Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai vu - Page 58
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Catégories : J'ai vu
Nous avons découvert samedi avec émotion:Vimy
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Catégories : J'ai vu
Nous aimé voir samedi au Louvre-Lens:Le temps à l'oeuvre
- Date :
- Jusqu'au 21 octobre 2013
- Lieu :
- LE PAVILLON DE VERRE
Le Pavillon de verre développe chaque année un nouveau thème, qui vient compléter l'exposition de la Grande galerie. Il propose ainsi « une histoire du temps » sur cinq ans, dans le prolongement du parcours chronologique de la Galerie du Temps prévu pour la même durée. Le premier volet de cette programmation est dédié à la perception du temps.
Une réflexion sur la perception du temps par l'homme
Cette exposition sur la perception du temps, dont le commissariat est assuré par Pierre-Yves Le Pogam, conservateur en chef au département des Sculptures du musée du Louvre, assisté d'Audrey Bodéré-Clergeau, chargée d'études documentaires au Louvre, interroge notre sensation du temps, tente de définir de façon pédagogique ce qu'est le temps par le biais de l'art.
LA MUSEOGRAPHIE PRESENTEE PAR ADRIEN GARDERE
« Le Pavillon de verre est le lieu d'approfondissement et de prolongement de la thématique du Temps.En réponse à la « bulle » structurelle centrale, et comme en écho de celles en verre du hall d'accueil du musée, le STUDIO ADRIEN GARDERE et les architectes ont conçu pour la scénographie de cet espace, deux autres bulles capables d'accueillir les futures expositions et de ménager des jeux de circulation, de repos et de contemplation des œuvres comme du parc.Ces bulles redessinent l'espace du Pavillon de verre. Les espaces clos, à l'intérieur de chacune d'elles, sont le cœur de l'exposition et approfondissent un thème particulier. Les espaces intermédiaires offrent des jeux de perspectives à la fois sur le parc et depuis le parc. Quelques œuvres exposées à l'extérieur des bulles sont autant de points de transition dans l'exposition.La circulation dans le Pavillon de verre se fait en boucle, et, une fois la visite de l'exposition temporaire terminée, le public remontera « le cours du temps » de la Grande galerie. »Studio Adrien Gardère, scénographe de l'exposition Le Temps à l'Œuvre
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J'ai aimé découvrir vendredi et samedi:Lens
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J'ai aimé revoir mardi:Le petit Trianon
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J'ai aimé mardi:Les grandes eaux musicales 2013 des jardins du château de Versailles
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Vase aux danseuses ou Bacchanale, 24 juillet 1950(Vu il y a un mois à Aubagne)
Grand vase à col évasé (empreinte originale), terre cuite
rouge, gravée et peinte à l’engobe ocre
H. 70 ; L. 32 ; Pr. 32 ; D. 16 cm
Pièce unique
Collection particulière
© Succession Picasso 2013
Crédit photo : Maurice Aeschimann -
Pablo Picasso,Françoise au corsage imprimée, 8 octobre 1950 (vu à Aubagne, il y a un mois)
Gazelle en terre cuite rouge chamottée
100 x 21 cm
Coll. particulière
© 2012, ProLitteris, Zurich
Photo : Gérald Friedli -
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William Degouve de Nuncques, La maison rose(vu à Paris, il y a un mois)
William Degouve de Nuncques
" La Maison Rose " 1892
63cm x 43 cm
© Coll. Part. -
Marc Chagall, La danse, 1950-52, Nice(que j'ai vu au Musée du Luxembourg il y a un mois)
http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/chagall-entre-guerre-et-paix
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Ce week-end, j'ai vu une partie de:Marseille-Provence 2013
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Je crois que c'est la première fois que je visite le château
alors que je vais dans cette ville depuis 10 ans
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Dans le cadre de MP 2013,nous avons aussi vu
Méditerranées. Des grandes cités d’hier aux hommes d’aujourd’hui
Des oeuvres et des images en d…
Ulysse, le film
Les films d’animations
Les photos de Brian Griffin
Une scénographie de conteneurs
Le catalogue
Autour de Méditerranées
http://www.mp2013.fr/mediterranees-des-grandes-cites-dhier-aux-hommes-daujourdhui/
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Dans le cadre de Marseille-Provence 2013, j'ai aussi vu
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De Venise au Petit Palais : l’atelier nomade de Félix Ziem (expo vue le 17 mai 2013°
À la suite des expositions de Marseille, Martigues et Beaune, le Petit Palais exhume des réserves la donation du peintre Félix Ziem (1821-1911). Invisible depuis la disparition de la salle Ziem dans les années 1930, ce fonds intact et surprenant composé d’une centaine de peintures, d’études, d’aquarelles et de carnets de dessin s’offre à nouveau aux regards et remet en lumière l’œuvre d’un peintre épris d’ailleurs.
Par Sophie Caron
Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 488 Page : 4-5
Précédente publication:
15/05/2013 15:35
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Nous avons aimé visiter samedi à Marseille:Matta : du Surréalisme à l’Histoire
Ne manquez pas l’exposition inédite "du Surréalisme à l’Histoire" consacrée à l’œuvre monumentale du peintre chilien Matta, jusqu'au 20 mai, au musée Cantini.
Pour célébrer la réouverture du musée Cantini - un écrin abritant l'une des plus belles collections d’art moderne de France - le public est invité à (re)découvrir l’œuvre de Matta (1911–2002). L’exposition rassemble "Cinquante tableaux, très souvent de très grands formats - de quatre à dix mètres - et un cabinet d'arts graphiques de cinquante dessins environ." explique Christine Poullain, directeur des musées de Marseille. "Le propos, c'était de réaliser l'exposition la plus complète, la plus exhaustive de Matta possible." dit-elle. Les oeuvres proviennent des musées et des collections privées du monde entier, mais aussi de la famille Matta. Le surréaliste chilien qui passa la majeure partie de sa vie loin de son pays natal, laisse à la postérité une œuvre abondante, inédite jusque-là à Marseille, souvent composée de formats monumentaux. Le fil conducteur de l’exposition réside dans le cheminement qui a conduit l’artiste des voies de l’automatisme surréaliste à une représentation métaphorique des grands bouleversements de l’Histoire de la deuxième moitié du XXe siècle. L'exposition balaie ainsi tout le parcours intérieur de l'artiste : "On commence par les tableaux surréalistes qui expriment la voix de l'inconscient, de l'automatisme, de l'imaginaire et des fantasmes qui sont les principes du surréalisme." précise Christine Poullain. A ces conflits de l'inconscient, Matta substitua peu à peu sa version des chocs historiques. Le travail de restauration accompli sur les oeuvres mérite lui aussi d'être souligné. Ainsi, deux années auront été nécessaires pour qu'une oeuvre monumentale de trois mètres sur dix soit enfin montrée au public.
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Nous n'avons pas pu visiter le Musée Ziem à Martigues(Bouches-du-Rhône,13,PACA)
car il était fermé et ce n'était pas inqdiqué sur internet mais la ville, "Venise provençale" est sympa à visiter
Le musée Ziem a ouvert ses portes au public en 1908 suite à un don de l'artiste à la ville de Martigues.
Aujourd'hui, le musée présente des collections d'archéologie nationale (préhistoire, médiéval, moderne, etc.), d'art moderne et contemporain, des arts décoratifs, des beaux-arts et d'ethnologie (costume, métiers et outils, etc.).
Vous pouvez y découvrir les œuvres de Félix Ziem, Auguste Rodin, André Derain, Claude Viallat ou encore Jean-Paul Marcheschi.http://expo-musee.sorties.francetv.fr/musee-ziem-martigues-visite-musee-ziem-martigues-ide-434fcb694
Précédente publication:*
18/05/2013 00:21
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Fin de:David d'Angers(expo vue à Paris au Louvre le 15 mai 2013)
Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers (Angers, 1788 - Paris, 1856) a laissé un ensemble d’oeuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps.
Ses premiers dessins traduisent son éducation classique et académique – il fut Grand prix de sculpture en 1811 –, mais rapidement sa fascination pour l’histoire moderne prédomine. Fervent républicain, il se consacre, dans une entreprise qu’il veut pédagogique, à la mémoire des grands hommes, aux héros des guerres révolutionnaires qui ont marqué son enfance, à ceux qui ont servi le général Bonaparte.
Ses dessins montrent l’intensité de ses recherches préparatoires pour rendre lisible à tous l’histoire d’une vie dans un bas-relief, pour fixer dans une statue l’intensité dramatique du geste significatif d’un héros ou de sa mort. Son activité de portraitiste fut profondément influencée par la phrénologie. David d’Angers fut aussi collectionneur de dessins. Sa collection, dont quelques oeuvres seront exposées, comportait notamment des aquarelles de Caspar David Friedrich, qui signalent l’intérêt pour l’art allemand de l’auteur du magistral buste de Goethe.
Cette exposition s’inscrit dans l’entreprise de présentation des grands fonds de dessins des musées français poursuivie par le département des Arts graphiques du Louvre depuis de nombreuses années.
Commissaire(s) :
Isabelle Leroy-Jay Lemaistre et Marie-Pierre Salé, musée du Louvre.
Véronique Boidard, musées d'Angers
http://www.louvre.fr/expositions/david-d-angers-dessins-des-musees-d-angers -
Nous avons aimé vendredi matin:Les impressionnistes slovènes et leur temps
DATE : Du Jeudi 18 avril 2013 au samedi 13 juillet 2013
LIEU : Le Petit Palais (Paris 75008)
HORAIRE : Du mardi au dimanche de 10h à 18h, nocturne le jeudi jusqu'à 20h. Fermé le lundi et les jours fériés.
TARIF : de 4 à 8 euros
L'école slovène
Les impressionnistes slovènes et leur temps offre au public français de découvrir quatre peintres à la charnière des XIXe et XXe siècles originaires de ce pays, alors province de l'empire austro-hongrois. Formés ensemble à Munich, Ivan Grohar, Matija Jama, Matej Sternen et Rihard Jakopi? aimaient peindre en plein air et furent pour cela qualifiés d'impressionnistes. En réalité, leur peinture a plus à voir avec le post-impressionnisme. À découvrir également, les sculptures prenantes de leurs contemporains, Franc Berneker, Lojze Dolinar ou Ivan Zajec, la reconstruction de Ljubljana après le tremblement de terre de 1895, une belle collection d'illustrations Art nouveau et des photos et caricatures de l'époque.
État de l’ex-Yougoslavie devenu indépendant en 1991, la Slovénie est encore une province de l’empire austro-hongrois (la Carniole) quand elle commence à s’ouvrir à la modernité à la fin des années 1880. Cette période est aussi celle de l’affirmation d’un fort sentiment d’identité nationale auquel les artistes (peintres, sculpteurs, écrivains, architectes) vont tenter de donner forme. -
Nous avons aimé visiter vendredi matin: les collections permanentes du Petit Palais
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Nous avons aimé voir vendredi matin:Dalou, le sculpteur de la République
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Catégories : Baudelaire Charles, J'ai vu, Paris(75,Ile de France):vécu,études
J'ai aimé voir jeudi
Dans l'intimité de l'atelier Geoffroy-Dechaume (1816-1892), sculpteur romantique
Mercredi 24 avril 2013 - Lundi 22 juillet 2013
Cette exposition propose une immersion dans l’atelier d’un sculpteur au XIXe siècle afin de montrer le processus créatif d'un artiste inventif et fécond : Adolphe Victor Geoffroy-Dechaume.
Particulièrement doué pour la conception de modèles d'orfèvrerie (il est le créateur de chefs-d’œuvre présentés au musée du Louvre) il participe aussi comme sculpteur à des chantiers de restauration d’édifices majeurs (la Sainte Chapelle, Notre-Dame-de-Paris, la cathédrale de Chartres) aux côtés d’architectes emblématiques tels que Viollet-le-Duc ou Lassus.
Par la diversité et la qualité des objets présentés, cette exposition révèle les différentes étapes de la création au travers de croquis, dessins, photographies, estampes, cires, moules, plâtres originaux, moulages sur nature, objets révélateurs des pensées premières de l’artiste. Ces traces émouvantes, laissées derrière lui dans le secret de l’atelier, témoignent du travail d’un artiste dont la finesse et l’inventivité n’ont d’égale que sa capacité érudite à restaurer la sculpture monumentale.
Découverte d'un autoportrait de Charles Baudelaire
dans le fonds de l'atelier du sculpteur
Lors de l’inventaire des oeuvres graphiques du complément de donation Geoffroy-Dechaume effectué en décembre 2011, un dessin aquarellé attire l'attention d'Emmannuel Bréon, conservateur au musée et se révèle être un autoportrait de Charles Baudelaire (1821-1867). Jean Paul Avice, spécialiste baudelairien a pu le confi rmer à Carole Lenfant, attachée de conservation, commissaire de l’exposition. Ce dessin inédit sera prochainement présenté dans l’exposition « Dans l’intimité de l’atelier : Geoffroy- Dechaume (1816-1892), sculpteur romantique ».
http://www.citechaillot.fr/fr/expositions/expositions_temporaires/24944-dans_lintimite_de_latelier_geoffroy-dechaume_1816-1892_sculpteur_romantique.html -
Catégories : Des musées, J'ai vu, Paris(75,Ile de France):vécu,études
J'ai aimé revoir jeudi après-midi: ses collections permanentes et ses superbes expos
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Catégories : J'ai vu, Le Musée de l'Orangerie(Paris 1er)
J'ai aimé voir jeudi après-midi:Les Macchiaioli 1850-1874
Des impressionnistes italiens ?
Du 10 avril au 22 juillet 2013
Majoritairement originaires de Toscane, les Macchiaioli constituent à Florence dès les années 1850 un groupe d'artistes révoltés.
Qui sont ces Macchiaioli au surnom intraduisible ?
Littéralement des "tachistes", cette désignation péjorative est apparue dans la presse en 1862 à l’occasion d’une exposition, et le terme fut adopté par eux-mêmes. En rupture avec la tradition picturale néoclassique et romantique dominante, ils donnent un souffle nouveau à la peinture italienne ; leur volonté de trouver une nouvelle forme d’expression picturale en réaction à un art trop élitiste est une priorité absolue. Ainsi, ils rompent avec les compositions académiques de la peinture d’histoire, des portraits officiels. Le choix des sujets est nouveau et une véritable révolution s’opère dans le traitement de ces derniers : l’image de la réalité est un contraste exprimé sur la toile par alternance de taches de couleurs et de clair-obscur.Les Macchiaioli sont considérés comme les initiateurs de la peinture moderne italienne, et exerceront une influence capitale sur des cinéastes italiens, comme Luchino Visconti et Mauro Bolognini.