Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Karlsruhe, Bade-Wurtemberg,Allemagne
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Nous avons vu le 5 AOUT 2019:Quartier du Dammerstock à Karlsruhe: 100 ans du Bauhaus
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Nous avons visité le 5 AOUT 2019: Musée „beim Markt“ (musée près du marché)
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Nous avons aimé le 5 AOUT 2019:Le château de Karlsruhe
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Cour fédérale (Allemagne)
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Exposition Autoportraits. De Rembrandt au selfie
Exposition du 26 mars au 26 juin 2016
Autoportraits, de Rembrandt au selfie est la première exposition réalisée dans le cadre d'un partenariat entre le musée des Beaux-Arts de Lyon, la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe et les National Galleries of Scotland à Édimbourg.
Véritable genre artistique, l’autoportrait apporte, au-delà des questions de style propres à chaque époque, de nombreuses informations sur la personnalité de son auteur, ainsi que sur son environnement historique et social.
À une époque où la pratique du « selfie » est devenue un véritable phénomène de société caractéristique de l’ère du digital, questionner la tradition et les usages de l’autoportrait semble plus que jamais d’actualité.L’exposition rassemblera plus de 130 œuvres : peintures, dessins, estampes, photographies, sculptures et vidéos. Elle s’articulera en 5 sections thématiques, interrogeant les grandes typologies de l’autoportrait et leurs évolutions au fil du temps :
- le regard de l’artiste,
- l’artiste au travail,
- l’artiste et ses proches,
- l’artiste mis en scène,
- et le corps de l'artiste.Cette exposition sera présentée successivement à la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe du 31 octobre 2015 au 31 janvier 2016, puis au Musée des Beaux-Arts de Lyon du 26 mars au 26 juin 2016, et enfin à la Scottish National Portrait Gallery à Édimbourg du 16 juillet au 16 octobre 2016. Elle bénéficie d’un soutien exceptionnel de l’Union européenne, dans le cadre du programme Creative Europe coordonné par l’Agence exécutive pour l’Éducation, l’Audiovisuel et la Culture de la Commission européenne. -
Pourquoi cette jeune Allemande colle des serviettes hygiéniques dans les rues
Pourquoi cette jeune Allemande colle des serviettes hygiéniques dans les rues
Par Manon Gabriel | Le Huffington Post – il y a 17 heures
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L'Assemblée rejette le suicide assisté et l'euthanasie
Reuters - il y a 12 heures
INSOLITE - C'est en collant des serviettes hygiéniques dans les rues de Karlsruhe (Allemagne) que cette jeune féministe tente de faire passer son message. Son objectif, attirer l'attention du grand public sur l'égalité homme-femme, sur le viol et sur toute une série de sujets sensibles dont se sont emparées les féministes. Pour y parvenir, Elonë utilise des serviettes hygiéniques qu'elle colle partout dans la ville. Une méthode peu commune mais qui fait son petit effet.
C'est à l'occasion de la Journée internationale de la Femme, le 8 mars, que la blogueuse s'est attelée à la tâche. Ses photos, publiées sur ses comptes Trumblr et Instagram, ont déjà été partagées des milliers de fois en seulement quelques jours.
"Imaginez si les hommes étaient aussi dégoûtés par le viol qu'ils le sont par les menstruations"
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Albrecht Dürer (1471 - 1528) :"Ce qu'est la beauté, je l'ignore"
Contrairement à ce qui se passe pour la majorité des artistes de la Renaissance ayant vécu au nord des Alpes, nous savons tout de la vie d'Albrecht Dürer (1471-1528). L'hypersensibilité de l'artiste, prompt à traduire en écrits et en images, les faits, grands et petits, de sa vie personnelle et à les conserver de façon quasi maniaque ; son recours fréquent à l'autoportrait, genre dont il est le pionnier ; l'habitude qu'il a de dater ses œuvres, en y ajoutant parfois des textes explicatifs ; l'intérêt tout à fait inhabituel qu'il suscita chez les humanistes de l'époque ; la coïncidence qui l'amène à se trouver dans des villes, à des moments et dans des situations d'une importance capitale pour le sort de l'Europe ; les études ininterrompues dont il a fait l'objet : Tous ces éléments fournissent une abondante moisson d'informations, limitant à des aspects presque marginaux les points d'interrogation sur sa vie et son œuvre. À quarante ans, Dürer est un intellectuel engagé, qui rédige d'ambitieux traités théoriques, qui dialogue avec les penseurs et les hommes de science, qui a ses propres idées et ses propres théories sur l'art ; il exprime avec autorité son avis personnel sur l'histoire, la nature, l'homme, la religion. Et c'est pourtant à ce moment qu'avec la phrase "Ce qu'est la beauté, je l'ignore", Dürer évoque clairement, douloureusement, le nœud gordien de son activité d'artiste et d'homme cultivé. Tout au long de sa carrière semée de centaines d'images peintes, dessinées ou gravées, Dürer a recherché une définition de la beauté. Il y a consacré une vaste gamme de facultés humaines, d'expériences sensibles, d'efforts intellectuels. Dans les écrits qu'il a laissés, Dürer insiste à plusieurs reprises sur cette expérience décevante de la recherche du secret de la beauté absolue que l'on approche jusqu'à l'effleurer avant de la sentir, soudain, s'enfuir. Il est tout à fait conscient de sa grandeur personnelle en tant que peintre, mais cette conscience lui rend d'autant plus insupportables les limites de l'art et de la science.
Mélancolie I, gravure, 1514, Albrecht Dürer, (Kupferstichkabinett, Staatliche Kunsthalle, Karlsruhe). Cette figure qui a occupé les chercheurs et les interprètes durant des siècles et dont l'imagination n'est capable de saisir qu'une partie de la puissance d'un corps caché derrière une robe éparpillée au milieu de toute une panoplie d'instruments et d'outils. La tête dans la main gauche soutenue par le genou, son visage est plongé dans la pénombre, comme pour mieux exprimer la sombre humeur qui emplit le mélancolique. L’œuvre, doit sans doute être vue comme un autoportrait spirituel de l'artiste - et, plus généralement, de l'Artiste moderne - qui aspire à cette Connaissance suprême, à cet Idéal artistique inaccessible.
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La gare Part-Dieu le 21 juin à 9h
La gare de la Part-Dieu est la principale gare ferroviaire de la ville de Lyon. Elle accueille les trafics national et régional. C'est une des plus importantes gares de correspondances d'Europe. Elle est située dans le quartier de La Part-Dieu.
La gare de la Part-Dieu remplace la gare de Lyon-Brotteaux qui a été déclassée à son ouverture au trafic commercial.
Elle a été mise en service le 13/06/1983 dans le cadre d'une opération d'aménagement urbain qui a vu la création d'un second centre ville de Lyon et l'un des plus grands centres commerciaux de France, le centre commercial de la Part-Dieu situé juste en face de la gare sur le boulevard Marius Vivier Merle, un important centre administratif et un centre d'affaires dominés par « le crayon » (Tour Part-Dieu).
Lyon comporte quatre autres gares, la gare de Lyon-Perrache, la gare de Lyon-Vaise, la gare de Lyon-Saint-Paul ainsi que la gare de Gorge de Loup. On peut ajouter à cela d'autres gares situées en banlieue comme celle de Vénissieux ou celle de l'aéroport Lyon-Saint-Exupéry (TGV).
- La gare de Lyon-Part-Dieu est l'une des premières gares de correspondance de la SNCF aux niveaux international, national et régional.
- Elle est desservie par de nombreux TGV, des trains de grandes lignes et des TER. Les deux lignes régionales qui ont le plus de trafic sont Lyon - Saint-Étienne et Lyon - Grenoble.
- Lors de la mise en service du TGV Rhin-Rhône, prévue en 2011, des TGV et des ICE relieront directement Lyon Part-Dieu à l'Allemagne, via Strasbourg, pour Karlsruhe, Stuttgart et Francfort-sur-le-Main.
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Au Palais des Beaux-Arts de Lille en mars 2008
J'ai vu des paysages de Patinir que j'avais dèjà évoqué:http://www.lauravanel-coytte.com/tag/Patinir
La Fuite en Egypte, par Joachim Patinier (musée d'Anvers).
Patinier ou Patinir, Patenier, de Patenier (Joachim). - Peintre flamand, né à Dinant vers ou, probablement, avant 1490, mort le 5 octobre 1524. Il entra à la gilde d'Anvers en 1545; en 1520, il acheta une maison à Anvers. En 1521, Albert Dürer, pendant un voyage aux Pays-Bas, assista à ses secondes noces et fit de lui un portrait qui doit être le beau dessin, daté de 1521, du musée de Weimar. Sa seconde femme est mentionnée comme veuve dans un acte du 15 octobre 1524.
Son nom signifie «-fabricant de patins-». Il est considéré comme le créateur du paysage, parce qu'il est le premier peintre qui ait parfois donné moins d'importance aux personnages qu'au morceau de nature qui les environnait. Mais les grands Primitifs flamands, tout comme Léonard de Vinci, le Pérugin et beaucoup d'autres, ont traité la nature plus largement et plus fidèlement que lui dans les fonds de leurs compositions.
D'après Carel Van Mander, « il avait une façon particulière de traiter le paysage avec beaucoup de soin et de finesse; ses arbres étaient comme pointillés. II y introduisait de jolies petites figures, en sorte que ses couvres étaient recherchées, se vendaient bien et qu'elles se sont répandues en divers pays».
Albert Dürer l'admirait comme un « bon paysagiste ». Ces appréciations permettent de douter que les figures relativement grandes qu'on voit dans certains de ses paysages soient bien de lui. Il est certain que « Josse Van Cleef peignit une très belle Vierge derrière laquelle Patinier mit un joli fond de paysage »; c'est Van Mander qui l'affirme. Quoi qu'il en soit, le Baptême du Christ, du Belvédère de Vienne, est une oeuvre de premier ordre par ses nombreuses figures plus encore que par le paysage; dans la Vierge des douleurs (n° 48) du musée de Bruxelles, la figure de la mère manque d'ampleur dans le dessin, mais le corps du Christ mort qui repose sur ses genoux est d'une belle réalité sinistre; et dans le Repos en Egypte (n° 47 A) du même musée, le groupe de la mère qui donne le sein à l'enfant est digne du Corrège.
L'historien de l'art Hymans, à la fin du XIXe siècle, identifiait seulement cinq tableaux signés du nom de Patinier ou de son monogramme J. P. Ils se trouvent dans les musées d'Anvers, Lille, Vienne, Karlsruhe et Madrid. Ceux de Londres, Madrid, Haarlem, Bruxelles, etc., possèdent de nombreux tableaux dont les uns peuvent lui être attribués avec vraisemblance, tandis que d'autres se reconnaissent à une très petite figure, remplissant une fonction très prosaïque, qu'il cachait dans un recoin du paysage. Au total 25 oeuvres lui sont aujourd'hui attribuées avec un degré de certitude raisonnable. Il reste certain que l'ensemble de l'oeuvre qui porte son nom est d'un grande importance au point de vue de l'art. (E. D.-G.).