert

    Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire de la peinture ».

    Hubert Robert. Vue imaginaire de la Grande Galerie en ruines.Hubert Robert. Vue imaginaire de la Grande Galerie en ruines.

    Peintre français (Paris 1733  – id. 1808).

    Il apprit le dessin auprès de Michel-Ange Slodtz. Il gagna Rome dès 1754 dans la suite du comte de Stainville, alors ambassadeur de France, le futur Choiseul. Grand admirateur de Pannini (on compte 25 tableaux de ce peintre dans son inventaire après décès), de Piranèse et de Locatelli, il rencontra Fragonard en 1756 et Saint-Non en 1759, année où il obtint une place de pensionnaire à l'Académie. Avec ce dernier, il fait un voyage à Naples en 1760, puis travaille avec ses deux amis à la villa d'Este : dessins à la sanguine de jardins taillés et de ruines dont les masses aérées et les lignes souples (Parc, Vue du Capitole, Louvre, département des Arts graphiques) contrastent avec ses figures sommaires mais justes et paraissent plus originales que les descriptions pittoresques de Vernet (Cascade de la villa Conti à Frascati, musée de Besançon) ou que ce qu'exécutait de Machy " la règle à la main ". Au contraire, les quelques gravures qu'il a laissées montrent qu'il n'a eu ni la patiente minutie de Saint-Non ni la maîtrise de Fragonard.

    En 1765, Robert rentre à Paris, précédé d'une solide réputation de paysagiste et de décorateur : il triomphe au Salon de 1767, en particulier avec son tableau de réception à l'Académie (Port de Rome, 1766, Paris, E. N. B. A.). Jusqu'en 1775, l'artiste utilise essentiellement les dessins rapportés d'Italie, qui lui permettent de créer des décorations pour différents amateurs parisiens (marquis de Montesquiou).

    Mais, à partir de 1770, le goût des jardins anglais se répandant en France, il se met à dessiner des paysages de Paris et de ses environs (Incendie de l'Opéra, 1781, Paris, musée Carnavalet) et est chargé de la transformation des Bains d'Apollon à Versailles (Vue du Tapis vert, Vue des Bains d'Apollon, 1777, Versailles). Dessinateur des jardins du roi (1778), il travaille aussi au parc de Compiègne et probablement à celui de Méréville pour le financier Laborde. C'est de cette période que date la série des tableaux de la vie de Madame Geoffrin (1772), destinée à remplacer les grands tableaux de Van Loo vendus à Catherine II : l'artiste s'y révèle un intimiste assez proche de Chardin, dont il possède une Dame cachetant une lettre (disparue). De 1770 à 1808, il constitue en outre un prestigieux ensemble de vues de Paris, inaugurant le genre d'actualité, accumulant, décrivant, modifiant, variant, mariant, rapprochant ou supprimant à son gré bâtiments et personnages, détails et proportions dans des œuvres où la fantaisie passe pour réalité (nombreux exemples au musée Carnavalet : Démolitions du pont Notre-Dame et du Pont-au-Change, 1786-1788 ; Une frise du pont Royal, 1789, musée d'Épinal). Ensuite, il s'intéresse aux monuments antiques de la France : Pont du Gard, l'Intérieur du temple de Diane à Nîmes, la Maison carrée, les arènes et la tour Magne à Nîmes, l'Arc de triomphe et l'amphithéâtre de la ville d'Orange, 1787, Louvre, quatre tableaux constituant la série des " Antiquités du Languedoc ", commandée pour le château de Fontainebleau. En 1784, il est nommé garde des tableaux du Muséum royal, mais continue d'exécuter ses paysages de ruines italiennes (l'Ancien Portique de Marc Aurèle et le Portique d'Octave à Rome servant de marché aux poissons, 1785, Louvre, en dépôt à l'ambassade de France à Londres). C'est pendant les années qui précèdent la Révolution que, chargé d'examiner l'éclairage de la Grande Galerie (dès 1778, d'Angiviller s'était prononcé pour l'éclairage zénithal, que Percier et Fontaine reprendront en 1796), il exécute une série d'études ou de descriptions imaginaires des salles des antiques et de la Galerie (plusieurs tableaux au Louvre, dont les deux grandes Vues de la Grande Galerie, en projet et en ruine, exposées au Salon de 1796 et qui firent longtemps partie des coll. impériales de Russie), où il organise des expositions provisoires avant l'ouverture du 7 avril 1799 (Louvre). Malgré la célébration de la Révolution (la Fête de la Fédération, 1790, Versailles), Hubert Robert est emprisonné en 1793-94 à Sainte-Pélagie, puis à Saint-Lazare : c'est de cette époque que datent ses assiettes peintes. Après Thermidor, il fait partie, ainsi que Fragonard, de la commission du Conservatoire, puis de celle du Muséum (1795-1802). Dans la seconde moitié du siècle, son œuvre représente donc l'un des exemples les plus brillants des tableaux d'architecture, remis à la mode par Pannini, et cela certainement grâce à ses relations amicales avec Fragonard, qui a pu l'encourager à user d'empâtements longs et clairs, à employer une touche très fluide dans des compositions qui sont vues dans leur ensemble et où le pittoresque des accessoires reste secondaire (le Portique en ruine, Pêcheur et laveuses, 1783, Louvre), à la différence de ce qui se passe chez Vernet. En outre, même si son imagination l'amène à composer des paysages à partir d'éléments pris sur le vif, Hubert Robert n'en arrive jamais à ces vues de fantaisie où Fragonard donne toute l'importance aux figures, le tout dans un esprit déjà préromantique. Il est peut-être l'un des derniers peintres du xviiie s. dont la sensibilité et l'élégance soient relativement peu touchées par l'esprit nouveau de Rousseau et de Greuze.

    Hubert Robert fut très apprécié de son temps, ce qui contribue peut-être à expliquer que certains musées soient particulièrement représentatifs de son œuvre : l'Ermitage (qui rassemble beaucoup d'œuvres que, à l'exemple de leurs souverains, les grandes familles de la Russie — Stroganov, Chouvalov, Galitzine — semblent avoir acquises) ; le musée de Valence, où est conservée toute la collection des dessins à la sanguine de la coll. Veyrenc.

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  • Catégories : Brueghel La Dynastie, CEUX QUE J'AIME, Voyage

    J'ai lu pendant mon voyage vers Paris:La Dynastie des Brueghel à la Pinacothèque de Paris

    De Pieter Brueghel l'ancien à Jan Brueghel le Jeune, l'exposition de la Pinacothèque nous plonge dans la peinture flamande des XVIe et XVIIe siècle. Fêtes populaires, œuvres florales, scènes religieuses ou peintures de paysages, ce hors-série donne un vaste aperçu de la production picturale de la « dynastie Brueghel » et de ses héritiers.

    http://boutique.connaissancedesarts.com/offres/2602

  • Catégories : Voyage

    Bulletin Nerval nº 119 / 1er octobre 2013


     

     
     
    COMPTE RENDU

    P. Adinolfi, CR de G. de Nerval, "Voyages en Europe" (éd. M. Brix et H. Mizuno, Paris, Ed. du Sandre, 2011), in "Zeitschrift fur Franzosische Sprache und Literatur", Band 122, 2012, Heft 3, p. 313-315.
     
     
    COLLOQUE

    Nineteenth Century French Studies Colloquium, 24-26 octobre 2013, Richmond

    Vendredi 25 octobre, session 7, 15 h 30 - 17 h, atelier F : Karen Haddad, "Chateaubriand, Nerval, Alfieri, autres formes de l'autofiction"

    Samedi 26 octobre, session 11, 16 h 15 - 18 h, atelier C : Adriana Chimu Harley, "El Desdichado et la préface aux Filles du Feu de Nerval, ou le portrait du je lyrique en comédien"
     
     
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    Ce Bulletin vous tiendra informe(e) des renseignements concernant Nerval. Si vous desirez le recevoir gratuitement et y faire paraitre des informations ou des commentaires, veuillez envoyer vos coordonnees et vos messages a Michel Brix ou Hisashi Mizuno.
     
    Les anciens numéros du Bulletin sont installes sur le site Amitie-Nerval et sur le site du Centre Nerval de Namur.


     

  • Catégories : Voyage

    Les Voyageuses au festival international des écrits de femmes de Saint-Sauveur-en-Puisaye

     

    Après le succès du 1er Festival international des écrits de femmes, Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne), village natal de Colette, se prépare à l’édition 2013 qui pourra s’honorer de la présence de l’historienne Michelle Perrot, l’une des pionnières de l’Histoire des femmes.


    Les Voyageuses au festival international des écrits de femmes de Saint-Sauveur-en-Puisaye
    Sidonie Gabrielle Colette est l’un des écrivains français les plus lus et traduits dans le monde. Saint-Sauveur-en-Puisaye, où se trouve un musée consacré à Colette, était tout désigné pour accueillir le premier Festival International des Écrits de Femmes (FIEF) au cœur des paysages de son enfance. Le deuxième week-end d’octobre, des lecteurs, des écrivains, des artistes et des chercheurs venus du monde entier se retrouvent autour d’un thème à chaque fois différent.

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  • Nous avons aimé ce soir au cinéma:Elle s'en va

    Elle s'en va

    Bettie, la soixantaine, se voit soudain abandonnée par son amant et en péril financier avec le restaurant familial. Que faire de sa vie ? Elle prend sa voiture, croyant faire le tour du pâté de maison. Ce sera une échappée. Au fil de la route : des rencontres de hasard, un gala d’ex-miss France, le lien renoué avec sa fille, la découverte de son petit-fils, et peut-être l’amour au bout du voyage… Un horizon s’ouvre à elle.

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  • Catégories : Voyage

    Jeudi 19 septembre 2013 à 21.30

    Amélie Nothomb,
    une vie entre deux eaux

     

    Documentaire
     

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  • Catégories : Voyage

    Les Arbres voyagent la nuit d’Aude Le Corff

    Les arbres voyagent la nuit d’Aude Le Corff

    Les Arbres voyagent la nuit

    fait partie de la sélection romans du sixième Prix littéraire des lycéens et apprentis Rhônalpins 2013-2014.

    Âgée de 36 ans, Aude Le Corff est née à Tokyo. Elle a suivi des études d’économie et de psychologie. Blogueuse et «droguée d’écriture», elle se consacre aujourd’hui à l’écriture. Les Arbres voyagent la nuit (Stock) est son premier roman.

    http://auteurs.arald.org/mediation/prix-des-lyceens/les-arbres-voyagent-la-nuit-daude-le-corff-4895

  • Catégories : Paysages chez Lamartine, de bohémiens. Deux essais, Voyage

    Adieu, torero d’Olivier Deck

    Adieu, torero d'Olivier Deck

    Adieu, torero fait partie de la sélection « Roman » du sixième Prix littéraire des lycéens et apprentis rhônalpins 2013-2014.

    Olivier Deck est né à Pau et vit dans les Landes. Écrivain, poète, nouvelliste, peintre et musicien, mais aussi chanteur, réalisateur, il est l’auteur d’une œuvre protéiforme. Il est également passionné de tauromachie et un grand voyageur.

    Biographie

    http://www.editionsin8.com/olivier-deck

    Site de l’auteur

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  • La SNCF passe à la vitesse supérieure dans le covoiturage

    Porte-à-Porte, nouveau service de la compagnie

    09/09/2013 Industrie & Services - Les Echos - 51%
    La SNCF entend désormais prendre en charge les voyageurs de leur point de départ jusqu'à leur destination finale.

    iDTGV, pionnier du « bout en bout »

    09/09/2013 Industrie & Services - Les Echos - 48%
    La filiale de la SNCF propose à ses clients du porte-à-porte en navette, mais aussi en autocar vers les stations de ski.

    09/09/2013 Industrie & Services - Les Echos - 50%

    La compagnie a racheté le site 123envoiture.com, dans lequel elle avait déjà investi en 2009.Elle table sur de nombreuses synergies possibles.

  • Catégories : Voyage

    Nous avons vu hier soir au cinéma:Gare du nord

    Gare du NordParis, Gare du Nord, tout peut y arriver, même des trains. On aimerait y rester, mais il faut se dépêcher... Comme des milliers de vies qui s’y croisent, Ismaël, Mathilde, Sacha et Joan vont s’y rencontrer. Chaque jour, Ismaël est ébloui, fasciné, épuisé par ce lieu. C’est sur le quai du RER qu’il voit Mathilde pour la première fois. Peu à peu, ils tombent amoureux. Ils croisent Sacha et Joan. Sacha est à la recherche de sa fille disparue, Joan passe sa vie dans cette gare entre Lille, Londres et Paris. La gare est comme une bulle que tous traversent, Français, immigrés, émigrés, voyageurs, fantômes... C’est un carrefour où chaque vie passe vite et disparait

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  • Catégories : Voyage

    TURQUIE Carnet de Voyage 2011

    TURQUIE Carnet de Voyage 2011Un nouveau format très pratique et une nouvelle maquette est lancé pour la collection Carnets de Voyage. Destinés à tous les voyageurs qui partent en courts séjours et recherchent un guide complet au meilleur prix. Richement illustrés, ils proposent surtout des informations culturelles et de découverte : l'essentiel et plus ! Il est le compagnon idéal pour comprendre le pays et profiter au mieux de son séjour. Vous y retrouverez toutes les bonnes adresses et tous les bons plans pour optimiser votre séjour. Idéal pour le voyageur indépendant mais aussi le voyageur en groupe qui souhaitera s'échapper de son « resort ».

    http://boutique.petitfute.com/carnet-de-voyage-turquie-2011.html

  • Catégories : Voyage

    La terre pachtoune entre guerre et paix

    • Par Cyril Drouhet
    • Mis à jourle 06/09/2013 à 17:52
    • Publiéle 06/09/2013 à 17:11

    REPORTAGE - Nos reporters ont pu pénétrer au Pakistan dans les «zones tribales» frontalières de l'Afghanistan. Un monde interdit aux étrangers, régi par des coutumes ancestrales et considéré comme un repaire des talibans.

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  • Catégories : Voyage

    Turquie : un fleuve détourné par Crésus en 550 av. J.-C.

    Trieste, ville ouverte

    Par Jean-Pascal Billaud, publié le13/03/2013 à 08:00

    Cité portuaire en pleine effervescence, Trieste est le carrefour des humeurs italienne, slave et viennoise qui se projettent au coeur de la nouvelle Europe. C'est le moment d'en saisir toute la magie. 

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    Trieste, ville ouverte

    La piazza dell'Unita.

    © Atlantide Phototravel/Corbis

    A première vue, Trieste s'offre tout entière sur la piazza dell'Unita, célébrant son rattachement à l'Italie en 1918, après un long protectorat austro-hongrois. Bras grands ouverts au reste du monde, son effigie ailée vole au sommet de la fontaine des Quatre-Continents. La place, immense scène d'opéra, avec mer Adriatique et ciel changeants en toile de fond, fut restructurée pour le troisième millénaire par l'architecte français Bernard Huet. Elle est sillonnée par des passants dopés au "capo in b" (cappuccino in bicchiere), café hyperdistillé servi dans un minuscule verre qu'on avale, debout, au comptoir. Ils s'engouffrent dans les édifices du commerce ou du gouvernement qui bordent quais et corsos, collection unique d'architectures grandiloquentes. Ce méli-mélo stylistique fraîchement toiletté -maniérisme baroque ou gothique post-vénitien, colonnades néoclassiques ou mosaïques Art nouveau, styles Liberty ou rococo, en passant par les portiques en sucre glacé du Savoia Excelsior, "le plus luxueux palace de l'Empire" lors de sa construction en 1912- accompagna une prospérité galopante, puis un déclin mélancolique, quand le Rideau de fer tomba sur ses frontières orientales. 

    Un petit plat et un "capo in b" au comptoir, scénario habituel sur la piazza dell'Unita.

    Un petit plat et un "capo in b" au comptoir, scénario habituel sur la piazza dell'Unita.

    REUTERS

    Après avoir remis en beauté les pompeux monuments de la période habsbourgeoise, entre 1750 et 1914, les pros de la culture lorgnent ces jours-ci sur les milliers de mètres carrés d'entrepôts désertés qui prolongent les quais et s'allongent à l'est de la baie, sur les espaces préservés de la zone franche. Ils réhabilitent ces lieux gigantesques, que décorèrent à l'image de leurs palais du commerce les bâtisseurs d'empires maritimes, profitant du statut de port franc octroyé par l'Autriche en 1719. Déjà, le Magazzino 26 -le plus grand des hangars couverts de lierre s'alignant sur les kilomètres du Porto-Vecchio, trois immenses étages soutenus par des colonnades massives de pierre et de fonte coiffées de chapiteaux corinthiens- a accueilli la dernière Biennale de Venise "hors les murs". Le marché au poisson, surnommé par les pêcheurs "Santa Maria del Guatto" (Sainte-Marie du poisson pas cher) pour son allure incongrue de basilique 1900 aux bas-reliefs de coquillages et crustacés, s'est métamorphosé en "Salone degli incanti" (Salon des enchantements) pour événements "de prestige". On y célébrera en peintures l'entrée de la Croatie dans l'Union européenne, en juillet prochain. Les autres appareillages du Vieux-Port, telle la forteresse d'opérette de la Lloyd Adriatico, attendent encore la baguette magique de la municipalité, qui doit négocier avec les embarras diplomatiques de la zone franche... et la crise économique actuelle ! 

    Vernissage de la Biennale de Venise "hors les murs" au Magazzino 26.

    Vernissage de la Biennale de Venise "hors les murs" au Magazzino 26.

    D.Balbi/Photokroma/DR

    Les triestins ont une inaltérable passion pour leur ville.

    Sa magnificence reste sa plus grande séduction quand elle attire les affairistes cosmopolites et encourage des exploits aussi romanesques que lucratifs. Armateurs, banquiers et assureurs en sont les héros -le canal de Suez fut percé grâce aux coffres-forts du baron Revoltella, ami intime de Ferdinand de Lesseps. Ce beau monde fut bientôt rejoint par quelques génies littéraires décalés ou en transit: James Joyce, professeur d'anglais à qui son élève Italo Svevo, fabricant de peinture sous-marine, inspire le Leopold Bloom d'Ulysse, avant de devenir l'auteur tardif et déboussolé de La Conscience de Zeno; Rainer Maria Rilke, élégiaque courtisan en résidence chez la princesse Maria della Torre e Tasso dans son château de Duino. Leurs errances épiques tracent encore, entre sentiers venteux, quartiers chauds et cafés littéraires aux réminiscences viennoises, des itinéraires parallèles soigneusement balisés. 

    Des atlantes façon Musclor 

    En glissant sur le damier du borgo Teresiano, quadrillage strict et immeubles calibrés, quartier ordonné dès la fin du XVIIIe siècle par l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche, les flâneurs sont escortés, et émoustillés, par la multitude de corps nus qui en peuplent les façades. Des atlantes, façon Musclor, réapparaissent sous les toits, flirtant avec des nymphes échevelées et, planant au-dessus des volutes de la casa Smolars, un couple de géants dénudés affole les passants. Quant aux clients des terrasses des cafés, sous les frondaisons de la très animée viale XX Settembre, ils reluquent deux caryatides aux arrogants tétons, soutenant l'entrée du cinéma Ambasciatori. Baptisées Barbara et Gigogin, elles furent les pensionnaires vedettes de la villa Orientale, lupanar huppé de la Belle Epoque. 

    Le château de Miramare.

    Le château de Miramare.

    REUTERS

    De l'autre coté de la ville, en grimpant par les rues aux ambiances plus latines qui serpentent autour de la cathédrale de San Giusto, quelques demeures, revisitées en musées, accueillent leurs invités dans la fastueuse intimité des grandes familles triestines. Sous les combles de la villa des Sartorio, potentats du grain, 254 dessins de Tiepolo font contrepoint à un délirant décor néogothique. Le palais Revoltella a annexé deux bâtiments voisins pour une double vue: d'un côté, salons d'apparat ruisselants d'or, de marbre et de soieries; de l'autre, une galerie d'art moderne aux volumes blancs et rigoureux due à l'architecte Carlo Scarpa. Dans l'enfilade des pièces de la casa Morpurgo, on surprend, flottant sur les parquets cirés entre les meubles Boulle, les fantômes d'une haute société levantine qui sillonnait la Méditerranée et resplendissait à Trieste. Seul le château de Miramare, à l'extrémité de la baie, sur son promontoire battu par les rafales de la bora, dépasse en trésors et péripéties romantiques ces extravagances. Maximilien d'Autriche, plus jardinier que guerrier, y vécut un conte de fées dramatique: il troqua l'éden princier qu'il avait rêvé avec une épouse adorée pour un empire mexicain d'or et de pacotille, y revenant trois ans plus tard cadavre criblé de balles révolutionnaires, accompagné d'une veuve qui en perdit la tête. Au crépuscule, en promenade rituelle sur le môle Audace, étrangers et Triestins mêlés remémorent sur ces rivages une fortune aussi capricieuse que les cieux de l'Adriatique et rêvent... 

    Pratique

    Comment y aller?
    Italie and co propose un forfait à partir de 470 euros par personne incluant les vols A/R Paris-Venise (à 1h30 de Trieste environ), trois jours de location de voiture et deux nuits au Savoia Excelsior, avec les petits déjeuners. 

    Où dormir?
    Le Savoia Excelsior Palace.Sous les verrières, les ors et les stucs rénovés, un superbe palace pour une escapade ultra-romantique et abordable, dans des chambres face à l'Adriatique. A partir de 160 euros la nuit en chambre double. Renseignements: 00-39-040-779-41.
    L'Urban Hotel. Implanté dans les ruines romaines au pied de la città vecchia, un exercice de design contemporain pour se reposer les yeux des ornements omniprésents alentour, tout en blancheur et bois blond réveillés par les couleurs vives du mobilier de Ron Arad pour Morosco.
    A partir de 114 euros la nuit en chambre double . 00-39-040-302-065. 

    Où déjeunier, dîner?
    Salumar,le "labo du poisson", pour un rebechin (buffet) très frais, garni de calamars, de saumon ou d'une purée de polenta blanche et de morue, arrosé de vins blancs du Frioul. Fréquenté par la jeunesse locale. Tartines à partir de 2 euros, plats, 8 euros
    13, via di Cavana, 00-39-040-322-97-43.
    Al Bagatto. Dans des boiseries très Mitteleuropa, on dîne au milieu d'une véritable "librairie" de crus locaux à l'une des meilleures tables familiales de la ville. Sublime tartare de loup de mer aux pommes fruits et ricotta, et risotto aux palourdes et citron vert.
    Environ 60 euros le repas. 7, via Cadorna, 00-39-040-301-771.
    Al Bragozzo. Sur le front de mer, plats marins (exquis bar à la croûte de sel, somptueux spaghettis à la langouste) à déguster dans tous leurs états, crus ou cuits, après une dégustation de la spécialité d'anchois marinés.
    Environ 30 euros le repas. 22, riva Nazario Sauro, 00-39-040-314-111. 

    Où boire un café?
    Caffè San Marco.Lieu légendaire à l'ambiance viennoise, pour savourer cappuccino et pâtisseries en compagnie de douairières et d'étudiants, émules de Joyce, refaisant le monde.
    18, via Battisti.
    La Portizza.Réputé pour ses cocktails Negroni, alliage de Campari, de gin et de vermouth.
    5b, piazza della Borsa. 

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