Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Nous avons vu hier soir au cinéma:La taularde
Date de sortie 14 septembre 2016 (1h 40min)
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Date de sortie 14 septembre 2016 (1h 40min)
Implantée dans une ancienne entreprise textile à Fresnoy-le-Grand, la Maison du Textile, musée vivant de la tradition textile, vous plonge dans l'incomparable univers de ce savoir-faire à travers les techniques de tissage (Jacquard et Aubusson) et de broderie d'hier à aujourd'hui.
Vous apprendrez l'histoire des Etablissements "La Filandière" en visitant un atelier constitué de 28 métiers à tisser Jacquard mais aussi en participant à des pôles d'animations et de démonstrations.
La reconstitution d'un intérieur de maison de tisserand vous plongera à l'époque du tissage à domicile dans les années 30 et vous permettra de découvrir des métiers aujourd'hui oubliés : rotier, navetier, contremaître...
L'initiation à certains métiers textiles révolus vous permettra aussi de devenir trameur sur rouet ou encore "rentreur" de fils sur petits peignes...
Spécial enfant : Pars avec Bobine, ton compagnon de visite et perce les mystères de l'univers textile : énigmes, jeux et ateliers t'attendent !
Lors de ta visite, n'hésites pas à demander le programme des animations de l'année : ateliers créatifs, club des p'tits tisserands, "Viens fêter ton anniversaire au musée !"
a cité qui a vu le martyre et la mort de Jeanne d'Arc se devait, plus qu'aucune autre, d'élever un souvenir digne de la sainte héroïne. Plus d'une cinquantaine de projets de monuments à Jeanne d'Arc ont été comptabilisés à Rouen.
Les souvenirs se trouvent sur les lieux même de l'épopée johannique comme le donjon du chateau de Philippe-Auguste où elle fut enfermée, la place du Vieux-Marché avec le pilori et l'emplacement du bûcher, l'abbaye de St-Ouen, la Seine où l'on jeta ses cendres, l'archevêché ou plusieurs séances de son procès eurent lieu, l'abbaye de St-Ouen dont le cimetière fut le lieu de son abjuration. Tout comme Orléans, mais à un degré moindre, cette ville organise depuis 1878 ses fêtes Jeanne d'Arc au mois de mai.
Le centre-ville de Guingamp, vue générale sud prise depuis la rive droite du Trieux (2008)
Aux portes du Trégor, à la croisée d′anciennes voies romaines, Guingamp, Gwengamp en breton, est une ancienne ville comtale établie sur un escarpement rocheux dominant la rive droite du Trieux. Cette ville aux origines toutes médiévales a connu, vers le milieu du XIXème siècle, d′importantes transformations que Benjamin Jollivet a bien voulu présenter en ces termes 1 :
« Cette ville avait une très grande importance militaire (...). Elle était entourée d′épaisses murailles, avec revêtement en pierre de taille, et bordées d′un parapet à créneaux et mâchicoulis. Douze bastions dont quelques-uns surmontés de tourelles, protégeaient ses murailles, au pied desquelles, pour plus de sûreté encore, on avait creusé de larges douves (...). Enfin, on y pénétrait par quatre portes principales, fermées par des herses et ponts-levis, et chargées de bas-reliefs représentant les armes des membres de la maison de Penthièvre (...). Guingamp n′est plus la cité des Penthièvre. Sa cuirasse de guerre est trouée de toutes parts, et n′apparaît plus que de loin en loin, par fragments épars, peu nombreux, sans point de contact désormais (...). Ses portes bardées de fer, que la trahison livra aux troupes du roi de France Charles VIII ; ses murailles épaisses précédées de douves ; son château ducal, où fut reçu Bertrand Du Guesclin ; le petit fort de Saint-Léonard, si vaillamment défendu par l′intrépide Gouicquet, à la tête de la jeunesse guingampaise ; tout cela a disparu sans pour ainsi dire laisser de traces ... Débarrassée maintenant de toute étreinte, la ville déploie ses ailes, franchit les limites étroites que lui avait imposée sa lourde ceinture de granit, et respire à l′aise. L′air circule en toute liberté au milieu de ses rues, qui partout s′élargissent ; les voitures pour y pénétrer, n′ont plus à redouter de voir crouler sur elles ces vieilles portes de Rennes et de Brest, sous lesquelles, il y a moins de 30 ans [vers 1830], les rouliers ne passaient qu′après en tremblant d′effroi ; les douves malsaines et dangereuses ont cédé leur place à un vaste champ de foire, parfaitement nivelé, où darde le soleil ; les anciens ponts Saint-Michel sont remplacés, les Cantons élargis, la jolie chapelle de l′hôpital dégagée des tristes masures qui la cachaient aux regards ; pour tout dire, en un mot, le vieux Guingamp n′existe plus ! ».
http://www.perluette-atelier.com/index.php/nouveautes/mutg/
« Le regard est source de connaissance »
Le patrimoine architectural est affaire de regard
Grâces, le bourg. L′église Notre-Dame (début du XVIème siècle) et le groupe scolaire (début du XXème siècle) (2008)
La BmL s’offre une nouvelle identité graphique !
Capitale provinciale dès l'époque gallo-romaine, Poitiers possède un patrimoine architectural exceptionnel qui s'est enrichi au fil des époques.