Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai vu - Page 42
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Au Rijjksmuseum, j'ai admiré les Vermeer
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Au Rijksmuseum Amsterdam, j'ai admiré "La toilette" de Jan Steen
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J'ai adoré voir "La ronde de nuit" à Amsterdam
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Nous avons aussi admiré du canal et du long du canal:Zuiderkerk d'Amsterdam
Vue de l'Église avec la même perspective que le tableau de Claude Monet -
Nous avons bien-sûr adoré tous les deux:Gare d'Amsterdam-Central
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Magere Brug
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Berckheyde
Gerrit Adriaensz Berckheyde, né le à Haarlem où il est mort le , est un peintre flamand de l'École hollandaise du xviie siècle. Il est célèbre pour ses peintures des canaux d'Amsterdam.
Il est le frère cadet du peintre Job Berckheyde (1630-1693).
Amsterdam, la courbure d'or dans le Herengracht, Amsterdam, Rijksmuseum.
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J'ai bien-sûr adoré au Rijksmuseum d'Amsterdam:De molen bij Wijk bij Duurstede, Jacob Isaacksz. van Ruisdael, ca. 1668 - ca. 1670
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A Delft, nous avons vu:la vieille église
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J'ai adoré visiter le 21 juillet 2017:Le Musée Frans Hals à Haarlem
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Nous avons été ravis de déjeuner à Haarlem(après ma visite du musée Franz Hals)
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J'ai adoré en juillet 2017:MUSÉE BOIJMANS-VAN BEUNINGEN DE ROTTERDAM
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Au fil de notre voyage à Amsterdam et autour , nous avons vu des expos sur: De Stijl
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Goltzius et la Compagnie du Pélican (en souvenir de la Ronde nuit vu à Amsterdam en juillet 2017)
Goltzius et la Compagnie du Pélican est le deuxième volet de ce qui est désormais annoncé par le cinéaste Peter Greenaway comme une trilogie sur les Deutsch Masters, à savoir les peintres hollandais les plus réputés. Ainsi, La ronde de nuit auscultait la création de la fameuse toile de Rembrandt sur fond de manigances politiques et de meurtre, tandis que le troisième volet annoncé pour 2016 rendra hommage à l’œuvre de Jérôme Bosch.
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Pays-Bas. 16ème siècle.
Hendrik Goltzius est un célèbre peintre et graveur d’œuvres érotiques. Il aimerait ouvrir une imprimerie pour éditer des livres illustrés. Il sollicite alors le Margrave (Marquis) d’Alsace et lui promet un livre extraordinaire avec des images et des histoires de l’Ancien Testament regroupant les contes érotiques de Loth et ses filles, David et Bethsabée, Samson et Dalila, Saint Jean-Baptiste et Salomé. Pour le séduire davantage, il lui offre alors de mettre en scène ces histoires érotiques pour sa cour. -
En y passant 6 nuits, nous avons pu apprécier: Oegstgeest
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L'Âge d'Or hollandais - La collection Kremer
À la Pinacothèque de Paris, du 27 octobre 2011 au 25 mars 2012
Ilone et George Kremer, Héritiers de l'Âge d'Or hollandais
L'exposition L'Âge d'Or hollandais, organisée à la Pinacothèque de Paris à l'automne 2009 autour des trésors des collections royales hollandaises, avait permis de mettre en lumière cette période unique en Europe au cours de laquelle une révolution humaine importante avait eu lieu un siècle et demi avant celle de la France.
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J'avais lu pour préparer mon voyage à Amsterdam:Christian Chavagneux, Une brève histoire des crises financières. Des tulipes aux subprimes
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C'est le musée que j'aie le moins aimé à Amsterdam:Stedelijk Museum Amsterdam
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Hier soir, nous avons regardé:Ascenseur pour l'échafaud(diffusé hier soir sur France 5 à 20h50 en hommage à Jeanne Moreau)
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La semaine dernière, nous sommes retournés à Laon
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En juillet 2017, nous avons découvert près de St Quentin:Abbaye de Bohéries
L'abbaye de Bohéries est une ancienne abbaye cistercienne située à Vadencourt, en France2.
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Le 14 juillet, nous avons vu au MAM de Troyes:
André Derain (Chatou, 1870 – Saint-Germain-en-Laye, 1943)
Le port de Collioure, 1905
Huile sur toile
H. 72 cm ; L. 91 cm
MNPL 57Au cours de l’été 1905, Derain rejoint à Collioure Matisse, qui était venu s’y installer au printemps. Derain n’a pas été insensible au travail de son aîné et la parenté de cette toile avec celles peintes par Matisse à Collioure est évidente.
Sous l’apparente liberté de la fracture et la fantaisie des couleurs éclatantes et arbitraires, Derain cache, tout comme Matisse, des recherches lucidement menées. Il prend ici au néo-impressionnisme quelques procédés (contraste de couleurs, ombres colorées, pose de la pâte par petites touches), mais n’y adhère pas pleinement.
Il joue ici avec le blanc de la toile et oppose à des surfaces traitées dans un esprit pointilliste, les aplats de la voile ou de l’ombre de la charrette. De même, la série de zones obliques qui scande la composition, n’est évidemment pas improvisée. -
Au Musée de Langres, j'ai vu:
Raoul Dufy « Paysage de Langres », 1935