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J'ai vu - Page 59

  • Nous avons aimé vendredi matin:Les impressionnistes slovènes et leur temps

    Les impressionnistes slovènes et leur tempsDATE : Du Jeudi 18 avril 2013 au samedi 13 juillet 2013

    LIEU : Le Petit Palais (Paris 75008)

     

     

    HORAIRE : Du mardi au dimanche de 10h à 18h, nocturne le jeudi jusqu'à 20h. Fermé le lundi et les jours fériés.

    TARIF : de 4 à 8 euros

    L'école slovène
    Les impressionnistes slovènes et leur temps offre au public français de découvrir quatre peintres à la charnière des XIXe et XXe siècles originaires de ce pays, alors province de l'empire austro-hongrois. Formés ensemble à Munich, Ivan Grohar, Matija Jama, Matej Sternen et Rihard Jakopi? aimaient peindre en plein air et furent pour cela qualifiés d'impressionnistes. En réalité, leur peinture a plus à voir avec le post-impressionnisme. À découvrir également, les sculptures prenantes de leurs contemporains, Franc Berneker, Lojze Dolinar ou Ivan Zajec, la reconstruction de Ljubljana après le tremblement de terre de 1895, une belle collection d'illustrations Art nouveau et des photos et caricatures de l'époque.

    État de l’ex-Yougoslavie devenu indépendant en 1991, la Slovénie est encore une province de l’empire austro-hongrois (la Carniole) quand elle commence à s’ouvrir à la modernité à la fin des années 1880. Cette période est aussi celle de l’affirmation d’un fort sentiment d’identité nationale auquel les artistes (peintres, sculpteurs, écrivains, architectes) vont tenter de donner forme.

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  • Catégories : Baudelaire Charles, J'ai vu, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    J'ai aimé voir jeudi

     

    Dans l'intimité de l'atelier Geoffroy-Dechaume (1816-1892), sculpteur romantique

     

    Mercredi 24 avril 2013 - Lundi 22 juillet 2013

    © Fonds Geoffroy-Dechaume, MMF/CAPA

    Cette exposition propose une immersion dans l’atelier d’un sculpteur au XIXe siècle afin de montrer le processus créatif d'un artiste inventif et fécond : Adolphe Victor Geoffroy-Dechaume.

    Particulièrement doué pour la conception de modèles d'orfèvrerie (il est le créateur de chefs-d’œuvre présentés au musée du Louvre) il participe aussi comme sculpteur à des chantiers de restauration d’édifices majeurs (la Sainte Chapelle, Notre-Dame-de-Paris, la cathédrale de Chartres) aux côtés d’architectes emblématiques tels que Viollet-le-Duc ou Lassus.

    Par la diversité et la qualité des objets présentés, cette exposition révèle les différentes étapes de la création au travers de croquis, dessins, photographies, estampes, cires, moules, plâtres originaux, moulages sur nature, objets révélateurs des pensées premières de l’artiste. Ces traces émouvantes, laissées derrière lui dans le secret de l’atelier, témoignent du travail d’un artiste dont la finesse et l’inventivité n’ont d’égale que sa capacité érudite à restaurer la sculpture monumentale.

    Découverte d'un autoportrait de Charles Baudelaire
    dans le fonds de l'atelier du sculpteur


    Lors de l’inventaire des oeuvres graphiques du complément de donation Geoffroy-Dechaume effectué en décembre 2011, un dessin aquarellé attire l'attention d'Emmannuel Bréon, conservateur au musée et se révèle être un autoportrait de Charles Baudelaire (1821-1867). Jean Paul Avice, spécialiste baudelairien a pu le confi rmer à Carole Lenfant, attachée de conservation, commissaire de l’exposition. Ce dessin inédit sera prochainement présenté dans l’exposition « Dans l’intimité de l’atelier : Geoffroy- Dechaume (1816-1892), sculpteur romantique ».

    http://www.citechaillot.fr/fr/expositions/expositions_temporaires/24944-dans_lintimite_de_latelier_geoffroy-dechaume_1816-1892_sculpteur_romantique.html

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  • Catégories : J'ai vu, Le Musée de l'Orangerie(Paris 1er)

    J'ai aimé voir jeudi après-midi:Les Macchiaioli 1850-1874

    Des impressionnistes italiens ?

    Du 10 avril au 22 juillet 2013

     

    Giovanni Fattori :
    La Rotonda dei bagni Palmieri
    © Archives Alinari, Florence
    Dist. RMN-Grand Palais / Nicola Lorusso

     
     


    Majoritairement originaires de Toscane, les Macchiaioli constituent à Florence dès les années 1850 un groupe d'artistes révoltés.
    Qui sont ces Macchiaioli au surnom intraduisible ?
    Littéralement des "tachistes", cette désignation péjorative est apparue dans la presse en 1862 à l’occasion d’une exposition, et le terme fut adopté par eux-mêmes. En rupture avec la tradition picturale néoclassique et romantique dominante, ils donnent un souffle nouveau à la peinture italienne ; leur volonté de trouver une nouvelle forme d’expression picturale en réaction à un art trop élitiste est une priorité absolue. Ainsi, ils rompent avec les compositions académiques de la peinture d’histoire, des portraits officiels. Le choix des sujets est nouveau et une véritable révolution s’opère dans le traitement de ces derniers : l’image de la réalité est un contraste exprimé sur la toile par alternance de taches de couleurs et de clair-obscur.

    Les Macchiaioli sont considérés comme les initiateurs de la peinture moderne italienne, et exerceront  une influence capitale sur des cinéastes italiens, comme Luchino Visconti et Mauro Bolognini.

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  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi midi:Une passion française. La collection Marlene et Spencer Hays

    Un couple d'amateurs d'art américains, amoureux de la culture française, a réuni pendant plusieurs décennies un ensemble exceptionnel d'oeuvres du XIXe siècle et du début du XXe siècle.

    Les liens d'amitié tissés entre les propriétaires et le président des musées d'Orsay et de l'Orangerie permettent aujourd'hui la présentation de cette collection.
    Parmi celle-ci se trouve le septième panneau des Jardins publics d'Edouard Vuillard, dont le musée d'Orsay conserve déjà cinq des neufs panneaux, mais aussi des oeuvres de Bonnard, de Ranson, de Roussel, ainsi que plusieurs peintures envoûtantes de Vuillard ou encore des panneaux décoratifs de Maurice Denis ainsi que deux chefs-d'oeuvre symbolistes de Redon.

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  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi midi:Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Par Annick Colonna-Césari (L'Express), publié le29/03/2013 à 16:46

     

    ROMANTISME NOIR AU MUSEE D'ORSAY - Une étonnante exposition. Au programme: monstres, vampires, sorcières et démons.

    © Musée d'Orsay, dist. RMN / Patrice Schmidt

    Les sorciers de Harry Potter et les vampires de Twilight n'ont qu'à bien se tenir. Le musée d'Orsay vient de convoquer entre ses murs tous les monstres, les démons et les spectres de la terre, exposés sous l'intitulé L'Ange du bizarre. Depuis la fin du 18ème siècle, le goût du fantastique et du macabre irrigue en effet les arts européens. Réaction aux Lumières et fruit du vent de liberté qui se met alors à souffler, ce mouvement a bousculé les conventions sociales, morales et esthétiques. 

    Le Romantisme noir: l'exposition du Musée d'Orsay

    Le musée d'Orsay propose, jusqu'au 9 juin, une étonnante exposition autour du "romantisme noir". Au programme: monstres, vampires, sorcières et démons. Vous êtes déjà mordus? Suivez le guide. 

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  • Catégories : Des expositions, J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu

    J'ai aimé lire pour préparer ma visite de jeudi :L'ange du bizarre

    Le Romantisme noir, de Goya à Max Ernst

     

     
    mars 2013

    Dès la fin du XVIIIe siècle, dans toute l’Europe, les artistes multiplient les solutions plastiques pour plonger leurs spectateurs dans les vertiges du terrible et du grotesque.  Ce hors-série propose de relire les sources littéraires et
    artistiques de l’univers de la fantaisie noire qui continue d’imprégner nombre de films, jeux vidéos et créations musicales de notre temps.

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-625-L-ange-du-bizarre.html
     
    Précédente publication:
    07/03/2013 20:16
     
     
     
  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé voir jeudi matin:David d'Angers

     

    Dessins des musées d'Angers

     

    David d’Angers, Garnier, Percier, Cortot, Ingres à l’Institut (détail) - 140 * 87 px

    Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers (Angers, 1788 - Paris, 1856) a laissé un ensemble d’oeuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps.

    Aile Denon, 1er étage, salles Mollien, jusqu'au 20 Mai 2013

    http://www.louvre.fr/expositions/david-d-angers-dessins-des-musees-d-angers

  • Catégories : Des expositions, J'ai vu

    J'ai aimé visiter jeudi matin:De l'Allemagne

    De l'Allemagne - Catalogue de l'expositiondu 28 Mars 2013 au 24 Juin 2013

     

    Remerciements :
    Cette exposition bénéficie du soutien du CERCLE INTERNATIONAL DU LOUVRE, avec la collaboration des AMERICAN FRIENDS OF THE LOUVRE, et du concours de
    BMH AVOCATS.

    Le catalogue bénéficie du mécénat de Rudolf-August Oetker Stiftung.
    La scénographie a bénéficié du soutien de Deloitte.
    La communication de l’exposition bénéficie du soutien de l’Office National Allemand du Tourisme.

    L’œuvre d’Anselm Kiefer a bénéficié du soutien de la galerie Thaddaeus Ropac.

    Riche de plus de deux cents oeuvres, l’exposition propose une réflexion autour des grands thèmes structurant la pensée allemande de 1800 à 1939. Elle replace la production artistique et les artistes, de Caspar David Friedrich à Paul Klee, de Philipp Otto Runge à Otto Dix, dans le contexte intellectuel de leur création et les confronte aux écrits des grands penseurs, au premier rang desquels figure Goethe

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu

    J'ai pris plaisir à lire pour préparer ma visite:De l'Allemagne

    1800-1939

     
    mars 2013

    Dans une Allemagne multiconfessionnelle, marquée par une discontinuité géographique et des contextes politiques différents, la notion de Kultur est apparue comme la plus susceptible de constituer le terreau sur lequel inventer une tradition allemande moderne. Le hors-série revient sur les grands thèmes structurant la pensée allemande de 1800 à 1939 et s’attache à analyser la façon dont les beaux-arts, du romantisme à la Nouvelle Objectivité, ont pu participer à la création de l’identité culturelle allemande.
  • Catégories : Chagall Marc, J'ai vu

    J'ai aimé voir mercredi après-midi:Marc Chagall "Entre guerre et paix", au Musée du Luxembourg

    Publié le 20/02/2013 à 11H39, mis à jour le 09/03/2013 à 14H55

    Exposition Chagall au Palais du Luxembourg

    Exposition Chagall au Palais du Luxembourg

    © Remy de la Mauvinière/SIPA
    "Entre guerre et paix", tel est le nom de cette nouvelle exposition consacrée à l'oeuvre de Marc Chagall, au Musée du Luxembourg (21 février - 22 juillet 2013). Des tableaux nourris par les guerres et l'exil. La violence, ce juif de Russie, l'a connue dès son plus jeune âge.

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  • Catégories : Chagall Marc, J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu, La presse

    J'ai fini de lire en allant à Paris pour préparer ma visite:Chagall

    La saga d'un artiste universel

     

     
    février 2013

    Ce hors-série part à la découverte d’un homme passionnant – grand témoin du siècle, juif né en Biélorussie au temps des Tsars, exilé en Allemagne, en France, en Amérique – et de son univers artistique – il connut les grands artistes de son époque et tous les grands courants artistiques, les cubistes, les abstraits, les surréalistes… tout
    en gardant son indépendance – à l’occasion de la passionnante exposition du musée du Luxembourg.

     
  • Catégories : Boudin Eugène, J'ai vu

    J'ai aimé voir mercredi après-midi:Eugène Boudin

    Pour la première fois depuis 1899, une institution parisienne organise une exposition rétrospective de peintures, pastels et aquarelles de celui que Corot surnomma le "roi des ciels". Eugène Boudin, que Monet considérait comme son maître et comme l’un des précurseurs de l’impressionnisme, a parcouru l’Europe dans une quête toujours renouvelée de la lumière. De sa Normandie natale à Venise, en passant par Anvers, Dunkerque, Berck, la Bretagne, Bordeaux ou la Côte d'Azur, il a su saisir l’atmosphère si particulière de chacun des lieux qu’il a visités.

    EugèneBoudin,le"roidesciels"àParis

    Connu pour ses marines et ses scènes de plage, Eugène Boudin (1824-1898) fut l’un des premiers artistes français à poser son chevalet hors de l’atelier pour réaliser des paysages. Dans ses nombreux tableaux, il s’est tout particulièrement attaché au rendu des éléments et des effets atmosphériques. Il a ainsi été l’un des initiateurs d’une vision renouvelée de la nature, précédant dans cette démarche les impressionnistes et son ami Claude Monet.

    Au fil des années, sa palette s’éclaircit et sa touche s’allège pour mieux restituer les reflets du ciel et de l’eau. De la Normandie à Venise, qu’il découvre à la fin de sa vie, il peint des paysages en mouvement, dans une subtile harmonie de gris colorés. Véritable "roi des ciels", Eugène Boudin a su transcrire à la perfection des éléments aussi changeants que la lumière, les nuages et les vagues.

    Uneexpositioninédite

    L’art de Boudin a très tôt suscité l’intérêt des amateurs américains. Dès 1886, il fait partie des peintres présentés lors de la grande exposition impressionniste organisée à New York par son marchand Durand-Ruel. Ainsi, les musées nord-américains possèdent aujourd’hui de nombreuses œuvres de l’artiste, pour lesquelles il n’existe pas d’équivalent dans d’autres collections publiques. Grâce aux prêts exceptionnels accordés par de grands musées américains, comme la National Gallery de Washington ou le Museum of Fine Arts de Boston, certaines de ses œuvres seront présentées pour la première fois en France.

    Pour cette exposition, le Musée Jacquemart-André a également bénéficié du concours de musées étrangers, tels le Museo Thyssen-Bornemisza et le Musée national des beaux-arts du Québec, et tout naturellement du soutien du Musée d’Art moderne André Malraux du Havre et du Musée Eugène Boudin d’Honfleur, qui possèdent les plus grands fonds d’œuvres de l’artiste en France.

    Exceptionnellement réunis pour rendre hommage à cet artiste indissociable de la mer et de ses paysages, près de soixante peintures, aquarelles et dessins permettront de suivre Eugène Boudin dans sa quête de la lumière, d’Honfleur à Venise.

    Lecommissariatdel'exposition

    Commissaire général de l’exposition : Laurent Manœuvre, Chef du Bureau de la diffusion numérique des collections Direction générale des patrimoines Service des musées de France.
    Spécialiste d’Eugène Boudin, peintre lui-même, Laurent Manœuvre a consacré plusieurs études et ouvrages à l’artiste, parmi lesquels Boudin et la Normandie (éd. Herscher, 1991) et Boudin – le ciel et la mer (éd. Herscher, 1994). Il a également participé à l’organisation de nombreuses expositions, en France et à l’étranger, et tout particulièrement à la rétrospective Eugène Boudin présentée en 1992 au musée Eugène Boudin d’Honfleur.
    Commissaire associé de l’exposition : Nicolas Sainte Fare Garnot, Conservateur du Musée Jacquemart-André

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    Légendes visuels

    Concert au Casino de Deauville
    1865, huile sur toile, 41,7 x 73 cm
    Washington, National Gallery of Art, Collection of Mr and Mrs Paul Mellon, Washington - © Courtesy Galerie nationale d'Art, Washington

    Pêcheuses sur la plage de Berck
    1881, huile sur bois, 24,8 x 36,2
    Washington, National Gallery of Art – Alisa Mellon Bruce collection - © Courtesy Galerie nationale d'Art, Washington

    Scène de plage, soleil couchant
    1864, huile sur toile, 36 x 58 cm
    Mexico, collection Pérez Simón - © Collection Pérez Simón, Mexique

    Abbeville
    1884, huile sur bois, toile, 44,5 x 37 cm
    Madrid, Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid - © Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid

    Scène de plage, Trouville
    1869, huile sur toile, 29 x 47 cm
    Madrid, Collection Carmen Thyssen-Bornemisza en depôt en el Museo Thyssen-Bornemisza - © Colección Carmen Thyssen-Bornemisza en depósito en el Museo Thyssen-Bornemisza

    Fête dans le port d'Honfleur
    1858, huile sur panneau, 41 x 59,3 cm
    Washington, National Gallery of Art, Collection of Mr. And Mrs. Paul Mellon - Courtesy National Gallery of Art, Washington

    Venise, le quai des esclavons le soir, la Douane et la Salute
    1895, huile sur toile, 46 x 65 cm
    Québec, Musée national des beaux-arts du Québec, Don de la succession Maurice Duplessis.Restauration effectuée par le Centre de conservation du Québec - © Photographe, Patrick Altman

    Trouville
    1891, huile sur panneau, 27 x 21,3 cm
    Québec, Musée national des beaux-arts du Québec, Don de la succession Maurice Duplessis - Photo : MNBAQ, Idra Labrie

    http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/evenements/eugene-boudin

  • Catégories : J'ai vu

    J'ai vu en septembre l'importance du protestantisme à Nîmes

    En 1520, Luther et Zwingli (relayé par Calvin) lancent la Réforme de l’Église.
    Elle gagne Nîmes dès 1530, sous l’influence de religieux, avant d’atteindre les montagnes.
    La Réforme culmine en 1570, mais les massacres de la Saint Barthélemy arrêtent son expansion.

    En Languedoc, le protestantisme calviniste se consolide, au point que plaines comme montagnes deviennent très majoritairement protestantes. C’est ainsi que Pierre Viret préside dans la cathédrale de Nîmes un culte de Noël qui rassemble 9000 participants.

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  • J'ai aimé faire découvrir la Fondation Vasarely(ma première visite remonte au 27 janvier) à mon mari(pour notre anniversaire)

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2012/02/05/fondation-vasarely-a-aix-en-provence.html

    La Fondation Vasarely

    Ayant atteint la renommée internationale, Victor Vasarely souhaite créer un centre réunissant urbanistes, architectes et plasticiens pour élaborer la "Cité polychrome du bonheur". Dès 1966, il pose le principe d’une fondation pour diffuser sa conception d’un "art pour tous" et de la "ville de demain" intégrant l’art à l’architecture.

    "Deux grandes forces régissent l’existence : la force du renouveau et celle de la conservation. Le monde va du passé au futur, l’individu du futur au passé… c’est sa tragédie."

    En créant sa Fondation, Victor Vasarely ne souhaite pas entériner une œuvre appartenant au passé, le but n’étant pas d’offrir un mausolée à sa mémoire. La vocation de ce centre est entièrement tournée vers l’avenir, aux nouvelles technologies, aux sciences, à l’informatique…

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai vu, Voyage

    Le pastel et le pays de Cocagne

    Le Pastel

    Le pastel était une plante cultivée à l’intérieur d’un triangle Toulouse – Albi – Castelnaudary. On en tirait une teinture : le "bleu pastel". La plante, de son nom latin « Isatis tinctoria » est apparentée à la famille des choux, radis, colza, etc.
    Le bleu parfait obtenu était le seul, à son époque, à résister aux lavages successifs.
    Connue depuis l’Antiquité, elle pouvait servir, accessoirement, de nourriture au bétail et on lui reconnaissait quelques vertus médicinales.

    Au Moyen Age en concurrence avec d'autres teintures

    A cette époque, le développement de l'art vestimentaire soutenu par l’utilisation de nombreuses couleurs entraîne un usage accru des plantes.
    L’appropriation de différentes teintures permet une distinction dans les classes sociales.

    Ainsi :
    La garance fournit un colorant rouge
    Le kermès donne un rouge écarlate
    La gaude produit une couleur vert-jaunâtre.

    Les conditions de culture

    Pour se développer, le pastel avait besoin d'un sol riche et meuble, plutôt calcaire et argileux. La plante a trouvé des conditions favorables en Lauragais et dans l'Albigeois qui pouvaient bénéficier d'hivers assez doux et pluvieux suivis d'étés ensoleillés

    Comme la culture du pastel épuisait assez rapidement les sols, les terres étaient mises en jachère l'année suivante, puis ensemencées en céréales, avant d'être dédiées à nouveau au pastel. A cause de cette difficulté, les paysans ne se sont jamais livré à une monoculture. Dans le meilleur des cas, et dans la période la plus favorable, soit entre 1515 et 1560 environ, le pastel couvrait à peine 15% des terres, d'où une certaine irrégularité dans la production

    Apparition en Occident

    Le pastel est apparu probablement au début du XIIème siècle, en provenance d'Espagne ou d'Orient. Il atteignit son apogée en France, fin XVème et au XVIème, dans une période comprise entre 1500 et 1560.

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  • Nous avons le 3 août 2012: la Réserve des bisons d'Europe à Sainte -Eulalie en Lozère (48, Languedoc-Roussillon; photos perso à venir)

    Découvrez en Lozère, la réserve du bison d'Europe dans l'un des plus magnifiques parcs de loisirs de France où l'on tente de préserver l'espèce ancestrale des bisons. Visites toute l'année.
    En savoir +


    http://www.bisoneurope.com/