Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 913
-
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars
-
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars
La Somnambule | Helen Mc Cloy
-
le mot : "Sehnsucht"
-
Catégories : A voir, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des expositions
Une autre lecture de l'Orient et de l'Occident
Signature : Axelle Corty - 20 mai 2014Diane Hennebert, directrice de la Fondation Boghossian-Villa Empain à Bruxelles (©DR).
Pour cette exposition interrogeant les thèmes de la chaise et du livre, Diane Hennebert, la directrice de la Villa Empain, a convoqué deux cents artistes occidentaux et orientaux.
« Toutes les expositions présentées ici ont pour objectif de contribuer, par l'art, au dialogue entre les cultures d'Orient et d'Occident », rappelle cette agrégée de philosophie, en charge depuis 2007 du programme culturel de la Villa Empain comme de sa restauration.
-
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes
Bouquet de fleurs jaunes
Sérigraphie
Signée et numérotée au crayon
papier : 52x44 cm - image : 43x35 cm
Tirage de l'édition : 250 ex
Année : 2000
Prix : Vendu
Ref. 02594 # 150 -
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Le paysage
Jean-Pierre ALAUX
-
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Le paysage, Venise
Bernardino Toppi
-
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes
Jean-Yves BERNARD
L E S F E N O U I L L E D E S .n° 273. 2010.
Huile sur toile.
54 x 65 cm. -
Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Des femmes comme je les aime
Catherine JAEG,le passage des Panoramas
http://www.online-expo.fr/2014/02/catherine-jaeg/le-passage-des-panoramas/
-
Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Des femmes comme je les aime
Danielle Bonniol-Ferrus
" Qui m'aime me suive " [2004]
Hauteur : 55 cm / 21,7 in.
Largeur : 46 cm / 18,1 in.
Epaisseur : 2,5 cm / 1,0 in.
Techniques : acrylique
Supports : toile sur châssishttp://www.pictabilis.fr/fr/danielle_bonniol_ferrus_/fiche_18_?from=liste_tous
-
Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Des femmes comme je les aime
Jadis(artiste peintre abstrait)
-
Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Des femmes comme je les aime
Jacqueline GOUGIS
-
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes
Gérard le Gentil
-
Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Des femmes comme je les aime
isabelle RAKOTO peintures
-
Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Des femmes comme je les aime
Béatrice Roche Gardies
-
Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Des femmes comme je les aime
Elisabeth CIBOT
http://www.elisabethcibot.com/
-
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes
Fabio Calvetti
-
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes
Michaël LEIBOVICI
"Les tableaux de Leibovici sont à la peinture ce que l'orchidée est aux fleurs. Comme les orchidées il puise sa quintessence dans les éléments subtils aériens et poétiques du quotidien, rien ne cède au conventionnel, de la poésie pure. Pour celui qui sait regarder, le rêve rejoint la réalité dans ce qu'elle a d'essentiel, des images pour l'âme, tout ici exprime une extrême sensibilité cachée."
Francis Barlier
Michaël Leibovici, magicien de la couleur
Peintre du silence, Leibovici en magicien de la lumière suspend le temps.
Sa palette a des blondeurs, des inflexions d’ocres qui illuminent les parties laissées dans la pénombre. des personnages immobilisés pour des dialogues muets sont les acteurs d’un décor clos, fermé par des arcades, ou une terrasse ouverte à l’infini. Le travail particulier de la lumière permet à Michaël Leibovici des effets de transparence et d’opacité aptes à susciter le mystère d’une scène, au premier abord banale.Cette apparente légèreté d’être est le résultat d’un métier maîtrisé, parvenu à une maturité, qui permet à Leibovici de se jouer d’une composition où le réel feint la fiction. Un rêve pictural, telles apparaissent ces oeuvres de petites dimensions. Décor oublié d’une cité italienne ou paysage ébauché, la scène aspire le regard pour de secrets échanges imaginaires.
Lydia Harambourg -
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars
fACE A LA NUIT
-
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars
La Chute de M. Fernand
-
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE
L'Invité du soir
Collection Littérature étrangère Parution 02 mai 2014 Livre 145 × 220 mm 272 pages EAN : 978282360166422,50 € Fiona McFarlane
Traduit de l'anglais (Australie) par Carine Chichereau.
« Ruth s’est réveillée à quatre heures du matin et son cerveau endormi lui a murmuré : “Tigre”. »
Ruth Fields, 75 ans, vit seule avec ses chats dans une maison isolée de la côte australienne. Sa santé décline, mais elle tient à son indépendance. La vie s’écoule lentement, bercée par le rythme des vagues et le bruit du vent. Mais certaines nuits, Ruth entend un tigre rugir dans son salon. Est-elle en train de perdre la tête ? Ou est-ce une manigance de Frida, son aide-ménagère depuis peu à son service ? À mesure que surgissent de troublants détails, chacune des deux femmes va s’accuser d’être une menace pour l’autre, et l'on ne sait à qui se fier. Tout cela finira mal, c'est certain.
L’Invité du soir est un huis-clos à l’ambiance hitchcockienne, où « l’inquiétante étrangeté » règne en maître. Au fil d’un suspens implacable, Fiona McFarlane esquisse un émouvant portrait du dernier âge de la vie, et interroge l’origine de nos peurs, réelles ou fantasmées.
http://www.editionsdelolivier.fr/catalogue/9782823601664-l-invite-du-soir
-
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des lieux
Le Centre Pompidou va ouvrir un espace permanent pour la photographie
PARIS [22.05.14] - Le Centre Pompidou disposera en octobre prochain d’une galerie photo. Telle est la décision de son président Alain Seban indiquée au Journal des Arts. Elle concrétise le souhait exprimé dès les années 1990 par Alain Sayag, premier responsable du cabinet de la photographie du Musée national d’art moderne.
-
Georges HOSOTTE
-
Catégories : CELLES QUE J'AIME, Des femmes comme je les aime
Julianne Moore, la quinqua incandescente
Par Margaux Destray
photo Driu & Tiago pour Madame Figaro
Julianne Moore joue une comédienne déclinante, ultra-névrosée, dans le Hollywood délétère de David Cronenberg : Maps to the Stars.
Sommaire
Ce samedi 24 mai 2014 à 19h25, Julianne Moore a reçu le Prix d'interprétation féminine à Cannes pour son rôle dans Maps to the Stars, de David Cronenberg.
C’est une actrice au long cours, inoubliable, qui marque chacun de ses personnages au fer rouge. Sa marque de fabrique. Dans Maps to the Stars, de David Cronenberg, en compétition à Cannes, la rousse incendiaire, sublime égérie de L’Oréal Paris, joue une comédienne déclinante, ultra-névrosée, dans un Hollywood délétère. Un rôle de composition extrême,dans lequel elle excelle, aux antipodes de sa vraie vie. Confidences.
Nous l’avons tant aimée en Carol White, épouse rangée d’un cadre supérieur allergique à tout ce qui l’entourait dans Safe, de Todd Haynes ; en Amber Waves, mère déchue et star de l’industrie pornographique accro aux paradis artificiels dans Boogie Nights, de Paul Thomas Anderson ; en Cathy Whitaker, une desperate housewife des années 1950 heurtée par l’homosexualité de son mari et amoureuse de son jardinier noir dans Loin du paradis, de Todd Haynes, à nouveau ; et encore en Laura Brown, héroïne docile à la sexualité muselée dans The Hours, de Stephen Daldry. Des personnages qu’elle défendait avec la même force de conviction. Actrice arty par excellence, Julianne Moore a, en une soixantaine de films, et bien avant Jessica Chastain, imposé son talent fou et sa rousseur dans un cinéma américain où les femmes se devaient d’être blondes : Lana Turner, sinon rien. La productrice et humoriste Tina Fey, les acteurs Colin Firth et Alec Baldwin comptent parmi ses plus fervents supporters. Nicole Kidman, fan totale, lui envoya une lettre après sa prestation dans Boogie Nights. Le réalisateur Jay Roach, qui lui confia récemment le rôle de Sarah Palin, colistière du républicain John McCain et chef de file du mouvement du Tea Party, dans Game Change sur HBO (un Emmy Award), n’en finit plus de louer « une excellence qui pousse le reste de l’équipe à se surpasser ». Dans ce studio photo parisien, où elle troque en vitesse une robe couture pour un jean et une chemise écossaise - les stilettos, très peu pour elle -, le phénomène (un poids plume) s’avance en décapsulant une canette de Coca. « Alors, de quoi souhaitez-vous parler ? »