Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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Christie Vanbremeersch.DR.Samuel Laurent (lefigaro.fr).Publié le 26 juillet 2007Actualisé le 30 juillet 2007 : 14h09«Accoucheuse» littéraire, jeune maman et épouse d’une «star» de la blogosphère, Christie tient depuis trois ans le blog «Maviesansmoi».«Vous êtes sûr que je ne vous ennuie pas ?» Posée à brûle-pourpoint au milieu de l’entretien, la question déstabilise. Une constante, chez Christie Vanbremeersch. 32 ans, un mari, deux petites filles, Chimène et Alma… et un blog, «Maviesansmoi», âgé de 3 ans.A l’heure où les carnets en ligne se déclinent en BD, se spécialisent en politique, économie ou high-tech, «Maviesansmoi» reste résolument et joyeusement intimiste. Un carnet de bord de la vie de cette jeune brune aux yeux bleus, patronne de sa propre micro-entreprise, qui se raconte au rythme d’une note par jour en moyenne.Christie n’a pas attendu qu’on invente les blogs pour raconter sa vie et ses pensées au jour le jour. «Diariste depuis toute petite», elle aime écrire, au point d’en faire sa profession. Issue d’une tribu de commerciaux (père HEC, mère HEC), Christie, plus passionnée de littérature et d’écriture que de commerce, détone. «Mon père m’a dit : «Très bien, mais il faut que tu fasses des études où on te prendra au sérieux».Ce sera donc HEC pour cette enfant de banlieue parisienne, qui a grandi en partie à l’étranger, au Japon ou au Chili. Finalement, elle ne regrette rien. «Cela crédibilise mon caractère primesautier», s’amuse-t-elle. Et puis «cela prouve au monde que vous savez faire des maths, réfléchir…».Surtout, c’est en préparant HEC qu’elle a rencontré celui qui est aujourd’hui son mari : Nicolas Vanbremeersch, plus connu dans la blogosphère sous le pseudonyme de Versac. C’est par lui qu’elle va venir au blog. «En 2003 il m’a dit qu’il voulait un blog pour parler politique. Il m’a proposé d’en avoir un aussi, je lui ai dit ‘ca va pas ?’ je trouvais ça trop exhibitionniste ».«Porte ouverte contre porte fermée»
A l’époque, Christie anime des ateliers d’écriture et un salon littéraire, le club des bouquineuses. Elle cherche un moyen de mettre en ligne les compte-rendus des lectrices et le blog lui semble l’outil adéquat. Mais cette première incursion va aller plus loin que prévu. «Je me suis rendue compte que j’avais envie de mettre plein de choses en ligne, et du coup j’ai sauté le pas».«Plein de choses» ? Une, surtout : « Je voulais tomber enceinte, mais ça ne venait pas, et j'ai eu l'idée d'écrire là dessus, le désir d'enfant». L’enfant arrive. Mais l’envie d’écrire demeure. «Tous les blogs partent d’une frustration. Maviesansmoi partait d’une frustration de bébé, mais plus le blog devient complexe, et plus il a une raison d’être. Et finalement la frustration devient un moteur génial de création».Création, un mot qui revient souvent dans la bouche de Christie, peut-être du fait de son métier : elle aide des entrepreneurs ou des cadres à écrire des livres «pratiques» sur leur expérience. Nègre ? Christie préfère le terme d’ «accoucheuse littéraire». Elle a collaboré à une trentaine d'ouvrages.Une «frustration» pour laquelle le blog s’est révélé un piège : «Avec un blog, on a tout de suite la satisfaction d’avoir un public. C’est une prison dorée», admet-elle. Or « un blog, c’est une porte ouverte. Pour écrire un livre, il faut une porte fermée».Si son blog continue d’être une ponctuation «omniprésente» de ses journées de travail, Christie caresse d’autres projets, d’autres rêves. Comme celui de devenir sage-femme, un jour. Accoucheuse, toujours… -
Blogueuse avant l’heure
Brigitte Gemme en 1996 (à gauche) et en 2007.
Laurent Suply (lefigaro.fr). Publié le 20 juillet 2007Actualisé le 23 juillet 2007 : 08h22
Brigitte Gemme avait 17 ans quand, en 1995, elle a ouvert le premier blog francophone.
Un village global. Des milliards de visiteurs uniques. Des millions de dollars levés par les « réseaux sociaux ». Et 100 millions de blogueurs, selon les prévisions annuelles du cabinet Gartner.
A l’heure où le web s’écrit avec six zéros avant la virgule, qui se souvient des « homepages », ces espaces personnels inaccessibles au commun des mortels ? Qui se souvient du temps où les jeux en ligne n’avaient pas trois dimensions, ni même une, mais s’écrivaient en mots et phrases ? Brigitte Gemme, certainement, et avec un brin de nostalgie.
« Des opinions, des états d'âme et surtout des banalités »
Cette québécoise est en effet une des pionnières du web francophone, à une époque où la France voyait encore le futur dans une boîte beige nommée « Minitel », et en particulier du "blogging". Le terme peut paraître usurpé : l’expression « weblog » remonte à 1997, alors que Brigitte inaugure son journal personnel dès 1995. A 17 ans, membre du club informatique de son collège, elle relève le défi d’un autre membre, employé d’un des premiers « FAI », et crée sa page personnelle, intitulée « Montréal, Soleil et Pluie ».
« 7 juin 1995. De retour de Halifax a 5:30 le matin, je suis a mon clavier avant même 7:00. Le voyage fut long, mais cette fois au moins j'ai pu dormir... » Telle est la teneur du premier billet de Brigitte Gemme. Du moins du plus ancien à être encore archivé sur le web.
Vite connu sous le nom de « MSP », le journal est-il un blog ? Billets quotidiens classés chronologiquement, usage de la première personne et contenu personnel font pencher pour le oui. En revanche « il n’y avait strictement aucun moyen pour un éventuel auditoire de réagir », souligne l’auteure, qui réfute le caractère quasi-archéologique de son œuvre. « J'ai exprimé des opinions, des états d'âme et surtout des banalités par le biais d'un nouveau média. Ce n'est pas une grande révolution... », dit-elle. Pourtant, quelle meilleure définition du blog, deux ans avant l’invention de ce mot, et une décennie en avance sur l’avènement du phénomène parmi le grand public ?
Internet s’est démocratisé
Reste à savoir comment cette idée novatrice à pu germer dans la tête de Brigitte Gemme. « J'étais une jeune femme dans un monde essentiellement masculin, qui faisait quelque chose de différent avec un même outil. Je ne me servais pas du web à des fins techniques, mais pour insuffler un peu de poésie », explique-t-elle.
« Trois ans, deux jours, et plus de mille regards quotidiens plus tard », le mardi 9 juin 1998, Brigitte Gemme signe l’excipit de Montréal, Soleil et Pluie. « Internet s'est démocratisé(…). Ca m'a dérangé de me rendre compte que de quasi-étrangers se sentent, à cause de ces quelques mots, plus "intimes" avec moi ». En filigrane, la seule discordance avec l’archétype du blogueur des années 2000 : la course à l’audience et la notoriété l’ont détournée, et non attirée.
Source:http://www.lefigaro.fr/high-tech/20070720.WWW000000238_blogueuse_avant_lheure.html -
Jeu transmis par Elisabeth et que je transmets à mon tour à tous ceux qui passeront par ici et voudront bien le faire.
Je vous révèle mes secrets les plus enfouis ou inavouables comme me l'a demandé Elisabeth:
1. Quand j'étais petite, j''étais tellement timide que je me cachais sous la table au restaurant.
2. On me prenait souvent pour un garçon car j'avais les cheveux courts, j'étais grande et j'étais souvent en pantalon
3. Ma grande taille me valait d'ailleurs des quolibets
4. On me reprochait aussi d'être trop sage, trop bonne élève...
5.Je tombais souvent
6. Je suis tombée amoureux d'un garçon qui me ramassait
7.Le seul endroit où je me sentais à ma place, c'était dans les livres... -
Catégories : Web
Mon site personnel (en construction)
L'adresse:http://www.e-monsite.com/lauravanelcoytte/
Laura Vanel-Coytte: mes paysages -
Catégories : L'art, Le Maroc:vie et travail, Web
Art Nouveau
Immeuble à Casablanca.
© Marc CHARTIER
Octobre 2005Source:http://www.linternaute.com/voyage/maroc/casablanca/photo/28383/immeuble-art-nouveau/
J'ai envoyé cette photo à Anthony Perrot qui consacre un blog(merci Monette de me l'avoir fait découvrir) à l'art nouveau; il y aussi des très beaux poèmes de lui.
Allez-voir cet article :http://reseauartnouveau.over-blog.fr/article-11288557.html dans son blog:http://reseauartnouveau.over-blog.fr/
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Catégories : Des femmes comme je les aime, Le Maroc:vie et travail, Web
Le nouveau blog d'Hanane
et de son association AHPAE pour les animaux errants ici (dont je vous ai déjà parlé):
http://animauxmaroc.skyrock.com/
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Catégories : Des femmes comme je les aime, Paysages, Web
Monette
parle de la 2 e édition de mon recueil de poèmes
(en vente sur:http://www.e-monsite.com/ecritureenvrac/rubrique-1082657.html)
et je l'en remercie:http://chezmonette.hautetfort.com/archive/2007/07/10/un-peu-de-pub-pour-laura.html#comments
Allez voir son site où il y a ses très belles peintures, des quizz, des infos culturelles, ses poèmes, etc.
Allez chez Monette:http://chezmonette.hautetfort.com/
Une de ses oeuvres
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Michelle Lemaire
parle de la nouvelle édition de mon recueil de poèmes (en vente sur le site d'Ambroise:
http://www.e-monsite.com/ecritureenvrac/rubrique-1061203.html)
dans son blog:
http://ecrirea2.unblog.fr/2007/07/02/laura-maroc-et-magie/#comment-16
Je l'en remercie.
Je vous rappelle que mon mémoire de maîtrise est toujours en vente sur Lulu:
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Catégories : La littérature, Web
Web littéraire: http://www.barbery.net
LE MONDE | 22.05.07
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Sortie de Vers à Lyre numéro 1
A télécharger :http://vers-a-lyre.123.fr/
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Catégories : Des bibliothèques, Web
Europeana, la bibliothèque sur la toile
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Catégories : Web
Nouveau magazine et nouveau site
A TELECHARGER A CETTE ADRESSE:
AUQUEL J' AI PARTICIPE AVEC 2 POEMES ET LA PRESENTATION DE MON BLOG DANS LA SECTION "Les belles histoires"
Merci à Sandrine qui m'a permis de partciper à cette aventure.
Sandrine m'a annoncé la semaine dernière que le site immersion graphique était terminé:http://www.immerg.com
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Liberté d’expression sur le Net : table ronde le samedi 3 février
Écrit par RSF 01-02-2007
A l'occasion du Festival de la création sur Internet, Reporters sans frontières organise, le samedi 3 février, à Romans, une table ronde sur la censure du Net et les enjeux du Réseau en matière de liberté d'expression.
« Il y a encore dix ans, les opposants politiques vietnamiens ou tunisiens imprimaient des tracts dans leurs caves. Ils distribuaient ensuite leur prose à quelques poignées de compagnons de lutte lors de réunions clandestines, résume Reporters sans frontières. Aujourd'hui, les informations "subversives", ou "contre-révolutionnaires", circulent sur Internet. Les dissidents et les journalistes sont devenus des "cyberdissidents" et des "cyberjournalistes". Ils savent monter un blog, organiser un chat, téléphoner par Internet ou utiliser un proxy pour contourner la censure. Malheureusement, si les citoyens se saisissent des fonctionnalités offertes par Internet, les dictateurs eux aussi tentent de mettre la main sur ce nouveau média. »
La table ronde sera animée par Cai Chongguo, Réza Moini et Julien Pain.
Cai Chongguo, professeur de philosophie, est l'auteur du blog « Journal d'un chinois ». Il a récemment défrayé la chronique avec un billet relatant son « petit déjeuner avec Nicolas Sarkozy ». Cai était l'un des leaders étudiants des manifestations de Tiananmen, en 1989. Il est l'auteur de « Chine : L'envers de la puissance », publié aux éditions Mango.
Réza Moini est journaliste et responsable du Bureau Iran de Reporters sans frontières. Il est rédacteur en chef du site d'informations sur les droits de l'homme Bidaran.com. Il est à l'origine de plusieurs campagnes en faveur de la libération de blogueurs emprisonnés en Iran. Il a lui-même passé trois ans derrière les barreaux en Iran, entre 1980 et 1983, en raison de ses prises de positions politiques. Il est réfugié en France depuis 1987.
Julien Pain, journaliste spécialisé dans les nouveaux médias, est responsable du bureau Internet et libertés de Reporters sans frontières depuis septembre 2003. Il a dirigé la rédaction du « guide pratique de blogueur », paru en 2004 et traduit en sept langues. Il est responsable de www.rsfblog.org, un site qui fait chaque semaine une revue internationale de blogs sur un grand thème d'actualité. Il collabore au site LeblogMédias et à la revue Médias (dernier article paru : « Ras-le-bol de la Netpolitique ! »).
Rendez-vous le 3 février, salle Les Cordeliers, Place Jules-Nadi à Romans (26)
Plus d'informations sur le festival de la création sur Internet de Romans : www.festivalderomans.com -
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Le site de l'Association pour l'Autobiographie
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Dailymotion signe un accord avec Warner Music (Pour Monette)
NOUVELOBS.COM | 23.01.2007 | 07:34
Warner Music diffusera ses clips vidéos sur le site Dailymotion avec un partage des revenus publicitaires.
Warner Music et Dailymotion, 2e site mondial de partage de vidéos sur internet, ont annoncé lundi 22 janvier la signature d'un accord prévoyant la diffusion des clips vidéo et musicaux de Warner Music sur Dailymotion avec un partage des revenus publicitaires, dans un communiqué commun publié à Cannes.
Warner Music fournira les clips vidéo, interviews d'artistes, émissions ou coulisses de concerts. Ainsi, les utilisateurs de Dailymotion pourront inclure dans les vidéos qu'ils créent de la musique issue du catalogue de Warner Music, et les télécharger sur le site.Les accords passés entre les deux groupes stipulent que les revenus publicitaires générés par les vidéos Warner Music ainsi que par les contenus créés par les internautes seront partagés. Ce partage sera rendu possible grâce à la mise en place d'un nouveau système d'empreinte numérique qui permettra de détecter l'utilisation des contenus appartenant à Warner Music et protégés par des droits, souligne le communiqué.
Avant-garde
Thierry Chassagne, président de Warner Music France, s'est dit "fier d'être la première maison de disques à signer un partenariat avec Dailymotion", y voyant "une formidable opportunité pour créer une vraie interactivité entre nos artistes et les utilisateurs".
Benjamin Bejbaum, président directeur général et cofondateur de Dailymotion, a expliqué le choix de Warner Music en soulignant qu'ils avaient "su intégrer très tôt cette compréhension des nouveaux modes de consommation de la musique" et que cette alliance "permettra à Warner Music France comme à ses artistes une meilleure utilisation de leurs oeuvres dans les vidéos créées par les utilisateurs". -
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Forum:Ecrivains en herbe(clin d'oeil à Monette)
Vous êtes un écrivain (amateur ou non) et vous aimeriez être lu, avoir des avis ou des critiques pour progresser ?
Vous aimez lire et vous avez envie de découvrir des textes originaux, uniques, gratuits et que l'on ne trouve pas en librairie ?
Alors n'hésitez pas à vous inscrire et nous rejoindre sur ce forum de passionnés et à le remplir de vos écrits, vos passions, vos impressions.
En attendant de vous voir parmi nous, nous vous souhaitons une très bonne visite !
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Des nouvelles du Festival de Romans
La liste des finalistes du festival de Romans
Bravo aux gagnants de cette édition 2007 du festival de Romans. Retrouvez-les ici .
La suite...http://www.festivalderomans.com/
Le premier de ma catégorie "Littérature" a obtenu 1130 votes et le dernier 552.
Et moi 28 votes.
MERCI AUX 28 PERSONNES QUI ONT VOTE POUR MOI.
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Micronésie poétique
Un blog sur Hautetfort, un "petit archipel sympa de poésie" où il est notamment question de René-Guy Cadou:http://micronesiepoetique.hautetfort.com/
et un forum:
L'almanach, un poème quotidien à la date du jour, avec une image
Les "chantiers" : des dossiers sur Cadou, les poètes
Résistants, les Surréalistes, Femmes poètes au fil des siècles, Poésie
amazighe...
Vos poèmes persos ou vos images
Entrez dans la demeure des poètes ; tombeaux de poètes ; poèmes au fil
des images ; les poètes et leurs Muses
Prétextes d'écriture et Dire-dare-dare -
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Wikipédia, encyclopédie sous haute surveillance
DIDIER SANZ.Publié le 17 janvier 2007Actualisé le 17 janvier 2007 : 07h58Véritable référence, l'encyclopédie gratuite en ligne est aussi critiquée à l'extérieur que surveillée à l'intérieur.
FAUT-IL se méfier de Wikipédia, l'encyclopédie en ligne accessible gratuitement, et rédigée par le peuple pour le peuple ? Avec plus de 6 millions d'articles disponibles en 250 langues, dont 420 000 en français, cette mine de savoirs est devenue l'un des 15 sites les plus visités du Web. Plébiscitée par les uns, elle est pourtant régulièrement critiquée par les autres pour sa qualité et son mode de fonctionnement.Car Wikipédia n'est pas une encyclopédie comme les autres. Lancée en 2001 par le philosophe Larry Sanger et l'homme d'affaires Jimmy Wales, elle ne s'enrichit que des contributions des internautes, qu'ils soient chercheurs, ingénieurs ou simples citoyens. N'importe qui peut y rédiger un article, supprimer et ajouter des passages. Aucune contribution n'est contrôlée a priori. Et s'il est conseillé de créer un compte pour s'identifier et se faire connaître des autres membres, cette procédure n'est pas obligatoire. Il suffit de cliquer sur l'onglet « Modifier » d'une page de Wikipédia pour corriger son contenu. Ce qui ouvre parfois la porte à des abus. Début 2006, la presse américaine révélait ainsi que plusieurs parlementaires avaient modifié leur biographie pour la rendre « plus flatteuse »...Politiciens en mal de publicité, artistes inconnus, membres de sectes et autres militants politiques viennent régulièrement sur Wikipédia pour réécrire l'histoire, promouvoir leurs idées. Ou faire de mauvaises plaisanteries. Comme l'affaire Seigenthaler, qui a éclaboussé Wikipédia fin 2005. Ce journaliste américain, ancien assistant de Robert Kennedy, a découvert dans sa biographie publiée sur Wikipédia qu'il était soupçonné de complicité dans l'assassinat des frères Kennedy et qu'il avait alors dû se réfugier en URSS ! Une sale blague, restée plus de quatre mois en ligne avant d'être repérée. « C'est que Seigenthaler n'est pas une grande célébrité, expliquait alors Jimmy Wales. En général, la correction d'une erreur ou d'une information fallacieuse a lieu en quelques heures, voire en quelques minutes. »Une école d'humilitéCar ainsi va Wikipédia : les lecteurs ne sont pas seulement contributeurs. Ils sont aussi correcteurs et censeurs. « Chaque rédacteur surveille les pages auxquelles il a collaboré ou qui traitent de sujets qui l'intéressent, mais aussi celles sur lesquelles on constate beaucoup d'activité », confirme David Monniaux, l'un des 130 administrateurs de Wikipédia en français. Ce qui permet de détecter rapidement les actes de vandalisme. Mais aussi les contributions médiocres ou erronées. « L'arrivée massive de nouveaux contributeurs, pleins de bonne volonté mais peu informés des règles de Wikipédia, entraîne une régression de la qualité des articles », constatent les wikipédiens.Il faut dire que des millions d'internautes participent à la rédaction des articles sur Wikipédia, plusieurs dizaines de milliers dans sa version francophone. Parmi eux, « quelques spécialistes, signale David Monniaux. Par exemple des professeurs pour les thèmes scientifiques. Beaucoup d'étudiants aussi. En général, les auteurs préfèrent écrire sur leurs intérêts personnels et sur leurs hobbies que sur les sujets liés à leur domaine professionnel. D'autres se contentent de corriger des fautes de typographie et d'orthographe, d'ajouter des images ou des liens. » Cette forme de rédaction en commun est une véritable école d'humilité : les contributeurs doivent accepter que leur nom ne soit pas publié et que leurs textes soient modifiés par des inconnus. Une condition indispensable pour améliorer la qualité des articles, estiment les inconditionnels de Wikipédia, même si cela doit prendre du temps.Débat houleuxMais liberté ne signifie pas pour autant anarchie. Les administrateurs, élus parmi les contributeurs, ont le pouvoir de supprimer ou de protéger des pages, de bloquer ou d'exclure un contributeur suite à une décision du comité d'arbitrage, lui aussi composé de membres choisis par la communauté. « Les administrateurs ne décident pas d'une politique éditoriale, explique David Monniaux. Ils font appliquer les règles de civilité et peuvent sortir la matraque quand il y a des abus. » Pour éviter le vandalisme, certains articles ne peuvent être modifiés que par des habitués ou par les administrateurs. C'est par exemple le cas des pages sur Dieudonné, Jeanne d'Arc ou le Maroc. Au besoin, il est possible de revenir à une version précédente : l'historique des modifications de chaque article est sauvegardé.« En cas de litige, chacun expose ses arguments et on cherche à les confirmer ou à trouver des formulations qui expriment les positions des uns et des autres. » Il s'ensuit des débats souvent houleux, qui permettent généralement à la présentation la plus neutre de l'emporter. Mais il arrive que les plus motivés et les plus assidus parviennent, de guerre lasse, à imposer leurs points de vue. Surtout en cas de désaccords entre experts, « très difficiles à gérer », selon David Monniaux : « Je me souviens d'une empoignade entre un historien et un moine franciscain, au sujet d'un article sur un théologien anglais du XIIIe siècle. Entre les arguties et les invectives, nous n'avons pas vraiment les moyens d'arbitrer. »«Neutralité de point de vue»D'autant moins que Wikipédia ne fait pas appel à des spécialistes pour valider les articles. Seule prévaut la « neutralité de point de vue » : les articles doivent être rédigés d'une manière indépendante des opinions, vues, préjugés idéologiques, culturels, philosophiques, etc. Ce qui suscite de nombreuses critiques sur l'exactitude de son contenu, même si la revue scientifique Nature a apporté sa caution à l'entreprise en concluant que « Wikipédia est une source d'information aussi valable que la vénérable encyclopédie Britannica », après avoir soumis des articles des deux encyclopédies à des spécialistes pour comparer leur qualité. « Le fait est que plusieurs experts participent déjà activement à Wikipédia, souligne David Monniaux. Il y a aussi des contributeurs qui demandent à des spécialistes de relire leurs articles. Mais nous réfléchissons actuellement à une association avec des universités. »C'est précisément la question du recours à des spécialistes qui a amené Larry Sanger, l'un des cofondateurs de Wikipédia, à créer sa propre encyclopédie, Citizendium. L'objectif : « Offrir à des personnes ordinaires un espace dans lequel elles pourront travailler sous la direction d'experts et engager leur responsabilité personnelle en signant de leur vrai nom », explique-t-il. Un projet qui ne convainc pas David Monniaux. « Sanger veut sélectionner des experts sur leurs diplômes. Or, les diplômés posent parfois problème. Regardez les négationnistes : beaucoup d'entre eux sont diplômés en histoire et ont été recrutés par des universités. Si l'université n'arrive pas à faire le ménage parmi ses représentants, je ne vois pas comment nous pourrions le faire. Et puis, quels moyens aurions-nous d'éviter les débordements d'experts et comment arbitrer entre eux ? »En attendant, Wikipédia continue de mener son petit bonhomme de chemin. Son fondateur, Jimmy Wales, va même lancer cette année un moteur de recherche, Search Wikia, fonctionnant sur le modèle de Wikipédia. Alimenté par les internautes pour les internautes, bien sûr.Source:Le Figaro.fr -
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Agoravox, le site du journalisme citoyen en ligne, propose une version vidéo de son site
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MySpace ouvre sa version française officielle
par Arnaud Devillard, 01net. Le site communautaire remplace jeudi 11 janvier sa version bêta par la définitive. Après celle du Royaume-Uni, c’est la deuxième version officielle du site américain en Europe.
Début août dernier MySpace, le site américain communautaire de blogs et d'écoute de musique, ouvrait une version en bêta test en France. Jeudi 11 janvier, elle cèdera la place à la version officielle de fr.myspace.com. La France devient ainsi le deuxième pays européen à proposer une déclinaison nationale finalisée du site, après le Royaume-Uni.
Les sites allemand, italien et espagnol sont, eux, toujours en phase bêta, comme l'indique une mention en jaune sur les pages d'accueil. Bien plus loin, une version australienne est aussi sortie de la phase de test. En tout cas, version bêta ou officielle, pas de surprise : chaque interface nationale reprend celle du site américain original. Même mise en page, même graphisme, mêmes rubriques, mêmes fonctions.
Des artistes français déjà présents
Si le site a atteint un bon niveau de fréquentation outre-Manche, avec 6,9 millions d'utilisateurs en novembre 2006, la France en est à 1,3 million selon ComScore Media Metrix. Ce qui le place encore assez loin derrière son principal concurrent, à savoir Skyblog, la plate-forme de blogs de Skyrock, qui affiche 6,88 millions de visiteurs uniques.
Les artistes français n'ont pas attendu la version officielle de la plate-forme pour ouvrir leurs espaces personnalisés et y faire leur promotion, avec chansons enstreaming et vidéos. Carla Bruni, par exemple, présente son prochain album en exclusivité sur Myspace Music France. On trouve aussi Daft Punk, Phoenix, Air ainsi que les critiques rock et musiciens Patrick Eudeline et Jérôme Soligny.
Selon ComScore Media Metrix toujours, le site américain avait dépassé les 50 millions de visiteurs uniques en mai 2006. Et en septembre, avec près de 1,5 milliard de vidéos enstreaming consultées depuis les Etats-Unis, MySpace se plaçait largement devant Yahoo! Sites (812 millions) et YouTube (649 millions). -
Nouvelles du Festival de Romans
Nous avons pris en compte les commentaires, remarques et suggestions que vous avez été nombreux à nous laisser sur le blog du festival. Vos réactions sont pour nous le signe que ce festival a une vraie raison d'éxister, même s'il a, comme tout premier événement, ses imperfections. Nous faisons le maximum pour régler le problème de votes frauduleux auquel nous sommes confrontés. Un spécialiste, consultant en réseau informatique nous a soutenu aujourd'hui dans cette tache. Comme certains l'ont remarqué, les votes ont été mis à jour pour mieux rendre compte de la réalité. En effet, certains ont contourné le système pour voter plusieurs fois pour le même site. Cependant, toutes les traces des requêtes vers le serveur sont archivées au fur et à mesure. En se basant sur ces traces, nous avons pu identifier les tentatives de fraude et rétablir les votes corrects. Le nombre de voix que vous observez ce soir reflète donc la réalité des votes des internautes. Nous avons fait le choix de ne pas remettre les compteurs à zéro pour ne pas pénaliser les sites qui avaient obtenus leurs voix de manière loyale. Le concours continu donc. Nous vous donnerons demain plus d'information et de détails sur ce qu'il s'est passé et sur le nouveau système de vote, que nous nous efforçons de sécuriser au maximum.
http://www.festivalderomans.com/
Donc, pour ceux qui n'ont pas encore voté:http://www.festivalderomans.com/detail.php?id_part=562&cat_part=1
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Terres d'écrivains
"Nous irons quelque jour, par-delà l'horizon, à la recherche de nos Irlandes."
Michel Le Bris.L’association Terres d’écrivains a été créée en juin 1998.
Son objectif est de"promouvoir la littérature et l’écriture, en particulier en apportant une meilleure connaissance sur les écrivains et les auteurs, sur leurs oeuvres, sur leur vie et les lieux qu’ils ont marqués par leur présence ou leur imagination."
(extrait de l’article 2 des statuts).Ses membres fondateurs sont Isabelle Bourbon, professeur de Français, Nathalie Defert, libraire, Tanneguy Ramière de Fortanier, ingénieur - auteur du site sur la convergence numérique converge-blog.ouvaton.org -, et Jean-Christophe Sarrot, chargé de mission nouvelles technologies. L’association a tout d’abord développé un premier site internet sur les maisons d’écrivains, créé en septembre 1997 à l’adresse www.airlibre.com.
Le site www.terresdecrivains.com a été ouvert le 18 septembre 1999 dans le cadre des Journées du Patrimoine, pour succéder au premier. Des auteurs ont accepté de parrainer ce nouveau site et des partenaires ont accepté de contribuer à son développement : les Editions Alexandrines, 00h00.com et auteurs.net -
Festival de Romans:Suspension immédiate des votes
Devant la multiplication des votes frauduleux et la recrudescence des tricheurs, nous avons pris la décision de suspendre et annuler le vote actuel pour développer un système d'avantage sécurisé. Les votes acquis depuis le 1er janvier sont annulés pour tous les participants. Dès que nous serons prêts, nous remettrons tous les compteurs à zéro et nous relancerons le vote des internautes qui, nous l'espérons, permettra enfin de faire émerger les meilleurs participants, connus ou inconnus, mais en tout cas honnêtes. Tous les membres de l'organisation du Festival de Romans sont attachés à l'intégrité des votes et nous ne pouvons transiger avec la fraude dans la mesure où notre ambition réelle est l'émergence de nouveaux talents.