Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Quentin de la Tour
Portrait de Mademoiselle CHASTAGNER
1704 - 1788
Portraitiste officiel de Louis XV
Peintre français, spécialisé dans l'art du portrait et dans la technique du pastel
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Portrait de Mademoiselle CHASTAGNER
1704 - 1788
Portraitiste officiel de Louis XV
Peintre français, spécialisé dans l'art du portrait et dans la technique du pastel
Peintres de la lumière, Sargent et Sorolla Du 15 février au 13 mai 2007 Composée de 100 œuvres issues de collections privées et de musées du monde entier, cette exposition permet de redécouvrir deux maîtres du dessin, de la couleur et du décor. Elle se présente comme une lecture parallèle des trajectoires artistiques de ces deux peintres qui se croisèrent à Paris en 1903 lors d'une exposition au Salon de la Société de l'Art français, avant de tomber peu à peu, à partir des années 1910 dans un injuste oubli. Les deux artistes peignent des portraits et des scènes naturalistes et expriment avec un pinceau virtuose leur goût pour la couleur et les effets lumineux. L’exposition propose de suivre six thèmes emblématiques à l’origine de leur succès : la peinture de genre, les portraits privés et publics, les scènes de plage, les projets de grandes peintures murales (Boston Public Library pour Sargent, Hispanic Society pour Sorolla), les aquarelles, les vues de jardin. Cette exposition s'inscrit dans la tradition du Petit Palais d'organiser des expositions consacrées au XIXe siècle, à ses artistes et à ses courants artistiques (expositions Hodler en 1983, Winterhalter en 1988, Symbolisme en 1989, James Ensor en 1990, Bonington en 1992). Elle est le fruit d’une collaboration entre le ministère de la Culture espagnol, le musée Thyssen-Bornemisza , la Fondation Caja Madrid et le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=6228&document_type_id=2&document_id=25803&portlet_id=14049
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http://www.cmooa.com/detailouver.php?ref=70&id=1876&nom=Naim%20ISMAIL%20(1930-1979)
1 ere publication:02/04/2008 02:08
J'ai beaucoup aimé le titre de cette toile:"Sombres regards d'une poésie dantesque"(2004).Techniques mixtes sur toile.213x152cm
A cause de la poésie ... et de Dante.
Collection privée:Mensi et Rioux.
Dominic Besner est né en 1965 au Canada.
De son oeuvre, il dit:"Le maquillage à outrance et les costumes extravagants travestissent la vie réelle de mes personnages... comme au théâtre."
http://www.saintdizier.com/artist/index_f.php?ID=8
Dans cette exposition figuraient une vingtaine de ses tableaux qui se situent entre abstraction et figuration.
Comme j'aime regarder la peinture mais ne pense pas être assez compétente pour en parler, je vous livre mes notes de lecture de la présentation de l'artiste par Diane Brabant dans le catalogue de l'exposition (ce qui m'a interpellé):
"D'oeuvre en oeuvre, la démarche artistique de Besner est entièrement axée sur la transmission des énergies vivantes et physiques qui l'entourent.[...]
Il ne cherche pas à créer un idéal ou à reproduire la nature, mais bien à mettre en forme une énergie métaphysique dans son rapport à l'activité humaine. Le sujet pictural se veut l'inscription de la mémoire d'une civilisation vivante dans le véhicule durable qu'est l'oeuvre. De plus, les interrogations et les réflexions qui nourrissent l'art de Besner portent sur le rapport entre la vie et la mort.[...]
C'est tel un paléoanthropologue que Besner est depuis toujours à la recherche des traces de la vie, fasciné par ce qu'il en reste après la mort.[...]
Pour donner une amplitude émotive à l'oeuvre, pour que celle-ci communique le monde qui l'entoure,Besner croise les lignes et les couleurs dans des dynamiques à la fois simples et complexes.La division du tableaux en différents plans structure la composition et permet à l'artiste d'introduire des mélanges de couleurs et d'effets structurés.[...]
Avec ces interactions qui contribuent à qualifier l'atmosphère dans laquelle se plongent les figures, le peintre arrive à transmettre par l'image le mouvement de la société. C'est au coeur de la ville,de sa vitesse et de ses bruits, que Besner puise ses vibrations qu'il module en peinture.[...]
Que son sujet soit humain, animal ou architectural, il sera le résultat plastique d'un croisement dynamique entre la figure et l'espace. [...]
De plus, son approche de l'oeuvre est celle d'un architecte pictural: ses figures sont monumentales, elles sont tridimensionnelles, elles appartiennent à des réflexions sur les proportions et vivent entre la ligne et l'équilibre. [...]
L'atmosphère affective des compositions de Besner est un passeport visuel pour une conception du monde renouvelée,riche et profonde, basée sur la ligne et la couleur.[...]
Besner ne cherche pas à reproduire un monde réel; ses visages dépassent le figuratif pour suggérer la juxtaposition de plusieurs plans imaginaires,lesquels sont des parties intégrantes du personnage représenté, même lorsque celui-ci n'a qu'un visage pour parler."
Source de l'image:http://www.saintdizier.com/exhibitions/besner2004/index_f.html(Galerie Saint-Dizier)
VOUS POURREZ VOIR D'AUTRES OEUVRES A CETTE ADRESSE
1 ere publication:20/01/2007 01:40
Dominic Besner à la Villa des Arts de Casablanca.
Ne quittez pas ce blog dans commander un de mes 14 livres dont celui sur le Maroc en passant par les bannières sur ce blog
N° Hors Série 34- janvier 2008 - 8,50 €-ISSN : 0998-8041
Soutine par Pierre Drieu La Rochelle
Soutine par Maurice Sachs
UNe jeunesse aux confins de la légende
D'un autoportrait à l'autre
Soutine portraitiste
De la Ruche à la fondation Barnes
De la vache enragée au Boeuf écorché
Paysages des années 1920
Soutine, de reconnaissances en tourments
La Raie, nature morte ou portrait ?
Variation sur l'enfant de choeur
Le baroque de Soutine
http://www.faton.fr/scripts/index_numero.asp?id_titre=5&id_pro=1486
Je me suis beaucoup penché bien sûr sur les paysages; cet homme me fascine d'autant plus qu'un vieil ami peintre a connu Soutine et que j'ai vu un de ces tableaux(hors musées) par ce biais. Beaucoup de souvenirs et d'émotion.
31/03/2008 11:53
par Pascale Beaudet, historienne et critique d’art .
Après une conférence, on m’a souvent dit d’un ton étonné : Ah bon ? Il y avait des femmes artistes dans ce temps-là ? Et pourtant, il y en avait plus d’une et certaines ont été célèbres de leur vivant. Ainsi Sofonisba Anguissola, née à Crémone (Italie) vers 1532, servit le roi et la reine d’Espagne ; le peintre flamand Van Dyck fit son portrait alors qu’elle était âgée de 96 ans. Artemisia Gentileschi (Rome 1593 - Naples v. 1652), autre artiste connue, la rencontra probablement alors qu’elle avait déjà bien entamé sa carrière. On peut aussi penser à Lavinia Fontana et Elisabetta Sirani, toutes deux bolonaises ; à Catharina van Hemessen, qui travaille en Flandres au XVIe siècle ; à la Hollandaise Judith Leyster ; à l’Allemande Angelica Kauffmann, à la Française Élisabeth-Louise Vigée-Lebrun... Ce ne sont que quelques exemples.
p.5: "Il est inséparable du courant romantique si puissant en Allemagne, et l'on peut considérer comme symbolique le fait que les dates 1770-1840, traditionnellement retenues pour situer chronologiquement ce courant correspondent presque exactement à celles de sa vie(1774-1840)."
Dans ma bibliothèque Babelio:
http://www.babelio.com/livres/Beaumont-Maillet-Caspar-David-Friedrich--1774-1840/98958
Cf. la catégorie Friedrich.
p.26:"Voilà un sourire qui se propage comme une étincelle de la bouche de la "Bohémienne" aux taches de son visage, qui s'incarne dans la direction provisoire du regard et dans le désordre du corsage généreusement décolleté, tandis que les coups de pinceau voltigent sur les manches comme autant de coups de fleuret."
de Michel Capdevert intitulée "Double vue"(jusqu'au 16 novembre à la Salle d'arts plastiques.)
"Formé à l'Ecole Boule, Michel Capdevert a longtemps travaillé pour les Monuments historiques, sur des chantiers de restauration. Il sculpte en taille directe et a choisi de s'exprimer au travers de l'abstraction. C'est aussi un habitué des grands rassemblements internationnaux de sculoteurs de glace.
Michel Capdevert a participé au salon de l'Ecole française."
Vous pouvez voir une de ces oeuvres sur son site:
L e ï l a et A s s i a F a r a o u i
Ont le plaisir à venir voir l'exposition
L'u n i v e r s d e
L a r o u s s i R a h m a
Jusqu'au 28 Février 2009
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Galerie NADAR - 5, rue AL Manaziz – Maârif – Casablanca - tel: 022 23 69 00
J'allais souvent à cette galerie et je continue à recevoir les avis de nouvelles expos.
Préface "L'homme qui peint" de Gérard Mordillat:
"Je suis devant les toiles de Giorda comme devant ce que je devrais pas voir."
Pour voir comment j'ai découvert ce peintre et en savoir plus:
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/08/10/visite-du-samedi-patrice-giorda-a-hauterives-drome.html
p.7: "L'Eglise est à l'origine de la fortune des sujets bibliques,puisqu'elle devait s'adresser à la vaste communauté de ses fidèles dans un langage compréhensible, à la portée de tout le monde en des temps où la plupart étaient incapables de lire les textes sacrés."
Dans ma bibliothèque Babelio:
http://www.babelio.com/livres/INCONNU-La-bible-vue-par-les-grands-peintres-I/103196
pas très loin de Casablanca où j'ai moi-même vécu trois ans.
M'a envoyé ces voeux ainsi(avec 3 de ses oeuvres jointes, "Les contes d'amour"):
De la terrasse de chez moi il y a une vue splendide : le fleuve, l'oum errabii et de l'autre coté s'étalent des champs bien tracés et bien colorés, là -bas sûrement se trouve un couple d'amoureux sous un beau bleu ciel, je me trouve , émerveillé de ce drama-plastique et puis interpréter mon oeuvre..
cf. d'autres de mes notes à ce sujet:
http://www.lauravanel-coytte.com/search/Ahmed%20EL%20AMINE
et des infos sur lui:
http://www.articite.com/fiches-ez/Ahmed-El-Amine-N98.htm
sur Azemmour:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Azemmour
Enfin, une photo d'Azemmour, trouvé sur Flick.fr:
La Croix au bord de la Baltique, 1815
Le premier degré de la symbolique de Friedrich est une symbolique religieuse. Si l’on considère un tableau comme La Croix au bord de la Baltique, il est aisé de reconnaître des symboles simples comme la Croix et l’Ancre, symboles de la Foi et de l’Espérance chrétiennes, ou la Lune, comme symbole du Christ, ou encore le bateau, symbole de l’âme.
De Bonafoux Pascal
Editeur : Diane Selliers
Parution le : 9 Octobre 2008
Parce qu'il n'y a pas d'art sans regard, les Correspondances impressionnistes proposent d'offrir un jeu de regards croisés entre les artistes et les écrivains qui furent leurs contemporains, détracteurs ou défenseurs, pour mettre au jour cet art de la lumière qu'est l'Impressionnisme.
"Il n'était absolument pas ce que l'on appelle beau, plutôt pâle et maigre, mais chacun de ses muscles signait énergiquement un trait caractéristique qui, en raison de son état d'âme immuable, avait laissé une empreinte définitive. La gravité mélancolique, révélée par les lignes du front, était adoucie par le regard des yeux bleus, ingénu comme celui d'un enfant; sur ses lèvres flottait un je ne sais quoi de moqueur. En effet, il y avait chez lui un curieux mélange d'états d'âme, la gravité la plus profonde et la plaisanterie la plus gaie, celle qu'il n'est pas rare de trouver chez les plus grands mélancoliques comme chez les plus grands comiques."
"Peindre était pour lui une sorte de service divin. Quand il peignait le ciel, personne ne pouvait entrer dans son atelier" C.G. Carus
Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris présente une importante rétrospective de l’oeuvre de Raoul Dufy. Cet artiste, largement représenté dans les collections du musée, notamment par la monumentale « Fée Électricité » (réalisée pour l’Exposition Internationale des Arts et Techniques à Paris en 1937), n’avait pas été montré dans une institution publique parisienne depuis la mort de l’artiste en 1953. Du 17 octobre 2008 au 11 janvier 2009.
Caspar David Friedrich est né en 1774, à Greifswald, en Poméranie
Sa famille présente quelques similitudes avec celle du poète Novalis, son aîné de deux ans. C’est le même milieu strictement protestant, piétiste. Très tôt, il est confronté à la mort, de sa mère, d’abord, en 1781, puis d’une sœur. Son frère Johann disparaît tragiquement, en 1787, alors qu’il tentait de le sauver de la noyade.
Ce n’est qu’à l’âge de 20 ans qu’il commence des études, à l’Académie de Copenhague, puis il s’installe à Dresde à partir de 1798, où il expose ses premiers dessins. En 1801, il est de retour à Greifswald. C’est l’époque de ses premiers voyages dans l’île de Rügen et sur les bords de la Baltique. Il fait la connaissance de Philipp Otto Runge.
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/11/04/a-altkirch-haut-rhin-le-30-octobre-2008.html
Vous pouvez voir ses oeuvres sur son blog:
p.5 du Hors-série de Télérama, "Picasso et les maîtres":
"Picasso "était un artiste impur, un brocoleur, le premier non-romantique, peut-être le premier véritable moderne, voire même le premier contemporain."
Helmut BörschSupan, Caspar David Friedrich
Adam Biro éd.
208 p., 207 ill.,
dont 68 en couleur
Sous la lune, au bord de la Baltique, un crucifix se dresse sur un rocher nu où est posée une ancre… Un voyageur est debout sur un roc et domine la mer de nuages ; on le voit de dos… Un chêne aux branches torturées apparaît dans un paysage de neige… L’épave d’un bateau brisé et couchée sur une côte du Groenland. Sur un autre tableau, aujourd’hui disparu, on pouvait lire le nom du navire : “L’Espoir”.
Peintre Allemand, l'un des plus grands représentants du romantisme.
Né le 5 septembre 1774 à Greifswald, Friedrich étudia à l'Académie des beaux-arts de Copenhague. En 1798, il s'installa à Dresde où il devint membre d'un cercle artistique et littéraire, empreint des idéaux du mouvement romantique. Ses premiers dessins explorent des thèmes qui reviennent par la suite tout au long de son œuvre : plages rocailleuses, plaines monotones et landes, chaînes montagneuses infinies et arbres tendus vers le ciel.
Ses premières peintures à l'huile datent de 1807 ; l'une d'elles, la Croix sur la montagne (v. 1808, Staatliche Kunstsammlungen, Dresde) est représentative de son style. S'écartant audacieusement du symbolisme religieux traditionnel, son œuvre est presque entièrement composée de paysages ; sa représentation du Christ en croix, vu de derrière et sur un fond de coucher de soleil en montagne, se trouve presque noyée dans le cadre naturel. D'après les propres écrits de Friedrich, tous les éléments de la composition ont une signification symbolique. Les montagnes sont des allégories de la foi ; les rayons du soleil couchant symbolisent la fin du monde préchrétien et les sapins représentent l'espoir. Les tonalités souvent froides, l'exposition claire et les contours contrastés des tableaux de Friedrich mettent en relief l'aspect mélancolique, les sentiments de solitude et d'impuissance de l'homme face aux forces de la nature, que le peintre a voulu exprimer tout au long de son œuvre (l'Arbre aux corbeaux, v. 1822, Musée du Louvre, Paris). Devenu membre de l'Académie de Dresde, il exerça une grande influence sur d'autres peintres romantiques allemands. Bien que sa réputation se soit ternie après sa mort (7 mai 1840, à Dresde), ses images suscitent toujours une certaine fascination aujourd'hui.
avec notamment des peintures de Janie Chevalier(pas celles-là mais c'est tout ce que j'ai trouvé sur le net:
http://paysdecrussol.canalblog.com/albums/expositions_2006/photos/5182480-chevalier02.html