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Bric-à-brac d’objets dépareillés
A inventorier, à classer
Tâche en apparence insensée
Pour les êtres décérébrés
Mais ô combien sensée
Pour les curieux passionnés
2 février 2011
Pour lire d'autres textes de moi, cf mes 11 livres en vente sur ce blog
Officier général américain
Humaniste et profondément chrétien, le général Howard conclut la paix avec les Apaches de Cochise en 1872. Pourtant, il poursuivra implacablement, entre 1877 et 1879, les Nez Percés de Chef Joseph, puis les Bannocks et les Shoshones de l’Ouest.
Né à Leeds dans le Maine le 8 novembre 1830, il sort de l’Académie militaire de West-Point en 1854. Il prend part aux grandes batailles de la Guerre de Sécession et perd un bras à la bataille de Fair Oaks, en mai 1862. Il participe à la marche du général William T. Sherman à travers la Géorgie. Après la guerre, il s’occupe des esclaves libérés et fonde "Howard University" où il accueille des Noirs.
D’une grande humanité, profondément croyant, il ne se sépare jamais de sa bible, ce qui lui vaut le surnom de "Général Chrétien". Il admire les Indiens pour leur courage et leur loyauté.
Beaucoup l'ont honorée comme 
la "mère" de la nation Américaine, en quelque sorte la contrepartie féminine de George Washington.
Pocahontas était la fille de Powhatan, le puissant chef d'une trentaine de tribus d'Indiens Algonquin de la région de Tidewater en Virginie. Elle serait née vers 1595 de l'une des nombreuses épouses de Powhatan. Ses parents l'appelait "Amonte", son nom de clan était Matoaka, bien qu'elle soit plus connue sous le nom de Pocahontas, qui signifie "Little Wanton", enjouée, petite fille espiègle.
21 juillet -356 - 13 juin -323
Fils de Philippe II de Macédoine, élève d’Aristote et roi de Macédoine en -336. Il fut l’un des plus grands conquérants de l’Antiquité et fonda notamment Alexandrie en -331.
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Ce-mois ci deux dossiers autour d'expositions à Paris...
N° 182 - Février 2011 - 5.50 €
ISSN : 1256-7809
Les Étrusques se dévoilent et nous livrent quelques...
La presse hispanophone en V.O. avec la traduction du vocabulaire difficile
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1. Des héros |
Pas de héros, pas d'aventures. Au cœur de tout récit, un héros |
Fais d'abord l'inventaire des personnages qui pourraient devenir les héros d'un récit d'aventures.
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Un marin / Une skieuse / Un chauffeur d'autobus / Un parachutiste / Un sauveteur (piscine) / … |
Attention ! Ne décide pas maintenant de l'aventure qu'ils pourraient vivre. Contente-toi de nommer des héros. |
Le temps s’est arrêté
Sur des goûts surannés
Pour les objets du passé
Les vieux papiers
Traces oubliées
Par ce monde surmédiatisé
Le temps s’est arrêté
L’histoire bloquée
Par des urgences décérébrées
Comment grandir sans passé ?
2 février 2011
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Le récit d’aventure se compose de 5 parties. On y trouve :
COMPTES RENDUS
- Gabrielle Chamarat, CR de G. de Nerval, "Les Faux Saulniers" (éd. M. Brix, Paris, Sandre, 2009), in "Romantisme. Revue du dix-neuvième siècle", n° 150, 2010/4, p. 159-160.
- Lise Sabourin, CR de G. de Nerval, "Les Faux Saulniers" (éd. M. Brix, Paris, Ed. du Sandre, 2009), in "Studi Francesi", septembre-décembre 2010, p. 568-569.
- Lise Sabourin, CR de M. Brix et JC Yon, "Nerval et l'Opéra-Comique. Le dossier des Monténégrins" (Namur, "Etudes nervaliennes et romantiques", 2009), in "Studi Francesi", septembre-décembre 2010, p. 569.
- Sylvie Lécuyer, CR de K. Tsujikawa, "Nerval et les limbes de l'histoire. Lecture des Illuminés" (Genève, Droz, 2008), in "Studi Francesi", septembre-décembre 2010, p. 569-570.
- Annalisa Bottacin, CR de M. Brix, "Nerval et l'Inde des romantiques" (article paru dans "Comparatio", Band 1, Heft 2, 2009, p. 181-193), in "Studi Francesi", septembre-décembre 2010, p. 570-571.
- Franca Zanelli Quarantini, CR de M. Brix, "Sur onze lettres inédites de Nerval à Francis Wey" (in "Mélanges Gabrielle Chamarat", 2009, p. 201-214), in "Studi Francesi", septembre-décembre 2010, p. 571.
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Ce Bulletin vous tiendra informe(e) des renseignements concernant Nerval. Si vous desirez le recevoir gratuitement et y faire paraitre des informations ou des commentaires, veuillez envoyer vos coordonnees et vos messages a Michel Brix ou Hisashi Mizuno.
Les anciens numéros du Bulletin sont installes sur le site Amitie-Nerval et sur le site du Centre Nerval de Namur.
http://honuzim.free.fr/
http://www.gerarddenerval.be/
Photos du 1 er janvier 2011
Je ne savais pas à ce moment- là qu'après mon remplacement en cours(qui s'arrête le 25 février), j'entamerai un 3e remplacement fin mars début avril, peut-être même dès la rentrée des vacances de février.
Dans la foulée, nous allons réunir nos 2 meublés (et donc nous retrouver à 2) dans un appartement où nous allons pouvoir mettre aussi nos meubles restés dans le Nord(avant le départ au Maroc) et nos affaires revenus du Maroc au bout d'un an
Des doubles retrouvailles et 4 déménagements en un!
Si vous avez des bras à prêter....
Sur le chemin de la Collégiale
J’ai fait un salut amical
A l’hôpital local
Et sa chapelle dans le froid hivernal
Je n’ai croisé aucun animal
Sur les marches de la collégiale
J’ai vu des arbres à la forme spectrale
Endormis par des rues glaciales
30 JANVIER 2011
Photos du 26 janvier 2011
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é
Pour ce dixième jeu, Brigitte nous avait proposé d'illustrer une citation d'Edith Warton quelqu'un que je trouve très belle (lue chez Sophie du blog "La petite maison dans la prairie") à votre façon : photo, peinture, collage, dessin, scrap ou bien texte ou poème.
On peut répandre la lumière de deux façons:
Etre la bougie ou le miroir qui la reflète.
Edith Warton
7ème) Laura (8 voix) :
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime
Ce que j’écris, c’est essayer d’être une fille de feu nervalienne,
Celle qui brûle même quand ses rêves prennent l’eau et coulent.
Ecrire pour être l’éruption d’un volcan, à la fois feu et terre.
Ecrire pour s’envoler avec les papillons tels une chimère.
Parler de ce, celles et ceux que j’aime pour être celle qui reflète
Les actes et les œuvres qui me semblent confiner au sublime
Les femmes qui ont transcendé leur condition honteuse
Les êtres qui ont brulé leur vie et consumé leur âme plus que les autres
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime, source et mer où se jettent les fleuves
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime, montagne à gravir et pierre que l’on jette
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime, l’air de rien, être un vent qui agite
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime, bougie et miroir qui la reflète
Sur un thème proposé par Ecureuil bleu, c'est le 7e:
http://www.unebonnenouvelleparjour.com/article-cafe-the-jeu-n-1-63231528.html
Veux-tu que je te dise, Verlaine
Et quelle joie est la mienne
Réellement que tu te souviennes
La bonne nouvelle qui nous amène
Autour de ton papa, très amène
Il faut vraiment que je te dise, Verlaine
Ne retiens que les jours de veine
Et oublie les jours de peine
24 janvier 2011
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Lou –Andina, nous fêtons avec ton papa
Oh ! Avec beaucoup de joie
Un bel événement, crois-moi
Allez, oublions les tracas
Ne penser, un instant, qu’à toi
Délaissons tous les blablas
Il est temps d’être vrai rien qu’une fois
Nous te souhaitons, Lou-Andina
Avec sincérité bienvenue à toi !
24 janvier 2011
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Elle est pleine, pleine de cafard
Des rengaines que chante un clochard
Sur le toit d'une vieille maison
Un moineau chante aussi sa chanson
Le ciel porte ses rêves d'azur
Sur les portes et sur les vieux murs
C'est un coin romantique et fané
Mais c'est là que notre amour est né.
(Refrain)
C'est la rue de notre amour
Tout au fond d'un vieux faubourg
On y voit roder le soir
Des amoureux dans les coins noirs
C'est la rue de nos désirs
Où l'amour a su fleurir
Tout au fond d'un vieux faubourg
C'est la ruelle des coeurs fidèles
Nous aimons toujours toujours
La rue de notre amour
2 - Elle est belle quand le ciel est bleu
Elle est belle même quand il pleut
Mais le jour où je t'ai rencontré
Le soleil avait tout éclairé
Le jour même c'est toi qui m'a dit
Je vous aime c'est pourquoi depuis
Nous n'avons qu'un logis pour nous deux
Dans la rue de nos premiers aveux.
(au Refrain)
L'AUTEUR : En 1942, Jean-Claude Moscovici a 6 ans. Il est juif. Sa famille vit en France.
Ce livre est son histoire, un témoignage poignant du calvaire subit par les enfants juifs d'Europe... toute une enfance assasinée par la folie de l'Allemagne nazie.
