Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai nagé dehors et c'était extra:Centre nautique Tony-Bertrand(projet de longue date)(photo de moi)
Les piscines, comme tout ce que j'aime, inspirent ce que j'écris à acheter ici
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Les piscines, comme tout ce que j'aime, inspirent ce que j'écris à acheter ici
La Villa Gillet est située à Lyon, dans le parc de la Cerisaie. C'est une maison européenne et internationale des écritures contemporaines. Elle donne la parole aux écrivains, aux penseurs et aux artistes. C'est une institution culturelle qui s’intéresse à toutes les formes de la culture : littérature, sciences humaines, politiques et sociales, histoire, arts contemporains, etc. Elle rassemble artistes, écrivains, romanciers et chercheurs du monde entier pour nourrir une réflexion publique autour des questions de notre temps à l’occasion de conférences, débats, tables rondes, et lectures. La Ville de Lyon, la Métropole de Lyon, la Direction Régionale des Affaires Culturelles Auvergne-Rhône-Alpes, le Centre national du livre et la région Auvergne-Rhône-Alpes contribuent pour partie à son fonctionnement1. De 1989 jusqu'à 2019 elle a été dirigée par Guy Walter, également directeur des Subsistances.
Depuis , Lucie Campos est directrice de la structure, à la suite du départ à la retraite de Guy Walter2.
Œuvre de l'architecte lyonnais Joseph Folléa (1867-1927), cette villa fut construite en 1912 pour une famille d'industriels de la teinturerie, les Gillet, qui la vendirent à la ville de Lyon en 1976 à la mort de Paul GilletP 1. Elle est ornée d'une frise animalière peinte en 1913 par Louis Bardey (1851-1915).
L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 20153.
Ce parc arboré dessiné par le paysagiste René-Edouard André en 1913, comprend environ 1 200 arbres, dont une importante collection de chênes. L'appellation de ce parc provient de la présence d'un ancien verger de cerisiers.
Dans le parc, des statues contemporaines de César, Takis, Markus Raetz côtoient des sculptures en ronde-bosse montrant des sphinges, forme féminine du sphinx ou des motifs ornementaux.
La villa et le parc appartenaient à la famille Gillet. La ville s'en est portée acquéreur en 1976. Une vigne y a été créée en 1986 par la République des canuts.
28: gare
presse du jeudi et train
Lyon perrache
j'ai pu déposer mes affaires dans ma chambre qui était prête
métro
1.mba
2.librairie Archipel
3.musée lumière
4. expo
15,52 km
5. hôtel pour prendre mes affaires de piscine fermée
4/5 activités prévues et faites
repas avec une copine
Date de dernière mise à jour : 16/11/2023
L’exposition "Elliott Erwitt. Une rétrospective" rend hommage à l’un des photographes les plus importants du XXème siècle, membre de Magnum Photos depuis 1954.
http://www.lauravanel-coytte.com/balade-a-lyon-du-28-fevrier-2020
1photo perso sur 191 faites
Sans titre (Série Danses Macabres) - ©Jean-Baptiste Carhaix
L'exposition "La Camarde" rend hommage au photographe Jean-Baptiste Carhaix et présente une sélection de séries emblématiques issue de la récente donation de l'artiste à la bibliothèque municipale de Lyon.
Figure majeure parmi les photographes lyonnais-es, Jean-Baptiste Carhaix a su tout au long de sa vie mener de front ses carrières de photographe et d’enseignant.
« Entré en photographie » comme il le dit lui-même à partir de sa première exposition en 1980, il porta pendant plus de quarante ans un regard acéré et teinté d’humour sur ses thèmes de prédilection : la mort et la religion chrétienne. Photographe inclassable, Jean-Baptiste Carhaix réalisa plusieurs reportages mais également des séries mises en scène en studio. Adepte des paradoxes et doté d’un grand sens de la composition, il prit plaisir à faire poser modèles et objets tantôt dans des décors constitués de tissus lourds et sombres, tantôt devant des fonds aux couleurs pop.
Jean-Baptiste Carhaix était profondément attaché à la bibliothèque municipale de Lyon qui lui consacra une première exposition rétrospective en 1995. Cette estime réciproque se poursuivit au fil du temps et se concrétisera à travers cinq invitations successives à présenter son travail. En 2022, Jean-Baptiste Carhaix fit un important don de ses tirages photographiques et d’une partie de sa collection de livres à la bibliothèque. Cette donation vient compléter et enrichir les photographies de l’auteur déjà présentes dans les collections de l’établissement. L’exposition rétrospective La Camarde rend aujourd’hui hommage au photographe qui s’est éteint en mars 2023.
Figure allégorique représentant un personnage muni d’une faux, la Camarde accompagna l’univers photographique de Jean-Baptiste Carhaix. L’exposition dévoile les séries majeures de l’artiste en les déclinant en plusieurs chapitres. Le premier est lié à son histoire personnelle à travers des prises de vue de bunkers. Les thèmes de la religion et de la vanité sont également abordés à travers les séries Danse Macabres et les clichés des Sisters of Perpetual Indulgence, confrérie née Etats-Unis que Jean-Baptiste Carhaix photographia entre 1980 et 1996. Enfin, la dimension ludique et se retrouve dans un ensemble d’images mettant en scène des jouets et des enfants et renvoyant à l’idée d’un possible jeu avec la mort.