Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai vu - Page 56
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Donatello,Tête de cheval(vu dans dans l'expo "Renaissance" du Louvre jeudi)
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Donatello,Buste reliquaire
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Donatello, Saint-Georges et le dragon(vu au Louvre jeudi dernier)
Donatello Saint Georges et le dragon (détail), de Donatello, vers 1417/ Crédits photo : © Lorenzo Mennonna, courtesy of Italian Ministry for Cultural Heritage and Activities
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János Mattis-Teutsch (1884-1960), Paysage Vers 1917(vu à Orsay mercredi)
Huile sur carton – H. 50 ; L. 50 cm
Budapest, Galerie nationale hongroise
© DR – Museum of Fine Arts – Hungarian National Gallery, Budapest 2013Exposition « Allegro Barbaro, Béla Bartók et la modernité hongroise 1905-1920″, du 15 octobre 2013 au 5 janvier 2014.
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Peliké attique représentant une scène érotique, début du Ve siècle avant J.-C. Photo : Su concessione della S.B.A.E.M. - Museo Archeologico Nazionale Tarquiniense, Tarquinia / Fabio Barbieri(vu au Musée Maillol mercredi)
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Frida Kahlo, Le bus, 1929 (vu au Musée de l'Orangerie mercredi)
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Frida Kahlo, En pensant à la mort, 1943 (vu au Musée de l'Orangerie mercredi)
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Frida Kahlo, la colonne brisée, 1944 (vu au Musée de l'Orangerie mercredi)
http://lcs.a-france.clg50.ac-caen.fr/~boivint/3e/references3/0_oeuvres3/frida_kahlo/kahlo.html
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Lorenzo Lotto, Le Songe de la jeune fille ou Allégorie de la Chasteté, vers 1505 dans La Renaissance et le Rêve : Bosch, Véronèse, Le Greco…
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Ecole de Hyeronymus Bosch, "La vision de Tondale"(La Renaissance et le rêve)
http://www.allposters.fr/-sp/La-vision-de-Tondal-Affiches_i1348852_.htm
La Vision de Tondale, récit latin du milieu du 12e siècle, n’est pas un simple avatar de la tradition des visions infernales, illustrée depuis le haut Moyen Âge par des auteurs aussi considérables que Grégoire le Grand ou Bède le Vénérable, pour ne citer qu’eux. Son originalité est de présenter la visite aux enfers d’un chevalier laïc qui, loin d’être un spectateur, subit lui-même les tourments qu’il décrit. La découverte se mêle à la pénitence, donnant au texte une dimension affective autant qu’intellectuelle. Les qualités du récit, présentant une remarquable description de l’au-delà, expliquent sa diffusion exceptionnelle auprès des publics laïcs et religieux. La Divine Comédie y trouve l’une de ses sources.
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Batista Dossi ,"Allégorie de la nuit" dans "La Renaissance et le Rêve : Bosch, Véronèse, Le Greco… "
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De Venise à Paris: la "Vision apocalyptique" de Jérôme Bosch
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J'ai aimé jeudi devant le Petit Palais:Welcome Parade
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J'ai aimé jeudi au Petit Palais:L'école en images
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J'ai aimé jeudi au Petit Palais:Rubens et Van Dyck
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Les origines de l’estampe en Europe du Nord (1400-1470)
du 17 Octobre 2013 au 13 Janvier 2014
Remerciements :
Exposition organisée par le musée du Louvre en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France
L’apparition de l’estampe en Occident constitue un phénomène majeur de l’histoire et de l’histoire de l’art. À partir de 1400, artistes et graveurs expérimentèrent diverses techniques permettant par l’impression d’une matrice gravée et encrée sur un support de créer et de diffuser des images multipliables à l’identique. Si les estampes circulèrent très vite partout en Europe, les régions germaniques en furent le foyer principal, bien avant que cette invention ne fût transposée dans le domaine de l’impression des textes par Gutenberg vers 1450.
L’exposition traite de l’apparition de ce phénomène en l’étudiant sur une période de soixante-dix ans, jusqu’au début de la carrière de Martin Schongauer, graveur rhénan qui changea fondamentalement le statut de l’estampe au sein des arts. En réunissant pour la première fois deux fonds majeurs en France et en Europe – la collection de la réserve du département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France et la collection Edmond de Rothschild du département des Arts Graphiques au musée du Louvre –, elle met en lumière les différentes étapes de l’évolution de l’estampe, ses acteurs et ses modalités de production, ses rapports avec les autres arts et ses usages.
À travers un choix d’oeuvres, l’exposition montre la diversité des thèmes illustrés. Support et instrument de la dévotion du temps, la gravure a aussi servi des sujets plus audacieux, comme celui du désir charnel ou des scènes de genre dont la teneur nous apparaît aujourd’hui encore bien familière.
Commissaire(s) :
Séverine Lepape, Bibliothèque nationale de France
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Jean Cousin père et fils
Une famille de peintres au XVIe siècle
du 17 Octobre 2013 au 13 Janvier 2014
Le XVe siècle français a été le siècle de Jean Fouquet et d’Enguerrand Quarton, le XVIIe, celui de Georges de La Tour et de Nicolas Poussin. Le XVIe siècle a eu Jean Cousin.
Son nom, glorifié dans les histoires anciennes, inscrit au fronton des écoles des beaux-arts et à l’attique des musées, n’a jamais été oublié. Il demeure le symbole du renouveau du vitrail et de la tapisserie au XVIe siècle. Un magistral Livre de perspective et un manuel pour apprendre à dessiner, Le Livre de pourtraicture, en ont assuré le renom. Mais, pour la plupart d’entre nous, Cousin n’est plus aujourd’hui que le peintre d’un seul tableau, Eva Prima Pandora. Récemment restaurée, cette Ève profane, premier grand nu féminin de la peinture française, odalisque sacrée et cavernicole, fixe l’image primordiale de la femme dans toute sa séduction.
Ce tableau est présenté ici au centre de la création de cet artiste polyvalent et fécond à côté de dessins magistraux, de sculptures, d’estampes, de livres à gravures, d’une tapisserie, d’une broderie et d’une pièce d’armure, qui confirment les mérites insignes de Cousin dans toutes les techniques. Un choix d’oeuvres de son fils et héritier complète l’image de ce grand inventeur d’un style qui, classique avant la lettre, s’est nourri tout autant du passé cultivé par la Renaissance que des sophistications du maniérisme.
Commissaire(s) :
Dominique Cordellier, musée du Louvre, département des Arts graphiques et Cécile Scailliérez, musée du Louvre, département des Peintures.
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Monique Frydman
Polyptyque Sassetta
Art contemporain
du 26 Septembre 2013 au 6 Janvier 2014Remerciements :
Avec le soutien de
JC Decaux.En écho à l’exposition « Le printemps de la Renaissance. La sculpture et les arts à Florence, 1400-1460 », l’artiste contemporain Monique Frydman présente une oeuvre monumentale dans le salon Carré.
Cette nouvelle production s’inspire de l’une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo Sansepolcro (1437-1444) du peintre siennois Stefano di Giovanni, dit Sassetta (1400-1450). En 1437, il avait été invité par les frères du couvent San Francesco de Borgo Sansepolcro à réaliser un immense polyptyque à deux faces, véritable chef-d’oeuvre destiné à prendre place sur le maître-autel. De ce retable démembré dès la fin du XVIe siècle, le musée du Louvre conserve trois panneaux du registre principal de la face antérieure (dont deux montrés actuellement) et deux panneaux de la prédelle postérieure (aile Denon, salle 4).
Monique Frydman, qui dès la fin des années soixante-dix conduit une recherche picturale strictement abstraite, reprend la structure de ce polyptyque double face, en s’attachant à retranscrire la poétique, la volupté de ses tonalités. « La trouée du temps est là, dit Monique Frydman s’exprimant sur le polyptyque. Ce qui est perdu, démembré, relance le temps et dans cet effacement ne subsiste que le manque dont notre mémoire et notre regard restituent la présence. » L’artiste poursuit au travers de cette nouvelle réalisation un travail sur la spatialité picturale et sur la présence, initié dans sa récente série des Witness.
Commissaire(s) :
Pauline Guélaud
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Le printemps de la Renaissance
La sculpture et les arts à Florence, 1400-1460
du 26 Septembre 2013 au 6 Janvier 2014
« Le printemps de la Renaissance » retrace la genèse de cet immense mouvement artistique et culturel qui naît dans la Florence républicaine du début du XVe siècle.
Au début de la Renaissance, une nouvelle vision de l’homme dans son rapport à l’univers et à l’histoire se met en place à Florence. L’exposition présente les oeuvres conçues à partir des innovations majeures, souvent liées à l’antiquité classique, qui transformèrent la conception de l’art en Occident. L’invention de grandes figures inscrites dans un contexte humaniste autant que chrétien, les débuts de l’utilisation de la perspective mathématique par les artistes, le développement de nouveaux sujets comme les petits esprits (spiritelli), ou de nouveaux types de sculptures, comme le monument équestre ou le portrait en buste, sont quelques-uns des thèmes qui incarnent cette nouvelle conception du monde.
Les sculptures de Donatello forment l’un des fils directeurs du parcours à travers quelques-uns des grands chefs-d’oeuvre de celui qui apparaît comme l’artiste le plus créatif du siècle. Elles n’éclipsent cependant pas le travail magistral d’autres sculpteurs illustres comme Ghiberti, Luca della Robbia, Michelozzo, Desiderio da Settignano ou Mino da Fiesole. Les panneaux de Brunelleschi et de Ghiberti pour le concours de la seconde porte du Baptistère de Florence (1401), le Saint Matthieu de Ghiberti ou le Saint Louis de Toulouse de Donatello, les terres cuites émaillées de Luca della Robbia ou la série de bustes florentins comptent au nombre des oeuvres majeures où se manifeste l’extraordinaire éclosion créative de la Florence du Quattrocento.
Commissaire(s) :
Marc Bormand, conservateur en chef au département des Sculptures du musée du Louvre et Beatrice Paolozzi Strozzi, directrice du musée national du Bargello.
Exposition organisée par le musée du Louvre et la Fondation Palazzo Strozzi à Florence, avec le concours exceptionnel du musée national du Bargello.
Présentée à Florence du 23 mars au 18 août 2013.
Cette exposition bénéficie du mécénat principal de eni et du mécénat associé de Deloitte. -
J'ai aimé mercredi au Musée d'Orsay:Dessins de Camille Pissarro
Accrochage salle 69
A partir des années 1880, Pissarro, qui s’était jusqu’alors surtout consacré au paysage, se tourne vers la représentation du monde rural, dont il est issu.
Dans ces dessins, réalisés à Pontoise, Érigny où l’artiste s’installe entre 1884 et 1903, Éragny, Dieppe et Gisors, Pissarro représente des scènes de la vie quotidiennes des paysans : scènes de marché ou images du travail des champs.
La figure de la paysanne, à laquelle il confère une certaine monumentalité, dénuée de misérabilisme ou de symbolique biblique, est au coeur de ces études aux couleurs vives et au trait expressif et synthétique. -
J'ai aimé mercredi au Musée d'Orsay:Masculin/ Masculin : Académies
Accrochage salle 68
Avant de peindre une figure et de la vêtir, l'artiste qui souhaite travailler suivant les règles de l'art dessine d'abord son personnage nu afin, dans un premier temps, de se concentrer sur l’essentiel : la ligne, le rythme, la proportion.
Sont présentés ici des dessins ayant servi pour les figures peintes du Panthéon et de l'Hôtel de Ville, ainsi que celles de l'Opéra de Paris pour Delaunay et du musée de Picardie pour Puvis, qui témoignent de deux approches du nu masculin.
A travers un répertoire d'attitudes relativement restreintes, car souvent inspirées de l'Antique, les artistes "académiques" (Carolus Duran, Delaunay) et "modernes" (Degas, Puvis, Seurat) se rejoignent dans la recherche de la justesse du geste.
Ils ne ménagent ni les repentirs ni les reprises, avant de réaliser de grandes études qui sont aussi de belles feuilles en soi, où l'on ne sait plus si c'est le noir profond du crayon (Seurat) et les tons chauds de la sanguine (Puvis) qui sont au service de la beauté de la musculature ou du contrapposto d'un corps, ou si c’est l'inverse qui se produit, le nu masculin permettant d'exalter toutes les possibilités plastiques du dessin. -
J'ai aimé mercredi au Musée d'Orsay:Cabinets d'architecture
La gare d'Orsay : l'invention d'un monument historique.
Dessins, peinture et objets documentaires de la collection du musée d'Orsay
La gare d'Orsay et son hôtel ont été construits à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900 pour la Compagnie d'Orléans.
Inadaptée à l'évolution du transport ferroviaire, la gare est en grande partie désaffectée dès la fin des années 1930. On songe alors à transformer le bâtiment, au lourd décor éclectique bien éloigné du goût de l'époque, en un palais des fêtes et des sports. En 1955, la Caisse des dépôts demande à son architecte, René Coulon, associé à son ami Guillaume Gillet, de le remplacer par des bureaux. Après divers concours et changements de programme, c'est un projet d'hôtel qui leur est confié.
Cependant, après l'accord de l'autorisation de démolir en décembre 1970, ce permis de construire est refusé. Témoignage du renouveau d'intérêt pour l'architecture éclectique, l'Etat inscrit la gare au titre des Monuments historiques en 1973 et en prononce le classement cinq ans plus tard.
En 1977, la décision de transformer le bâtiment en un musée dédié à la période 1848-1914 en fait le symbole d'une nouvelle façon de percevoir le XIXe siècle.
Avec le prêt exceptionnel du Centre d'archives de la Cité de l'architecture et du patrimoinehttp://www.musee-orsay.fr/fr/collections/cabinets-darchitecture.html
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J'ai aimé mercredi au musée d'Orsay:Un musée dans une gare
L'histoire du musée, de son bâtiment, est peu banale. Situé au coeur de Paris, le long de la Seine, face au jardin des Tuileries, le musée a pris place dans l'ancienne gare d'Orsay, un édifice construit pour l'exposition universelle de 1900. Ainsi le bâtiment est, en quelque sorte, la première "oeuvre" des collections du musée d'Orsay qui présente l'art des quelques décennies qui s'écoulent entre 1848 et 1914.