Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai vu - Page 30
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J'ai lu avant de voir pendant ce voyage:La France Des Impressionnistes Argenteuil N° 49 du 11 juillet 2018
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Nous n'avons pas eu le temps de visiter à Barbizon:La Maison-Atelier de Jean-François Millet
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Nous avons visité vendredi sur la route du retour vers St Etienne:Musée des peintres de Barbizon
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Hôtel de Bocsozel
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La Halle de la Côte St André
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Dans la cour de l'Hotel de ville de la Côte St André: Autoportrait de Jongkind
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Hôtel de ville de la Côte St André
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Les 29 et 30 juin dernier, autour de la Côte St André, nous avons pu découvrir: l'Architecture locale
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Monuments aux morts de la Côte St André
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Eglise St ANDRE de la Côte St André
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Les images d'un iconoclaste, expo du Musée Berlioz
Exposition présentée du 23 juin au 31 décembre 2018
Avec le développement de la photographie, les années 1850 voient l'art du portrait se transformer. Peu à peu, les miniaturistes tendent à disparaitre au profit des ateliers de photographes qui se multiplient. L'image n'en perd pas pour autant sa dimension sacrée. Des photographes capturent à travers leur objectif les personnalités les plus diverses, du simple quidam aux grands de ce monde et aux artistes de renom. Ainsi, Nadar, Disdéri, Mayer et Pierson photographient toute une génération d'artistes en fixant à jamais à travers leurs objectifs la personnalité et l'âme de leurs sujets. Ces épreuves, et plus particulièrement les photos-cartes, témoignent non seulement de l'histoire de l'évolution d'une technique en révélant un véritable phénomène de société mais composent l'immense galerie des personnalités du XIXe siècle.
Si tous souhaitent apparaitre sous leur meilleur jour, la presse satirique et les caricaturistes dévoilent quant à eux leurs travers en les brocardant à loisir. Ainsi, Cham, Etienne Carjat, Gustave Doré, Benjamin Roubaud, J. J. Grandville, Honoré Daumier et même Nadar apportent-ils à travers leurs charges un regard décalé et souvent iconoclaste qui pourtant, et paradoxalement, participe encore à la sacralisation des idoles. Car l'image, ce « double » dont parle Edgar Morin, « détient la force magique ». Il est l'image, « à la fois exacte et rayonnante d'une aura qui le dépasse - son mythe ».
Hector Berlioz, comme tous les artistes de son temps, profite de la photographie naissante pour diffuser son portrait, son « double », auprès de ses contemporains. L'image venant ainsi compléter ses écrits et faire du « roman » un « mythe » que la presse satirique, dont les caricatures témoignent de l'incompréhension ou la désapprobation que suscitait souvent le génie novateur de Berlioz, participera involontairement à célébrer.
L'exposition propose de retracer à partir de bon nombre de portraits et de caricatures du compositeur ou de ses pairs réalisés de leur vivant - images pieuses et images rieuses -l'émergence d'une nouvelle identité, à la croisée du réel, de l'imaginaire et du sacré.
Inauguration de l'exposition : vendredi 22 juin à 18h30
http://www.musee-hector-berlioz.fr/3914-sacre-berlioz-les-images-d-un-iconoclastes.htm
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Autres statues (et bustes)de Berlioz dans son musée
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Berlioz et la musique
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L'écrivain Berlioz
Récits de voyage
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Euphonia et Berlioz
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Les voyages de Berlioz
Précédentes notes sur Berlioz
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La vie de Berlioz
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Petit salon bibliothèque DE LA MAISON bERLIOZ
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Portraits (et caricatures)de Berlioz dans son musée
Précédentes notes sur Berlioz
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Berlioz et Weber
Fantaisie
Gérard de NervalIl est un air pour qui je donnerais
Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber,.... -
Berlioz et Lord Byron
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Berlioz et Théophile Gautier
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La vague d'Othoniel hier au MAM de St Etienne