Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
JONGKIND
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Dans la plaine de la Bièvre, nous sommes allés (entre autres) sur les traces de:Johan Barthold Jongkind (1819-1891)
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Johan Barthold Jongkind "Le Pont au chemin de fer à Honfleur", 1866 - Éléonore Reynier -   Éléonore Reynier - Photo Christian Baraja
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Johan Barthold JONGKIND, Polder avec moulin au clair de lune (vu le 1 er mars 2014 au musée de Dôle)
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J'ai craqué pour le catalogue:Voyages en paysages
Collection permanenteMusée Paul Dini – Espace Grenette
Peintures, estampes, photographies.
du 18 octobre 2009 au 14 février 2010
Les Paysagistes et Rhône-Alpes : Allemand, Baudin, Beauverie, Daubigny, Paul Flandrin, Guindrand, Fonville, Seignemartin, Chintreuil, Jongkind, Ravier, Carrand, Vernay, Appian, Doré, Achard, Guétal, Bertier, Loppé, Noirot, Brouillard, Vollon, Saint-Cyr-Girier, Thiollier…
La région Rhône-Alpes, composée de sites naturels entre montagnes et lacs, entre plaines et étangs, constitue un source d’inspiration pour les artistes.
Du Forez aux Monts du lyonnais, de la Dombes au Bugey, du lac d’Annecy au lac du Bourget, de la Chartreuse au Vercors, de la Drôme au pays ardéchois, les peintres ont sillonné les contrées pour saisir les effets d’immensité, de lumière et d’atmosphère.
Le public pourra découvrir l’influence de certains artistes de l’Ecole de Barbizon (Corot, Daubigny…) sur l’École de Morestel autour d’Auguste Ravier, Louis Carrand, Adolphe Appian, François Vernay.
Au travers des peintures, estampes, photographies et les albums pittoresques de la région Rhône-Alpes, l’exposition dévoilera la diversité des sensibilités des artistes par rapport à la nature.
Commissariat de l’exposition : Sylvie Carlier, conservateur du musée Paul-Dini de Villefranche-sur-Saône et Lucie Goujard, docteur en Histoire de l’art, spécialiste de la photographie.
http://www.musee-paul-dini.com/fr/actualites.asp?type_=accrochages&id=49 -
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J'ai aimé hier:L'estampe au temps de l'impressionnisme
Salles des pastels - 2e étage - Impressionnistes
Jusqu'au 23 mai 2011Entre 1860 et la fin du XIXe siècle, nombreux sont les peintres qui, à l’instar des impressionnistes, expérimentent de façon novatrice les techniques traditionnelles de la gravure. Qu’il s’agisse d’eau-forte ou de lithographie, la liberté du trait, les effets de texture et le caractère d’inachèvement caractérisent généralement ces œuvres graphiques.
Le peintre Félix Bracquemond (1833-1868) est l’un des initiateurs de cet intérêt nouveau des peintres pour la gravure. Il est le fondateur en 1862 à Paris avec l’imprimeur Alphonse Cadart (1828-1875) de la Société des Aquafortistes, association qui expose et diffuse avec succès les eaux-fortes proposées en albums.
Les œuvres gravées d’Edouard Manet (1832-1883) sont bien représentées dans les collections du musée des Beaux-Arts. L’artiste contribue au renouvellement de la technique de l’eau-forte, en lien avec les thèmes de ses peintures. Il interprète parfois lui-même en gravure ses propres tableaux, comme Lola de Valence d’après le tableau de 1862, conservé au musée d’Orsay.
Il exploite magistralement les possibilités de la lithographie : le visage de Berthe Morisot (1841-1895), amie du peintre souvent choisie comme modèle, y est saisi avec vivacité en quelques traits, loin d’une représentation photographique figée.A la suite des impressionnistes, les paysagistes cherchent à rendre les aspects changeants de la lumière suivant les variations atmosphériques liées aux études en plein-air au fil des saisons. En gravure, leurs approches diffèrent suivant les sensibilités ou l’instant saisi : travail du trait en petites touches pour Soleil couchant dans le port d’Anvers de Johan Barthold Jongkind (1819-1891), fines zébrures du rendu de la pluie pour Les fiacres sous la pluie de Félix Buhot (1847-1898), et en lithographie, velouté de la chaleur d’été pour La Pêche du lyonnais Adolphe Appian (1818-1898).