Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Un moment fort du concert d'Etienne Daho du 19 novembre 2008:Comme un igloo
Les paroles ci-dessous:
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Les paroles ci-dessous:
'Il y a vingt-cinq ans, dans un livre acheté en Patagonie, je découvrais l'existence d'un pittoresque aventurier français de la fin du XIXe siècle. Trafiquant d'armes, magnétiseur, chercheur de trésors, explorateur, hâbleur, il avait amené en Terre de Feu une expédition qualifiée de 'funambulesque'. Bien des années plus tard,j'apprenais qu'il était aussi un ami de Manet, et que le peintre d''Olympia' avait fait de lui un curieux portrait en chasseur de lions. Voici, romanesque et romancée, leur histoire croisée. On y passe des Grands Boulevards aux rives du détroit de Magellan, on y traverse des révolutions au Pérou, la Commune de Paris et la Semaine sanglante, on y croise Mallarmé, Berthe Morisot, une comtesse pétroleuse, un mutin sanguinaire, une femme sauvage, de supposés cannibales... Au fond du paysage, il y a aussi l'auteur, à la recherche du temps qui a passé : seule chasse où l'on est assuré d'être, au bout, tué par le fauve, seule exploration qui finit toujours sous la dent des anthropophages.' Olivier Rolin
http://fr.youtube.com/watch?v=wdQewoKNu74
Je renouvelle mon appel à quelqu'un qui me dirait comment mettre une vidéo en plein écran dans ma note.
Les paroles de Nougaro ci-dessous:
Proposition 73 d'Ecriture ludique - Ecriture sur image (Michel)
Une image un peu particulière vous est proposée cette fois-ci... inspirez-vous en librement, quelle que soit la direction où vous emmène votre imagination, elle sera bonne :-)
Et puis, si cela vous frustre de résumer l'image à une seule interprétation, vous pouvez revenir autant de fois que vous le souhaitez !
http://www.ecritureludique.net/article-25016026.html
Mon texte ci-dessous:
Rien de commun, à priori, entre les deux scènes réunies ici : d’un côté, Le Curé de village, un roman de l’altruisme, du dévouement et de la cause publique, presque une « scène de la vie politique » ; de l’autre, Le Lys dans la vallée, une « scène de la vie privée » la plus intime qui soit, récit de l’égoïsme et de l’amour-passion entre deux amants malheureux.
Rien de commun, et pourtant… Ces romans sont avant tout deux inoubliables portraits de femmes – une criminelle et une sainte –, deux ambiguïtés, deux morales libres, non dogmatiques, qui s’inversent et qui figurent la révélation d’une identité, d’une liberté. Balzac, romancier des femmes ? Cela a été dit et redit, par ses contemporains, par la postérité, par lui-même, qui en a joué pour s’assurer un public fidèle. Balzac, romancier, non pas des femmes, mais de la femme, est allé plus loin que sa consœur George Sand, par exemple,parce qu’il a cultivé le risque des incertitudes, de la déstabilisation, des renversements, des retournements en tout genre.
Résumé : Si chacun de ses ouvrages se classe premier des ventes aux États-Unis depuis qu’elle a raconté la traque de Ted Bundy dans Un tueur si proche, Ann Rule n’a pas oublié qu’elle a été flic, et la rigueur de ses investigations lui vaut, à chaque livre, un triomphe international. L’histoire qu’elle rapporte ici lui a pourtant donné du fil à retordre : elle débute comme un conte de fées, par un mariage sur une plage hawaiienne, et vire au cauchemar dans un camping de l’Oregon, à l’automne 2000. Une meurtrière dépeinte comme une figure angélique, un mort qui passe pour un monstre à abattre… Entre les partisans de l’une et de l’autre, Ann Rule démêle l’écheveau de mensonges, d’ambitions et de trahisons, qui conduisit à une tragédie insensée. « Le portrait convaincant d’un esprit criminel, qui, non content d’avoir éliminé sa proie, a tout fait pour salir sa mémoire. » The Washington Post « Fascinant et étrange… Sa maîtrise des techniques d’investigation place Ann Rule au premier rang des auteurs de thrillers authentiques… » New York Times « Un véritable feuilleton du réel. Palpitant, troublant, terrible… » Publishers Weekly
http://www.michel-lafon.fr/livres-thriller/titre-292,coeur-trop-lourd.html
p.17 du "Cyclisme en 1001 photos":"Homme du Tour, le champion de France 1907 doit patienter jusqu'en 1911 pour décrocher le titre suprême."
http://www.rilune.org/dese/tesinepdf/Steinberg/Steinberg_Histoiredesid%E9es.pdf
J'ai terminé le livre de Coleridge pendant mon dernier voyage dans l'est.
p.55: « Graham Greene était l’un de ses auteurs favoris depuis qu’il avait vu “Le troisième homme” à la télévision, dans le temps. »
«Les principes sont faits pour être violés. Etre humain est aussi un devoir.»
[ Graham Greene ] - Le troisième homme
Moins connu que Balzac romancier, voici Balzac maître de la nouvelle. Ces deux récits parlent d'amour, du mal d'amour et de vengeance. Ils sont des épisodes de la vie de certains personnages de La Comédie humaine que l'on croise ici brièvement.
Étude de femme nous conte un moment cruel et éphémère : un jeune homme, croyant envoyer une lettre d'amour à sa maîtresse, se trompe d'adresse et la missive parvient chez une épouse fidèle, mais qui se prend à rêver devant les mots brûlants.
La Grande Bretèche est l'histoire d'une vengeance terrible, celle d'un mari trompé. Une nouvelle écrite en cercles concentriques jusqu'au dénouement impitoyable.
Thierry Frémont est ici le docteur Bianchon, narrateur et personnage fétiche d'Honoré de Balzac. Il nous fait revivre l'arrogance satisfaite du jeune Rastignac ou la détresse de madame de Merret, victime de la vengeance conjugale.
Ecoutez un extrait ici:
En 1833, les industriels mulhousiens rassemblés au sein de la Société Industrielle de Mulhouse décident de conserver leurs créations. Mieux ils s’efforcent de compléter ces archives en collectionnant les productions d’autres pays et d’autres temps. L’ensemble devenu vite important, se constitue de textiles du monde entier, centré sur l’impression alsacienne. La préoccupation, clairement avouée, est professionnelle : il s’agit de regrouper les productions passées pour inspirer les dessinateurs textiles et servir à leur apprentissage. Cet esprit d'émulation du dessin appliqué préside à la création, en 1857, du Musée du Dessin industriel, destiné avant tout aux praticiens. Les collections augmentent régulièrement, offrant une source de plus en plus riche aux industriels de l'impression. Ce principe d'accueil des industriels se poursuit aujourd'hui au sein du Service d'Utilisation des Documents. Une bibliothèque spécialisée d'environ 9000 volumes reçoit chercheurs et étudiants.
Deux enfants du siècle, imbus d’idéal, de poésie et d’illusions, sont confrontés à la rude épreuve du réel : l’un, Lucien, part à la conquête de la capitale, où ses ambitions d’écrivain et ses rêves de noblesse se heurtent au royaume de l’hypocrisie ; l’autre, David, reste en province pour poursuivre ses inventions, au milieu d’intrigues ourdies contre lui.
Fortuny y Marsal, Mariano (1838-1874), peintre espagnol de tableaux historiques et de scènes de genre qui subit l'influence de Meissonnier et de Goya.
Fortuny étudia pendant quatre ans à l'académie de Barcelone où il reçut l'enseignement de Claudio Lorenzale y Sugranes. Lauréat du prix de Rome en 1857, il partit pour l'Italie où il approfondit ses connaissances. En 1860, le gouvernement de Barcelone le désigna comme peintre officiel de l'invasion espagnole au Maroc ; il en rapporta notamment l'un de ses chefs-d'œuvre, la Bataille de Tétouan, gigantesque fresque historique. La découverte de l'Orient influença grandement la première partie de son œuvre. Fortuny se rendit par la suite à Paris et travailla aux côtés de Gérôme avant de s'installer à Rome, où il demeura pour le restant de ses jours. Il se spécialisa dans la réalisation de scènes de genre et dans l'exécution de gravures à l'eau-forte et d'aquarelles. Ses tableaux furent caractérisés par un assemblage de petites touches donnant à la surface de l'œuvre un aspect frémissant. Son intérêt pour la restitution des nuances atmosphériques annonça les débuts du mouvement impressionniste. En outre, ses relations fructueuses avec le marchand d'art parisien Goupil lui assurèrent un succès international considérable et firent sa fortune. Parmi ses œuvres les plus significatives figurent la Vicaria (1870, musée d'Art moderne, Barcelone), la Course de taureaux (1870, musée du Prado, Madrid) et Madame Fortuny (1874, British Museum, Londres).
En Italie et en Espagne, Fortuny exerça une très grande influence sur les artistes contemporains ; son œuvre fut ainsi copiée à de nombreuses reprises.
Son fils, Mariano Fortuny y Madrazo (1871-1949), s'illustra, quant à lui, en tant que peintre et créateur de tissus.
http://fr.encarta.msn.com/encyclopedia_741524745/Fortuny_y_Marsal_Mariano.html#81570554
Récapitulatif de mes notes de voyage dans le Sud-Ouest: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.htmlUn peu curieuse, cette locomotive américaine des tout premiers débuts. Cette Best Friend ou "meilleur ami" ne le fut pas en tuant son mécanicien qui, agacé par le bruit de la vapeur s'échappant des soupapes, cala ces dernières, ce qui fit exploser la chaudière.
à la médiathèque de Saint-Etienne:
Dates importantes de l'histoire du 7ème art, découverte des salles obscures et de l'ambiance qui régnait en ce lieu de loisir privilégié au XXe siècle : c'est l'occasion de présenter des documents originaux conservés aux Archives municipales tels que photographies, plans, programmes, affiches... et de réaliser un inventaire des sources de l'histoire du cinéma à Saint-Etienne.
Exposition réalisée en partenariat avec les Archives Municipales
dans le hall de la Tourette à Tournon-sur-Rhône(07,Ardèche; jusqu'au 13 novembre 2008).
Cette photo est celle de l'affiche et fait partie d'une série appelée "Lentement"
Ca faisait au moins 14 ans que je n'avais pas assisté à un atelier d'écriture dans le réel avec des gens en face de moi.
Chacun lit son texte sur les thèmes de la séance précédente sur "La langue" et "La lune."
On fixe le thème pour la fois prochaine: "Une journée pas comme les autres."
C'était sympa, ça change des ateliers d'écriture virtuels.
p.24 du Télérama hors-série, "Picasso et ses maîtres"
"Le 30 octobre, naissance de Maria de la Concepcion Ruiz y Picasso,dite Conchita,seconde soeur du peintre. Victime de fortes fièvres à la fin de l'année 1894, elle morra de la diphtérie le 10 janvier 1895. Son père en restera profondément affecté. Pablo, qui l'adorait,aurait,selon la légende,fait le voeu d'arrêter la peinture si sa petite soeur survivait."
Tombé pour la France
http://fr.youtube.com/watch?v=YnCdsh4DKYA
Les paroles ci-dessous.
J'attends ça depuis des mois(à mon retour du Maroc, il est passé dans le Nord mais je ne pouvais pas y aller), depuis des années... 20 ans environ que je suis fan, depuis ces débuts en solo, je crois.
Il y a 16 ans au moins, j'avais pris pour un de ses concerts et ça avait été annulé...
J'ai tous ces albums, en 33 tours(j'ai même un 45 de lui), en CD, en DVD mais comme tout ça est encore au Maroc, je me rabats sur un DVD de concert que j'ai acheté dernièrement.
Je me mets dans l'ambiance....
p.17:"Oui,ce pays est en didacture,sachez-le!On ne peut pas faire autrement, m'a-t-on dit. Impossible de tenir autrement un tel pays-continent!"
Le 'Registre des morts' est celui de la morgue où sont inscrits tous les décès. Il va bientôt prendre une signification différente pour Kay Scarpetta. Lorsqu'elle s'installe à Charleston, en Caroline du Sud, pour y ouvrir avec sa nièce Lucy et Pete Mrino un cabinet de médecine légale, elle croit commencer une vie idéale. Mais très vite, elle entre en conflit avec des politiciens locaux et on cherche à saboter son projet. Débute alors une série de morts violentes : un meurtre rituel, un enfant victime de sévices, une joueuse de tennis retrouvée mutilée à Rome, sans autre lien entre ces affaires qu'une certaine patiente d'un prestigieux hôpital psychiatrique de Nouvelle Angleterre. D'autres noms s'ajouteront au registre des morts, peut-être même celui de Kay.
Les garçons des clubs, les jeunes officiers du mess, je les tiens dans ma main gantée de fil blanc. Je suis Zelda Sayre. La fille du Juge. La future fiancée du futur grand écrivain.
Du jour où je l’ai vu, je n’ai plus cessé d’attendre.
Et d’endurer, pour lui, avec lui, contre lui.
Montgomery, Alabama, 1918. Quand Zelda, « Belle du Sud », rencontre le lieutenant Scott Fitzgerald, sa vie prend un tournant décisif. Lui s’est juré de devenir écrivain : le succès retentissant de son premier roman lui donne raison. Le couple devient la coqueluche du tout New York. Mais Scott et Zelda ne sont encore que des enfants : propulsés dans le feu de la vie mondaine, ils ne tardent pas à se brûler les ailes…
Gilles Leroy s’est glissé dans la peau de Zelda, au plus près de ses joies et de ses peines. Pour peindre avec une sensibilité rare le destin de celle qui, cannibalisée par son mari écrivain, dut lutter corps et âme pour exister…
Mêlant avec brio éléments biographiques et imaginaires, Gilles Leroy signe ici son grand « roman américain ».
http://www.mercuredefrance.fr/titres/Alabamasong.htm
Gilles Leroy est l'auteur notamment de Machines à sous (prix Valery Larbaud 1999), L'amant russe (2002) et Grandir (2004) et Champsecret (2005)..