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Voyage - Page 53

  • Catégories : Venise, Voyage

    J'ai vu cette expo:Casanova, la passion de la liberté

    Pietro Longhi, Il ridotto, vers 1757, huile sur toile - Venise - Fondazione Querini Stampalia

    • Pietro Longhi, Il ridotto, vers 1757, huile sur toile - Venise

    du 15 novembre 2011 au 19 février 2012 François-Mitterrand / Grande Galerie

    La BnF a acquis en février 2010 le splendide manuscrit, écrit en français, de l’Histoire de ma vie de Giacomo Casanova (né à Venise en 1725, mort à Dux, en Bohême en 1798).
    Pour célébrer cet événement, elle consacre une grande exposition à cet étonnant personnage et écrivain. Le nom de Casanova a longtemps été synonyme d’« homme à femmes », un Casanova ou un Don Juan étant des termes plus ou moins interchangeables. S’il y a une différence dans la manière dont ces deux personnages conçoivent la séduction, il n’y a aucune commune mesure dans leur statut : Don Juan est une création légendaire, Casanova a été créé par Casanova lui-même, aussi talentueux pour l’art de la mise en scène que pour l’allant de la narration. Le but premier de cette exposition est de révéler cette force d’écriture au grand public. Et, dans le même mouvement, d’entraîner le visiteur sur les pas de cet extraordinaire aventurier du plaisir. Toujours soucieux de ne jamais sacrifier sa liberté ni à une femme, ni à une cause, ni au goût de la possession, Casanova est un infatigable voyageur. Ouvert à toutes les rencontres, il parcourt les routes de Venise à Madrid en passant par Moscou, et incarne, entre ombres et lumières, des facettes contrastées de son temps. Le scénario de l’exposition est construit comme une pièce en dix actes (à l’image des dix livres que comporte le manuscrit) qui invite à la découverte du monde sensuel, audacieux et baroque de Casanova. À travers la présentation de pièces exceptionnelles (gravures, peintures, sculptures, vues d’optique, objets, collections d’étoffes, films et musiques), l’exposition fait appel à tous les sens du visiteur. L’inventive mise en scène de Massimo Quendolo transmet la formidable énergie et la magie qui animent Casanova.

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  • Catégories : Voyage

    Voyage en nostalgérie

    Voyage en nostalgérie - Libération

    www.liberation.fr/grand-angle/010146842-voyage-en-nostalgerie
     
     
    2 mai 2006 – Ils étaient partis dans la panique en 1962. Le temps d'un court séjour, des pieds-noirs reviennent à Alger sur les traces de leur passé magnifié ...
      1.  
        Voyage en nostalgérie
        Le Figaro ‎- il y a 4 jours
        «J'ai quitté mon pays, j'ai quitté ma maison, ma vie, ma triste vie se traîne sans raison…», chantait, mélancolique, Enrico Macias, il y a ...
       
    • Voyage en Nostalgérie - Monde - La Vie

      www.lavie.fr/actualite/.../voyage-en-nostalgerie-26-10-2006-24961_5.p...
       
       
      26 oct. 2006 – Voyage en Nostalgérie - Nous avons accompagné 27 lecteurs de « la Vie » qui ont souhaité retourner dans le pays où ils ont passé une partie ...

  • Catégories : Voyage

    L’ESPIONNE DE TANGER

    couverture

    María DUEÑAS

    Traduit par
    Eduardo JIMENEZ
    « Un merveilleux roman dans la meilleure tradition du genre, avec amour, mystère, tendresse, et personnages audacieux. »
    Mario Vargas Llosa

    Un phénomène éditorial : un million d'exemplaires vendus en Espagne.

    Alors que la guerre civile espagnole vient d'éclater, Sira tombe amoureuse de Ramiro. Elle n'a pas vingt ans, et Ramiro la traite comme une déesse. Quand, sur un coup de tête, Ramiro décide de partir pour Tanger, Sira ne se pose pas de questions elle le suit, laissant sa mère dans Madrid en guerre. Au bout de quelques mois, Ramiro disparaît. Sira se retrouve seule en terre étrangère, sans un sou et avec une ardoise impressionnante dans l'hôtel de luxe ou ils sont descendus. Fuyant la prison pour dettes, elle se réfugie à Tétouan, alors sous protectorat espagnol. Que va-t-elle devenir, sans amis et sans argent ? Pour s'en sortir elle n'a qu'un seul savoir, transmis par sa mère : la couture. À force de ténacité et de privations, elle parvient à monter un petit salon de couture. Quand la Deuxième Guerre mondiale est déclarée, elle est prête à offrir ses services aux épouses des Européens coincés au Maroc par les hostilités. Sira saisit sa chance lorsque Rosalinda, la jeune maîtresse de l'ambassadeur de Grande-Bretagne, a besoin de toute urgence d'une robe du soir pour sa première apparition publique. Sira lui confectionne une copie époustouflante d'une robe de Fortuny. Dès lors, elle est propulsée dans le monde luxueux des riches expatriées, dans les fêtes ou se nouent et se dénouent les alliances secrètes entre l'Allemagne et l'Espagne. Rosalinda, excentrique maîtresse d'un haut dignitaire espagnol, souhaite de toutes ses forces empêcher le rapprochement entre l'Allemagne nazie et l'Espagne franquiste. Suivant les ordres du séduisant Marcus, agent de sa Très Gracieuse Majesté et officiellement photographe de presse, elle propose à Sira de lui rapporter les propos tenus par ses clientes allemandes : ce que font leurs maris, qui ils fréquentent et ce qui se dit dans la communauté allemande. Sira met au point un très ingénieux système pour communiquer avec les Anglais : dans ses patrons de couture, qu'elle dessine elle-même, elle introduit des messages codés en morse. Bientôt, de plus en plus impliquée dans son travail clandestin, Sira voyage entre Tétouan, Tanger, Madrid et Lisbonne, apparemment pour acheter des tissus, en vérité pour servir de messagère aux agents britanniques. Mais la guerre des espions n'est pas un jeu d'enfants. Sira met sa vie en danger. La seule personne assez puissante pour l'aider est Rosalinda, elle-même sous haute surveillance. Quant à Marcus, il semble jouer un double jeu.

    http://www.laffont.fr/site/l_espionne_de_tanger_&100&9782221116296.html

  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes textes en prose, Voyage

    Le Tour de France, une passion française

    À l'occasion de la 100ème édition de la course cycliste, un documentaire retrace cette fabuleuse aventure sportive, sociale et économique

     

    Tags :

    Publié le 25/06/2013 à 10:28

    Le Tour de France, une passion françaiseLe Tour est un tout. Une fable sociale, un miroir économique. Un voyage au coeur du pays, un feuilleton avec ses splendeurs et ses laideurs. Un monument avec ses cicatrices.

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  • Catégories : Voyage

    L'Arabie saoudite modifie ses week-ends

     

    Home ECONOMIE Conjoncture
      • Par Charles Gautier
      • Mis à jourle 25/06/2013 à 10:39
      • Publiéle 24/06/2013 à 19:27
    L'Arabie saoudite imite ainsi l'Égypte, le Qatar ou encore la Jordanie qui ont déjà opté pour ces week-ends chômés les vendredis et samedis «semi-universels».

    L'Arabie saoudite imite ainsi l'Égypte, le Qatar ou encore la Jordanie qui ont déjà opté pour ces week-ends chômés les vendredis et samedis «semi-universels». Crédits photo : FAYEZ NURELDINE/AFP

    Un décret royal publié dimanche impose qu'à partir de samedi 29 juin, les deux jours de repos hebdomadaires ne soient plus jeudi et vendredi, jour de la prière, mais vendredi et samedi.

     
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    Si, en France, chaque remise en cause du repos dominical provoque une levée de boucliers, les sacro-saints congés de fin de semaine sont aussi un casse-tête pour les pays arabes. En Arabie saoudite, un décret royal publié dimanche impose qu'à partir de samedi 29 juin, les deux jours de repos hebdomadaires ne soient plus jeudi et vendredi, jour de la prière, mais vendredi et samedi.

    Une question d'harmonisation commerciale internationale. Les autorités de Riyad souhaitent notamment que la Bourse, la première du monde arabe, soit au même rythme que celle des grandes places financières mondiales, ce qui était difficile quand elle ne fonctionnait que trois jours par semaine simultanément.

    L'Arabie saoudite imite ainsi l'Égypte, le Qatar ou encore la Jordanie qui ont déjà opté pour ces week-ends chômés les vendredis et samedis «semi-universels», par opposition aux week-ends «universels» des pays occidentaux.

    La fin d'un cauchemar pour les voyageurs

    Ce choix de l'Arabie saoudite sera la fin d'un cauchemar pour les voyageurs qui, depuis des générations, se trouvaient désarmés face aux portes closes de leurs interlocuteurs en plein milieu de semaine. Une certaine pratique est nécessaire pour déjouer les subtilités des week-ends des pays arabes. Si une demi-douzaine d'entre eux ferme donc boutique le samedi, le Yémen par exemple a choisi de conserver le week-end traditionnel avec jeudi chômé. En revanche, le Maroc, le Liban et la Tunisie appliquent le calendrier des pays occidentaux, et observent un repos hebdomadaire, le samedi et le dimanche.

    Histoire d'ajouter à la confusion, l'Algérie, située entre ces deux États, est calée sur le week-end semi-universel. Et encore est-ce récemment qu'elle a décidé de se plier aux conseils de la Banque mondiale.

    Une perte de 600 millions d'euros par an

    Les calculs de l'institution internationale démontraient que le trop grand décalage avec ses principaux partenaires économiques lui faisait perdre 1,7 point de croissance, soit 600 millions d'euros par an. Et qu'elle avait donc tout intérêt à rapprocher ses week-ends de la fin de la semaine. La modification opère aussi dans l'autre sens: la Mauritanie et les Comores ont abandonné leurs habitudes occidentales pour s'adapter aux coutumes des pays arabes. CQFD.

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Voyage, Zurich,Suisse

    Max Ernst, maître onirique de l'univers

    Home CULTURE Arts Expositions
    <i>La ville entière</i>, 1935-1936. Ce tableau venu de la Kunsthaus de Zurich joue sur la géométrisation de la nature. Le titre est énigmatique car il s'agit de ruines, peut-être inspirées par les photographies des voyageurs de la fin du XIXe siècle.

    La ville entière, 1935-1936. Ce tableau venu de la Kunsthaus de Zurich joue sur la géométrisation de la nature. Le titre est énigmatique car il s'agit de ruines, peut-être inspirées par les photographies des voyageurs de la fin du XIXe siècle.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage, Voyage

    J'ai lu hier soir:GERMAIN Sylvie,Joachim Patinir, Paysage avec saint Christophe

    que mon père nous a offert pour nos futurs anniversaires

    Sylvie Germain entre dans l’univers fantastique de Patinir grâce à ce Paysage de saint Christophe portant l’Enfant Jésus (v.1480-1524), conservé au musée départemental de Flandre de Cassel.

    Sylvie Germain convoque la Meuse, Charles Péguy et Jeanne d’Arc autour des paysages laiteux de Patinir, afin de nous conter l’histoire du géant Réprouvé devenu le Porteur du Christ. Alors que nous entrevoyons avec elle l’infinité d’un monde que ne parvient pas à cacher la monumentalité de saint Christophe et son précieux fardeau, Sylvie Germain nous arrête sur « ce moment où la puissance, presque animale, de l’homme, est mise à l’épreuve, vacille et se retourne, déjouée par la fragilité et la candeur d’un petit enfant venu proposer une toute autre idée de la force et de la grandeur que celle à laquelle les hommes sont habitués ».

     

    JOACHIM PATINIR (Dinant ou Bouvignes entre 1475 et 1485 - Anvers 1524). Contemporain « méconnu » de Bosch, il est pourtant l’inventeur de la peinture paysagiste, l'initiateur du paysage panoramique, imaginaire, où se mêlent fiction (fantastique) et réalité (flamande). Les premières cartes représentant le monde et les récits fabuleux des grands explorateurs ont nourri son imagination ; les paysages qu’il peint recréent un monde idéal, où se mêlent exotisme et scènes de sa Flandre natale et d’où ressort, surtout, ce bleu si particulier qui aspire vers un ailleurs. À Anvers il fit la connaissance de Dürer et de Quentin Metsys, qui a peint les personnages dans plusieurs de ses oeuvres. On suppose d’ailleurs que Metsys est l’auteur des deux figures du Paysage avec saint Christophe portant l’Enfant Jésus du musée de Cassel, car elles échappent totalement à la perspective générale et semblent autonomes par rapport au paysage. Le thème du tableau est tiré de La Légende dorée, dans laquelle Christophe, converti à la religion chrétienne, avait pour mission de faire traverser les voyageurs. Un jour, il chargea sur son dos un enfant qui durant la traversée se mit à peser si lourd que le passeur atteignit l’autre rive exténué. L’enfant lui répondit alors : « Ne t’étonne pas, Christophe, tu as porté non seulement le monde mais aussi celui qui l’a créé. »


    http://www.invenit-editions.fr/index.php?page=shop.product_details&flypage=flypage.tpl&product_id=16&option=com_virtuemart&vmcchk=1&Itemid=30
  • Catégories : Venise, Voyage

    Nus vénitiens

     Nus vénitiens

    Apollinaire voyait en Venise le 'sexe femelle de l'Europe '. Bien plus qu'un décor, bien plus qu'un fantasme, elle a semé le trouble dans l'imaginaire et l'érotique des écrivains comme jamais aucune autre ville. Avec son carnaval et ses jeux de masques, avec ses palais et ses maisons closes, avec l'incarnat de ses églises et le Styx de son Grand Canal, avec les vénus profanes du Titien et les frasques concupiscentes de Casanova, elle se situe aux frontières du réel et du fictif, de l'Éros et de Thanatos.
    Le topos même de l'érotisme. De cette mythologie propre à la Cité des Doges, Lucien Clergue a tiré un scénario en images que Marc Lambron a traduit en mots. Ensemble, l'oeil et la voix, ils restituent la vision fugitive de deux femmes, l'une brune, l'autre blonde qui, lors d'une journée de 1979 où le soleil pénétrait brutalement par les fenêtres ouvertes, furent saisies par l'objectif dans toute leur beauté nue, magnétique. Dans ce somptueux palazzo baigné de clair-obscur, elles font fresque.
    ' Qui sont-elles, sur fond noir, à l'instant du cliché ? Promeneuses solitaires dans Venise, ou bien l'ombre d'une vérité, le mystère d'avoir été là ? 'Le narrateur les questionnent, elles se présentent : Amelia et Laura. Leurs corps offerts comme en un rite inconnu le renvoient à ses souvenirs de femmes rencontrées, désirées, aimées souvent, interdites parfois. Leur présence énigmatique, leurs bouches convoitées, leurs étreintes invoquées, s'adressent à son sang et à son désir.
    Apparues puis disparues comme un songe, elles deviennent son secret. L'écrivain signe alors la fable du monde, la ferveur d'un été, avant de s'effacer à son tour.

    de Lucien Clergue, Marc Lambron

    Editeur : Seghers Parution : 18 Octobre 2012

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  • Catégories : Voyage

    Marc Chagall, Vue de la fenêtre à Zaolchie, 1915,Moscou, The State Tretyakov Gallery(que j'ai vu à Paris il y a un mois)

    De retour dans sa ville natale, l’artiste est confronté à la guerre qui l’oblige à rester en Russie. Cette période a joué un rôle important dans sa vie et son œuvre car, malgré la guerre, il vit des instants de bonheur.

    A Vitebsk, il retrouve Bella Rosenfeld, son amour de jeunesse, qu’il épouse en 1915 ; un an plus tard nait leur fille Ida. La ville, ses habitants, ses paysages et sa famille deviennent ses sujets de prédilection comme le montre Vue de la fenêtre à Zaolchie, près de Vitebsk où il se représente avec Bella – sa muse et son modèle - au cours de leur voyage de noces.

    http://www.museeduluxembourg.fr/fr/expositions/p_exposition-18/parcours-numerique/thematique-3/

  • Adieu - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou

    Adieu !



    L’amour est libre il n’est jamais soumis au sort
    O Lou le mien est plus fort encor que la mort
    Un cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord

    Lettres Envoie aussi des lettres ma chérie
    On aime en recevoir dans notre artillerie
    Une par jour au moins une au moins je t’en prie

    Lentement la nuit noire est tombée à présent
    On va rentrer après avoir acquis du zan
    Une deux trois A toi ma vie A toi mon sang

    La nuit mon coeur la nuit est très douce et très blonde
    O Lou le ciel est pur aujourd’hui comme une onde
    Un cœur le mien te suit jusques au bout du monde

    L’heure est venue Adieu l’heure de ton départ
    On va rentrer Il est neuf heures moins le quart
    Une deux trois Adieu de Nîmes dans le Gard

    4 fév. 1915


    Adieu - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou

  • "Quitte ou double" de Cyrille Legendre

    Quitte ou doubleMatt Berger, ancien grand reporter, gagne sa vie comme photographe pour un journal people. Ce soir-là, Jimmy Rowland est dans son viseur. Le magazine a décidé de surprendre le nouveau prodige du football français chez lui avec une prostituée. Une fois son contrat rempli, Matt envoie les clichés compromettants à son commanditaire et s’offre une escapade à Deauville. Mais le lendemain, les photos ont disparu et la jeune prostituée est retrouvée morte dans le bois de Meudon. Le journaliste veut comprendre. Renouant avec son âme de reporter, il se lance alors une enquête qui le mènera de Paris au fin fond du Turkménistan avec l’aide de JED, son ami de toujours. Entre les deux hommes le destin se jouera à quitte ou double.

     

    Biographie de l'auteur

    Né à Dreux en 1970, Cyrille Legendre est diplômé l’École Supérieure de Journalisme de Paris. Il se spécialise dans le sport et depuis le début de sa carrière professionnelle, il évolue dans le milieu du football tour à tour comme rédacteur, photographe et chargé de communication. Ses nombreux voyages et son goût de la géopolitique constituent ses principales sources d’inspiration, il le prouve avec Quitte ou double son premier roman.
     
    http://www.amazon.fr/Quitte-ou-double-ebook/dp/B00C3E73QK
  • Géraldine Lenain, la vie en mandarin

     

    Avec son allure bon chic bon genre et sa diction parfaite, cette élégante et svelte blonde aux yeux bleus pourrait passer pour une sage bourgeoise, un pur produit des quartiers chics de la capitale. Une simple impression. Géraldine Lenain est née à Madagascar, a grandi au Gabon, elle a appris le mandarin au lycée international français de Hong­kong et découvert la France à seulement 16 ans. Le temps d'y poursuivre des études - école de commerce, histoire de l'art à la Sorbonne -, elle a repris sa vie de voyages en suivant cette fois, non plus ses parents coopérants, mais son mari diplomate. «Pour moi, Paris est très exotique,j'ai vu un Ming avant un Picasso», s'amuse-t-elle. De quoi mieux comprendre son passionnant récit de la vie de C. T. Loo (1880-1957), premier grand marchand d'art chinois en France et aux États-Unis, au début du siècle dernier, adulé en Occident mais honni par le régime communiste chinois. Géraldine Lenain en a fait un livre Monsieur Loo. Le roman d'un marchand d'art asiatique (Éditions Picquier), qui se lit comme un roman policier. Une première expérience de l'écriture au succès inattendu puisque le livre, paru en mars, est déjà épuisé et en cours de réimpression et va être traduit en chinois après l'avoir été en anglais.

    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/05/27/10001-20130527ARTFIG00567-geraldine-lenain-la-vie-en-mandarin.php

  • MUSIC ANTON ZORAN

    Anton Zoran Mušič (Boccavizza 02/12/1909 - 25/05/2005 Venise) avec des origines dalmates, Venise est devenue la ville de son adoption. Après avoir terminé ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Zagreb en 1934, il se dédiée aux voyages. L'artiste a vécu entre Madrid, Paris, Vienne et Zurich avant de s'installer à Venise en 1940.
    Mušič en 1943 a été déporté à Dachau, où les conditions difficiles fiévreusement dans différentes conceptions illustrant les souffrances dans les camps. Après sa libération, l'artiste retourna à Venise en 1945. Ici, avec ses œuvres, exposées à la Biennale en 1950, a remporté le premier prix. En 1951 et en 1952 il a reçu le Prix de Paris, d'abord avec corporations, puis seul.

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  • Dans le cadre de MP 2013,nous avons aussi vu

    Méditerranées. Des grandes cités d’hier aux hommes d’aujourd’hui

     

    Méditerranées. Des grandes cités d’hier aux hommes d’aujourd’hui

    Une grande exposition-fiction investit l’espace d’exposition du J1. Une barquette marseillaise, des gens de mer qui racontent leur Méditerranée avec ou sans l’accent, c’est le commencement d’un voyage aléatoire…

    Réservez ici

     

    Des oeuvres et des images en d…

     

     

    Des oeuvres et des images en dialogue

    L’exposition Méditerranées réunit cent soixante et onze œuvres présentes au sein de onze étapes historiques. Celles-ci sont dotées d’un court film d’animation propre à leur thématique.

     

    Ulysse, le film

     

     

    Ulysse, le film

    Fil rouge de l’exposition, ce film de Malek Bensmaïl est présenté sous la forme de 10 séquences de 5 min tout au long du parcours.

     

    Les films d’animations

     

     

    Les films d’animations

    Les étapes de l’exposition sont dotées de courts films d’animation en lien avec la thématique abordée. Mêlant rigueur scientifique, inventivité et parfois beaucoup d’humour, ces films ont été réalisés par un collectif animé par Paul Bourgois réunissant sept jeunes réalisateurs tous formés à l’École Nationale des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD).

     

    Les photos de Brian Griffin

     

     

    Les photos de Brian Griffin

    C’est au photographe britannique Brian Griffin, né en 1948 à Birmingham, familier de l’univers des workers que Marseille-Provence 2013 a confié le soin de conclure l’exposition Méditerranées.
    Plus d’infos : cliquez ici

     

    Une scénographie de conteneurs

     

     

    Une scénographie de conteneurs

    Dans une ambiance portuaire, sous l’immense charpente métallique du J1, une impressionnante scénographie invite le visiteur à déambuler dans un labyrinthe de containers découpés, aménagés, superposés, constituant autant de boîtes à trésors d’un voyage imaginaire. Une expérience à vivre absolument !

     

    Le catalogue

     

     

    Le catalogue

    Retrouvez le catalogue de Méditerranées à la librairie-boutique : La salle des machines (J1)

     

    Autour de Méditerranées

     

     

    Autour de Méditerranées

    Une série d’événements rendant compte de la diversité culturelle en Méditerranée vient enrichir la visite de l’exposition.

     

     
     
    Les films d’animations
    Lesfilmsd’animations
    Les photos de Brian Griffin
    LesphotosdeBrianGriffin
    Des oeuvres et des images en dialogue
    Desoeuvresetdesimagesendialogue
    Ulysse, le brûleur de frontières et la mer blanche au milieu
    Ulysse,lebrûleurdefrontièresetlamer...
    Autour de Méditerranées
    AutourdeMéditerranées
    Catalogue de l'exposition
    Cataloguedel'exposition

    http://www.mp2013.fr/mediterranees-des-grandes-cites-dhier-aux-hommes-daujourdhui/

  • Nous avons aimé visiter samedi à Marseille:Matta : du Surréalisme à l’Histoire

    Ne manquez pas l’exposition inédite "du Surréalisme à l’Histoire" consacrée à l’œuvre monumentale du peintre chilien Matta, jusqu'au 20 mai, au musée Cantini.

    ­Pour célébrer la réouverture du musée Cantini - un écrin abritant l'une des plus belles collections d’art moderne de France - le public  est invité à (re)découvrir l’œuvre de Matta (1911–2002). L’exposition rassemble "Cinquante tableaux, très souvent de très grands formats - de quatre à dix mètres - et un cabinet d'arts graphiques de cinquante dessins environ." explique Christine Poullain, directeur des musées de Marseille. "Le propos, c'était de réaliser l'exposition la plus complète, la plus exhaustive de Matta possible." dit-elle. Les oeuvres proviennent des musées et des collections privées du monde entier, mais aussi de la famille Matta. Le surréaliste chilien qui passa la majeure partie de sa vie loin de son pays natal, laisse à la postérité une œuvre abondante, inédite jusque-là à Marseille, souvent composée de formats monumentaux. Le fil conducteur de l’exposition réside dans le cheminement qui a conduit l’artiste des voies de l’automatisme surréaliste à une représentation  métaphorique des grands bouleversements de l’Histoire de la deuxième moitié du XXe siècle. L'exposition balaie ainsi tout le  parcours intérieur de l'artiste : "On commence par les tableaux surréalistes qui expriment la voix de l'inconscient, de l'automatisme, de l'imaginaire et des fantasmes qui sont les principes du surréalisme." précise Christine Poullain. A ces conflits de l'inconscient, Matta substitua peu à peu sa version des chocs historiques. Le travail de restauration accompli sur les oeuvres mérite lui aussi d'être souligné.  Ainsi, deux années auront été nécessaires pour qu'une oeuvre monumentale de trois mètres sur dix soit enfin montrée au public. 

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  • Jehan Marot

    Jean Marot est un poète français des XVe et XVIe siècles, né à Mathieu, près de Caen, vers 1463, mort vers 1523. Il vécut quelque temps à Cahors et épousa la fille d'un bourgeois de cette ville. En 1507, il entra au service d'Anne de Bretagne en qualité de secrétaire, puis il devint, après la mort de celle-ci, valet de chambre de François Ier. II était le poète attitré de la petite société féminine dont Anne de Bretagne, au témoignage de Brantôme, s'était entourée. C'est pour cette société qu'il écrivit le Doctrinal des princesses et des nobles dames (en 24 rondeaux assez élégamment tournés) et la Vray-disante Advocate des dames (en strophes de diverses formes entremêlées de rondeaux et de ballades). Dans le Voyage de Gênes (en vers de 10 syllabes mêlés de rondeaux et de quelques morceaux de prose), il raconte avec la fidélité d'un historiographe et dans un style souvent ferme et précis l'expédition dirigée par Louis XII contre les Génois; cet ouvrage plut tellement à la reine que, Louis XII se mettant en marche contre Venise (1509), elle fit attacher Marot à l'expédition : c'est cette expédition qu'il chanta dans sa principale oeuvre, le Voyage de Venise (même rythme que le Voyage de Gênes) où il y a de beaux vers descriptifs et parfois un véritable souffle héroïque (particulièrement dans les morceaux en alexandrins). Il avait commencé une épître sur la défaite des Suisses à Marignan (1515) que la mort, au témoignage de son fils, l'aurait empêché d'achever. Pourtant il est certain qu'il ne mourut que quelques années plus tard, car on trouve son nom dans les états de la maison du roi aux années 1522 et 1523. 

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  • Nous n'avons pas pu visiter le Musée Ziem à Martigues(Bouches-du-Rhône,13,PACA)

     Ziem, Navire américain dans le port de Marseille Musée Ziem, Martigues, visitecar il était fermé et ce n'était pas inqdiqué sur internet mais la ville, "Venise provençale" est sympa à visiter

    Le musée Ziem a ouvert ses portes au public en 1908 suite à un don de l'artiste à la ville de Martigues.

    Aujourd'hui, le musée présente des collections d'archéologie nationale (préhistoire, médiéval, moderne, etc.

    http://expo-musee.sorties.francetv.fr/musee-ziem-martigues-visite-musee-ziem-martigues-ide-434fcb694

    Précédente publication:*

    18/05/2013 00:21

  • Fin de:David d'Angers(expo vue à Paris au Louvre le 15 mai 2013)

    Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers (Angers, 1788 - Paris, 1856) a laissé un ensemble d’oeuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps.

    Ses premiers dessins traduisent son éducation classique et académique – il fut Grand prix de sculpture en 1811 –, mais rapidement sa fascination pour l’histoire moderne prédomine. Fervent républicain, il se  consacre, dans une entreprise qu’il veut pédagogique, à la mémoire des grands hommes, aux héros des  guerres révolutionnaires qui ont marqué son enfance, à ceux qui ont servi le général Bonaparte.

    Ses dessins montrent l’intensité de ses recherches préparatoires pour rendre lisible à tous l’histoire  d’une vie dans un bas-relief, pour fixer dans une statue l’intensité dramatique du geste significatif d’un héros ou de sa mort. Son activité de portraitiste fut profondément influencée par la phrénologie.  David d’Angers fut aussi collectionneur de dessins. Sa collection, dont quelques oeuvres seront exposées, comportait notamment des aquarelles de Caspar David Friedrich, qui signalent l’intérêt pour l’art allemand de l’auteur du magistral buste de Goethe.

    Cette exposition s’inscrit dans l’entreprise de présentation des grands fonds de dessins des musées  français poursuivie par le département des Arts graphiques du Louvre depuis de nombreuses années.

    Commissaire(s) :

    Isabelle Leroy-Jay Lemaistre et Marie-Pierre Salé, musée du Louvre.
    Véronique Boidard, musées d'Angers
     David d'Angers - Catalogue de l'expositionhttp://www.louvre.fr/expositions/david-d-angers-dessins-des-musees-d-angers