Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Sophie Marceau et Christophe Lambert: "Nous n'avons rien à cacher"
Voir leur interview croisé ici:
et allez-voir leur nouveau film "L'homme de chevet"
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Voir leur interview croisé ici:
et allez-voir leur nouveau film "L'homme de chevet"
Après Marge Simpson qui pose en femme fatale en couverture du magazine de Hugh Hefner, l'édition américaine du mois de décembre publiera, en exclusivité, les bonnes feuilles de «Laura», roman posthume du père de «Lolita».
La suite ici:
"Un enchanteur littéraire peut imaginer avecv une telle force de persuasion que certains lecteurs ne s'imagineront jamais qu'il imagine."
Dimitri Nabokov, le fils de l'écrivain, interviewé à l'occasion de la parution de "L'Original de Laura")
Lire p.9 dans le Monde des Livres du 19 novembre 2009
Pour qui aime les débuts rondement menés, il est commode d'affirmer qu'Edgar Poe (1809-1949) fut l'inventeur génial du roman policier. Un tel récit des origines, toutefois, reflète mal la manière dont les choses se déroulèrent en France, où la question se révèle plus complexe. A quelle date commencer ? Faut-il remonter aux ingénieux Arsène Lupin ou Rouletabille façon Belle Epoque, à la célèbre Affaire Lerouge (1866), d'Emile Gaboriau, voire aux romans-feuilletons de Paul Féval (1816-1887) ou de Ponson du Terrail (1829-1871) ?
Le chef français, 40 ans, seule femme couronnée de trois étoiles par le Guide Michelin pour son restaurant de Valence(Drôme) a obtenu deux nouvelles étoiles pour le nouveau restaurant qui porte son nom au Beau Rivage Palace de Lausanne, à la faveur de l'édition suisse du guide publiée le 17 novembre.
Le Monde du 19 novembre
Photo Wikipédia.
Scène d'Intérieur avec une mère épouillant son enfant (Le devoir d'une mère), de Pieter de Hooch, 1658-1660.(Image Department Rijksmuseum, Amsterdam, 2009 )
Éric Biétry-Rivierre
20/10/2009 | Mise à jour : 17:23
Un homme sous le soleil brûlant
Recherche la fraîcheur exquise
D’une bise qui ne soufflera
Pour lui qu’à la tombée du jour
Quand rien n’est plus pareil
Quand tout change et s’éveille
Mais tout se meurt maintenant
Ne souffle plus que la bise
Dure comme la lame d’un couteau sur toi
Trace sanglante gravée pour toujours
Mal qui fait peur sous la chaleur du soleil
Quand tout devient à jamais merveille
Une femme cache son visage
Marqué par les coups, blessé par une image
Recherchée pour avoir tué son rêve
A rêvé, fini mais rêve encore
Souvenir tragique d’une nuit sans étoile
Perdu dans le temps, mort dans un sourire.
Vision un peu trop sage
Vision de cette folie louée pour un voyage
Cicatrice ineffaçable où tout s’achève
Et tout recommence dans un souffle qui dort.
Espoir trop vif dans une lumière qui se voile
Voile qui se brise quand renaître signifie mourir
Etres blessés par la violence d’un orage
Se perdent et se rencontrent
Dans une mer qui se déchaîne, les oublie
Espoir fini par la souffrance qui se tait
Sans un mot d’excuse, elle s’est enfouie
Dans les flots qui l’appelaient.
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 7 recueils en vente sur ce blog.
source des images:http://www.postershop.co.uk
de Pierre du blog Crambaole, suite à ma participation à son duel 4:
La foisonnante correspondance d’Apollinaire avec les artistes de son temps témoigne de l’extraordinaire effervescence créatrice qui règne dans le Paris cosmopolite de la Belle époque. Paris, capitale des arts, n’a peut-être jamais mieux porté son nom. Lettres, cartons, billets, télégrammes, cartes postales, affluent de toutes parts, traversant les rues, les fleuves et les mers vers Apollinaire, l’ami, le poète, le critique d’art, et le passeur.
500 exs, 176 pages, 16 x 22 cm. Traduction de l’américain par Béatrice Trotignon. Parution en septembre 2007. 18 euros | ||||
Cette sélection regroupe des poèmes extraits, avec l’aval de l’auteur, de deux de ses recueils de poésie : Earliest Worlds (2001), et The California Poem (2004). Earliest Worlds est en fait composé de deux recueils, Blue Guide et Of Sun, Of History, Of Seeing. Le premier explore lumière et obscurité, cosmos et individu, formes et couleurs, matière et imaginaire, mêlant tropes traditionnelles et expérimentations, vers libre et prose, lexique scientifique et méditation lyrique. Le deuxième volume décline le même vocabulaire scientifique sous la forme originale du poème-essai ou du poème-étude, favorisant les mélanges de genres, de dictions (nombreux intertextes) et de formes qui permettent des ruptures de tons, tout en conservant un équilibre entre le sérieux et l’humour. La méditation prend des accents métaphysiques ou phénoménologiques, exprimant un profond émerveillement pour le monde, le cosmos, les particules élémentaires, le corps animal ou humain, les muscles, l’esprit : la vie sous toutes ses formes, plus particulièrement celle du langage. Le vers s’étire, multipliant les enjambements, ou au contraire, se brise et s’émiette au gré de parenthèses, de tirets et d’entailles obliques, de distributions éclatées des mots sur la page, de torsions grammaticales ou syntaxiques inédites. Les termes de la physique, de la médécine, de la biologie et de l’anthropologie prennent des accents lyriques, tandis que l’imaginaire poétique s’incarne, se minéralise, s’historicise... |
Eurosport - mar, 03 nov 21:39:00 2009
Ligue des Champions - Källström : "On ne jouera pas le nul"
Alors que Lyon n'a besoin que d'un point contre Liverpool pour obtenir son billet pour les 8e de finale de la Ligue des Champions, Kim Källström assure que l'OL visera la victoire. Le Suédois reconnaît par ailleurs craindre tout particulièrement la force de frappe de Fernando Torres.
«Lettres à Aube» et «Lettres à un adolescent», deux recueils de lettres adressées par de grands auteurs à leurs enfants montrent que le métier de parent n'est facile pour personne.
Astrid de Larminat
18/11/2009 | Mise à jour : 18:01
J'ai demandé à certains de ceux et celles que j'aime(colonne de droite) comment ils allaient selon la consigne de Bruno(cf. ci-dessous)
Albrecht Dürer : je suis mélancolique
Alfred de Vigny : je réalise mes « Destinées »
Alphonse de Lamartine : je médite
Caspar David Friedrich : je parle à la nature
Charles Baudelaire : j’ai le spleen
Charles Méryon : Paris me manque
Claude Nougaro : O Toulouse !
Cyril Collard : je me repose dans mes « Nuits fauves »
Edgar Allan Poe : prenons un pot pour en parler
Edvard Munch : ne criez pas comme ça
Eugène Delacroix : je peins
Fernando Pessoa : je suis enfin tranquille
François Truffaut : bien dans ma « Nuit américaine »
Frans Hals : je suis heureux avec ma bohémienne
Friedrich Hölderlin : j’ai froid
Gérard de Nerval : j’ai enfin franchi la porte entre rêve et réalité
Guillaume Apollinaire : je regrette le pont Mirabeau
Gustav Klimt : je parle beaucoup avec Hofmannsthal
Gustave Courbet : mes créanciers m’ont enfin lâché
Guy de Maupassant : j’attends le gui pour l’hiver
Hervé Guibert : je surveille la réédition de « La mort propagande »
Honoré de Balzac : la même « Comédie humaine « ici
Sophie Marceau : ça boume !
Rencontre Bernard Pivot - Gérard Oberlé
par François Busnel
Lire, octobre 2006
C'est un festival d'inventions langagières et d'anecdotes viticoles! Deux grands livres célèbrent le vin et magnifient la dive bouteille. Au Dictionnaire amoureux du vin de Bernard Pivot répond l'Itinéraire spiritueux de Gérard Oberlé. Il n'en fallait pas davantage pour nous donner envie de réunir ces deux piliers du magazine Lire: Gérard Oberlé, auteur chaque mois dans ces colonnes d'une «Lettre à Emilie» - un Alsacien niché en Bourgogne -, et Bernard Pivot, fondateur du journal - un authentique enfant du Beaujolais - ne s'étaient jamais coudoyés. Rencontre au sommet. Et au meursault.
19/11/2009 | Mise à jour : 00:50 |
Le millésime 2009 du beaujolais s'annonce excellent. Crédits photo : Le Figaro
Par Marion Festraëts, publié le 17/11/2009 08:00
R. Boissau/ftv pôle france3
Xavier Vallat (J. Bonnaffé), zélateur de l'antisémitisme d'Etat.
L'histoire sinistre de Xavier Vallat (Jacques Bonnaffé), antisémite convaincu, nommé en 1941 à la tête du Commissariat général aux questions juives. Ou comment de bons Français appliquèrent avec fougue les lois antijuives édictées par Vichy pour complaire à l'occupant allemand. Face à la monstrueuse machine administrative et à ses serviteurs zélés, les dilemmes d'une petite secrétaire (Sophie Quinton). Pédagogique.
Prudence, mère de sûreté
Un jour en eut assez
D’être sans cesse
Mère Prudence.
Elle jeta sa lingerie
Rapidement aux orties
Et s’empressa de se donner
A un tout jeune premier
Qui lui récitait des vers
De Prudence, poète latin sévère
Tandis que la jeune Prudence
Buvait de la bière rance.
Elle préférait la Prudence de « Charmed »
A la « Dear Prudence » des Beatles
Que lui chantait son amant
Qui devenait trop collant.
Alors, Prudence, mère de sûreté
Un jour en eut assez
Et jeta toute sa vertu
Devant un autre inconnu.
Car Prudence savait déjà
Que le danger était là :
Se lier trop tôt
A un jeune ado.
17 novembre 2009
Pour le prénom du mercredi chez Bigornette:
http://le.bigorneau.over-blog.fr/categorie-11039504.html
Pour lire d'autres poèmes de moi, cf. mes 5 recueils en vente sur ce blog.
Illustré par ce tableau(atelier Alea):
Précédentes notes à ce sujet:
Michel Bret, "Le pas des mots", Lyon 2009, Editions du Cosmogone
Le poète m'a lu ces vers:
"Un enclot de lumière
une porte s'ouvre
un fil se tend
la magicienne grisée
une pierre se polit
et la glace fond
Si l'épreuve rend
le regard profond
Les mots ainsi noués
forment un miroir à deux faces"
le sien et le mien
Précédentes notes à ce sujet:
Précédente note sur cette ville:
http://www.lauravanel-coytte.com/search/romans-sur-isère
et sur cette journée: