Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le musée Marmottan-Monet a doublé sa fréquentation en un an
Le musée Marmottan-Monet a doublé sa fréquentation en un an
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Le musée Marmottan-Monet a doublé sa fréquentation en un an
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ECONOMIE Paul Bergamo, l'homme d'airain De son atelier normand sortaient, en 2013, les cloches de Notre-Dame. Début décembre, il recevait le prix national « Stars et Métiers 2014 ». Rencontre avec un fondu de fonderie. |
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Je lève les yeux vers le ciel
Et ce bleu du Maroc, éternel
M’en rappelle d’autres
Ce poème complet EST lisible dans le NOUVEAU recueil de "Dix de plume/
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LE MONDE DES LIVRES | 13.11.2008 à 11h26 • Mis à jour le 13.11.2008 à 11h26 | Par Patrick Kéchichian
Nancy Cunard, une passion noire
Le Point - Publié le 20/03/2014 - Modifié le 03/04/2014 à 00:00
Les yeux clairs de Cecil Keaton, immortalisée par l'objectif de Man Ray. © Man Ray Trust/Adagp, 2013
Cet Hiver en dormant je songe que ma flore,
Voulant récompenser mes peines et mes pleurs,
Me caresse, me baise, et me promet encore
De me garder le fruit de ces premières fleurs.
« Là-bas est l’île des tombeaux, l’île silencieuse, là-bas sont aussi les tombeaux de ma jeunesse. C’est là-bas que je vais porter une couronne d’immortelles de la vie. »
Ayant ainsi décidé dans mon cœur — je traversai la mer. —
Ainsi, mon cher, tu t'en reviens
Du pays dont je me souviens
Comme d'un rêve,
De ces beaux lieux où l'oranger
Naquit pour nous dédommager
Du péché d'Ève.
Tu l'as vu, ce ciel enchanté
Qui montre avec tant de clarté
Le grand mystère ;
Si pur, qu'un soupir monte à Dieu
Plus librement qu'en aucun lieu
Qui soit sur terre.
Tu les as vus, les vieux manoirs
De cette ville aux palais noirs
Qui fut Florence,
Plus ennuyeuse que Milan
Où, du moins, quatre ou cinq fois l'an,
Cerrito danse.
Tu l'as vue, assise dans l'eau,
Portant gaiement son mezzaro,
La belle Gênes,
Le visage peint, l'oeil brillant,
Qui babille et joue en riant
Avec ses chaînes.
Tu l'as vu, cet antique port,
Où, dans son grand langage mort,
Le flot murmure,
Où Stendhal, cet esprit charmant,
Remplissait si dévotement
Sa sinécure.
Tu l'as vu, ce fantôme altier
Qui jadis eut le monde entier
Sous son empire.
César dans sa pourpre est tombé :
Dans un petit manteau d'abbé
Sa veuve expire.
Tu t'es bercé sur ce flot pur
Où Naple enchâsse dans l'azur
Sa mosaique,
Oreiller des lazzaroni
Où sont nés le macaroni
Et la musique.
Qu'il soit rusé, simple ou moqueur,
N'est-ce pas qu'il nous laisse au coeur
Un charme étrange,
Ce peuple ami de la gaieté
Qui donnerait gloire et beauté
Pour une orange ?
Catane et Palerme t'ont plu.
Je n'en dis rien ; nous t'avons lu ;
Mais on t'accuse
D'avoir parlé bien tendrement,
Moins en voyageur qu'en amant,
De Syracuse.
Ils sont beaux, quand il fait beau temps,
Ces yeux presque mahométans
De la Sicile ;
Leur regard tranquille est ardent,
Et bien dire en y répondant
N'est pas facile.
Ils sont doux surtout quand, le soir,
Passe dans son domino noir
La toppatelle.
On peut l'aborder sans danger,
Et dire : " Je suis étranger,
Vous êtes belle. "
Ischia ! C'est là, qu'on a des yeux,
C'est là qu'un corsage amoureux
Serre la hanche.
Sur un bas rouge bien tiré
Brille, sous le jupon doré,
La mule blanche.
Pauvre Ischia ! bien des gens n'ont vu
Tes jeunes filles que pied nu
Dans la poussière.
On les endimanche à prix d'or ;
Mais ton pur soleil brille encor
Sur leur misère.
Quoi qu'il en soit, il est certain
Que l'on ne parle pas latin
Dans les Abruzzes,
Et que jamais un postillon
N'y sera l'enfant d'Apollon
Ni des neuf Muses.
Il est bizarre, assurément,
Que Minturnes soit justement
Près de Capoue.
Là tombèrent deux demi-dieux,
Tout barbouillés, l'un de vin vieux,
L'autre de boue.
Les brigands t'ont-ils arrêté
Sur le chemin tant redouté
De Terracine ?
Les as-tu vus dans les roseaux
Où le buffle aux larges naseaux
Dort et rumine ?
Hélas ! hélas ! tu n'as rien vu.
Ô (comme on dit) temps dépourvu
De poésie !
Ces grands chemins, sûrs nuit et jour,
Sont ennuyeux comme un amour
Sans jalousie.
Si tu t'es un peu détourné,
Tu t'es à coup sûr promené
Près de Ravenne,
Dans ce triste et charmant séjour
Où Byron noya dans l'amour
Toute sa haine.
C'est un pauvre petit cocher
Qui m'a mené sans accrocher
Jusqu'à Ferrare.
Je désire qu'il t'ait conduit.
Il n'eut pas peur, bien qu'il fît nuit ;
Le cas est rare.
Padoue est un fort bel endroit,
Où de très grands docteurs en droit
Ont fait merveille ;
Mais j'aime mieux la polenta
Qu'on mange aux bords de la Brenta
Sous une treille.
Sans doute tu l'as vue aussi,
Vivante encore, Dieu merci !
Malgré nos armes,
La pauvre vieille du Lido,
Nageant dans une goutte d'eau
Pleine de larmes.
https://books.google.fr/books?id=dCrTsbxerFwC&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
Gianni Basso
Si vous vous promenez à Cannaregio, il y a dans une petite calle, une boutique sur laquelle je veux attirer votre attention. |
C'est celle d'un imprimeur ! |
Oui mais pas n'importe quel imprimeur ! Gianni Basso qui se dit lui même "Le Gutenberg vénitien" |
Le nom de la rue, la calle del fumo, le nom de la boutique le sien, tout simplement. |
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http://www.venise-serenissime.com/petits_metiers/gianni1.htm
Annibale De Lotto (San Vito di Cadore, 29 luglio 1877 – Venezia, 21 novembre 1932) è stato uno scultore italiano.
Figlio dell'intagliatore Giovanni Battista De Lotto e di Maria Fiori, seguì il padre a Venezia e, probabilmente, svolse con lui l'apprendistato. Nel 1891 si iscrisse all'Accademia e divenne l'allievo favorito di Antonio Dal Zotto.
Al termine degli studi aprì uno studio nella zona di San Vio. Nel 1900 partecipò all'esposizione di Roma, presentando le opere In flagrante e Didone; quest'ultima, esposta poi alla Triennale di Milano, a Monaco di Baviera e a Londra, fu il suo primo lavoro di successo che lo affermò nel mondo dell'arte. Nel 1904 fu nuovamente alla Triennale con il Dannato.
In questo periodo il De Lotto si distinse come autore di sculture celebrative e ritratti. Realizzò, tra l'altro, dei busti di Vittorio Emanuele III per la sala del Consiglio provinciale di Venezia e per il circolo militare della stessa città e dei ritratti di Luigi Sugana per il teatro Goldoni, per la sede della Tarvisium Venetiae e per il teatro Sociale di Treviso.
Dal 1903 al 1924 partecipò a tutte le edizioni della Biennale di Venezia e per la sala stampa della manifestazione realizzò le due figure della Giustizia e della Libertà. Espose anche alle mostre collettive organizzate dalla fondazione Bevilacqua La Masa a Ca' Pesaro.
Altre sculture celebrative furono i monumenti a Giosuè Carducci (1912) e a Guglielmo Oberdan (1921) per i giardini della Biennale, il monumento agli Alpini di Belluno (1914), il medaglione con il ritratto di Giovanni Battista Zorzato per il teatro Accademia di Conegliano (1914), il ritratto di Giuseppe Previtali per la chiesa di San Salvador (1919).
In seguito alla Rotta di Caporetto, trascorse un periodo a Chieti dove, nel Municipio, lasciò un rilievo con il Leone marciano (1918).
Durante il primo dopoguerra gli furono commissionati soprattutto monumenti ai caduti (si citano quelli di Feltre, Asiago, Longarone, Calalzo di Cadore, Valle di Cadore, Conegliano). Suo fu anche il monumento al soldato serbo nel cimitero di Belgrado.
Fu molto ricercato anche per la realizzazione di monumenti funebri.
la poète Cécile SAUVAGE, mère du musicien Olivier MESSIAEN »
Je t’aimerai encore sous terre.
Je t’aimerai de tous mes os,
Comme ici-bas je fus ta mère,
Je veillerai sur ton repos.
(…)
Ce sera la nuit maternelle
L’intime et pur enlacement
De ton enfance aux membres frêles
Lorsque tu dormais dans mon flanc