Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai aim&é ce matin à Lyon:Louis Calaferte:"La poésie,ça ne s'invente pas"
exposition
bibliothèque
Part Dieu
8 mars au
31 mai 2014
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Part Dieu
8 mars au
31 mai 2014
Cet artiste talentueux expose ses séries photographiques cohérentes et convaincantes dans deux expositions remarquables, au Jeu de paume et à La Maison rouge.
6/3/14 - 11 H 21
La passionnante « Traversée » à laquelle invite Mathieu Pernot au Jeu de paume, à Paris, dessine le portrait de ce photographe talentueux, creusant depuis vingt ans avec sensibilité et rigueur la question du regard porté sur l’autre. S’intéressant aux questions de la marginalité et des communautés invisibles, de l’urbanisme et de l’enfermement, ce quadragénaire aime confronter différentes représentations d’une même histoire.
Les États-Unis, quelques années avant la guerre de Sécession. Solomon Northup, jeune homme noir originaire de l’État de New York, est enlevé et vendu comme esclave. Face à la cruauté d’un propriétaire de plantation de coton, Solomon se bat pour rester en vie et garder sa dignité. Douze ans plus tard, il va croiser un abolitionniste canadien et cette rencontre va changer sa vie.
http://www.premiere.fr/film/12-Years-a-Slave-2877664Inspiré d’une autobiographie éponyme signée Solomon Northup.
Il est nommé aux Bafta du Meilleur Film, du Meilleur Réalisateur, du Meilleur scénario adapté, du Meilleur acteur (Chiwetel Ejiofor), du Meilleur acteur dans un second rôle (Michael Fassbender), de la Meilleure actrice dans un second rôle (Lupita Nyong'o), Meilleure Musique, Meilleure photographie, Meilleur montage, Meilleur Directeur artistique.
Le film est nommé aux Oscars dans les catégories Meilleur Film, Meilleur Réalisateur, Meilleur scénario adapté, Meilleur acteur (Chiwetel Ejiofor), Meilleur acteur dans un second rôle (Michael Fassbender), Meilleure actrice dans un second rôle (Lupita Nyong'o), Meilleure direction artistique, Meilleur montage, Meilleurs costumes
Sculptures, installations, performances… Michael Elmgreen et Ingar Dragset ressuscitent esprit critique et humour subversif autour de sujets tels que la politique sociale, le poids institutionnel ou la marche du monde en général. Leur travail prend volontiers place dans l’espace public. Jouant sur le décalage et le déplacement, ils créent des situations signifiantes, installant une boutique Prada en plein désert Texan (2005) ou conduisant un projet collectif pour reconstituer dans le pavillon du Danemark de la 53è Biennale de Venise (2009) la maison d’un collectionneur.
Michael Elmgreen est né en 1961 à Copenhague (Danemark). Ingar Dragset est né en 1968 à Trondheim (Norvège). Ils vivent et travaillent à Berlin (Allemagne).
Cette séquence est la seule de la rive droite réalisée dans la première tranche du projet Rives de Saône.
Elle s’étend du pont Bonaparte aux bretelles du pont Maréchal-Juin, où plusieurs édifices historiques se succèdent en front de quai : le chevet de la primatiale Saint-Jean, le Palais Saint-Jean et l’ancien Palais de justice, construit par Louis-Pierre Baltard entre 1835 et 1847.
La passerelle, construite en 1983 est suspendue par des haubans plantés dans un mât unique ancré sur la rive gauche de la Saône. Elle enjambe la rivière depuis le quai Saint-Antoine, sur la presqu’île, pour déboucher devant le Palais de Justice.
Installation interactive sonore et musicale Jean-Baptiste Barrière, compositeur et artiste multimédia
Grame et Image Auditive - musées Gadagne - Columbia University New York
[7 au 29 mars 2014]
Dans les grottes de fraîcheur des jardins suspendus des musées Gadagne ou au Miller Theater de Columbia University à New York, Jean-Baptiste Barrière propose aux visiteurs une expérience singulière.
Elle est conçue à la fois comme une installation autour des rêves racontés par des gens du monde entier et comme une performance musicale et visuelle connectée entre Lyon et New York où des "stations de rêves" permettront à chacun de déposer son jardin secret.
Seul ou en petit groupe, le visiteur se trouve immédiatement confronté à sa propre image, projetée sur un miroir/écran. Cette image lui ressemble, mais paraît à la fois proche et lointaine, fidèle et déformée. Au reflet du spectateur se superpose en effet une image qui vit et se transforme selon la manière dont il se comporte dans l’espace. En fonction de ses mouvements, lents ou rapides, analysés par l’ordinateur, il définit la nature de son autoportrait, sans cesse recomposée à partir de son image et de sa voix. Certains gestes sont mémorisés et réapparaissent ultérieurement, comme si le passé venait périodiquement hanter le présent. D’autres scènes imaginaires et préenregistrées viennent également s’incruster pour élaborer l’autoportrait en mutation. Celles-ci explorent la thématique du rêve, notamment à partir des œuvres musicales de Kaija Saariaho qui y font référence.
Ainsi, au fur et à mesure de l’exploration, un monde d’abord caché se révèle peu à peu au visiteur. L’autoportrait explore le troublant entre-deux qui va de l’identité à l’altérité.
L’image et la voix des visiteurs sont immédiatement transformées, mais aussi retransmises et intégrées à une banque de données visuelles et sonores, enrichissants une mémoire collective. Ils seront ainsi incorporés dans les autoportraits suivants.
Informations pratiques
Entrée libre de 11h à 18h30 du mercredi au dimanche
Déposez vos rêves sur www.jardindessonges.org ou à la station des rêves installée à l’Office du tourisme Place Bellecour à Lyon. Dès le 7 mars, sur place dans les jardins de Gadagne.
Site de l'artiste : http://www.barriere.org
Site de la Biennale : http://www.bmes-lyon.fr/
Déposez vos rêves dès maintenant sur www.jardindessonges.org ou à la station des rêves installée à l’Office du tourisme Place Bellecour à Lyon. Dès le 7 mars, sur place dans les jardins de Gadagne.
[Exposition temporaire du 21 novembre 2013 - 27 avril 2014]
Lyon, centre du monde ! revient sur l’Exposition internationale urbaine de 1914. L’Exposition s’étend sur la surface impressionnante de près de 75 ha ! Elle a une vraie vocation internationale avec 27 000 m2 dédiés aux pavillons des Nations. Plus de 17 000 entreprises y présentent leurs produits et leurs innovations. Lyon met alors en avant son projet d’une cité moderne et originale, qui répond aux besoins nouveaux, aux concepts d’hygiène et au nécessaire progrès social.
Le projet est porté par quatre hommes, Édouard Herriot, Sénateur-Maire de Lyon, futur Président du Conseil et Ministre, Tony Garnier, Jules Courmont et Louis Pradel, Vice-président de la Chambre de commerce.
L'exposition temporaire des musées Gadagne explique les objectifs et les ambitions, l’organisation, le financement et les modèles de l’Exposition internationale urbaine. Elle en appréhende le caractère international et politique. Une place particulière est réservée à l’architecture et aux projets de Tony Garnier ainsi qu’à l’accueil réservé, autant dans la presse que par le public, à cette Exposition située dans un quartier alors peu fréquenté.
Les événements ponctuant le programme de l’Exposition dès l’inauguration et surtout lors de la visite officielle du Président Poincaré seront présentés, jusqu’à la déclaration de la guerre le 3 août 1914 et le départ des nations ennemies.
Du mercredi au dimanche de 11h à 18h30.
Tarifs exposition temporaire : 7 € / réduit 5 €
Gratuité : moins de 26 ans, demandeur d'emploi (sur présentation d’un justificatif à jour), personne en situation de handicap et son accompagnateur
«Colorado Springs, Colorado», 1969. San Francisco et Matthew Marks Gallery, New York (Photo Robert Adams. Courtesy Fraenkel Gallery.)
Albert Marquet, Le Vieux-Port de Marseille, huile sur toile, 60 x 81 cm.
Dans le film de Paolo Sorrentino,Toni Servillo est Jep Gambardella, écrivain mondain dans l'incapacité d'écrire. Crédits photo : © Gianni Fiorito / Pathé Distribution
Le cinéma italien, de nouveau sélectionné à Hollywood, court après un onzième oscar qui lui a échappé en 2005 pour La Bête dans le cœur de Cristina Comencini.
En juin 2009, la Pointe de la Douane, édifice symbole de la ville datant du XVIIe siècle, a ouvert ses portes au public. Siège de la François Pinault Foundation, elle complète l’offre culturelle du Palazzo Grassi. L’architecte Tadao Ando prend en main le projet de restauration du bâtiment. Spectaculaires et discrets, respectueux et audacieux, les anciens entrepôts de la douane sont transformés en un lieu d’exposition d’art contemporain. La Pointe de la Douane présentera fin mai une exposition collective intitulée « Prima Materia » incluant une trentaine d’artistes. À l’occasion de l’ouverture de cette exposition, la Pointe de la Douane inaugure un nouveau cycle de commandes spécifiques pour « le Cube », espace central de l’édifice, entouré des murs de ciment de Tadao Ando. Chaque année, un artiste sera invité à concevoir un projet spécifique pour ce lieu. Pour la première édition de ce programme, il accueille l’artiste chinois Zeng Fanzhi.
Né en 1964, Zeng Fanzhi fait partie de la génération d’artistes chinois nouvellement propulsés sur la scène artistique contemporaine internationale. À l’inverse d’artistes qui ont orienté leurs travaux vers les formules
occidentales, Zeng Fanzhi conserve une identité personnelle, culturelle, néanmoins affranchie de l’idéologie politique et des révolutions économiques successives dont il a été le témoin dans son pays. Les œuvres de Zeng Fanzhi prennent appui sur son expérience. En 1993, il quitte sa province natale de Hubei pour s’installer à Pékin. La vie urbaine, la solitude, l’observation des « coutumes » citadines sont à l’origine d’une série qui le rendra célèbre (Masques, 1994-2000). Dans cette série, la cravate et le sourire rouge - symbole de la réussite dans la Chine communiste - attirent immédiatement le regard, les masques inquiètent et fascinent, créent une sorte de malaise avec leurs traits caricaturaux. Depuis 2004, ses oeuvres franchissent un tournant radical. Ses paysages - peuplés ou déserts - et ses portraits sont balafrés de fins mouvements frénétiques au pinceau.
Une exposition lui sera aussi consacré à l'automne au musée d'art moderne de la ville de Paris.
Sol LEWITT, "Serial project n°1, A 4", 1966. Tube de section carré en aluminium laqué. 70,5 x 203 x 203 cm. © ADAGP, Paris 2014. |
Les derniers jours de la vie de Marcel Proust vus par la porte de service. Céleste, sa gouvernante, nous donne un accès intime à cet homme que l'on ne verra jamais, confiné par la maladie dans sa chambre. Elle prend soin de lui, écrit sous sa dictée, colle les manuscrits, coud son livre comme une robe. Au gré des visites, les médecins veulent le soigner, les amis veulent le voir, le lire. Mais lui ne souhaite qu'une chose : achever son œuvre avant que la mort ne l'emporte.
A travers les grands chantiers de sa construction, l'utilisation nouvelle des matériaux, la démonstration du "vivre à la française" (gastronomie, arts de la table, confort...) cette exposition montrera comment les forces vives et les savoirs faire les plus modernes de la nation toute entière, et de la région stéphanoise en particulier, furent mobilisés à la réalisation de cette image de marque internationale de la France.
Nel descrivere Manet come il rampollo di Velázquez o il figlio spirituale di Goya, gli studiosi hanno per lungo tempo dato prova di pigrizia. Secondo questa tesi, l’ispanismo sarebbe l’unica fonte della “modernità” dell’artista francese, che grazie al modello spagnolo sarebbe riuscito a evitare l’enfasi e a precorrere il ventesimo secolo, sfuggendo alle trappole della tradizione accademica. Tuttavia tale approccio, piuttosto semplicistico, si fonda su un’omissione significativa: la passione precoce e duratura di Manet per l’arte italiana. Le Déjeuner sur l’herbe e Olympia, due variazioni liberamente ispirate a Tiziano, dimostrano il legame di Manet con l’Italia, ma non sono le uniche testimonianze della fedeltà dell’artista a Venezia, Firenze e Roma.
Manet. Ritorno a Venezia, frutto della collaborazione tra la Fondazione Musei Civici di Venezia e il Musée d’Orsay, analizza per la prima volta le influenze nella pittura di Manet dell’arte italiana, che l’artista ebbe modo di conoscere direttamente nel corso di tre viaggi al di là delle Alpi. Alla fine del 1874, il pittore di Le Fifre e Le Balcon “fece ritorno a Venezia” per ritrovarsi a contatto con Carpaccio, Tintoretto, Guardi e Longhi e ridestare così il suo entusiasmo. Le vedute del Canal Grande, ricche di blu profondi e di romantici neri, furono la sua risposta all’impressionismo nascente.
Pubblicato in occasione dell’esposizione curata da Stéphane Guégan, con la direzione scientifica di Gabriella Belli e Guy Cogeval, il volume presenta un’ottantina circa tra dipinti, disegni e incisioni di Manet provenienti dal Musée d’Orsay di Parigi, l’istituzione che conserva il maggior numero di capolavori di questo straordinario pittore, e da altri importanti musei internazionali.
Mostra a
Venezia, Palazzo Ducale
24 aprile – 18 agosto 2013
Una mostra ideata e progettata da Gabriella Belli e Guy Cogeval