Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Jules Renard
“Je défie tout ce qui est beau,
vivant et simple,
de ne pas m'impressionner.”
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
“Je défie tout ce qui est beau,
vivant et simple,
de ne pas m'impressionner.”
Jules Renard est né le 22 février 1864 à Châlons-du-Maine (Mayenne) où son père, entrepreneur de travaux pour le chemin de fer, s'était provisoirement installé. C'est le cadet de trois enfants. Sa soeur Amélie est née en 1859 et son frère Maurice en 1862. A l'époque de sa naissance, ses parents, François Renard et Anne-Rosa Colin, ne s'entendent définitivement plus et sa venue n'a pas été souhaitée.
Suer sang et eau pour trouver des rimes
Oublier de manger et de boire
C’est le dur métier de poète
Ecrire des mots vains et inutiles
Travailler, lire sans relâche
Faire des poèmes de circonstance
Oublier que la poésie est révolte
C’est le dur métier de poète
30 décembre 2010
Pour lire d'autres textes de moi, cf mes 11 livres en vente sur ce blog
Publié dans le florilège de Soc et fOC 2011:
http://soc-et-foc.com/FLO_detail.php?date_flo=2011&id_flo=420
Sans être une rétrospective de plus, cette exposition entend situer le peintre Edouard Manet dans son temps, entre l'héritage réaffirmé du romantisme, l'impact de ses contemporains et le flux médiatique de son époque. Comment ? En parcourant successivement les liens qu'il a résolument noués ou dénoués avec la sphère publique et politique, l'enseignement de Thomas Couture, l'impulsion de Baudelaire, la réforme de l'art religieux, l'imaginaire érotique, l'art du fragment (é), le rapport à la peinture féminine, la tentation mondaine, son impressionnisme décalé, sa complicité avec le Mallarmé le plus noir.
http://www.evene.fr/culture/agenda/manet-inventeur-du-moderne-30872.php
A Metz, une association voudrait que le bâtiment devienne un lieu de mémoire.
LE MONDE DES LIVRES | 20.01.11 | 10h59 • Mis à jour le 20.01.11 | 10h59
Par la puissance de ses passions, par le feu de sa volonté, par son intelligence et son imagination, Françoise Giroud avait réussi à faire entrer plus d'une vie entre les deux dates qui bornèrent la sienne (1916-2003). Journaliste, écrivain, femme politique, mais aussi scénariste et parolière, elle fut une militante de la cause féminine, l'amie de tout ce que Paris comptait d'intelligence et la plus avisée des découvreuses de talents. Aussi fallait-il une certaine audace pour s'attaquer à sa biographie - pour essayer d'attraper, dans la masse des événements, des contradictions et des mystères, ce que fut cette figure du XXe siècle. Laure Adler, qui a souvent travaillé sur des destins de femmes (notamment Marguerite Duras et Hannah Arendt), était évidemment bien placée pour approcher cette personnalité fascinante, dont Christine Ockrent a donné un premier portrait, en 2003 (Françoise Giroud, une ambition française, chez Fayard).
«Libération» s’est procuré la liste des itinéraires à problèmes jugés prioritaires par Guillaume Pepy.
(Idé)
Béatrice De Rochebouet
17/01/2011 | Mise à jour : 18:46
Pour s'annoncer vainqueur, il faut décrocher la star. Et Picasso apparaît comme la valeur la plus attirante et la plus commerciale du moment. En vedette de sa vente d'œuvres impressionnistes et modernes de Londres du 8 février, Sotheby's a sorti d'une collection privée américaine une toile iconique de 1932, représentant sa muse Marie-Thérèse Walter qu'il rencontra quand elle avait à peine 17 ans, pendant sa liaison avec Olga. Resté aux États-Unis et jamais exposé en Europe depuis cette date, La Lecture fut acheté en privé en 1996 par son propriétaire actuel. La toile est estimée de 12 à 18 millions de livres (18 à 21 millions d'euros) mais pourrait faire beaucoup plus, compte tenu de la folie du marché pour le roi Picasso, qui a attiré les foules au Grand Palais l'an dernier.
Par Nicolas d'Estienne d'Orves
18/01/2011 | Mise à jour : 19:27
«J'ai vécu dans le malentendu toute ma vie, disait Jean Dutourd. Je n'en souffre pas. J'en ai même pris philosophiquement mon parti. On m'a toujours prêté des intentions qui n'étaient pas les miennes. On a vu dans mes livres des choses que je n'avais pas mises. Vive les malentendus qui font vendre 200.000 exemplaires !»
Jean Dutourd, un incompris ? On aurait peine à croire que celui qui fut le poil à gratter des lettres françaises pendant plus d'un demi-siècle, provocateur parfois ébouriffant, membre éminent du club des ronchons, proclamant «en arrière toute !», défendant pêle-mêle Chevènement, Papon, les Serbes, le bon Français, le Pape, Louis XV, de Gaulle, les mal aimés et les «incorrects», fut le fruit d'une simple méprise…
"La peinture n’est pas un soulagement. La raison pour laquelle je peins est le désir de créer. Je dois le faire ! J’ai vu ça, je peux encore m’en souvenir, je dois le peindre." Otto Dix.
L'artiste peintre allemand Otto Dix (Wilhelm Heinrich Otto Dix), naît le 2 décembre 1891 à Untermhaus près de Gera. C’est le deuxième fils de Ernst Franz Dix, fondeur, et de Pauline Louise Dix, couturière. Il décède 25 juillet 1969 d’une congestion cérébrale à l’hôpital de Singen.
Au cours de son enfance, Otto Dix séjourne souvent à Naumburg, chez le peintre Fritz Amann.
De 1897 à 1906, il fréquente l’école primaire de Untermhaus, où il est encouragé par son professeur de dessin, Ernst Schunke. De 1906 à 1910, il suit un apprentissage de peintre-décorateur à Gera, chez Carl Senff et prend des leçons de dessin le soir, à l’école de Untermhaus.
ex: en espagnol, pour l'étude de "Cria cuervos", le site officiel de Carlos Saura:
http://www.clubcultura.com/clubcine/clubcineastas/saura/index.htm
Alice au pays des merveilles est une œuvre de littérature enfantine écrite par Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll.
Alice au pays des merveilles foisonne d'allusions satiriques aux amis de l'écrivain et aux leçons que les écoliers britanniques devaient mémoriser à l'époque. Le pays des merveilles, tel qu'il est décrit dans le conte, joue sans cesse avec la logique.
http://www.fichesdelecture.com/ouvrage/1386-alice-au-pays-des-merveilles/
En 1943, en pleine guerre mondiale, Hitler décide l’extermination totale du peuple juif. Frida a dix-neuf ans, elle fait partie, comme beaucoup de jeunes, des Jeunesse hitlériennes. Au retour d’un rassemblement de l’organisation à Berlin, traversant la forêt, elle découvre un enfant endormi dans les fougères. Il porte l’étoile jaune. Il lui dit qu’il s’est échappé d’un de ces convois qui conduisent les juifs dans les camps de la mort.
Le devoir de Frida est de remettre l’enfant à la Gestapo… Mais peu à peu elle s’attache à lui. La rencontre provoque chez elle une prise de conscience qui va l’amener à le protéger, malgré les risques et son trouble.
Publié le 17 janvier 2011 par Bernard Vassor
Par Bernard Vassor
Marie-Laetitia Bonapartre Wise est la petite-fille de Lucien, le frère de Napoléon. Elle fut l'épouse du comte de Solms en 1848, puis du premier ministre Italien Rattazzi en 1854. Femme de lettre, artiste, elle fut la première femme caricaturiste en 1850. Elle tint un salon littéraire, boulevard Bonne-Nouvelle, fréquenté par Hugo, Dumas, Sand Nerval et fut la dernière égérie d'Eugène Sue en exil à Annecy.
Twinkle Twinkle, Little Star (« Brille, brille, petite étoile »). C'est une des comptines anglaises les plus populaires. Elle a été adaptée avec un poème de Jane Taylor (The Star). Cette poésie a été publiée en 1806 dans une collection de poème Rhymes for the Nursery.
C'est une expression anglaise due à l'inhalation par les chapeliers des vapeurs du mercure utilisé dans la fabrication de certains chapeaux.
Elle apparaît dans "Alice au pays des merveilles" et équivaut à notre "fou à lier"
Selon Alice, le Lièvre de mars serait « le plus intéressant, et peut-être qu'en mai il ne serait pas fou à lier - pas aussi fou qu'en mars, tout du moins. »
« Fou comme un lièvre de mars » est une expression courante à l'époque de Carroll; elle figure dans le recueil de proverbes de John Heywood en 1546. Martin Gardner explique dans The Annotated Alice que l'origine de ce proverbe est une croyance populaire sur le comportement des lièvres au début de la période de reproduction, qui s'étend de février à septembre en Angleterre. Au début de cette période, les femelles qui ne sont pas réceptives repoussent les assauts des mâles avec leurs pattes de devant. Ceci a été interprété à tort comme des combats prénuptiaux de mâles.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Li%C3%A8vre_de_mars
Equivaut à notre "fou à lier"
Par Administrateur saint-joseph42380 le 17 janvier 2011 à 11:13
"La physiologie moderne"
en exergue du conte fantastique "Véra" de Villiers de l'Isle-ADAM
"Comme le petit crocodile
Fait valoir sa queue moirée
Et répand les eaux du Nil
Sur ses écailles dorées!
Comme il sourit aimablement,
Comme ses griffes il fait bien voir
Accueillant les petits poissons
Du charmant sourire de ses mâchoires!"
petit poème de Lewis Caroll aussi connu en Angletter que "Le corbeau et le renard" en France .
André Bay l'avait rendu par "Le coche et la mouche":
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/jean_de_la_fontaine/le_coche_et_la_mouche.html
Ce poème est récité par Alice dans le chapitre 2.
Il décrit un rusé crocodile qui attire le poisson dans sa bouche avec un sourire accueillant
une parodie du poème moralisateur " contre l'oisiveté et de malice "par Isaac Watts [1] (Alice était à l'origine essayant de réciter que). Watts' poem begins "How doth the little busy bee," and uses a bee as a model of hard work. poème Watts commence "Comment va la petite abeille», et utilise une abeille comme un modèle de travail acharné. In Carroll's parody, the crocodile's corresponding "virtues" are deception and predation, themes which recur throughout Alice's adventures in both books, and especially in the poems. Dans la parodie de Carroll, correspondante du crocodile
en exergue du conte fantastique "La cafetière" de Théophile Gautier: