Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
nougaro
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Catégories : Nougaro Claude
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Catégories : Nougaro Claude
Pourquoi la catégorie Nougaro?
A cause de "Toulouse" et d'un concert de lui... épatant:
1.http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/11/28/ma-preferee-toulouse.html
2. http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/11/27/j-ecoute-le-cinema-de-nougaro.html
3. http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/11/10/le-jazz-et-la-java.html
4. http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/11/10/armstrong.html
5. http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/28/un-ete-de-claude-nougaro.html
6. http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/11/27/j-ecoute-un-ete-de-claude-nougaro.html
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Ma préférée:Toulouse
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Catégories : Nougaro Claude
J'écoute:"Le cinéma" de Nougaro
http://fr.youtube.com/watch?v=wdQewoKNu74
Je renouvelle mon appel à quelqu'un qui me dirait comment mettre une vidéo en plein écran dans ma note.
Les paroles de Nougaro ci-dessous:
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Le jazz et la java
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Catégories : Des poètes et poétesses
"A bout de souffle" de Claude Nougaro
Paroles: Claude Nougaro. Musique: Dave Brubeck 1965
Titre original: "Blue rondo a la Turk"
note: Nougaro met des paroles sur le morceau de Dave Brubeck, lui-même inspiré de la sonate pour piano n°11 de Mozart.La vidéo ici:
http://fr.youtube.com/watch?v=G_5wzEEWUOg
Les paroles ci-dessous:
Quand j'ai rouvert les yeux
Tout était sombre dans la chambre
J'entendais quelque part comme une sonnerie
J'ai voulu bouger...
Aïe la douleur dans l'épaule droite tout à coup
Me coupa le souffle
Une peur affreuse m'envahit
Et mon corps se couvrit de sueur
Toute ma mémoire me revint
Le hold-up, la fuite, les copains
Qui se font descendre...
J'suis blessé, mais je fonce et j'ai l'fric
Je glissai la main sous l'oreiller
La mallette pleine de billets
Etait là, bien sage... deux cents briques !... -
Catégories : Nougaro Claude
"Un été" de Claude Nougaro
http://fr.youtube.com/watch?v=6wIs9zm8GPA
Les paroles:
Paroles: B.Brighetti adapt fr : Claude Nougaro. Musique: B.Martino 1960
© MCA Caravelle FranceUn été
Où je venais d'atteindre mes quatorze ans
J'avais donné rendez-vous à une enfant
Une petite Espagnole du quartier
Un été
Par la fenêtre ouverte de la villa
Je guettais l'arrivée de ma Paquita
Et puis quand à la grille du jardinet
La cloche a carillonné
Je me suis soudain jeté à plat ventre
La joue clouée au plancher de ma chambre
Tremblant, roulant des yeux épouvantés