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Comme les mères, le français a chaque année son jour de fête: la Journée internationale de la francophonie se tiendra ce jeudi 20 mars. C'est la moindre des choses pour un club qui regroupe officiellement 56 pays, rassemble plus de 200 millions de francophones et pourrait en compter 750 millions en 2050 selon les démographes. Il s'agit d'un atout culturel, d'un instrument commode pour les échanges économiques, sans oublier l'influence politique. Chacun en ressent l'évidence.
Le cours du bœuf a grimpé de 30% depuis novembre dernier dans ce pays confronté à une sévère crise économique. Une catastrophe pour les Argentins, gros amateurs de viande bovine.
Six mois après la venue de François Hollande sur le site de Blue Solutions, à Ergué-Gabéric, près de Quimper, Vincent Bolloré a annoncé la construction d'une nouvelle usine qui produira des Bluetram, des tramways 100 % électriques.
«Toutes les villes veulent un tram, le problème c'est qu'il faut beaucoup d'autorisations, c'est long à construire, et cher, alors que notre tram sera rapide à installer, et coûtera dix fois moins cher», a indiqué le PDG du groupe, Vincent Bolloré, avant d'ajouter «qu'un tramway desservant 10 km coûte environ 200 millions d'euros, nous espérons le proposer pour 20 millions d'euros».
Ce samedi, il a donc présenté - en personne - le prototype qui ressemble à un bus, équipé d'un système de supercapacités, une technologie permettant de stocker une quantité suffisante d'électricité pour parcourir environ un kilomètre et demi. Le tramway est ensuite rechargé à la station suivante, le temps que les passagers montent et descendent. Autre caractéristique du véhicule : sa capacité d'embarquement, modulable. «Dans un premier temps, chaque module pourrait transporter 30 à 40 personnes», selon Vincent Bolloré.
200 embauches prévues
«La première ligne de production du Bluetram sera mise en service début 2015», a déclaré M. Bolloré. Le groupe a investi 10 millions d'euros pour une capacité de production de 50 Bluetram par an. À terme, 200 personnes devraient être recrutées si l'usine fonctionne à plein régime, soit 200 tramways par an à l'horizon 2016-2017.
«Notre premier client pourrait être Singapour», a précisé M. Bolloré, citant également l'île Maurice. «On fournira également les conducteurs», a-t-il ajouté, soulignant que ce projet «devrait faire sourire les fabricants de tram, comme on souriait devant les premières voitures électriques.»
Les stations seront produites par Automatic Systems, filiale à 100 % du groupe Bolloré. Le groupe produit des batteries utilisant la technologie lithium métal polymère sur son site d'Ergué-Gabéric. Après s'être lancé dans la production de voitures - avec sa Bluecar en 2006 - c'est désormais un nouveau défi que se lance le groupe Bolloré.
Affiches sur la vitrine d'un artisan boulanger-pâtissier, à Paris, adhérant au mouvement des «sacrifiés». Crédits photo : Sébastien SORIANO/Le Figaro
Le mouvement des «sacrifiés», lancé en novembre contre la politique de l'exécutif, ne faiblit pas. Ses adhérents harcèlent désormais les élus locaux pour faire valoir leurs droits
L'ancien patron de chaînes télévisées puis du Conseil supérieur de l'audiovisuel Hervé Bourges prend la plume pour défendre la francophonie dans Pardon My French. La langue française, un enjeu du XXIe siècle, Éditions Karthala, mars 2014. Un plaidoyer foisonnant dont il espère que François Hollande tiendra compte lors de la Semaine de la francophonie, qui s'ouvre ce lundi.
Gaël Fickou repris par l’Irlandais Jonathan Sexton. - Panoramic<:section id=corps class=texte_1>
Malgré une prestation plus aboutie, les Bleus ont été battus par l’Irlande (20-22). Il leur reste beaucoup de lacunes à combler pour prétendre au titre mondial dans dix-huit mois.
Fêtez le français du 15 au 23 mars 2014 à l’occasion de la Semaine de la langue française et de la Francophonie !
Organisée chaque année autour du 20 mars, la Journée internationale de la Francophonie ainsi que la Semaine de la langue française et de la Francophonie est le rendez-vous régulier des amoureux des mots en France comme à l’étranger. Elle offre au grand public l’occasion de fêter la langue française en lui manifestant son attachement et en célébrant sa richesse et sa diversité.
Faites partager votre goût pour les mots en organisant une dictée, une conférence, un spectacle, une joute oratoire ou toute autre manifestation originale proposée dans la Boîte à idées.
Ce temps fort est également l’occasion de valoriser les multiples projets réalisés dans le cadre de l’opération « Dis-moi dix mots ».
La Semaine de la langue française et de la Francophonie est également fêtée à l’étranger et chez nos partenaires francophones.
« La coïncidence entre le besoin de projeter ses plus libres fantasmes et, d'autre part, celui d'une "technique poétique" font de Desnos un poète de la surréalité, et donc de la modernité, en même temps qu'un poète qui se rattache à une tradition, celle des grands baroques. C'est là peut-être l'originalité de cette voix si douée qui, avec ses intempérances et ses turbulences, ses écarts, ses inégalités, mais toujours son intensité, est une de celles qui nous forcent le plus manifestement à reconnaître la présence de cette chose spécifique, irréductible, qui s'appelle la poésie. Au reste, et c'est ce qu'il faut dire encore, cette voix était celle d'un homme chez qui le besoin d'expérimenter sous toutes ses formes le langage poétique, allait naturellement avec celui d'expérimenter la vie sous toutes ses formes aussi ; d'un homme qui était plein de passion, curieux et joueur de tout, courageux, généreux et imprudent ; et qui est mort à quarante-cinq ans, dans les circonstances que l'on sait, d'avoir eu ce goût violent de la vie, et donc de la liberté, et d'avoir voulu le pousser jusqu'à ses dernières extrémités. » René Bertelé.
« ... Constamment en marge du drame et du risque, successivement ponctuée par des chutes et des repentirs, mêlée aux railleries et aux mystifications où la profondeur du sentiment côtoie la légèreté et le défi, la vie tourmentée de Villon doit l'éclat de son dessin et de son mystère au fait d'avoir été doublée par la nécessité du poète de s'exprimer tout au long, non pas à l'aide d'un commentaire, mais avec la voix même de cette tendresse intérieure, foyer constant de chaleur et de fraternité, qui, nous prenant pour témoins, nous rend également solidaires de sa détresse. Si forte et insinuante est la valeur persuasive de la poésie de Villon, que souvent il nous semble toucher à un état de conscience mis à nu, tandis que la nudité même de sa voix est empreinte d'une douleur qui dépasse les conditions temporelles où elle se situe. C'est par le particularisme individuel de sa poésie que Villon atteint à l'universel. » Tristan Tzara.
En littérature, au cinéma ou encore en BD, les suites récurrentes deviennent de plus en plus importantes.
Le phénomène touche toutes les industries culturelles, du cinéma à la télévision en passant par les jeux vidéo et, bien sûr, la littérature. Les héros ne meurent jamais, ou, à défaut, vivent le plus longtemps possible.
Tintin, qui regoûte aujourd'hui, à sa manière, à une forme de nouveauté n'a finalement pas échappé au phénomène, mais, avant le journaliste-détective, de nombreux héros ont eu droit à une vie prolongée, sous la plume de plusieurs auteurs. En littérature, on peut citer deux personnages très connus : James Bond, qui vient de ressortir sous la plume de William Boyd, et Hercule Poirot, le héros d'Agatha Christie, qui fera son retour, après trente-huit ans d'absence, en septembre prochain.
Dans le domaine de la BD, les exemples sont nombreux, de Boule et Bill à Blake et Mortimer en passant par Spirou et Fantasio ou encore Lucky Luke et, bien évidemment, Astérix et Obélix, plus de trente ans après le décès de leur cocréateur René Goscinny. « L'intérêt, pour un éditeur, est de faire fructifier son investissement. Mais ce qui est déterminant, c'est le talent du repreneur, même si ce n'est pas toujours facile à trouver », constate Didier Pasamonik, éditeur du site ActuaBD.
Le groupe Beaumarly , dirigé par Gilbert Costes et son fils Thierry, lance en France les cafés Corso. Il implante à l'international les Cafés Marly et les Cafés Français.
Le nouveau concept de restauration baptisé « Corso » est un mixte du bistrot parisien et du « caffè » italien. - Photo Davide Leggio
Le nouveau concept de restauration baptisé « Corso » est un mixte du bistrot parisien et du « caffè » italien. - Photo Davide Leggio
+ VIDEOS - Les trois quarts des parlementaires maires se représentent aux municipales. Les candidats préfèrent attendre l’entrée en vigueur de la loi en 2017 pour choisir entre leurs différents mandats.
1. Ferdinand Georg Waldmüller (1793-1875) Le Vieux Violoniste, 1828 Aquarelle et gouache - 32,5 x 26,7 Paris, Musée du Louvre Photo : SVV Ferri16/12/04 – Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - Les musées font assez rarement part de leurs acquisitions récentes. Le Louvre vient cependant de publier un communiqué pour annoncer plusieurs dons et achats dont nous avions déjà parlé (les deux tableaux de Michel-Ange Challe, la Déploration de François Barois et, pour le Musée Delacroix, le Portrait équestre de Jérôme Bonaparte par Géricault).
15/11/13 -Acquisition - Paris, Musée Eugène Delacroix- Lors de la vente du 13 novembre chez Artcurial, le Musée Delacroix a pu acheter grâce à une préemption le Portrait équestre de Jérôme Bonaparte (ill. 1) peint par Théodore Géricault d’après Jean-Antoine Gros, pour 94 734 € (frais compris).
1. Théodore Géricault (1791-1824) d’après Antoine-Jean Gros Portrait équestre de Jérôme Bonaparte Huile sur toile - 48 x 38 cm Paris, Musée Eugène Delacroix Photo : Artcurial
2. Antoine-Jean Gros (1771-1835) Portrait équestre de Jérôme Bonaparte, 1808 Huile sur toile - 321 x 265 cm Versailles, Musée national du Château Photo : RMN-GP/G. Blot
21/1/14 -Acquisition - Paris, Musée du Louvre- Mieux vaut un chef-d’œuvre d’un petit maître qu’un tableau médiocre d’un grand. L’achat que vient de faire le département des Arts Graphiques du Musée du Louvre auprès de la galerie de Bayser à Paris témoigne de la justesse de cette remarque. Il s’agit d’un pastel (ill. 1) dont l’auteur, Simon-Bernard Lenoir, est relativement peu connu même s’il fit une carrière honorable de portraitiste, devenant notamment peintre de portraits du prince de Condé. Celui-ci, représente le comédien Lekain dans le rôle d’Orosmane (un personnage de la pièce de Voltaire Zaïre). Tout y est admirable : de l’expression déterminée de l’acteur, qui joue avec conviction le sultan Orosmane, à la subtilité des coloris du costume.
1. Simon-Bernard Lenoir (1729-1789) Pastel sur plusieurs feuilles marouflées sur toile - 116 x 88 cm Paris, Musée du Louvre Photo : Galerie de Bayser
2. Simon-Bernard Lenoir (1729-1789) Portrait de Lekain dans le rôle d’Orosmane Huile sur toile Paris, Comédie Française Photo : P. Lorette/Comédie-Française. Pastel sur plusieurs feuilles marouflées sur toile - 116 x 88 cm Paris, Musée du Louvre Photo : Galerie de Bayser
23/12/13 - Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - Par l’intermédiaire de la Société des Amis du Louvre, le musée vient de recevoir le don par Christian et Nathalie Volle et par Marie-Catherine Sahut de deux toiles peintes par Michel-Ange Challe (ou Charles-Michel-Ange-Challe) représentant respectivement Vénus et l’Amour et Danaë (ill. 1 et 2). Il s’agit des deux premiers tableaux de l’artiste à entrer dans les collections du Louvre alors que le département des sculptures avait acquis en 2011 une Vierge en marbre de son frère Simon (voir la brève du 8/12/12).
1. Michel-Ange Challe (1718-1778) Vénus et l’Amour, 1752 Huile sur toile - 98 x 150 cm Paris, Musée du Louvre Photo : Musée du Louvre
2. Michel-Ange Challe (1718-1778) Danaë, 1752 Huile sur toile - 97 x 152 cm Paris, Musée du Louvre Photo : Musée du Louvre