Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Voyage - Page 54
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Catégories : VoyageOn arrive à Venise comme, après tous les méandres de l'insomnie, on finit par descendre sur la plage d'un songe. On vole vers Venise comme à un rendez-vous d'amour. La hâte du désir fait compter les minutes lentes. On désespère de toucher au bonheur. La ville ne paraît pas. Rien ne l'annonce. On la cherche au Levant. On s'attend à en voir quelque signe, et sur le ciel flotter les pavillons de la chimère. L'horizon, où elle se dérobe, est un infini muet, miroitant et désert. Parfois, on a cru découvrir une tour, un clocher sur la plaine marine ; mais on doute du mirage salin. Est-ce la mer ? est-ce la terre ferme ? ou plutôt, quel mélange fluide, quel transparent accord des deux pâtes sur la palette ? Tout est ciel. C'est le ciel immense des salines, une vasque de rose et d'azur tendre, un océan de nacre, qu'irise, çà et là, quelque perle de nuage. On appelle la mer, et on l'a au-dessus de soi, ce firmament tranquille. Puis, le crépuscule rougit. Une tache de sang coule sur la voûte et s'étend vers la terre. Venise n'apparaît toujours pas. Elle est là-bas, pourtant, dans l'ombre lucide, d'un violet si délicat et si languissant qu'on pense au sourire de la volupté douloureuse. André Suarès, Voyage du condottiere
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J'ai aimé lire pendant le voyage de retour de Paris:La Venise de Théophile Gautier
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Catégories : Des femmes comme je les aime, J'ai aimé, J'ai lu, La peinture, Le XIX e siècle, Voyage
J'ai aimé lire pendant mon voyage:Rosa Bonheur
- broché | Robert Laffont | janvier 2012
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Catégories : CDI du Lycée Hôtelier Le Renouveau, MON TRAVAIL, Voyage
Accor accélère sa transformation et vise une meilleure rentabilité
AFP - publié le 20/02/2013 à 17:30, mis à jour à 18:19
PARIS - Le groupe hôtelier français Accor, qui vise une "nette amélioration" de ses performances d'ici 2016, va accélérer la restructuration de son parc, lancer un plan d'économies de 100 millions d'euros et investir dans la distribution pour contrer les agences de voyage en ligne.
Le PDG du groupe Accor, Denis Hennequin, le 20 février 2013 à Parisafp.com/Eric Piermont -
"RÊVES DE VENISE"
DU 23 MARS AU 21 JUILLET 2013
"RÊVES DE VENISE"
INSTITUT CULTUREL BERNARD MAGREZ
Rêves de Venise
Du 23 mars au 21 juillet 2013
Le Château Labottière, ancrage public du mécénat culturel de Bernard Magrez, propose pour sa cinquième exposition un voyage inédit à Venise, Cité intemporelle des arts.Rêves de Venise tente par l’accord des interprétations singulières, transgressives ou au contraire élogieuses de la Ville des 400 ponts, de créer un monde en soi. De l’intimité d’un lit, de la sérénité d’une chambre, d’un intérieur secret vers l’exubérance des extérieurs, du Grand Canal, au cœur de l’effervescente activité de la cité lacustre, le parcours s’enchaîne comme une rêverie étrange qui répond à l’invitation hypnotique de Venise, Veni Etiam, reviens encore...Si les Doges de la Sérénissime République de Venise et les marchands de la Cité de Marco Polo ont érigé le mélange de l’Orient et de l’Occident en Palais somptueux, les artistes ont su également y poser les questions de la lumière et de la divinité. Ces interrogations et ces matières – le verre de Murano, l’Or de la Pala d’Oro de la Basilique San Marco – sont au cœur de la réflexion et des émotions.Avec des artistes d’hier et d’aujourd’hui, cette exposition est classique, moderne et contemporaine. Une trentaine d’œuvres – peintures, sculptures, photographies, vidéos et installations – toutes tendues entre la glorification de la splendeur vénitienne ou le renversement de son archétype, est rassemblée ici pour interroger l’idée et le désir même de Venise : comment lui résister ?Venise est alors l’incarnation métaphorique de la Culture et les visions des artistes en seront les canaux et les ponts qui en dévoilent les soubassements inconscients et les rêves paradoxaux...Oeuvres des artistes exposées dans le Château (liste à confirmer) :
Ai Weiwei, Sophie Calle, Canaletto, Maurizio Cattelan, Cerith Wyn Evans, Luciano Fabro, Lucio Fontana, Alberto Giacometti, Nan Goldin, Felix Gonzalez-Torres, Camille Henrot, Hiroshi Watanabe, JR, Anish Kapoor, Yves Klein, James Lee Byars, Claude Lévêque, Nicolas Milhé, Takashi Murakami, Zoran Music, Jean-Michel Othoniel, Martin Parr, Jean-François Rauzier, Pipilotti Rist, Jean Sabrier, Rudolf Stingel et Cy Twombly.
Œuvres des artistes en résidence dans les Pavillons et le Jardin classé à la française :
Claire Adelfang, Décalage vers le bleu, Guy Limone, Giovanni Ozzola, Laurent Valera et Sébastien Vonier.
Commissariat : Ashok Adicéam
Horaires d'ouverture : Du mercredi au dimanche, de 14h à 19h
Tarifs : Plein tarif 6€ / Tarif réduit 4€ / Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans et les demandeurs d'emplois.
Institut Culturel Bernard Magrez16 rue de Tivoli
33000 BORDEAUX
Tél : 05 56 81 72 77www.institut-bernard-magrez.comblog.institut-bernard-magrez.comTamara MARIE / tamara@claudinecolin.com
Laure JARDRY / laure@claudinecolin.com
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Oumma : un grand reporter au Moyent-Orient
Alfred de Montesquiou
Date de parution 04/04/2013
Essais (H.C.)
« Des présidents de la République aux bergers nomades, du Maroc au Pakistan, des zones de guerre les plus féroces aux scènes de liesse les plus folles, j’ai eu la chance de travailler presque partout dans le monde arabe, d’y croiser des gens exceptionnels et d’y vivre les moments les plus historiques de ces dernières années. J’ai été blessé, j’ai perdu plusieurs collègues et amis, dont un très proche, j’ai vu souffrir et mourir plus de monde que je n’aurais cru possible en une vie entière. Mais pour toutes ces difficultés, il y a également une vraie joie à être journaliste. Être payé pour voyager et pour écrire : que demander de plus ? »
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Catégories : Des évènements, Des expositions, J'ai aimé, J'ai lu, Paris(75,Ile de France):vécu,études, Venise, Voyage
Dossier de l'Art hors-série n° 18 CANALETTO À VENISE Septembre 2012
Précédente publication:
21/11/2012 19:36
Une promenade à travers Venise en quelque cinquante toiles de Canaletto : voici ce que propose le musée Maillol, qui entend également montrer le processus de création de ces merveilleuses vedute grâce à la présentation de nombreux dessins et du carnet du peintre, exceptionnellement prêté.
Articles
- Sur les pas de Canaletto
- À l’origine d’un genre, la veduta
- Canaletto ou l'oeil de Venise
- Joseph Smith, collectionneur obsessionnel
- Le chant du cygne de la Sérénissime
- Canaletto et son temps
- Le précieux quaderno
- Gagnez un voyage à Venise sur les pas de Canaletto avec Intermèdes
- Promenade dans la Venise du XVIIIe
Dossier de l'Art n° 199 - Les Arts de l'Islam au Louvre
Dossier de l'Art n° 200 - RAPHAEL LES DERNIERES ANNES
http://www.dossier-art.com/numero-18/canaletto-a-venise.3650.php
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
photo perso du musée Maillol samedi
précédente publication:
18/11/2012 18:02
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Catégories : L'Orient: séjours,travail et vie, Voyage
Orientalisme:une invitation au voyage
- Henri Girardet
L’Ecole Coranique, 1881 - Huile sur toile
32,50 x 41,50 cm - Estimation : 20 000-30 000 €
- Vente le 25 juin 2013
- Henri Girardet
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Journal d'Amiel
Journal intime (1847 - 1881)
Tome 12de Henri-Frédéric Amiel
« Revois deux fois pour voir juste ; ne vois qu’une fois pour voir beau. »
de Henri-Frédéric Amiel
Henri-Frédéric Amiel
Ecrivain suisseNé à Genève le 27 Septembre 1821Orphelin dès l'âge de 13 ans, Amiel est élevé par son oncle dans sa ville natale. Après de brillantes études, il voyage et découvre la Suisse, l'Italie, la France, l'Allemagne et...
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Zao Wou-ki, un peintre en liberté
- Mis à jourle 10/04/2013 à 11:09
Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans.
C'est un grand peintre, un maître de l'abstraction du paysage. Un voyageur d'Orient. L'ami de Hans Hartung, Pierre Soulages, Jean Pollak, Ieoh Ming Pei, Henri Michaux et tant d'autres, croisés au cours de ses pérégrinations. Une valeur sûre du marché de l'art dont les toiles se vendent des millions. Un diptyque, intitulé 10.03.83, a été adjugé plus de 37 millions de dollars hongkongais (3,7 millions d'euros) le 6 avril chez Sotheby's à Hongkong.
En France, une autre de ses toiles, 28.8.67, s'est envolée pour plus de 1,5 million d'euros chez Ivoire Nantes. Zao Wou-ki s'est éteint en Suisse, mardi, à l'âge de 93 ans. Atteint de la maladie d'Alzheimer, le peintre avait été hospitalisé à deux reprises depuis la fin mars. Il aura vécu pour «le bonheur de peindre». Jusqu'à ce que la maladie l'en empêche définitivement. C'était il y a trois ans, âgé de 90 ans, il venait de réaliser une œuvre ultime, en même temps qu'une expérience artistique nouvelle: des vitraux. En Touraine, par l'intermédiaire de son ami poète François Cheng, il avait été convaincu d'orner à l'encre de Chine noire, parfois rehaussée de rouge, les vitraux du prieuré de Saint-Cosme, où avait vécu Pierre de Ronsard.
Ces encres de Chine, Zao Wou-ki les avaient déjà réalisées, pour les besoins d'un ouvrage inédit: une monographie que lui avait consacrée l'ancien ministre Dominique de Villepin, commençant à ses œuvres de jeunesse, en 1935, et s'achevant sur cette série donc, d'encres de Chine. Dans cet ouvrage, jamais paru, l'ancien premier ministre signe une préface très justement intitulée «Dans le labyrinthe des lumières» pour étayer le parcours de la peinture de Zao Wou-ki. Ses bonnes feuilles étaient exposées au prieuré de Saint-Cosme, le jour de l'inauguration, en juillet 2010, à côté d'œuvres d'art décoratif méconnues de l'artiste, à la lumière presque insolente de ses vitraux laissant voir le paysage.
Zao Wou-ki, le bonheur de peindre
Le jour de l'inauguration des vitraux de Saint-Cosme, la maladie empêcha Zao Wou-ki de parler. Il ne put que sourire et l'on comprit qu'il ne peindrait sans doute plus. Revinrent alors en mémoire ces mots de son autobiographie, écrite en 1988 avec Françoise Marquet, sa troisième épouse et ancienne conservatrice du Musée d'art moderne de la Ville de Paris: «Je ne crains pas de vieillir ni de mourir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver. Je voudrais seulement qu'il me restât assez de temps pour faire ce dernier tableau auquel je travaille, encore plus osé, plus libre, que celui que je viens de terminer.» Le parcours de sa peinture est «l'itinéraire d'un peintre, d'Orient en Occident», comme l'écrit Dominique de Villepin.
Zao Wou-ki naît T'chao Wou-ki -Wou ki étant le prénom- à Pékin le 1er février 1920, dans une famille de grands lettrés chinois. Il passe son enfance à étudier la calligraphie. Puis à 15 ans, il réussit l'examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Hangzhou où il étudie, durant six ans, les techniques occidentales: dessin, peinture à l'huile, pour la première fois, perspective. Les techniques chinoises aussi: peinture traditionnelle, calligraphie.
Ses professeurs sont chinois et européens. Mais leur académisme l'ennuie. Il leur préfère l'impressionnisme, le fauvisme qui éclatent en Europe. Ce qu'il veut, c'est «juxtaposer des formes, les assembler pour qu'on y retrouve le souffle de l'air sur le calme de l'eau», affirme l'artiste. La peinture à l'encre l'étouffe. «L'art chinois est devenu un ensemble de recettes de fabrication, le beau étant confondu avec le savoir-faire, affirme le peintre. La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture pour commencer à régler définitivement le problème. C'était ça ou mourir.» En 1948, il débarque à Marseille «après trente-six jours de bateau». Venu chercher Matisse et Picasso, Zao Wou-ki mettra dix ans avant de parvenir à se libérer de l'imitation (de ces deux-là mais aussi de Chagall et de Modigliani), trouver le style qu'on lui connaît.
Folle échappée
Dès son arrivée à Paris, il prend le pseudonyme de Zao Wou-ki et file le jour même au Musée du Louvre. Puis à Montparnasse. «Je connaissais le mot Montparnasse et je voulais y habiter parce qu'on m'avait dit qu'il était le quartier des artistes», raconte-t-il dans son autobiographie. Autre lieu découvert dans les revues d'art françaises en Chine: l'académie de la Grande Chaumière. Zao Wou-ki s'y précipite et s'y entoure de nouveaux amis: Sam Francis, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Maria Helena Viera da Silva. Chez l'imprimeur Desjobert, il découvre en 1949 la technique de la lithographie, qui l'émerveille. L'année suivante, sans même le connaître, Henri Michaux écrit spontanément huit poèmes pour orner huit de ses lithographies. Une amitié est née entre le peintre et le poète, qui lui présentera le marchand d'art Pierre Loeb, avec qui il travaillera jusqu'en 1957. Mais en 1951, c'est la rencontre avec un autre peintre qui ouvre son horizon: Paul Klee, ce passeur des mondes, l'incite à déconstruire le sien, à s'engager dans l'abstraction. Sa folle échappée occidentale l'a ramené, à l'hiver de sa vie, à l'Orient, avec les encres de Chine.
En juillet 2012, son épouse Françoise Marquet a décidé de quitter le quartier de sa vie, Montparnasse, et la France où il a été élevé grand officier de la Légion d'honneur, pour la Suisse. Cette décision a provoqué un séisme familial et une bataille judiciaire évoquant l'affaire Bettencourt. Le fils du peintre, né d'un premier mariage, accusait sa belle-mère d'avoir fait déménager l'artiste pour mettre la main sur son œuvre. Françoise Marquet s'en défendait, arguant des conditions idéales pour la santé de l'artiste et pour gérer au mieux sa fortune et son œuvre. Avec la Fondation Zao Wou-ki établie à Genève, elle travaille à l'élaboration d'un attendu catalogue raisonné.
- Préc
Ron Mueck à l'œuvre
Dominique de Villepin exprime sa «douleur» après la mort de Zao Wou-Ki
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Zao Wou-ki, un peintre en liberté
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http://www.arthaud.fr/Je suis jurée de ce Prix littéraire
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Je m'installe pour le café littéraire
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Catégories : Des évènements, Voyage
J'étais jurée de ce prix littéraire et hier soir, Nathalie Courtet a été primée
Prix littéraire
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J'ai aimé lire:Nathalie Courtet,"Aux portes de l’Orient,L'Asie à vélo couché T1" et c'est elle qui a gagné avec 41% des voix le prix
Ils sont partis un petit matin d’avril 2008 d’un village du Haut-Doubs, à vélo couché, pour rejoindre Téhéran sept mois plus tard. En tout, près de 13 000 kilomètres, des cols et des plaines, et huit pays traversés dont le Monténégro, l’Albanie, la Turquie et la Cappadoce… Des paysages grandioses et des routes inconnues, autant de rencontres exceptionnelles et de mésaventures pour Nathalie et Michel Courtet qui réalisent là un rêve de gosse : voyager avec le moins de contraintes possibles, sans sponsors, et pour le seul besoin de l’ailleurs. Aux portes de l’Orient est le premier tome d’un récit de voyage relatant cette traversée de l’Europe et de l’Orient à vélo couché.
http://www.editionsphebus.fr/aux-portes-de-l-orient-nathalie-courtet-9782752907271
Ce livre fait partie des livres à lire par le jury dont je fais partie:
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22/12/2012 21:46
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Je serais cet après-midi au Festival des curieux voyageurs
http://www.curieuxvoyageurs.com/
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Catégories : A voir, Le paysage, Van Gogh Vincent, Voyage
Fin de:L'art du voyage(que j'ai vu)
Tout le monde en France est persuadé que l’artiste japonais le plus célèbre est Hokusai. C’est une erreur qui amuse beaucoup au Japon.En effet, le Léonard de Vinci japonais n’est pas le maître de La Vague mais un autre qui n’a encore jamais eu l’honneur des musées en France : Utagawa Hiroshige. Pourtant au temps des impressionnistes, Hiroshige est de loin l’artiste qui a le plus fasciné l’ensemble du groupe des jeunes contestataires des Salons
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Christine Peltre,"Orientalisme"
De la campagne d'Egypte jusqu'au début du XXème siècle, l'Orient a fasciné une quantité de peintres, mais également d'écrivains et de photographes, au point de former un courant artistique à part entière. Puisant ses sources dans la mode des turqueries et des chinoiseries de la seconde moitié du XVIIIème siècle, ce courant pictural donne naissance à plusieurs orientalismes, à travers le développement des explorations et des voyages, l'étude scientifique des civilisations anciennes de la Méditerranée, la littérature et le goût du dépaysement chers aux romantiques, chacun résidant sur un contexte historique propre et possédant des thèmes et des artistes particuliers.
http://www.evene.fr/livres/livre/christine-peltre-orientalisme-14045.php
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J'ai aimé lire cette nuit d'insomnie:"Seule Venise" de Claudie Gallay
A quarante ans, quittée par son compagnon, elle vide son compte en banque et part à Venise, pour ne pas sombrer. C'est l'hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge l'arrachent à sa solitude. Il y a là un aristocrate russe en fauteuil roulant, une jeune danseuse et son amant. Il y a aussi, dans la ville, un libraire amoureux des mots et de sa cité qui, peu à peu, fera renaître en elle l'attente du désir et de l'autre. Dans une langue ajustée aux émotions et à la détresse de son personnage, Claudie Gallay dépeint la transformation intérieure d'une femme à la recherche d'un nouveau souffle de vie. Et médite, dans le décor d'une Venise troublante et révélatrice, sur l'enjeu de la création et sur la force du sentiment amoureux.
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Catégories : Nerval Gérard de, Voyage
Investissement affectif dans le "Voyage en Orient" de Nerval
O. C, II, 600 : « Du pied de la tour de Galata, - ayant devant moi tout le panorama de Constantinople, de son Bosphore et de ses mers, - je tourne encore une fois mes regards vers l’Egypte, depuis longtemps disparue !
Au-delà de l’horizon paisible qui m’entoure, sur cette terre d’Europe, musulmane, il est vrai, mais rappelant déjà la patrie, je sens toujours l’éblouissement de ce mirage lointain qui flamboie et poudroie dans mon souvenir… comme l’image du soleil qu’on a regardé fixement poursuit longtemps l’œil fatigué qui s’est replongé dans l’ombre. »
Cadrage
Investissement affectif
Mes recherches sur les paysages dans le "Voyage en Orient" de Nerval en DEA sont dans la continuité de mon mémoire de maîtrise sur "Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval" publié maintenant comme mes 2 recueils sur The book sous le titre "Des paysages de Baudelaire et Nerval."
http://www.thebookedition.com/des-paysages-de-baudelaire-et-nerval-laura-vanel-coytte-p-1283.html
http://www.omarlecheri.net/ency/nerval.htm
Précédente publication:
01/01/2013 02:28
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Catégories : A voir, Chagall Marc, Voyage
Chagall l'inclassable
Par Véronique Prat Mis à jour le 28/02/2011 à 12:00 | publié le 26/02/2011 à 11:59On associe volontiers Marc Chagall à l'avant-garde russe (1900-1930). L'exposition qui débute le 5 mars au musée de Grenoble est plus nuancée : on y découvre u n artiste marginal dans son temps, irréductible aux théories de l'art et bien plus passionnant ainsi .
Au début du XXe siècle, la Russie reste pour les Français un monde lointain et fermé. Repliée sur elle-même, elle n'est pas non plus curieuse des courants qui agitent l'art occidental. Seuls quelques frémissements laissent espérer un changement. En 1899, Diaghilev crée la revue Le Monde de l'art, qui se veut au fait des nouveautés de Berlin, Vienne, Munich et Paris et souhaite éveiller l'intérêt des milieux moscovites cultivés pour l'avant-garde artistique occidentale. A l'inverse, lors de la première période des Ballets russes, Léon Bakst électrise l'Europe et stupéfie le public français avec ses décors où se heurtent les stridences des bleus, des verts et des carmins. Mais plus que tout cela, l'action de deux collectionneurs, qui ont fait leur fortune grâce à la récente industrialisation de la Russie, fera connaître à Moscou les nouveautés de la peinture française : Serge Chtchoukine, qui possédera 26 Cézanne, 29 Gauguin, 37 Matisse et 54 Picasso, alors que chez nous, ces artistes rebutaient encore le public, et Ivan Morozov, qui visitait à Paris les ateliers des peintres et leur achetait leurs toiles à peine terminées. L'un et l'autre vont ouvrir une fois par semaine leurs collections au public et aux jeunes peintres russes. Matisse, avec ses couleurs « fauves », va influencer les plus novateurs, Michel Larionov et Natalia Gontcharova. Le voyage de Matisse à Moscou en 1911 ne fera qu'accentuer le prestige dont il jouit déjà là-bas.
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"KILOMÈTRES CONTEURS" d'Hubert LAUTH
En voiture pour une échappée belle à travers la France, une escapade joyeuse dans le temps de notre enfance. Un savoureux récit sur les routes de l'Hexagone dont le héros est une auto et le lecteur son passager.
C'est à bord d'une ID –à qui l'auteur donne une âme – que l'on embarque pour des pérégrinations dont la voiture devient le guide stimulant. La fameuse ID, soeur jumelle de la DS, a vu le jour dans les années 50. Originale voire révolutionnaire pour l'époque, elle est restée chère à bien des coeurs et fait partie de notre inconscient collectif. Le lecteur suit son regard, partage ses ressentis, ses émotions, ses rencontres et même ses rêves. Avec elle, il prend la tangente pour un Tour de France à la découverte de ces petites choses ou de ces évènements minuscules qui habitent les parcours et que l'on croyait disparus ou que l'on pensait avoir oubliés. On traverse ainsi montagnes, plaines, forêts et campagnes pour aller voir la mer. On découvre villes et villages, on prend le bac pour aller d'une rive à l'autre d'un fleuve, on file à vive allure sur les routes qui « s'enfoncent, émergent, respirent, déferlent, se croisent et s'entrecroisent puis disparaissent ».
Les Dames de France des centres-villes, les places des jours de marché, les fêtes de villages, les sites touristiques et leurs hôtels avec vue panoramique, un mariage dans la grande ville, des ébats amoureux dans l'habitacle de l'I.D... Autant d'instants volés et de lieux surprenants qu'Hubert Lauth retranscrit avec justesse et poésie.
Et lors de ce joli périple, il y a des rencontres improbables avec Guillaume Le Conquérant, Gérard Philipe, le Général et Yvonne, mais surtout Jean Jaurès, que l'ID rêve de prendre en stop.
Au fil des pages, la route est si belle, les découvertes et les rencontres si inattendues que l'on ne peut trouver le temps long, et on craint à tout instant de s'arrêter ou que le voyage ne se termine. Avec cette ID douée pour le voyage, si sympathique, et la plume alerte de l'auteur, on avale les kilomètres avec joie, on est dans notre lecture en roue libre comme poussé par le vent.Hubert Lauth est néà Castres, dans le Tarn. Il a été concepteur-rédacteur puis directeur de création dans la publicité. Il est aujourd'hui producteur et auteur de programmes de télévision. Kilomètres conteurs est son premier livre. -
J'ai rencontré hier après-midi:OLAF LANDAU,Un an de cabane
En 1979, Olaf Candau construisait des cabanes avec ses copains aux Deux-Alpes. Vingt ans plus tard, sans autre technologie qu’une scie, une hache et un fusil, il s’est enfoncé dans le Yukon, vers le mythe du Grand Nord canadien. Au pays de James Oliver Curwood et Jack London, il a construit une cabane.
Un an de cabane, un an de silence, de conflits avec les martres et les ours, un an d’échecs avec les poissons, un an à bâtir et à se protéger.
Un an de vie, de la vie la plus simple qui soit.http://www.editionsguerin.com/boutique_fr_article_1.html
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22/01/2013 08:52
25/01/2013 09:44
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J'ai lu cette nuit d'insomnie:Globe-trotterN° 7 du 31 Janvier 2013
http://www.journaux.fr/globe-trotter_voyage-tourisme-nature_art-et-culture_157683.html