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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 995

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des spectacles

    Théâtre: la pièce Love Letters prolongée

     

    Home ACTUALITE Flash Actu
      • Par lefigaro.fr avec AFP
      • Mis à jourle 06/01/2014 à 19:05
      • Publiéle 06/01/2014 à 19:03
    La pièce "Love Letters" avec Gérard Depardieu jouée au théâtre Antoine à Paris avec Anouk Aimée, est prolongée jusqu'au 15 janvier, avec trois représentations supplémentaires du 12 au 15 janvier inclus, en raison du succès, a annoncé aujourd'hui la production.

    Huit représentations seulement étaient initialement prévues, déjà complètes. Tout au long de leur vie, les deux personnages de cette pièce américaine à succès international se sont aimés par correspondance, sans jamais pouvoir être ensemble. Le destin, la vie, les rencontres les ont rapprochés puis éloignés.

    Dans un récent entretien au Journal du Dimanche, Gérard Depardieu a confié qu'"être comédien, ce n'est plus (son) truc". "J'ai adoré être sur les planches. Mais aujourd'hui, cela m'ennuie", a-t-il ajouté.

     
  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE

    Les espionnes de Vladimir Fédorovski

    Home MON FIGARO Mon Figaro
      • Publiéle 06/01/2014 à 22:19

    L'écrivain d'origine russe publie le 1er février Le Roman des espionnes, aux Éditions du Rocher. Il s'appuie sur des archives inédites pour raconter les secrets d'Olga Tchekhova, qui devint la meilleure amie d'Eva Braun pour mieux informer Staline, ou encore d'Elisabeth Zaroubine, qui vola les secrets de la bombe atomique au profit de l'URSS. Dans la foulée, Fédorovski propose, sur France Info, une série de cinquante chroniques consacrées aux espionnes.

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME

    Paul Valéry

    Honneur des Hommes, Saint LANGAGE,
    Discours prophétique et paré,
    Belles chaînes en qui s’engage
    Le dieu dans la chair égaré,
    Illumination, largesse!
    Voici parler une Sagesse
    Et sonner cette auguste Voix
    Qui se connaît quand elle sonne
    N’être plus la voix de personne
    Tant que des ondes et des bois!

  • Richard CONDON

    Les_Prizzi

    Vous avez aiméLes Soprano ?
    Vous allez adorer Les Prizzi !



    Ils ont la main sur l'économie du pays. Ils génèrent plus de cash, créent plus de jobs, possèdent plus de sociétés, influencent plus de politiciens et de juges que n'importe quelle entité américaine. Et tout cela juste en investissant judicieusement les millions de dollars de revenus non imposables que leur rapportent chaque année les désirs le plus vils de leurs concitoyens. Ce sont les Prizzi. Don Corrado, le père, ses deux fils, et leur tueur à gages, Charley Partanna, l'espoir de la famille. Celui que Maerose, la petite-fille du Don, aimerait bien mettre dans son lit, afin de prendre les rênes du clan. Encore faudrait-il que Charley fût sensible à ses charmes, lui dont toutes les attentions vont à une strip-teaseuse qui n'est peut-être pas aussi innocente qu'il y paraît. Lorsque des associés de la famille décident de témoigner contre eux, le temps n'est plus à la romance pour les Prizzi. Mais à l'intelligence, ou bien, à défaut, à la force. Bienvenue dans le monde des Prizzi, le monde du crime désorganisé !



    Les Prizzi est le premier des quatre romans consacrés à la famille Prizzi. Le deuxième, L'Honneur des Prizzi, a été adapté par John Huston, avec Jack Nicholson dans le rôle de Charley Partanna. Avec ce cycle, Richard Condon a créé un véritable mythe de la littérature mafieuse. On comprend pourquoi à la lecture de cette magnifique comédie noire. Peuplé de personnages inoubliables, d'une ironie constante, Les Prizzi est tout simplement un régal pour les amateurs du Parrain ou des Affranchis.



    L'auteur
    Richard CONDON

    Méconnu en France, Richard Condon (1915-1996) est tenu dans les pays anglo-saxons comme l¿un des plus grands auteurs de thrillers et de romans noirs. Brillant satiriste, il a notamment dépeint à travers ses romans le monde de la mafia, celui de la politique et des services secrets. On lui doit en particulier Un crime dans la tête, adapté au cinéma une première fois avec Frank Sinatra et une seconde fois avec Denzel Washington.

    http://www.cherche-midi.com/theme/Les_Prizzi-Richard_CONDON_-9782749129501.html

  • Ce qui reste en forêt

    Un homme a disparu. Aux abords de la station scientifique de Japigny, en pleine forêt amazonienne, les équipes de la gendarmerie sont à sa recherche. Le temps presse. Dans ce milieu hostile, la survie d'un homme seul est une question d'heures. Guidés par des coups réguliers portés sur un arbre, technique de survie enseignée à tout nouvel arrivant, les gendarmes ont la stupeur de découvrir un cadavre. Un cadavre en pleine forêt, dont le légiste ne va pas tarder à découvrir qu'il a les poumons remplis d'eau. Qui a noyé Serge Feuerstein ? Pourquoi avoir traîné son corps jusqu'à ce gouffre dissimulé dans les arbres ? Et qui a guidé les gendarmes jusque-là ? Les orpailleurs dont le chantier clandestin est installé non loin se sont-ils attaqués au chercheur ? La découverte énigmatique en Guyane d'une dépouille d'albatros, oiseau des terres australes, a-t-elle un lien avec la mort du naturaliste ? Le capitaine Anato et le lieutenant Vacaresse sont confrontés à un faisceau d'éléments contradictoires et une nouvelle tragédie ne va pas tarder à compliquer davantage leurs investigations. Sous le choc de la révélation de l'existence d'un frère inconnu, Anato est plus que jamais déchiré entre les conflits d'ordre personnel et les turbulences d'une enquête qui répand le chaos.
    Colin Niel signe un roman prenant, tendu de fausses pistes, dans lequel l'intrigue policière croise le récit d'aventure sur l'un des derniers territoires vierges de la planète.

    http://www.amazon.fr/Ce-qui-reste-en-for%C3%AAt/dp/2812605537

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, La presse

    J'ai lu hier:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 497

    ° 497 - Janvier 2014 -

    ISSN : 0998-8041

    Sommaire

    L'objet surréaliste exposé au centre Pompidou. Les...

    Lire la suite...http://www.estampille-objetdart.com/

  • « Le Bloc », un polar qui se risque dans la peau de fascistes

    Paru en début d’automne, le roman « Le Bloc » fait débat, tout en étant symptomatique d’un changement de braquet du polar français. Ce roman marque l’entrée dans la prestigieuse Série noire de Gallimard de Jérôme Leroy, écrivain de gauche (il eut sa carte au PC) dont certaines inspirations sont à rechercher chez les Hussards (conservateurs) autant que chez Philip K. Dick et Frédéric Fajardie.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, La presse

    J'ai lu hier:Les Merveilles du monde chrétien

    Dans ce numéro, les Cahiers de Science&Vie vous présentent une sélection des plus beaux chefs-d’œuvre de l’architecture et de l’art religieux.
    Un florilège d’édifices et d’œuvres d’art tous plus impressionnants les uns que les autres.
    « Pour l’Église, il était nécessaire de faire voir pour mieux faire croire » Daniel Russo, Page 104

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La télévision

    Blue Bloods

    Chez les Reagan, la "Loi" est une histoire de famille. Henry était commissaire général de New York, son fils Frank lui a succédé. Et la tradition perdure avec les enfants de ce dernier: Danny est inspecteur à la crim', Erin travaille au bureau du procureur et Jamie, le petit dernier, vient d'entrer dans la police. Quant à Joseph, qui était un des meilleurs inspecteurs dans les rangs de la police, sa mort pourrait être liée à la société secrète baptisée "The Blue Templar", regroupant des flics pourris... Les Reagan ne règnent pas sur New York, ils essaient d'y faire régner l'Ordre et la Justice.

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  • Mille jours en Toscane

    A Thousand Days in Toscany]

    Trad. de l'anglais (États-Unis) par Marie-Pierre Bay et Nicolas Castelnau-Bay

    Collection Folio (n° 5575), Gallimard
    Parution : 07-05-2013
  • Catégories : Balzac Honoré de, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Venise

    Massimilla Doni (1839)

    À Venise, Emilio Cane Memmi est le chevalier-servant (le mot italien pour amant) de la sublime Duchesse Massimilla Cataneo née Doni. Cet amour reste chaste malgré l'envie irrépréssible des deux amants. Survient la Tinti, fameuse diva, en représentation à la Fenice. Elle offrira à Emilio ce que la duchesse ne lui donnait pas. Comment vivre dans cette imposture ? Comment concilier les deux faces de l'amour ? Il faudra l'intelligence et la médiation d'un médecin Français pour débrouiller le cas.

    http://hbalzac.free.fr/oeuvre.php?identificateur=2003067.0

  • Catégories : J'ai lu, L'art

    J'ai lu ce soir:Piero della Francesca - Conversation sacrée

    Le Musée du Monde - vol. 13

    La collection « Le Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. Treizième invitation à plonger dans l’histoire de la peinture, Piero della Francesca lève le voile sur les mystères de la première Renaissance italienne.

    Conversation sacrée
    A Florence, Arezzo ou à la cour d’Urbino, l’artiste témoigne des intentions, des connaissances et des croyances de son temps. En humaniste, il campe avec finesse et brio ses contemporains tout en brossant les traits d’une société sûre d’elle et de ses conquêtes. En érudit, au fait des derniers traités mathématiques, il cultive l’art de la perspective et ravive, avec modernité, une symbolique issue du Moyen âge. En précurseur, à l’instar de Fra Angelico, il instille au sein des églises un nouvel espace en prolongeant leur architecture de retables monumentaux, ouverts, épurés, équilibrés. En habile compositeur, il campera une nature idéale, en souvenir des paysages toscans de son enfance et des remparts de Borgo Sansepolcro auprès desquels il a grandi. Un air d’éternité emplit son œuvre dont le doute, la peur ou l’inquiétude semblent absents. Sa Conversation sacrée porte en elle tous les traits de son caractère précis et généreux, humble et majestueux, inventif et intérieur, vif et serein. Cette Vierge placée à l’exact centre de la composition en prière devant un Enfant Jésus nu, abandonné à son sommeil, possède la douceur d’une mère et la plastique altière d’une sainte. Son regard d’une insondable profondeur est l’unique point de convergence de l’ensemble du tableau. Avec une apparente simplicité, Piero della Francesca orchestra savamment une esthétique naissante paisible et lumineuse, nous livrant avec subtilité ses secrets qui aujourd’hui encore piquent la curiosité de regards neufs. Sa poésie d’un autre âge aura su traverser les siècles avec la force inventive et universelle des temps modernes.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • Voyages (dans le sud de l'Amérique du Nord)

    William Bartram
    collection Biophilia n°5 | Corti, février 13
    édition naturaliste établie par Fabienne Raphoz | Illustrations en couleur

     

    William Bartram (1739-1823) fut et reste l’un des premiers et l’un des plus grands naturalistes américains. Sa renommée, toujours immense aux États-Unis, il la doit à ses Voyages (1775-1778) qui demeurent l’un des livres les plus étonnants du 18 ème siècle (il fut traduit en France au moment de la Révolution).

    William Bartram, sans le savoir, est un précurseur, car ses Voyages constituent un témoignage de première main sur des régions encore inexplorées du Nouveau-Monde (les deux Caroline, la Georgie et la Floride du Nord). Son apport sera décisif pour certaines disciplines (géographie, histoire naturelle, anthropologie, ornithologie, botanique). Ses descriptions précises, subtiles de la nature, des paysages, des Indiens, de la flore, des animaux, du vivant en général, anticiperont une nouvelle façon de voir et de parler du monde. S’il est surtout connu en Europe pour avoir inspiré Chateaubriand et les romantiques anglais (Wordsworth et Coleridge, notamment), son œuvre aura une influence non négligeable sur les écrivains américains de la nature, Emerson, Thoreau, etc.

    William Bartram est aussi un visionnaire, car bien avant que les idées de Darwin aient conquis les esprits, il a l’intuition que l’observation du monde permet de l’appréhender et de donner à chaque chose sa place dans le cycle de la vie, d’où son respect des Indiens, sa condamnation de l’esclavage, son amour de la nature et sa défense des animaux.

    Pour toutes ces raisons, la collection Biophilia accueille la première édition naturaliste des Voyages de Bartram dans la traduction d’époque remaniée. Elle comprend en outre un cahier en couleur de ses dessins et des photos prises sur le terrain de quelques paysages typiquement bartramiens d’aujourd’hui.

     

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  • Le Nom de Lyon

    le nom de lyon

    Plus de trente ans après la parution de son premier livre chez Christian Bourgois, Gilbert Vaudey donne à Lyon, qu’il n’a de son propre aveu guère quitté, le texte qui, à la suite de Pessoa pour Lisbonne et de Julien Gracq pour Nantes, pourrait installer cette cité dans le panthéon de la littérature.Faisant œuvre d’archiviste, de flâneur, et tout en se racontant, il n’oublie pas d’émailler son récit de nombreuses échappées littéraires de Charles Dickens à Bernard Siméone. Toujours mesuré dans ses exercices d’admiration, comme dans ses regrets ou ses déceptions, il respecte en cela une certaine tradition lyonnaise. Point n’est besoin de plus d’une page pour décrire la singularité de cette ville qui s’affadit dans la doxa commune à toutes les « métropoles » aujourd’hui : « ...une ville rabattue, d’ailleurs sans imagination, sur le loisir, de plus en plus déconnectée de l’économie et à peu près privée de dimension politique. » Plus de 300 pages, et tant de siècles d’une histoire singulière, pour en arriver là…

    http://auteurs.arald.org/parutions/le-nom-de-lyon-4816

  • Edgar Hilsenrath

    Né en Allemagne en 1926, Edgar Hilsenrath a survécu au ghetto durant la guerre, avant de partir pour Israël, puis pour New York (dur le même bateau que Rita Hayworth). Toute son oeuvre s’inspire de cette expérience, mais sur un mode burlesque, quasi rabelaisien.
    Longtemps refusé par les éditeurs allemands, qui craignent les réactions à son approche, très crue, de la Shoah, il est d’abord publié aux États-Unis, où ses livres sont des best-sellers. Il écrit la nuit, dans des cafétérias juives sordides, et vit le jour de petits boulots. Ce n’est qu’à son retour en Allemagne, en 1975, qu’un éditeur relève le gant.

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  • Catégories : A voir, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE

    Rodin en son paradis d’antiques

    Le Musée Rodin à Paris confronte l’œuvre du sculpteur à sa collection d’antiques, source inépuisable d’inspiration.

     

    1/1/14 - 16 H 24

    Auguste Rodin devant quelques-unes des pièces de sa collection d’antiques.

    Auguste Rodin devant quelques-unes des pièces de sa collection d’antiques.

    (Albert Harlingue / Roger-Violl)

    Auguste Rodin devant quelques-unes des pièces de sa collection d’antiques.

     

    (Albert Harlingue / Roger-Violl)

    Auguste Rodin devant quelques-unes des pièces de sa collection d’antiques.

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  • Catégories : A lire, A voir, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE

    Mots d’amour mis en scène

    1 janvier 2014 à 17:06
     

     Fin connaisseur de Denis Diderot, le metteur en scène Dominique Lurcel a créé en novembre Comme si j’étais à côté de vous… lettres à Sophie Volland. Il s’agit du récit d’une longue correspondance qu’entretint l’écrivain et philosophe avec l’épistolière, le premier étant marié et la seconde, rencontrée en 1755, vivant sous la surveillance stricte de sa mère. Cette liaison tourmentée étalée sur près de trente ans tient en plus de 700 pages et 189 lettres, mais uniquement de Diderot, puisque aucune trace littéraire (ni portrait) ne subsiste de sa chère et tendre.

    Sur scène ...

    http://www.liberation.fr/culture/2014/01/01/mots-d-amour-mis-en-scene_970045