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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1171

  • Catégories : Mes poèmes

    Se sentir

    Se sentir enfermé dans une prison invisible,

    Avoir l’impression de vivre une vie

    Qui n’est pas la sienne.

     

    Se sentir écrasé par un étau

     

    2010

     

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    Pensez aux étrennes!

  • Catégories : Acrostiches. Poésie

    Annick

    Avec toute notre amitié

    Nouée dans la difficulté

    Nous te souhaitons en toute simplicité

    Intenses bonheurs et bonne santé

    C’est parfois  un peu compliqué

    K- je sèche- d’acrosticher

     

    BONNES FETES

     

    22  décembre 2010

     

    Annick:

    http://detente-en-poesie.over-blog.com/

     

     

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  • Catégories : Des anniversaires

    A Tours, les portraits de l'atelier Nadar reflètent l'évolution du goût. Mais ce sont des tirages modernes...

    A l'occasion du centenaire de la mort de Félix Tournachon (1820-1910), plus connu sous le nom de Nadar, le musée du Jeu de paume de Paris organise une exposition décentralisée à Tours. En fait d'exposition, il vaudrait mieux parler ici d'un exposé brillant sur l'évolution du portrait photographique à travers la production de l'atelier Nadar, père et fils. De salle en salle, une dizaine en tout, de très longs textes explicatifs de l'historien Michel Poivert sont affichés en cartels. Rares sont les visiteurs qui les lisent. Car, bêtement, ils sont venus, eux, voir des photographies des Nadar. A défaut, ils en sont réduits à contempler des épreuves récentes qui ne peuvent rivaliser en émotion avec celles de l'époque.

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  • J'ai revu avec plaisir:"L'histoire d'Adèle H."

    AdeleHAff.jpgA Guernesey, où son père Victor Hugo vit en exil, Adèle fait la connaissance du Lieutenant Pinson et en tombe follement amoureuse. Or celui-ci est envoyé avec son régiment aux Etats-Unis, ravagés par la Guerre de Sécession depuis déjà deux ans. Au début du film, en 1863, Adèle arrive à Halifax, capitale de la Nouvelle Ecosse et ancienne Acadie des Français, rejoindre l'homme qu'elle aime. Mais celui-ci l'a déjà oubliée ! Cependant, couvert de dettes de jeu, il n'hésite pas à exploiter la jeune femme en lui soutirant l'argent qu'elle lui donne aisément, car tout est bon pour qu'il reste en contact avec elle. Bientôt c'est elle qui a de gros problèmes financiers, car son père refuse de continuer à lui envoyer sa pension, à moins qu'elle ne se marie enfin. Elle publie donc une annonce officielle, et Pinson refusant bien sur de l'épouser, manque d'être cassé par ses supérieurs. Plus tard, Adèle fait rompre les fiancailles du Lieutenant avec la fille d'un juge, mais il ne cède toujours pas. Ruinée, malade, Adèle continue à suivre le régiment muté à la Barbade. Dévorée par sa passion, elle sombre dans la folie, mais est recueuillie par une brave indigène qui, découvrant l'identité d'Adèle grâce au journal intime qu'elle transporte avec elle, écrit à Victor Hugo. Adèle finira sa vie enfermée à l'asile de Saint-Mandé, survivant à toute sa famille...
         
     
       
     

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  • Catégories : Mes poèmes

    C'était l'été

    Le soleil avait tout enchanté

    Et fait oublier les contrariétés

    Qui semblaient des absurdités.

    Nous étions plein d’activités.

    Nous n’écoutions plus les actualités,

    Préférant la beauté des paysages d’été.

    Nous buvions avec avidités les thés

    Glacés, les bières au parfum de convivialité.

    Nous nous frôlions d’ambigüité

    Entre nos shorts et nos robes d’été.

    Tout était léger, plein d’animalité.

    C’était l’été

     

    21 décembre 2010

     

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  • Catégories : Baudelaire Charles

    HISTORIQUE: L’Absinthe enfin de retour… Fin de la Prohibition !

    décembre 21, 2010 par Michel Godet  
    Publié dans en Caves ...

     

    Après une petite centaine d’années d’incertitudes, l’état français signe la fin de la prohibition de l’Absinthe. Une histoire vieille de 95 années d’allers et de retours, d’incompréhensions, mais aussi de « Jésuitisme administratif »  autrement appelé hypocrisie !

    Si chère à Zola en particulier dans l’Assommoir, l’Absinthe fût accusée de tous les maux, en particulier celui de rendre fou pour ne parler que de Baudelaire ou de Van Gogh ou encore celui d’être abortive, n’en déplaise aux faiseuses d’anges. Cette fée verte pour certains était devenue un démon rouge pour d’autres, qui ont recueilli au tout début du XXè siècle plus de 400 000 signatures en vue l’interdiction de sa fabrication et de sa commercialisation. Il est vrai qu’à l’époque (1908) un lobby antialcoolique fort puissant demandait aussi, outre l’interdiction de l’Absinthe, la limitation du nombre de débits de boissons et la suppression du privilège de bouilleurs de crus !


    Cette bronca a eu raison du spiriteux en France dès 1915 (et en Suisse de 1910  à 2005), mélangeant donc dans l’inconscient populaire la lutte contre l’alcoolisme et les effets secondaires de la thuyone (principale molécule de l’huile essentielle d’absinthe) et de la fenchone (contenue dans le fenouil), deux composantes de l’absinthe titrant toujours entre 45 et 90° !

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  • Le paysage :de l'observation à la représentation

     

     

     

     

     

     

     

     

    Niveaux :

     

     

    cycle 3 et collège

    Depuis le jardin public, observer et décrypter le paysage qui s’offre à nos yeux

    en se mettant dans la peau d’un peintre s’apprêtant à le représenter.

    S’interroger sur notre perception de ce paysage pour mieux comprendre par la suite

    l’oeuvre d’Emmanuel de la Villéon, peintre impressionniste fougerais.

    À partir de novembre 2010.

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  • Catégories : Baudelaire Charles, Le paysage

    L'homme et la mer

    Homme libre, toujours tu chériras la mer !
    La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
    Dans le déroulement infini de sa lame,
    Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.

    Tu te plais à plonger au sein de ton image ;
    Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton cœur
    Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
    Au bruit de cette plaine indomptable et sauvage.

    Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
    Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes,
    Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes
    Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !

    Et cependant voilà des siècles innombrables
    Que vous vous combattez sans pitié ni remords,
    Tellement vous aimez le carnage et la mort,
    Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !

      http://expositions.bnf.fr/lamer/cabinet/anthologie/bibliotheque/03.htm

    Charles Baudelaire, Les fleurs du mal, 1857

    Autres textes sur la mer:

     

  • Catégories : La représentation des bohémiens:art et littérature, Musique

    Latcho Drom

    michel-field-presentateur-dans-au-field-de-la-nuit-2818786qatua_1610.jpgVoyage aux sources de la culture rom, où Tony Gatlif passe en revue toutes les déclinaisons et toutes les instrumentations possibles de la musique tzigane à travers du Nord-Ouest de l’Inde, en passant par l’Egypte, la Turquie, la Roumanie, la Hongrie, la Slovaquie et la France. Mille ans d’histoire marquée par la haine et le rejet de ces peuples qui jouent leur vie et expriment leurs sentiments jusqu’à la folie. "Latcho Drom" signifie "bonne route". Quelques scènes notamment dans l’église sont exceptionnelles.

     

    Les chapitres du film :

    JPEG - 3.4 ko
    Tchavolo en plein effort

    1. Inde Rajasthan
    2. Egypte
    3. Turquie
    4. Roumanie
    5. Hongrie
    6. Slovaquie
    7. France
    8. Espagne

    Les Bonus :
    - Bande annonce
    - Interviews de Tony Gatlif
    - Story board

    Durée : 1 heure 43 mn
    Réalisation : Tony Gatlif
    Scénario : Tony Gatlif
    Production : KG Production - Canal +
    Producteur délégué : Michèle Ray-Gavras
    Assistant-réalisateur : Alexandre Gavras
    Ingénieur du son : Nicolas Naegelen
    Directeur de la photographie : Eric Guichard
    Montage : Nicole Berkamans
    Conseiller musical : Alain Weber
    Lieu de tournage : Hongrie Inde Roumanie Espagne Turquie Egypte France
    16/9 - DVD9

    Les prix du film :
    - Prix Gervais au Festival de Cannes 1993
    - Prix Un Certain Regard - Cannes 1993
    - Prix de La Mémoire France Libre Danielle Mitterrand
    - Prix Oecuménique du Festival de Munich 1993
    - Grand Prix Rimini Cinéma 1993
    - Grand Prix du MIDEM 1994
    - Prix du Meilleur "Film Experimental" de la Critique Américaine 1996

    Tony Gatlif (de son vrai nom Michel Dahmani), né le 10 septembre 1948 dans la banlieue d’Alger d’une famille de gitans andalous. Il est illétré et apprenti voyou mais les souvenirs de cinéma, qu’il a vu lors de ses courts passages à l’école, ne le quittent plus. A l’âge de douze ans, et afin d’éviter un mariage arrangé, il part pour Alger. Il donne des lettres de noblesse au cinéma gitan depuis "La Tête en mine (1975) jusqu’à "Exils", Prix de la mise en scène à Cannes 2004.

    Label :KG édition
    Ref : 3064167 WAG 400 -> voir fiche du label
    1993

    Pour en savoir plus :

    http://tonygatlif.free.fr/latcho/fiche_latcho.htm


    http://www.djangostation.com/Latcho-Drom%2C143.html

  • Catégories : Des expositions

    L'histoire de l'Académie française par ses lettres

    Une centaine de documents rarissimes et émouvants raconte l’histoire de l’Académie française, au fil des lettres. La collection de Philippe de Flers, commencée par ses ancêtres en 1824, est en partie présentée pour la première fois au regard du public, boulevard Saint-Germain à Paris. Découvrez dans cette émission, le choix du Musée des lettres et manuscrits parmi les lettres de quelque 700 immortels pour l’exposition L’Académie française au fil des lettres de 1635 à nos jours, des lettres que vous pouvez retrouver dans le bel ouvrage éponyme publié chez Gallimard en 2010.

    http://www.canalacademie.com/ida6173-L-histoire-de-l-Academie-francaise,6173.html

    L’Académie française au fil des lettres de 1635 à nos jours est à la fois, une exposition et un livre : un événement à la mesure de l’histoire de la « Dame en vert ». Livre et exposition mettent ainsi en valeur une partie seulement, de la collection unique des Marquis de Flers qui compte au total de plus de 7 mille lettres, manuscrits et documents. Philippe de Flers n’a pas connu son grand-père Robert de Flers, l’auteur de L’Habit vert (1913), membre de l’Académie française mais il a continué comme ses ancêtres à développer cette collection qu’il (...)
  • Catégories : L'art

    Paul Gauguin, homme douteux, peintre enchanteur

    LEMONDE | 25.10.10 | 15h07  •  Mis à jour le 10.12.10 | 20h49

    C'est l'histoire d'un ancien trader devenu artiste et objet de scandale. Il a nom Paul Gauguin (1848-1903). La Tate Modern de Londres montre, en onze salles et une centaine de tableaux bien accrochés, mais aussi des sculptures, des dessins, des gravures, des fragments de correspondances et des photographies, comment le petit banquier a forgé son propre mythe, jusqu'à se prendre de passion pour ceux des autres et achever sa vie dans la mouise, mais au paradis terrestre.

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  • Catégories : Klimt Gustav

    Gustave Klimt

    "Quiconque désire me connaître comme artiste
    - et c'est tout ce qui compte vraiment -
    doit regarder attentivement mes tableaux
    et tenter d'y glaner ce que je suis et ce que je veux."

  • Albrecht Dürer (1471 - 1528) :"Ce qu'est la beauté, je l'ignore"

    Contrairement à ce qui se passe pour la majorité des artistes de la Renaissance ayant vécu au nord des Alpes, nous savons tout de la vie d'Albrecht Dürer (1471-1528). L'hypersensibilité de l'artiste, prompt à traduire en écrits et en images, les faits, grands et petits, de sa vie personnelle et à les conserver de façon quasi maniaque ; son recours fréquent à l'autoportrait, genre dont il est le pionnier ; l'habitude qu'il a de dater ses œuvres, en y ajoutant parfois des textes explicatifs ; l'intérêt tout à fait inhabituel qu'il suscita chez les humanistes de l'époque ; la coïncidence qui l'amène à se trouver dans des villes, à des moments et dans des situations d'une importance capitale pour le sort de l'Europe ; les études ininterrompues dont il a fait l'objet : Tous ces éléments fournissent une abondante moisson d'informations, limitant à des aspects presque marginaux les points d'interrogation sur sa vie et son œuvre. À quarante ans, Dürer est un intellectuel engagé, qui rédige d'ambitieux traités théoriques, qui dialogue avec les penseurs et les hommes de science, qui a ses propres idées et ses propres théories sur l'art ; il exprime avec autorité son avis personnel sur l'histoire, la nature, l'homme, la religion. Et c'est pourtant à ce moment qu'avec la phrase "Ce qu'est la beauté, je l'ignore", Dürer évoque clairement, douloureusement, le nœud gordien de son activité d'artiste et d'homme cultivé. Tout au long de sa carrière semée de centaines d'images peintes, dessinées ou gravées, Dürer a recherché une définition de la beauté. Il y a consacré une vaste gamme de facultés humaines, d'expériences sensibles, d'efforts intellectuels. Dans les écrits qu'il a laissés, Dürer insiste à plusieurs reprises sur cette expérience décevante de la recherche du secret de la beauté absolue que l'on approche jusqu'à l'effleurer avant de la sentir, soudain, s'enfuir. Il est tout à fait conscient de sa grandeur personnelle en tant que peintre, mais cette conscience lui rend d'autant plus insupportables les limites de l'art et de la science.

     

    Dûrer, Mélancolie

    Mélancolie I, gravure, 1514, Albrecht Dürer, (Kupferstichkabinett, Staatliche Kunsthalle, Karlsruhe). Cette figure qui a occupé les chercheurs et les interprètes durant des siècles et dont l'imagination n'est capable de saisir qu'une partie de la puissance d'un corps caché derrière une robe éparpillée au milieu de toute une panoplie d'instruments et d'outils. La tête dans la main gauche soutenue par le genou, son visage est plongé dans la pénombre, comme pour mieux exprimer la sombre humeur qui emplit le mélancolique. L’œuvre, doit sans doute être vue comme un autoportrait spirituel de l'artiste - et, plus généralement, de l'Artiste moderne - qui aspire à cette Connaissance suprême, à cet Idéal artistique inaccessible.

    http://www.aparences.net/nordiques/nordiques2.html

  • Catégories : Train, tramway et autres transports en commun

    Dans les Pyrénées, le Train Jaune fête ses 100 ans

    100 ans et toujours aussi remarqué dans les paysages catalans. Fin juillet, le Train Jaune fêtera ses 100 ans. Un train touristique mais pas seulement. Géré par la SNCF, il fait le bonheur des enfants l'été mais aussi des Catalans qui l'utilisent comme moyens de locomotion entre Villefranche de Conflent et Latour-de-Carol.

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  • Catégories : Le paysage

    "L’Astrée" d’Honoré d’Urfé et la découverte d’univers singuliers

    Sommaire

    "L’Astrée" d’Honoré d’Urfé et la découverte d’univers singuliers
    1. Les paysages, reflets d'univers intérieurs
      1. Les reliefs dans L'Astrée : construction d'un paysage singulier
      2. La nature, composante essentielle de l'oeuvre d'Honoré d'Urfé
      3. Les différentes images de l'eau
    2. L'amour dans L'Astrée : une quête individuelle, philosophique et esthétique
      1. L'Astrée : une somme d'histoires d'amour
      2. L'Astrée : une quête de l'Amour
      3. L'Astrée : une représentation esthétique de la quête d'amour
    3. L'Astrée comme miroir du rapport de l'auteur à son époque : comparaison avec Rohmer et le monde contemporain
      1. L'Astrée, un roman historique
      2. L'enseignement d'une morale
      3. Le film d'Éric Rohmer

    michel-field-presentateur-dans-au-field-de-la-nuit-2818786qatua_1610.jpgRésumé du mémoire

    L’Astrée fut publiée de 1607 à 1627. Il s’agit d’un roman de cinq mille pages, divisé en cinq parties, et qui constitua le plus grand succès littéraire du XVIIe siècle. Son auteur, honoré d’urfé, né en 1567 à Marseille, mourut en 1625 en laissant son œuvre inachevée. C’est son secrétaire Balthazar Baro qui s’occupa de la publication de la Quatrième Partie de L’Astrée et qui rédigea La Conclusion et Dernière Partie d’Astrée. Certains critiques sont sceptiques quant à la fidélité de ces dernières parties au reste du travail d’urfé, malgré les affirmations de Baro, qui insiste sur la continuité de son travail avec les trois premières parties.

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