Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
MP 2013-Mouvances troubadours
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Des oeuvres et des images en d…
Ulysse, le film
Les films d’animations
Les photos de Brian Griffin
Une scénographie de conteneurs
Le catalogue
Autour de Méditerranées
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Ne manquez pas l’exposition inédite "du Surréalisme à l’Histoire" consacrée à l’œuvre monumentale du peintre chilien Matta, jusqu'au 20 mai, au musée Cantini.
Pour célébrer la réouverture du musée Cantini - un écrin abritant l'une des plus belles collections d’art moderne de France - le public est invité à (re)découvrir l’œuvre de Matta (1911–2002). L’exposition rassemble "Cinquante tableaux, très souvent de très grands formats - de quatre à dix mètres - et un cabinet d'arts graphiques de cinquante dessins environ." explique Christine Poullain, directeur des musées de Marseille. "Le propos, c'était de réaliser l'exposition la plus complète, la plus exhaustive de Matta possible." dit-elle. Les oeuvres proviennent des musées et des collections privées du monde entier, mais aussi de la famille Matta. Le surréaliste chilien qui passa la majeure partie de sa vie loin de son pays natal, laisse à la postérité une œuvre abondante, inédite jusque-là à Marseille, souvent composée de formats monumentaux. Le fil conducteur de l’exposition réside dans le cheminement qui a conduit l’artiste des voies de l’automatisme surréaliste à une représentation métaphorique des grands bouleversements de l’Histoire de la deuxième moitié du XXe siècle. L'exposition balaie ainsi tout le parcours intérieur de l'artiste : "On commence par les tableaux surréalistes qui expriment la voix de l'inconscient, de l'automatisme, de l'imaginaire et des fantasmes qui sont les principes du surréalisme." précise Christine Poullain. A ces conflits de l'inconscient, Matta substitua peu à peu sa version des chocs historiques. Le travail de restauration accompli sur les oeuvres mérite lui aussi d'être souligné. Ainsi, deux années auront été nécessaires pour qu'une oeuvre monumentale de trois mètres sur dix soit enfin montrée au public.
Jean Marot est un poète français des XVe et XVIe siècles, né à Mathieu, près de Caen, vers 1463, mort vers 1523. Il vécut quelque temps à Cahors et épousa la fille d'un bourgeois de cette ville. En 1507, il entra au service d'Anne de Bretagne en qualité de secrétaire, puis il devint, après la mort de celle-ci, valet de chambre de François Ier. II était le poète attitré de la petite société féminine dont Anne de Bretagne, au témoignage de Brantôme, s'était entourée. C'est pour cette société qu'il écrivit le Doctrinal des princesses et des nobles dames (en 24 rondeaux assez élégamment tournés) et la Vray-disante Advocate des dames (en strophes de diverses formes entremêlées de rondeaux et de ballades). Dans le Voyage de Gênes (en vers de 10 syllabes mêlés de rondeaux et de quelques morceaux de prose), il raconte avec la fidélité d'un historiographe et dans un style souvent ferme et précis l'expédition dirigée par Louis XII contre les Génois; cet ouvrage plut tellement à la reine que, Louis XII se mettant en marche contre Venise (1509), elle fit attacher Marot à l'expédition : c'est cette expédition qu'il chanta dans sa principale oeuvre, le Voyage de Venise (même rythme que le Voyage de Gênes) où il y a de beaux vers descriptifs et parfois un véritable souffle héroïque (particulièrement dans les morceaux en alexandrins). Il avait commencé une épître sur la défaite des Suisses à Marignan (1515) que la mort, au témoignage de son fils, l'aurait empêché d'achever. Pourtant il est certain qu'il ne mourut que quelques années plus tard, car on trouve son nom dans les états de la maison du roi aux années 1522 et 1523.
car il était fermé et ce n'était pas inqdiqué sur internet mais la ville, "Venise provençale" est sympa à visiter
Le musée Ziem a ouvert ses portes au public en 1908 suite à un don de l'artiste à la ville de Martigues.
Aujourd'hui, le musée présente des collections d'archéologie nationale (préhistoire, médiéval, moderne, etc.
), d'art moderne et contemporain, des arts décoratifs, des beaux-arts et d'ethnologie (costume, métiers et outils, etc.).
Vous pouvez y découvrir les œuvres de Félix Ziem, Auguste Rodin, André Derain, Claude Viallat ou encore Jean-Paul Marcheschi.
http://expo-musee.sorties.francetv.fr/musee-ziem-martigues-visite-musee-ziem-martigues-ide-434fcb694
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18/05/2013 00:21
Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers (Angers, 1788 - Paris, 1856) a laissé un ensemble d’oeuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps.
Ses premiers dessins traduisent son éducation classique et académique – il fut Grand prix de sculpture en 1811 –, mais rapidement sa fascination pour l’histoire moderne prédomine. Fervent républicain, il se consacre, dans une entreprise qu’il veut pédagogique, à la mémoire des grands hommes, aux héros des guerres révolutionnaires qui ont marqué son enfance, à ceux qui ont servi le général Bonaparte.
Ses dessins montrent l’intensité de ses recherches préparatoires pour rendre lisible à tous l’histoire d’une vie dans un bas-relief, pour fixer dans une statue l’intensité dramatique du geste significatif d’un héros ou de sa mort. Son activité de portraitiste fut profondément influencée par la phrénologie. David d’Angers fut aussi collectionneur de dessins. Sa collection, dont quelques oeuvres seront exposées, comportait notamment des aquarelles de Caspar David Friedrich, qui signalent l’intérêt pour l’art allemand de l’auteur du magistral buste de Goethe.
Cette exposition s’inscrit dans l’entreprise de présentation des grands fonds de dessins des musées français poursuivie par le département des Arts graphiques du Louvre depuis de nombreuses années.
Commissaire(s) :
Isabelle Leroy-Jay Lemaistre et Marie-Pierre Salé, musée du Louvre.
Véronique Boidard, musées d'Angers
http://www.louvre.fr/expositions/david-d-angers-dessins-des-musees-d-angers
AFP - publié le 20/02/2013 à 17:30, mis à jour à 18:19
DU 23 MARS AU 21 JUILLET 2013
INSTITUT CULTUREL BERNARD MAGREZ
Rêves de Venise
Oeuvres des artistes exposées dans le Château (liste à confirmer) :
Ai Weiwei, Sophie Calle, Canaletto, Maurizio Cattelan, Cerith Wyn Evans, Luciano Fabro, Lucio Fontana, Alberto Giacometti, Nan Goldin, Felix Gonzalez-Torres, Camille Henrot, Hiroshi Watanabe, JR, Anish Kapoor, Yves Klein, James Lee Byars, Claude Lévêque, Nicolas Milhé, Takashi Murakami, Zoran Music, Jean-Michel Othoniel, Martin Parr, Jean-François Rauzier, Pipilotti Rist, Jean Sabrier, Rudolf Stingel et Cy Twombly.
Œuvres des artistes en résidence dans les Pavillons et le Jardin classé à la française :
Claire Adelfang, Décalage vers le bleu, Guy Limone, Giovanni Ozzola, Laurent Valera et Sébastien Vonier.
Commissariat : Ashok Adicéam
Horaires d'ouverture : Du mercredi au dimanche, de 14h à 19h
Tarifs : Plein tarif 6€ / Tarif réduit 4€ / Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans et les demandeurs d'emplois.
Tamara MARIE / tamara@claudinecolin.com
Laure JARDRY / laure@claudinecolin.com
Date de parution 04/04/2013
Essais (H.C.)
« Des présidents de la République aux bergers nomades, du Maroc au Pakistan, des zones de guerre les plus féroces aux scènes de liesse les plus folles, j’ai eu la chance de travailler presque partout dans le monde arabe, d’y croiser des gens exceptionnels et d’y vivre les moments les plus historiques de ces dernières années. J’ai été blessé, j’ai perdu plusieurs collègues et amis, dont un très proche, j’ai vu souffrir et mourir plus de monde que je n’aurais cru possible en une vie entière. Mais pour toutes ces difficultés, il y a également une vraie joie à être journaliste. Être payé pour voyager et pour écrire : que demander de plus ? »
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21/11/2012 19:36
Une promenade à travers Venise en quelque cinquante toiles de Canaletto : voici ce que propose le musée Maillol, qui entend également montrer le processus de création de ces merveilleuses vedute grâce à la présentation de nombreux dessins et du carnet du peintre, exceptionnellement prêté.
Dossier de l'Art n° 199 - Les Arts de l'Islam au Louvre
Dossier de l'Art n° 200 - RAPHAEL LES DERNIERES ANNES
http://www.dossier-art.com/numero-18/canaletto-a-venise.3650.php
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
photo perso du musée Maillol samedi
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18/11/2012 18:02
Orphelin dès l'âge de 13 ans, Amiel est élevé par son oncle dans sa ville natale. Après de brillantes études, il voyage et découvre la Suisse, l'Italie, la France, l'Allemagne et...
Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans.
C'est un grand peintre, un maître de l'abstraction du paysage. Un voyageur d'Orient. L'ami de Hans Hartung, Pierre Soulages, Jean Pollak, Ieoh Ming Pei, Henri Michaux et tant d'autres, croisés au cours de ses pérégrinations. Une valeur sûre du marché de l'art dont les toiles se vendent des millions. Un diptyque, intitulé 10.03.83, a été adjugé plus de 37 millions de dollars hongkongais (3,7 millions d'euros) le 6 avril chez Sotheby's à Hongkong.
En France, une autre de ses toiles, 28.8.67, s'est envolée pour plus de 1,5 million d'euros chez Ivoire Nantes. Zao Wou-ki s'est éteint en Suisse, mardi, à l'âge de 93 ans. Atteint de la maladie d'Alzheimer, le peintre avait été hospitalisé à deux reprises depuis la fin mars. Il aura vécu pour «le bonheur de peindre». Jusqu'à ce que la maladie l'en empêche définitivement. C'était il y a trois ans, âgé de 90 ans, il venait de réaliser une œuvre ultime, en même temps qu'une expérience artistique nouvelle: des vitraux. En Touraine, par l'intermédiaire de son ami poète François Cheng, il avait été convaincu d'orner à l'encre de Chine noire, parfois rehaussée de rouge, les vitraux du prieuré de Saint-Cosme, où avait vécu Pierre de Ronsard.
Ces encres de Chine, Zao Wou-ki les avaient déjà réalisées, pour les besoins d'un ouvrage inédit: une monographie que lui avait consacrée l'ancien ministre Dominique de Villepin, commençant à ses œuvres de jeunesse, en 1935, et s'achevant sur cette série donc, d'encres de Chine. Dans cet ouvrage, jamais paru, l'ancien premier ministre signe une préface très justement intitulée «Dans le labyrinthe des lumières» pour étayer le parcours de la peinture de Zao Wou-ki. Ses bonnes feuilles étaient exposées au prieuré de Saint-Cosme, le jour de l'inauguration, en juillet 2010, à côté d'œuvres d'art décoratif méconnues de l'artiste, à la lumière presque insolente de ses vitraux laissant voir le paysage.
Zao Wou-ki, le bonheur de peindre
Le jour de l'inauguration des vitraux de Saint-Cosme, la maladie empêcha Zao Wou-ki de parler. Il ne put que sourire et l'on comprit qu'il ne peindrait sans doute plus. Revinrent alors en mémoire ces mots de son autobiographie, écrite en 1988 avec Françoise Marquet, sa troisième épouse et ancienne conservatrice du Musée d'art moderne de la Ville de Paris: «Je ne crains pas de vieillir ni de mourir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver. Je voudrais seulement qu'il me restât assez de temps pour faire ce dernier tableau auquel je travaille, encore plus osé, plus libre, que celui que je viens de terminer.» Le parcours de sa peinture est «l'itinéraire d'un peintre, d'Orient en Occident», comme l'écrit Dominique de Villepin.
Zao Wou-ki naît T'chao Wou-ki -Wou ki étant le prénom- à Pékin le 1er février 1920, dans une famille de grands lettrés chinois. Il passe son enfance à étudier la calligraphie. Puis à 15 ans, il réussit l'examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Hangzhou où il étudie, durant six ans, les techniques occidentales: dessin, peinture à l'huile, pour la première fois, perspective. Les techniques chinoises aussi: peinture traditionnelle, calligraphie.
Ses professeurs sont chinois et européens. Mais leur académisme l'ennuie. Il leur préfère l'impressionnisme, le fauvisme qui éclatent en Europe. Ce qu'il veut, c'est «juxtaposer des formes, les assembler pour qu'on y retrouve le souffle de l'air sur le calme de l'eau», affirme l'artiste. La peinture à l'encre l'étouffe. «L'art chinois est devenu un ensemble de recettes de fabrication, le beau étant confondu avec le savoir-faire, affirme le peintre. La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture pour commencer à régler définitivement le problème. C'était ça ou mourir.» En 1948, il débarque à Marseille «après trente-six jours de bateau». Venu chercher Matisse et Picasso, Zao Wou-ki mettra dix ans avant de parvenir à se libérer de l'imitation (de ces deux-là mais aussi de Chagall et de Modigliani), trouver le style qu'on lui connaît.
Dès son arrivée à Paris, il prend le pseudonyme de Zao Wou-ki et file le jour même au Musée du Louvre. Puis à Montparnasse. «Je connaissais le mot Montparnasse et je voulais y habiter parce qu'on m'avait dit qu'il était le quartier des artistes», raconte-t-il dans son autobiographie. Autre lieu découvert dans les revues d'art françaises en Chine: l'académie de la Grande Chaumière. Zao Wou-ki s'y précipite et s'y entoure de nouveaux amis: Sam Francis, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Maria Helena Viera da Silva. Chez l'imprimeur Desjobert, il découvre en 1949 la technique de la lithographie, qui l'émerveille. L'année suivante, sans même le connaître, Henri Michaux écrit spontanément huit poèmes pour orner huit de ses lithographies. Une amitié est née entre le peintre et le poète, qui lui présentera le marchand d'art Pierre Loeb, avec qui il travaillera jusqu'en 1957. Mais en 1951, c'est la rencontre avec un autre peintre qui ouvre son horizon: Paul Klee, ce passeur des mondes, l'incite à déconstruire le sien, à s'engager dans l'abstraction. Sa folle échappée occidentale l'a ramené, à l'hiver de sa vie, à l'Orient, avec les encres de Chine.
En juillet 2012, son épouse Françoise Marquet a décidé de quitter le quartier de sa vie, Montparnasse, et la France où il a été élevé grand officier de la Légion d'honneur, pour la Suisse. Cette décision a provoqué un séisme familial et une bataille judiciaire évoquant l'affaire Bettencourt. Le fils du peintre, né d'un premier mariage, accusait sa belle-mère d'avoir fait déménager l'artiste pour mettre la main sur son œuvre. Françoise Marquet s'en défendait, arguant des conditions idéales pour la santé de l'artiste et pour gérer au mieux sa fortune et son œuvre. Avec la Fondation Zao Wou-ki établie à Genève, elle travaille à l'élaboration d'un attendu catalogue raisonné.
Zao Wou-ki, un peintre en liberté
Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans.
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Le Musée national des beaux-arts de la capitale algérienne va être promu par l'Association des musées méconnus de la Méditerranée.
C'est l'un des plus beaux balcons sur la Méditerranée. Surplombant la baie d'Alger et le jardin d'Essai, le Musée national des beaux-arts vaut également le voyage pour son fonds inestimable. Des plâtres d'atelier de Charles Despiau cohabitent avec les toiles de Delacroix et de Fromentin. Un Portrait au crayon de Jean-Baptiste Corot succède à un Portrait du maréchal de Vieillevillede Clouet.
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Virgile Charlot entre Nathalie Courtet et moi
Collection : L'esprit voyageur Parution le 09.05.2012 |
Changer de vie ! À 25 ans, Virgile Charlot, jeune diplômé d'une école de commerce, a dit non. Non aux vrombissements lumineux de la société post moderne, non à une vie bâtie à crédit, avec voiture et appartement dignes des photos de magazines. En 2010, il décide de couper les ponts et de vivre ses rêves nomades. Son défi ? Traverser l'Afrique du nord au sud, en solitaire et à vélo, soit plus de 22 000 kilomètres sur des pistes défoncées, entre déserts et forêts tropicales. Cette aventure de calibre olympique nous entraîne dans la quête vertigineuse d'un retour aux sources, loin des écrans plasma, du carbon free, de la 3G et d'Internet. Pour Virgile, le salut passe par l'exil, la course au vent, les repas de larves, de singe et de porc-épic. On le retrouve sous la neige en Espagne, accueilli en plein désert par des militaires mauritaniens, englué dans la boue de la forêt tropicale congolaise, piégé par les sables au Tchad... Son récit rabote notre vernis d'homo-cyber du XXIe siècle et résonne comme l'appel à une liberté perdue sous le poids de l'enracinement et de la raison.
Je suis jurée de ce Prix littéraireEnvie d’évasion ?Découvrez notre sélection de récits de voyages : Lisez et votez jusqu’au 10 mars 2013Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival. Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival. Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon) PRECEDENTE PUBLICATION 22/12/2012 22:05 Je m'installe pour le café littéraire
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Ils sont partis un petit matin d’avril 2008 d’un village du Haut-Doubs, à vélo couché, pour rejoindre Téhéran sept mois plus tard. En tout, près de 13 000 kilomètres, des cols et des plaines, et huit pays traversés dont le Monténégro, l’Albanie, la Turquie et la Cappadoce… Des paysages grandioses et des routes inconnues, autant de rencontres exceptionnelles et de mésaventures pour Nathalie et Michel Courtet qui réalisent là un rêve de gosse : voyager avec le moins de contraintes possibles, sans sponsors, et pour le seul besoin de l’ailleurs. Aux portes de l’Orient est le premier tome d’un récit de voyage relatant cette traversée de l’Europe et de l’Orient à vélo couché.
http://www.editionsphebus.fr/aux-portes-de-l-orient-nathalie-courtet-9782752907271
Ce livre fait partie des livres à lire par le jury dont je fais partie:
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