Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai vu - Page 18
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La Collection Al Thani s’installe à l’Hôtel de la Marine(que j'ai visité fin octobre)
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J'ai aimé hier soir au cinéma: BURNING CASABLANCA
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J'ai visité avec plaisir le 26 octobre: CAILLEBOTTE À YERRES, AU TEMPS DE L'IMPRESSIONNISME
DU 5 AVRIL AU 20 JUILLET 2014
CAILLEBOTTE À YERRES, AU TEMPS DE L'IMPRESSIONNISME
PROPRIETE CAILLEBOTTE, YERRES (91)
À 20 minutes de Paris, venez découvrir : Yerres, l’autre capitale de l’impressionnisme
Pour la première fois, près de 40 chefs d’œuvre de Gustave Caillebotte vont être présentés dans sa propriété yerroise, où ils ont été peints. Ce grand rendez-vous de l’impressionnisme est d’autant plus exceptionnel, que ces œuvres n’ont, pour la plupart, jamais ou très peu été exposées au public.
Les plus grands musées du monde se sont associés à cet évènement culturel majeur de l’année 2014. Ainsi, près de 40 tableaux issus des collections de la National Gallery de Washington, du Art Museum de Milwaukee, de l’Indiana University Art Museum de Bloomington, du Musée des Beaux-Arts de Rennes et des Musées d’Orsay et Marmottan Monet à Paris seront présentés aux côtés des œuvres prêtées par la famille même de l’artiste et par des collectionneurs privés.
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J'ai vu le 26 octobre :Paul Durand-Ruel et le post-impressionnisme 19 mai 2021 - 14 novembre 2021 A La Ferme Ornée à Yerres
Paul Durand-Ruel est bien connu comme le défenseur de « la belle École de 1830 » (Delacroix, Corot, Daubigny, Millet...) et surtout comme « le marchand des Impressionnistes» (Monet, Renoir, Degas, Manet, Sisley, Pissarro...). En revanche, on ignore généralement qu’il a apporté le même soutien indéfectible à cinq peintres de la génération post-impressionniste (Moret, Maufra, Loiseau, G. d’Espagnat et André) qui étaient attachés à sa galerie par un contrat moral d’exclusivité.
Cette méconnaissance tient pour une part à ce qu’il n’a pas vécu assez longtemps pour assurer leur succès. Ils sont entrés dans son écurie au milieu des années 1890 - il avait déjà dépassé la soixantaine -, à un moment où l’impressionnisme commençait tout juste à être reconnu par la critique et par les amateurs d’art éclairés : c’est en 1895 que Monet expose triomphalement chez Durand-Ruel sa série des Cathédrales de Rouen. Quand le galeriste meurt en 1922, après s’être retiré des affaires depuis quelques années, ses poulains n’ont pas eu le temps d’atteindre la grande notoriété.
Cette méconnaissance tient pour une autre part à ce que ces peintres – aujourd’hui bien présents dans les grands musées, dans les collections privées et sur le marché international de l’art - n’ont bénéficié, au cours des années passées, d’aucune exposition collective qui aurait permis de les découvrir en tant que groupe, d’apprécier leur valeur et de mesurer leurs affinités. Et cela alors même que Durand-Ruel les faisaient très souvent exposer ensemble, tant à Paris qu’à New York.
Le propos de l’exposition est de réparer cette injustice, en présentant des toiles très rarement exposées, mais révélatrices du grand art de ces peintres.
L’exposition permettra de dégager les proxi-mités stylistiques de ces peintres de la « troisième génération Durand-Ruel ». Trois d’entre eux - Henry Moret, Maxime Maufra et Gustave Loiseau - sont des paysagistes et des marinistes, qui s’inscrivent dans le sillage de l’impressionnisme, tout en lui apportant de notables inflexions. Henry Moret et Maxime Maufra, en particulier, ont participé, à la fin des années 1880, à l’aventure de Pont-Aven, aux côtés de Paul Gauguin et du groupe synthétiste. Les deux autres – Georges d’Espagnat et Albert André – s’inscrivent davantage en rupture avec l’esthétique impressionniste, préférant au paysage les scènes de genre et la peinture décorative. A cet égard, l’exposition de ces coloristes permettra de faire écho, en région Ile-de-France, qui a choisi la couleur comme thématique de sa quatrième édition.
Enfin, l’exposition sera l’occasion de découvrir, à travers un catalogue très documenté, les relations professionnelles mais aussi amicales qui unissaient ces peintres entre eux et avec leur marchand. Les commissaires se sont livrés à un dépouillement systématique des archives de la maison Durand-Ruel - catalogues d’expositions, livres de stock, de comptabilité, de remis en dépôt – et ils ont décrypté et exploité toute la passionnante correspondance échangée entre Durand-Ruel père et fils et leurs artistes. Cela leur permet de livrer ici un travail de première main, éclairant une période très riche de l’histoire de l’art.
Commissariat de l’exposition
Claire Durand-Ruel Snollaerts
Historienne de l’art, spécialiste et expert de Camille Pissarro, auteur du catalogue critique des peintures de l’artiste
Jacques-Sylvain Klein
Historien de l’art, membre associé de l'Académie des sciences, arts et belles lettres de Caen.
Direction de la Propriété Caillebotte
Valérie Dupont-Aignan
Conférences gratuites dans l’auditorium du CEC
Inscription au 01 80 37 20 61
- Paul Durand-Ruel par Paul-Louis Durand-Ruel, samedi 11 septembre 2021 - 15h
- Conférence de l’exposition par Claire Durand-Ruel Snollaerts, Commissaire de l’exposition, samedi 25 septembre 2021 - 15h
- Albert André par Béatrice Roche, Directrice, Conservatrice des musées du Gard, dédicace de son prochain roman graphique sur l’artiste, samedi 2 octobre 2021 - 15h
BILLETTERIE
http://www.proprietecaillebotte.fr/expositions/paul-durand-ruel-et-le-post-impressionnisme-448.html
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J'ai aimé cet après-midi:L'ÉNIGME AUTODIDACTE
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J'ai aimé cet après-midi: LIONEL SABATTÉ
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J'ai visité hier et j'ai beaucoup aimé: Ceysson & Bénétière
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J'ai aimé hier soir au cinéma Eiffel(et en vrai le 23 octobre: photo perso)
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J'ai vu Jeff Wittenberg à Paris lundi
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J'ai visité samedi 23 octobre 2021: Maison La Roche
Maisons La Roche-Jeanneret, Paris
Photo : Cemal Emden 2015
© FLC/ADAGP -
Lundi 25 octobre 2021, j'ai visité : MALMAISON après avoir lu: LE CHÂTEAU DE JOSÉPHINE ET BONAPARTE N° 285 - Fév. 21
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Entre Istanbul et Grenoble
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J'ai vu hier au cinéma: LAILA IN HAIFA
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J'ai vu hier au cinéma:MAN HUNT (CHASSE À L’HOMME)
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J'ai vu hier au cinéma: LA LOI DE TÉHÉRAN(le seul film que j'avais envie de voir depuis quelques semaines)
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J'ai visité hier avec sérieux et tristesse: national de la prison de Montluc
LE MÉMORIAL NATIONAL DE LA PRISON MONTLUC
La prison militaire de Montluc, localisée en face du fort Montluc, ouvre ses portes en 1921. Utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale, elle devient prison civile à partir de 1947 et ferme ses portes en 2009 comme maison d’arrêt pour femmes.
Prison militaire du régime de Vichy de 1940 à 1943, elle est réquisitionnée par l’occupant nazi à partir de janvier 1943 et ce jusqu’au 24 août 1944. Montluc est alors à Lyon et pour toute la région, la principale porte d’entrée vers la déportation et les exécutions. Lieu d’internement de près de 10 000 hommes, femmes et enfants durant l’occupation allemande, et notamment des enfants d’Izieu, de Jean Moulin et de Marc Bloch, la prison de Montluc est un lieu emblématique des politiques de répression allemandes dans la région de Lyon.
Le Mémorial National de la prison de Montluc ouvre ses portes au public en 2010 avec pour objectif de rendre hommage aux milliers de Résistants, Juifs, et otages, victimes des nazis et de Vichy, pendant la période de la Seconde Guerre mondiale, et de mieux comprendre la mise en place des politiques de répression.
Haut lieu de la Mémoire nationale, le Mémorial a rejoint en 2010 les sites gérés par le Ministère de la Défense, propriétés de l’État. Ces hauts lieux de la mémoire nationale évoquent chacun un aspect de la mémoire des conflits contemporains. Ce sont des lieux de cérémonies et de recueillement, mais aussi de transmission de la mémoire où sont notamment organisées des actions pédagogiques à destination du jeune public.
Vous trouverez également un historique complet de la prison de Montluc dans le programme pédagogique du mémorial
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J'ai vu aussi hier: L'Odyssée moderne de Louis Bouquet
Louis Bouquet,
Autoportrait au papier-peint, vers 1918.
Collection particulière, © ADAGP, Paris, 2021. Image © Lyon MBA - Photo Martial Couderette -
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J'ai aimé ce midi: Flops ! Quand le design s’emmêle et Round 5
Qu’ont en commun les Google Glass, des verres à vin siamois et un miroir pour mythomane ? Ils font Flops ! Mais ils nous invitent également à nous questionner sur les raisons de leur inadéquation. Quelles sont les causes qui mènent une innovation à l’échec ou au succès ? Comment les ratés peuvent-ils servir l’innovation ? Qu’est-ce qui déclenche l’appropriation par les utilisateurs ? Les flops, les bides, les ratés sont des éléments utiles pour comprendre les problématiques de la création. Ils nous amènent également à comprendre ce qui fait qu’un produit devient culte et satisfait les rêves et désirs d’une société. L’exposition Flops ! Quand le design s’emmêle vous propose un regard décomplexé et plein d’humour sur les flops du design.
Les erreurs ont presque toujours un caractère sacré. N’essayez jamais de les corriger.
Les Improbables
Mais comment ont-ils pu arriver sur le marché ? A posteriori, l'existence même des quarante produits exposés paraît hautement improbable. La preuve ? Tous sont des flops, des échecs commerciaux ou financiers retentissants, avec un point commun : leur utilisation est problématique. Leur usage est malaisé, malaisant ou même impossible. Entre leur conception et leur mise en service, le design a échoué ou a été tout simplement oublié. Les questions que posent le designer – « à quoi cela sert-il ? qu'est-ce que cela évoque ? dans quel environnement cela s'inscrit-il ? à quel besoin cela répond-il ? -n'ont pas été posées, n'ont pas été entendues, ou n'ont jamais abouties à la remise en cause du projet.Résultat : les erreurs, issues de domaines différents – conception, management, techniques ou technologiques, matériaux – ont toutes contrarié la fiabilité du produit ou son appropriation par les usagers. Tous ces défauts ne signent pas la fin de l’histoire. Pris en compte, analysés, décortiqués dans un processus de design avec l’utilisateur au centre, ils ont parfois servi de base à de grands succès. C’est un des enseignements voulus par Samuel West, fondateur du Museum of Failure, le musée de l’échec, ouvert en Suède en 2017, dont est issue la sélection d’objets présentée.
Les Introuvables
Leurs formes sont surprenantes, leurs noms étonnants et leur fonction toujours particulière. Issus ou inspirés du Catalogue d'objets introuvables de Jacques Carelman, tous ces engins, outils, ustensiles ou dispositifs sont dénués de toute ambition utilitaire. S'ils servent, c'est à rire ou à pleurer, à s'interroger sur l'origine des machines ou peut-être découvrir le pourquoi du comment. Une seule certitude, ils sont « parfaitement inutilisables », soulignait l'illustrateur et pataphysicien en quatrième de couverture de son ouvrage. À vous de tester ces objets, par le geste ou l'imagination. De déceler leurs plus grandes failles ou leurs meilleures intentions. Ils sont « le contraire de ces gadgets dont notre société de consommation est si friande », écrivait encore Carelman. Ils trouvent leur origine dans le fameux catalogue « Manufrance, Manufacture française d'armes et cycles » qu'il feuilletait enfant et qui lui a « procuré [ses] premières et inoubliables émotions poétiques » grâce à ces étranges objets aux fonctionnements inconnus et aux noms barbares.
Les Inconfortables
En déconstruisant le langage invisible du design dans notre réalité domestique, Katerina Kamprani apporte de légères modifications aux propriétés fondamentales d'objets simples du quotidien, et questionne nos attentes concernant la fonctionnalité. Les modèles conceptuels établis sont brisés, ce qui conduit à une appréciation du conventionnel à travers un design défectueux. La sémiotique de l'objet d'origine est maintenue, mais l'observateur est trompé lorsqu'il tente de simuler son fonctionnement, ce qui bouleverse ses attentes et donne à ces objets usuels un aspect inconfortable, absurde, et souvent surréaliste.
Conciliant humour, art et design, Katerina Kamprani analyse et redessine les objets du quotidien afin de les rendre inconfortables.
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J'ai aimé ce matin: VESTIGES INDUSTRIELS, DANS L'OEIL DU PHOTOGRAPHE(mais on ne m'a pas indiqué qu'il y avait 2 autres expos....rrrr)
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J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: LÉA BELOOUSSOVITCH
Feelings on felt
DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021
LIEUMAMC+
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J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: ÉRIC MANIGAUD
ÉRIC MANIGAUD
La mélancolie des vaincus
DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021
LIEUMAMC+
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J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: DÉJÀ-VU. LE DESIGN DANS NOTRE QUOTIDIEN
DÉJÀ-VU. LE DESIGN DANS NOTRE QUOTIDIEN
Collections du MAMC+
DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 22 AOÛT 2021
LIEUMAMC+
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J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: HASSAN SHARIF
HASSAN SHARIF
I am the single work artist
DATESDU 5 MARS AU 26 SEPTEMBRE 2021
LIEUMAMC+