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Soulages Pierre

  • J'ai vu le 29 décembre 2022 au MBA de Lyon:le Nouvel accrochage des collections XXe/XXIe siècles notamment après la mort de Soulages

    https://www.mba-lyon.fr/fr/article/expositions-en-coursIMG_9735.JPGIMG_9739.JPG

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  • Mon poème inédit sur ce blog: Pierre Soulages pour le jeu 1 du petit jeu mensuel de Cricket

    Petit jeu mensuel de cricket novembre (15) et ma participation

    Pour ceux qui n'ont pas ma newsletter :

    De gros soucis internet m'ont empêché de me rendre sur mon ordinateur depuis plus de 10 jours ! D'où mon retard !!

    Les articles parus étaient programmés ! J'espère que cela va s'arranger sur la durée et m'empresse de vous mettre le jeu du mois ! 

     

    REGLE DU JEU avec exemple ICI

    Mettez vos participations en commentaire.

    Je mets l'ensemble des liens dans un article en fin de mois.

    *** 

    Petit Jeu Mensuel de Cricket

    THEMES POUR NOVEMBRE (15)

     

     

    1 - Des homonymes (au moins 3) à utiliser dans un texte de votre cru !

    Ce mois-ci au moins 3 mots parmi ces derniers :

    Cent - sang - s'en - sans 

    http://cricket.eklablog.com/petit-jeu-mensuel-de-cricket-novembre-15-et-ma-participation-a213344041

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, L'art, Soulages Pierre

    Soulages a fait du noir une couleur

    Véronique Prat
    16/11/2009 | Mise à jour : 15:10

    soulages.jpgCrédits photo : (Vincent Cunillère)

    Une carrière internationale commencée il y a plus de soixante ans, une œuvre toujours vivante et intransigeante, une rétrospective riche d'une centaine d'œuvres au Centre Pompidou : Soulages fait l'événement. En exclusivité, il nous a ouvert les portes de son atelier.

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  • 23 librairies Chapitre cessent leur activité

    Sur les 14 offres de reprises présentées le 10 février au juge du tribunal de commerce de Paris, 8 ont été retenues. 23 magasins ne rouvriront donc pas leurs portes demain matin, parmi lesquels 10 sont d’ores et déjà occupés par les salariés.
     

    Après deux mois de procédure collective, ouverte le 2 décembre dernier, le juge-commissaire du tribunal de commerce de Paris a signé, lundi 10 février au soir, une troisième, et dernière, vague d’ordonnances de cessions concernant 8 nouvelles librairies Chapitre.
     
    Sur les 14 dossiers présentés aujourd’hui, ont donc été retenus ceux de François Céard, pour le Chapitre-Ruc de Colmar, de Philippe Hosotte pour le magasin de Saint-Louis et de Patrick Hourquebie pour les librairies de Bergerac et Brive-la-Gaillarde.
     
    Cette dernière, également convoitée par Albin Michel, échappe logiquement à l’éditeur de la rue Huyghens dont l’offre ne respectait pas le cahier des charges fixé par la procédure. En revanche, les deux Chapitre de Sarreguemines et de Châlons-en-Champagne tombent dans son escarcelle, portant ainsi le nombre de librairies acquises par l'éditeur à 7.
     
    Le transfert de propriété concerne aussi la libraire de Laval, rachetée par Philippe Royer, à la tête d’une entreprise de contrôle laitier et la très emblématique Arthaud à Grenoble, dont Rue des Ecoles devient propriétaire. L’éditeur scolaire acquiert également Biblioteca, le service de Chapitre dédié aux collectivités.
     
    « Avec près de deux tiers des librairies et des centaines d’emplois sauvés, nous sommes très soulagés, surtout lorsque l’on compare cette situation à celles d’autres réseaux qui ont fermé récemment », affirme Michel Rességuier, président de Chapitre, dans un communiqué publié dans la soirée.
     
    Les Volcans d’Auvergne à Clermont-Ferrand et le magasin de Belfort, dont les offres n’ont pas été retenues, rejoignent donc les 21 librairies, qui faute de repreneurs, ne rouvriront pas leurs portes demain matin. Parmi elles, une dizaine de magasins sont d’ores et déjà occupés par des salariés, annonce la GCT. Le syndicat majoritaire de Chapitre espère ainsi peser sur les négociations concernant le PSE, qui débuteront jeudi 13 février.
     
    Avec la centaine de salariés provenant des trois sièges de Chapitre, dont « certains seront reclassés au sein du groupe Actissia », assure Michel Rességuier, ce sont au total quelque 430 emplois qui n’ont pu être sauvés.

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Soulages Pierre

    Soulages devient l'artiste français le plus cher aux enchères

    Home ENCHERES Enchères
    Pierre Soulages dans son appartement parisien, en janvier 2013.

    Pierre Soulages dans son appartement parisien, en janvier 2013. Crédits photo : François BOUCHON/Le Figaro

    Mercredi soir, chez Sotheby's à Londres, une de ses toiles noires de 1959 a franchi la barre des cinq millions d'euros

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  • Zao Wou-ki, un peintre en liberté

    Valérie Sasportas

    • Mis à jourle 10/04/2013 à 11:09

    Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

    C'est un grand peintre, un maî­­tre de l'abstraction du paysage. Un voyageur d'Orient. L'ami de Hans Hartung, Pierre Soulages, Jean Pollak, Ieoh Ming Pei, Henri ­Michaux et tant d'autres, croisés au cours de ses pérégrinations. Une valeur sûre du marché de l'art dont les toiles se vendent des millions. Un diptyque, intitulé 10.03.83, a été adjugé plus de 37 millions de dollars hongkongais (3,7 millions d'euros) le 6 avril chez Sotheby's à Hong­kong.

    En France, une autre de ses toiles, 28.8.67, s'est envolée pour plus de 1,5 million d'euros chez Ivoire Nantes. Zao Wou-ki s'est éteint en Suisse, mardi, à l'âge de 93 ans. Atteint de la maladie d'Alzheimer, le peintre avait été hospitalisé à deux reprises depuis la fin mars. Il aura vécu pour «le bonheur de peindre». Jusqu'à ce que la maladie l'en empêche définitivement. C'était il y a trois ans, âgé de 90 ans, il venait de réaliser une œuvre ultime, en même temps qu'une expérience artistique nouvelle: des vitraux. En Touraine, par l'intermédiaire de son ami poète François Cheng, il avait été convaincu d'orner à l'encre de Chine noire, parfois rehaussée de rouge, les vitraux du prieuré de Saint-Cosme, où avait vécu Pierre de Ronsard.

    Ces encres de Chine, Zao Wou-ki les avaient déjà réalisées, pour les besoins d'un ouvrage inédit: une monographie que lui avait consacrée l'ancien ministre Dominique de Villepin, commençant à ses œuvres de jeunesse, en 1935, et s'achevant sur cette série donc, d'encres de Chine. Dans cet ouvrage, jamais paru, l'ancien premier ministre signe une préface très justement intitulée «Dans le labyrinthe des lu­mières» pour étayer le parcours de la peinture de Zao Wou-ki. ­Ses bonnes feuilles étaient ­exposées au prieuré de Saint-Cosme, le jour de l'inauguration, en juillet 2010, à côté d'œuvres ­d'art décoratif méconnues de l'artiste, à la lumière presque insolente de ses vitraux laissant voir le pay­sage.

    Zao Wou-ki, le bonheur de peindre

    Le jour de l'inauguration des vitraux de Saint-Cosme, la maladie empêcha Zao Wou-ki de parler. Il ne put que sourire et l'on comprit qu'il ne peindrait sans doute plus. Revinrent alors en mémoire ces mots de son autobiographie, écrite en 1988 avec Françoise Marquet, sa troisième épouse et ancienne conservatrice du Musée d'art moderne de la Ville de Paris: «Je ne crains pas de vieillir ni de mourir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver. Je voudrais seulement qu'il me restât assez de temps pour faire ce dernier tableau auquel je travaille, encore plus osé, plus libre, que celui que je viens de terminer.» Le parcours de sa peinture est «l'itinéraire d'un peintre, d'Orient en Occident», comme l'écrit Dominique de Villepin.

    Zao Wou-ki naît T'chao Wou-ki -Wou ki étant le prénom- à Pékin le 1er février 1920, dans une famille de grands lettrés chinois. Il passe son enfance à étudier la calligraphie. Puis à 15 ans, il réussit l'examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Hangzhou où il étudie, durant six ans, les techniques occidentales: dessin, peinture à l'huile, pour la première fois, perspective. Les techniques chinoises aussi: peinture traditionnelle, calligraphie.

    «La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture»

    Ses professeurs sont chinois et européens. Mais leur académisme l'ennuie. Il leur préfère l'impressionnisme, le fauvisme qui éclatent en Europe. Ce qu'il veut, c'est «juxtaposer des formes, les assembler pour qu'on y retrouve le souffle de l'air sur le calme de l'eau», affirme l'artiste. La peinture à l'encre l'étouffe. «L'art chinois est devenu un ensemble de recettes de fabrication, le beau étant confondu avec le savoir-faire, affirme le peintre. La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture pour commencer à régler définitivement le problème. C'était ça ou mourir.» En 1948, il débarque à Marseille «après trente-six jours de bateau». Venu chercher Matisse et Picasso, Zao Wou-ki mettra dix ans avant de parvenir à se libérer de l'imitation (de ces deux-là mais aussi de Chagall et de Modigliani), trouver le style qu'on lui connaît.

    Folle échappée

    Dès son arrivée à Paris, il prend le pseudonyme de Zao Wou-ki et file le jour même au Musée du Louvre. Puis à Montparnasse. «Je connaissais le mot Montparnasse et je voulais y habiter parce qu'on m'avait dit qu'il était le quartier des artistes», raconte-t-il dans son autobiographie. Autre lieu découvert dans les revues d'art françaises en Chine: l'académie de la Grande Chaumière. Zao Wou-ki s'y précipite et s'y entoure de nouveaux amis: Sam Francis, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Maria Helena Viera da Silva. Chez l'imprimeur Desjobert, il découvre en 1949 la technique de la lithographie, qui l'émerveille. L'année suivante, sans même le connaître, Henri Michaux écrit spontanément huit poèmes pour orner huit de ses lithographies. Une amitié est née entre le peintre et le poète, qui lui présentera le marchand d'art Pierre Loeb, avec qui il travaillera jusqu'en 1957. Mais en 1951, c'est la rencontre avec un autre peintre qui ouvre son horizon: Paul Klee, ce passeur des mondes, l'incite à déconstruire le sien, à s'engager dans l'abstraction. Sa folle échappée occidentale l'a ramené, à l'hiver de sa vie, à l'Orient, avec les encres de Chine.

    En juillet 2012, son épouse Françoise Marquet a décidé de quitter le quartier de sa vie, Montparnasse, et la France où il a été élevé grand officier de la Légion d'honneur, pour la Suisse. Cette décision a provoqué un séisme familial et une bataille judiciaire évoquant l'affaire Bettencourt. Le fils du peintre, né d'un premier mariage, accusait sa belle-mère d'avoir fait déménager l'artiste pour mettre la main sur son œuvre. Françoise Marquet s'en défendait, arguant des conditions idéales pour la santé de l'artiste et pour gérer au mieux sa fortune et son œuvre. Avec la Fondation Zao Wou-ki établie à Genève, elle travaille à l'élaboration d'un attendu catalogue raisonné.

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      Ron Mueck à l'œuvre
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      Dominique de Villepin exprime sa «douleur» après la mort de Zao Wou-Ki
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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

      Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

      Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

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  • Fin de l'expo Soulages à Lyon (vue le 3 novembre 2012)

     
     
    Ouverture de l'exposition vendredi 12 octobre 2012
    En cette rentrée, le musée met à l'honneur l'un des plus grands artistes vivants, Pierre Soulages, à travers une trentaine d’œuvres dont plusieurs tableaux inédits.
    Représentant majeur de l’abstraction française, Pierre Soulages a fait de la couleur noire son signe distinctif.
     
    Cf. la précédente expo de Soulages que j'ai vue:
     
     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

     
  • Nous avons vu cet après-midi à Lyon:SOULAGES XXIe siècle

     
     
    Ouverture de l'exposition vendredi 12 octobre 2012
    En cette rentrée, le musée met à l'honneur l'un des plus grands artistes vivants, Pierre Soulages, à travers une trentaine d’œuvres dont plusieurs tableaux inédits.
    Représentant majeur de l’abstraction française, Pierre Soulages a fait de la couleur noire son signe distinctif.
     
    Cf. la précédente expo de Soulages que j'ai vue:
     
     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des musées, Soulages Pierre

    J'ai aimé visiter vendredi dernier:les collections permanentes du Centre Pompidou

    LES OEUVRES DE 1905 À 1960
    NIVEAU 5
    LES OEUVRES DE 1960 À NOS JOURS
    NIVEAU 4
    ATELIER BRANCUSI

    Vers Niveau 4 Salle 1 Salle 2 Salle 3 Salle 4 Salle 5 Salle 6 Salle 7 Salle 8 Salle 9 Salle 10 Salle 11 Salle 12 Salle 13 Salle 14 Salle 15 Salle 16 Salle 17 Salle 18 Salle 19 Salle 20 Salle 21 Salle 22 Salle 23 Salle 24 Salle 25 Salle 26 Salle 27 Salle 28 Salle 29 Salle 30 Salle 31 Salle 32 Salle 33 Salle 34 Salle 35 Salle 36 Salle 37 Salle 38 Salle 39 Salle 40 Salle 41 Rue Terrasse nord Terrasse ouest Terrasse sud

     

    Ernst, Laurens.

    -> Toutes les oeuvres accrochées par créateurs
    ->Toute la collection en ligne



    Attention : cette présentation virtuelle des oeuvres exposées au Musée est régulièrement mise à jour. Toutefois, les modifications de l'accrochage du Musée (expositions temporaires, prêts d'oeuvres...) peuvent créer un léger décalage entre les informations données ici et les oeuvres réellement présentes dans les salles.

     

    http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Musee.nsf/AccrochageWeb?readform&RestrictToCategory=1N5&sessionM=3.2.1&L=1

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, L'art, Soulages Pierre

    Paul Rebeyrolle

     

    Paul Rebeyrolle (1926-2005) est né à Eymoutiers. Il s'est imposé comme l'un des peintres majeurs dans l’art français du XXème siècle.
    Son œuvre puissante, violente mais généreuse est un appel à la liberté, une révolte contre l'injustice, l'intolérance, l'asservissement de l'homme et de la nature; un véritable témoignage de notre temps.
    L’espace Paul Rebeyrolle, conçu par l’architecte Olivier Chaslin, est ouvert depuis 1995.
    Dans ce lieu unique sont exposées plus de 40 toiles représentatives de la production de l’artiste, depuis 1959 jusqu’à aujourd'hui.
    Depuis sa création, le centre s'est enrichi de quatre sculptures aux dimensions exceptionnelles, où s'expriment tous les sens et toute la générosité des matières (bronze, céramique, plâtre).
    Le nombre de visiteurs est en augmentation chaque année. Nous accueillons, actuellement, plus de 10 000 personnes par an; une fréquentation qui place notre espace en bonne position parmi les centres d'art de province.
    Les expositions temporaires :
    Le centre d’art d’Eymoutiers organise des expositions temporaires qui s'inscrivent dans un projet culturel destiné à promouvoir l'art français et francophone, invitant les visiteurs à découvrir des parcours singuliers ou méconnus.
    • 1995: Hommage à Michel Troche (L.Bourgeois, Brancusi, Ipousteguy, Masson, Soulages, etc.).
    • 1996: Botchio, sculptures Fon, Bénin ; organisée par Jacques Kerchache.
    • 1997: Riopelle (sculptures, peintures, gravures).
    • 1998: La collection Kahnweiler / Leiris, Le Limousin / Les combats.
    • 1999: Michel Macréau (dessins, peintures).
    • 2000: Joan Miró, " Un monde fantasmagorique " (dessins, peintures, sculptures).
    • 2001: Fernand Léger, " Du spectacle du monde au monde du spectacle ".
    • 2002: César (fers, compressions, expansions, dessins…).
    • 2003 : Jacques Monory, "Nocturne" (peintures, films).
    • 2003 : "Algérie, Cinq artistes" (N. Benbouta, B. Boudjelal, T. Mesli, H. Tibouchi et K. Yahiaoui).
    • 2004 : Roel D'Haese, sculptures - Marcel Pouget, peintures.
    • 2005: Rebeyrolle, "Plongeons dans la peinture" - 10ème anniversaire de l'espace Paul rebeyrolle
    • 2006 : Nouvel accrochage de la collection
    • 2007: Dubuffet, Les dix dernières années
    • 2008 : Picasso, gravures et lithographies
    • 2008-2009 : Gérard Rondeau "Les Fantômes du Chemin des Dames"
    • 2009 : Marc Chagall, Lithographies, Gravures, Grands Livres Illustrés
    • 2010 : Joan Miro, Oeuvres Graphiques et Grands Livres Illustrés
    • 2011 :"Les Affranchis", un choix dans les collections du FRAC Auvergne

    19762445_jpg-r_160_214-b_1_CFD7E1-f_jpg-q_x-20110617_041339.jpg

    Le service pédagogique propose des visites, des animations, des ateliers spécialement adaptés aux publics scolaires.
    Des visites commentées sont également possibles toute l’année, à partir de 10 personnes et sur réservation.

     

    http://espace-rebeyrolle.com/menu.htm

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des musées, Soulages Pierre

    Les collections permanentes du Centre Pompidou

    paris 13 février 2010 023.jpgPhoto perso: je monte... vers le plaisir... de l'art

    Collections modernes : nouvel accrochage


    Le niveau 5 est consacré à l'art moderne du début du siècle jusqu'aux années 1960. Après une période de fermeture (du 17 février au 16 mars) pour réaccrochage, la nouvelle présentation des collections modernes sera partiellement ouverte au public à partir du 17 mars.

    Le visiteur est invité à découvrir la période historique (1905-1945), où sont présentés les principaux mouvements du début du XXe siècle – cubisme, naissance de l'abstraction, Dada, premier surréalisme –, ainsi que des ensembles monographiques (Picasso, Léger, Delaunay, Le Corbusier…).

    À partir du 7 avril, ouverture totale du nouvel accrochage avec la partie dévolue à l'art après-guerre jusqu'aux années 1960, à travers les différents domaines qui constituent la collection du Musée – dessin, photographie, cinéma, design, architecture. Présentation des abstractions et surréalismes après 1945, des Nouveaux réalistes français et Néo-dadas américains, de l'art cinétique, ainsi que du design et de l'architecture en Europe.

    http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Manifs.nsf/AllExpositions/CF4D765AA515C7F0C12576B9004CDF7E?OpenDocument&sessionM=2.2.2&L=1

    Sur l'expo temporaire, cf:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2010/02/17/j-ai-aime-vendredi-soulages-au-centre-pompidou.html

    pHOTO PERSO DE FEVRIER 2010

  • Catégories : Blog, CEUX QUE J'AIME, Soulages Pierre

    2 e semaine de vacances

    laura GRIGNAN 26 septembre 2009 032.jpgBilan positif de la première semaine:

    2 expos et musées à Paris:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/12/18/chefs-d-oeuvres-miracules-de-wuppertal.html

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2010/02/17/j-ai-aime-vendredi-soulages-au-centre-pompidou.html

    Ma première dédicace:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2010/02/17/ma-table-de-dedicace-a-la-rencon.html

    Paris toujours magique:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2010/02/17/grands-moulins-de-paris.html

    Un voyage en TGV en demi -teinte

    Une jolie Saint-Valentin à Lyon

    Gym(du mal à retrouver le rythme après 2 mois d'arrêt) et piscine(2km)

    3 ventes en 3 jours; merci aux acheteurs.

    Il me reste au moins 1 exemplaire de chacun des livres en vente sur ce blog; si vous n'aimez pas commander sur Internet et/ou vous voulez une dédicace.

    Révision du concours de vendredi après 6 ans sans concours .

    Rangement toujours repoussé et bien nécessaire après toutes les viviscitudes que certains connaissent.

    Etc.

     

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des expositions, Soulages Pierre

    J'ai aimé vendredi:Soulages au Centre Pompidou

    Présentation de L'EXPOSITION



    Le Centre Pompidou célèbre, par une grande rétrospective, l'œuvre du plus grand peintre de la scène française actuelle, Pierre Soulages. À la veille de son 90ème anniversaire, Soulages, « peintre du noir et de la lumière », est reconnu comme l'une des figures majeures de l'abstraction.

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, L'art, Soulages Pierre

    Record d'affluence pour la collection Alain Delon

    L'acteur le 11 octobre dernier à l'Hôtel Drouot.
    Jean Ayissi/AFP.e5f72280832d03aa7ea95d3c53463145.jpg
    BÉATRICE DE ROCHEBOUËT.
     Publié le 16 octobre 2007
    Actualisé le 16 octobre 2007 : 13h01
    DEPUIS longtemps, Paris n'avait connu telle médiatisation pour une dispersion d'art moderne. Le nom de la star Alain Delon, qui est resté caché hier soir et a refusé télévisions et photographes après avoir pourtant inondé la presse, a attiré les foules, à Drouot-Montaigne. Dès 20 heures, un public dense s'est pressé dans les deux salles pour assister à la vente de sa collection de quarante tableaux abstraits de l'après-guerre qui avaient suscité l'enthousiasme à l'exposition de la galerie Applicat-Prazan au printemps dernier, alors que la star jurait que rien n'était à vendre.
    Devant la flambée du marché, « et pour éviter une vente de succession », dixit l'acteur, sa volte-face était prévisible. C'est son ami de toujours, Pierre Cornette de Saint-Cyr qui a hérité de la vente et a confié son premier marteau offert par Alain Delon à son fils, Arnaud, pour prendre les enchères. La partie fut longue, très longue - à peine vingt lots à l'heure quand les Anglo-Saxons adjugent le double à la mitraillette pour électriser la salle ! -, pour un total de 8,74 millions d'euros (avec frais), le double de l'estimation basse. Et plusieurs records pour Manessier, Estève (478 608 eur, Norbel, grande huile de 1957), Debré, Degottex et Constant.
    Grâce à des achats de collectionneurs européens, chinois, et vénézuéliens et de grands musées d'Europe du Nord, les prix se sont dans l'ensemble envolés pour des artistes français pourtant beaucoup moins cotés sur le marché international. Soulages arrive en tête à 781 976 eur pour une toile sombre, datée du 25 mai 1950, puis de Staël à 625 232 eur avec une Nature morte à la palette mauve de 1955 et Karel Appel à 658 820 eur pour De Familie (1952) dans un esprit très contemporain. Petite déception, en revanche pour Riopelle, adjugé 882 740 eur, peut-être pas dans le goût du jour.

  • Le Musée Fabre de Montpellier agrandi et musclé(clin d'oeil à Elisabeth)

    medium_soulages.jpg

    Le Musée Fabre agrandi et musclé
    LE MONDE | 02.02.07

    © Le Monde.fr
    La nouvelle aile du Musée Fabre à Montpellier regroupe les vingt tableaux de la donation du peintre Pierre Soulages (ici, le 7 décembre 2006).

    AFP/PASCAL GUYOT

  • Le patrimoine en 2007:5 chantiers et un hommage

    Anne-Marie Romero.
     Publié le 03 janvier 2007
    Actualisé le 03 janvier 2007 : 20h03

    Trois restaurations de grande ampleur, deux créations dans les sites d’anciens musées et une célébration nationale vont marquer la nouvelle année.

    EN FRANCE, l’événement culturel le plus important de cette année 2007 sera, mai prochain, la réouverture de l’intégralité de la galerie des Glaces de Versailles. Sa moitié nord, achevée, accueille déjà le public depuis janvier 2006. Mais, grande première dans l’histoire du patrimoine, l’opération complète de restauration a été entièrement financée par le mécénat, le groupe Vinci en l’occurrence. Le travail sur la voûte de cet immense décor de 1000 m², haut de 12,5 mètres, long de 73 et large de 13, composé de peintures sur toile marouflée, de décors et de… 357 glaces, a mis en œuvre, pendant près de trois ans, dix entreprises représentant presque tous les corps de métier.
    Un autre monument exceptionnel va également rouvrir, le ­­8 février : le château des Ducs de Bretagne à Nantes, en travaux ­depuis quinze ans et complètement fermé depuis trois ans. La succession des styles de cette forteresse du XIIIe siècle, abritant une résidence ducale du XVe et des bâtiments du XVIe et du XVIIIe siècles, a été rendue plus lisible. Trente-deux salles de musée ont été ouvertes, le chemin de ronde lui-même est désormais accessible, tout comme deux entrées fortifiées – la Poterne de Loire et le Pont du cours Saint-Pierre. Enfin, un nouveau traitement paysager permet de retrouver un véritable jardin de magnolias, arbres emblématiques de l’histoire nantaise.
    Réouvertures et inaugurations
    Dans le domaine des musées, Montpellier sera à l’honneur le 3 février avec la réouverture du Musée Fabre qui abrite une des toutes premières collections de peinture de France. Pour 62,7 M€, l’institution a porté ses surfaces d’exposition à ­9 300 m², ce qui va lui permettre de montrer 800 œuvres au lieu de 500. Parmi les nouveautés : « La Portée », un remodelage de l’accueil par Daniel Buren, qui projettera le visiteur depuis l’esplanade jusqu’au cœur de l’établissement, et deux salles Soulages. Dans l’une seront accrochées 19 œuvres données par le peintre, dans l’autre des acquisitions contemporaines. Enfin, deux salles seront consacrées aux deux grands artistes qui font la renommée du musée : Courbet et Bazille. À Paris, dans le XIIe arrondissement, la Cité nationale de l’histoire de l’immigration occupera l’ancien musée des arts d’Afrique et d’Océanie (Palais de la porte Dorée). Le chantier a été lancé en octobre ­dernier. Le hall d’accueil et l’exposition permanente seront accessibles dès avril, mais l’ouverture des autres ­espaces s’étalera jusqu’en 2009 ­(investissement : 20 M€).
    Après les réouvertures, les inau­gurations. Née du rapport de Jean-Louis Cohen en 1998, la Cité de l’architecture et du patrimoine va ouvrir en avril-mai, dans l’aile de Paris du Palais de Chaillot, remaniée par l’architecte Jean-François Bodin. Après de nombreuses vicissitudes, notamment la menace de voir réduite la présentation des collections de l’ancien Musée des ­monuments français, un équilibre a été trouvé, en 2004, avec la nouvelle équipe mise en place (François de Mazières, Francis Rambert et Marie-Paule Arnauld). La Cité présentera à la fois, sur 8 000 m², ses pièces historiques et une nouvelle collection d’architecture du XXe siècle, et, dans 3 000 m², des expositions temporaires ainsi que des services de recherche (archives, centre de documentation), des colloques de formation et des débats réservés tant aux professionnels qu’au grand public (75 M€).
    C’est du reste à la Cité de l’architecture et du patrimoine que sera présentée, en novembre, la grande exposition clôturant l’année Vauban – « Vauban urbaniste, Vauban architecte». Tout au long de l’année, en effet, vont se multiplier, à travers tout le pays, et principalement dans les citadelles dont il a dessiné les plans, les célébrations du tricentenaire de la mort du plus grand stratège français, ministre de Louis XIV.