Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Lyon Place Ampère jeudi matin
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Quelques semaines après la réouverture de la Salle Piette au musée d'Archéologie nationale de Saint-Germain-en Laye, la RMN édite, en DVD, un film de Guillaume Terver sur la vie d'Edouard Piette, un des pionniers de l'archéologie préhistorique. Extrait
http://www.connaissancedesarts.tv/videos-archeologie-212.html
de mes amis Peiffer qui m'avaient permis d'utiliser la photo d'origine pour la couverture de mon premier livre.
Allez voir le site du musée dont ils s'occupent:
http://www.museeduvermandois.fr/
et le blog de Ghislaine qui écrit aussi:
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http://www.lefigaro.fr/photos/2010/02/01/01013-20100201DIMWWW00646-24-heures-photo.php
Laurent Parcelier (né en 1962 à Chamalières) est un dessinateur français.
Il étudie de 1978 à 1980 aux Arts appliqués Duperré à Paris, puis travaille comme dessinateur pour la revue Triolo, avec pour scénariste Didier Convard.
Il est surtout connu pour ses séries de bande dessinée Les Sept Boules vertes et Guilio et le drôle de monde, qui se déroulent dans un monde de fantasy. Le héros, Guilio, parcourt ce monde à la recherche de mystérieuses boules vertes aux pouvoirs étranges. Il croise des magiciens et des sorciers, mais aussi des révolutionnaires.
Par son style, il est un représentant typique de la ligne claire.
La Bibliothèque nationale de France a reçu en 1913 des héritiers du collectionneur Auguste Lesouëf (1826-1906), une importante collection de manuscrits du Moyen Âge dont ce un rituel de prières juives copié.
http://www.connaissancedesarts.tv/video/1860/Rituel+de+pri%C3%A8res+enlumin%C3%A9.html?xtor=EPR-1029
Les modernes s’exposent au musée des Beaux-Arts
10 octobre 2009 - 15 février 2010
Présentation de l'exposition par Sylvie Ramond, Directeur du musée et commissaire de l'exposition (vidéo 2'08'').
Le musée des Beaux-Arts conserve une très riche collection d’œuvres du XXe siècle. La collection est aujourd'hui présentée au public dans les salles d’expositions temporaires et complétée par des prêts extérieurs. Près de 200 œuvres témoignent des grands mouvements artistiques du XXsiècle. Certaines pièces, méconnues du public, longtemps conservées dans les réserves, sont aujourd'hui visibles.
Michel Relave, architecte, enseignant à l’École nationale supérieure d’architecture de Lyon et peintre invite le visiteur à s’aventurer dans des paysages et des villes plongés dans une obscurité éclairée de points lumineux empreints d’une présence humaine à peine perceptible. Ses tableaux structurent des espaces, des failles, en ouvrant sur des perspectives
profondes et vibrantes tout en laissant imaginer que le temps futur transformera encore cette perception fugace .
http://www.caue69.fr/modules/news/article.php?storyid=119
Photos perso
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2010/01/20/lyon-le-20-janvier-vers-17h.html
Le Romantisme est un vaste mouvement européen initié par un renouveau du goût et de la sensibilité
au XVIIIème siècle.
Dès 1730, le poète anglais Thomson inaugure avec les "Saisons" une poésie de la nature imprégnée de
lyrisme qui trouve vite un écho dans les " Poèmes suisses " ( 1732 ) de l'écrivain allemand Haller.
Trois poètes anglais, Young avec les " Nuits " ( 1742 ), Hervey et Gray, font émerger une poésie de la
nuit et des tombeaux, du rêve, de la mélancolie et du surnaturel.
Peu après, les poèmes de l'illustre Ossian rencontrent un succès jamais atteint ( J. Macpherson prétend
les avoir traduits du Gaëlique ). La poésie de ce " barde écossais " du 3ème siècle, si hardie, si " primitive ",
est celle que Diderot appelait précisément de ses voeux dans son Discours sur la poésie dramatique
( 1758 ).
La poésie veut quelque chose d'énorme, de barbare, de sauvage
Lucy Schwartz | [7 clichés] | 4 février 2010
Dans l’exposition « C’est la vie ! Vanités de Caravage à Damien Hirst », le musée Maillol présente un parcours singulier dans l’Histoire de...
Connaissance des Arts
Incontournable dans la peinture ancienne, elle trouve aujourd'hui encore un écho dans la création contemporaine.
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Estampes de la Bibliothèque nationale de France
Exposition du 3 février au 30 avril Vernissage mardi 2 février à 18h30 bibliothèque de la Part-Dieu
+ d'infos
http://www.bm-lyon.fr/lettre_electronique/10/fevrier_10.html
Où est ma maison ?
Je perds la raison
Où est ma place ?
Je perds mon âme
Le 8 novembre 2006
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 7 livres en vente sur ce blog.
Source: http://fbi.france2.fr/
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Même si c'est Montpellier, sa ville natale, qui l'honore d'une première rétrospective, on aurait tort de croire que Jean Raoux (1677-1734) n'est qu'un peintre d'intérêt régional. Certes, son ami Antoine Watteau lui a fait de l'ombre dans les manuels d'histoire de l'art. Pourtant, comme le démontre brillamment le Musée Fabre, en quatre-vingts pièces dont plus de la moitié sont des tableaux, Raoux a largement contribué à imposer dans le goût français une autre voie que celle du «Grand Genre ».
«En opérant la synthèse de la peinture vénitienne, flamande et hollandaise, Jean Raoux assure la transition entre le classicisme, fixé de Poussin à Le Brun, et la peinture galante, de Watteau à Boucher », résume le directeur du lieu, Michel Hilaire. De fait, on reconnaît aisément les charmants minois féminins qu'il aimait, ainsi que son mécène, le grand libertin Philippe de Vendôme dont l'étonnant portrait en vieillard débraillé et las des plaisirs temporels mériterait de quitter l'ambassade de France à Bruxelles, où il demeure en dépôt, pour rejoindre les cimaises du Louvre.
Ces visages typiquement Régence ont des joues aussi rondes que celles des satyres et de charmantes petites lèvres rosées surmontées d'un nez grec. Les plus beaux sont ceux de La Liseuse et de son pendant, Le Silence ou l'Indiscrète, tableaux presque aussi mystérieux que ceux de Vermeer desquels ils découlent. Conservés au Musée Calvet d'Avignon, ils ont également fait le voyage.
Un expert en jeux de lumière
Quant aux formes dodues des nymphes du Bain de Diane, elles sont rendues encore plus désirables par l'eau, dont la transparence laisse voir le bas des cuisses.
Comme ces scènes mythologiques, les scènes allégoriques (L'Odorat et Le Goût, prêts du Musée Pouchkine venus pour la première fois en France) et de genre (magnifique et inédit clair-obscur de La Liseuse à la lampe, issu d'une collection particulière) se voient systématiquement magnifiées par un grand rayon de lumière éclairant l'action principale.
En début de parcours, La Vierge du Rosaire, médiocre toile religieuse venue de l'église Notre-Dame-du-Lac de Lunel, prouve qu'un jeune rapin peut parfois réaliser de rapides progrès. Suit une période italienne. Raoux est déjà un virtuose du coloris en demi-teintes, un expert en jeux de lumière et reflets complexes. Son trait est fin, le rendu des satins et des soieries magistral, enfin, la facture alterne : tantôt porcelainée, tantôt moelleuse.
La période française, celle où Raoux loge à la commanderie du Temple, chez Vendôme, et durant laquelle il côtoie le jeune Voltaire qui l'admire, est celle de l'aisance. Si son époque le prise d'abord pour ses qualités de portraitiste, on préfère aujourd'hui les exquises et émouvantes allusions grivoises. Comme cette Jeune Fille faisant voler un oiseau (venue de Sarasota, Floride), à la lumière mi-vénitienne mi-rembranesque. « Le chardonneret est depuis l'Antiquité romaine associé au sexe mâle », explique Michel Hilaire. Le fait qu'il soit attaché à un fil tenu par une jeune fille joyeuse signifie que dans les mains de la Beauté, nous sommes toujours le jouet du désir. Une loi éternelle.
Jusqu'au 14 mars au Musée Fabre 39, bd Bonne-Nouvelle 34000 Montpellier. Catalogue 208 p., 30 €. Tél. : 04 67 14 83 00. www.museefabre.fr
http://www.lefigaro.fr/culture/2009/11/30/03004-20091130ARTFIG00639-jean-raoux-maitre-de-la-sensualite-regence-.php
Le comédien et metteur en scène Georges Wilson, disciple de Jean Vilar et père de l'acteur Lambert Wilson, est mort mercredi à l'âge de 88 ans, a annoncé son agent. (AFP)
Soleil de nuit
Dans le matin charmeur
Qui es-tu
Pour me dire ainsi
Que je n’ai pas de cœur.
Enfant étoilé
Par le petit matin
Enfant diabolo
Pauvre enfant apeuré
Pauvre bébé transi
Par le froid et par l’aurore
Bleu et rose
Dans la lune rouge.
Pauvre petit être
Seul et désespéré.
Poème d'adolescence(comme c'est indiqué en bas de la note).
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 7 livres en vente sur ce blog.
Le centre d'exposition de la photographie de reportage propose une expo baptisée « Peintre de l'imaginaire », avec les photos de Pascal Tordeux.
Des paysages épurés, en grands formats.Jusqu'au 17 février, à la bibliothèque municipale. Ouvert le mercredi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h.