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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1014

  • La maison brésilienne de Stefan Zweig

     

    Mots clés : Le Monde d'hier, Brésil, Stefan Zweig

    Lapaque, Sébastien
    02/10/2013 | Mise à jour : 17:58


    Le « petit chalet » de Petrópolis où l'auteur du  Monde d'hier s'est donné la mort en 1942 a été transformé en musée. Un émouvant lieu de mémoire.

     

    À qui appartient la ­mémoire de Stefan Zweig? À l'Autriche, son pays natal? Au Royaume-Uni, dont il est devenu citoyen en 1940? Au Brésil, où il est mort le 22 février 1942 à Petrópolis, après avoir i...

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  • Pino Cacucci dans la peau de Frida Kahlo

    Home CULTURE Livres

    Après Tina Modotti et Carmen Mondragon, l'écrivain italien clôt sa trilogie littéraire consacrée à ses icônes féminines avec Frida Kahlo, dans Viva la vida!. Il imagine dans un touchant monologue les derniers mots du peintre mexicain, disparu en 1954 au terme d'un vie douloureuse et tragique, mais surtout flamboyante.

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  • Catégories : A lire

    AVEC UN PEU PLUS DE CIEL

    Si Éluard ne l’avait déjà fait sien, le titre de ce livre aurait pu être L’amour la poésie tant il n’est ici question que de ces deux pôles d’intensité et de désir. Entre eux, une musique, un vif sentiment d’urgence et le goût du risque incarné. Aussi les poèmes d’Avec un peu plus de ciel apparaissent-ils comme des partitions funambules qui, par delà chaos, tragédies, étreintes ou vertiges, se vouent à un autre équilibre, à une autre harmonie. Ils surgissent avec la soudaineté d’un coup d’aile, la ferveur d’un rêve éveillé, la fierté d’un pari tenu. Dans le ressac des jours, ils sont parties prenantes des enchantements et des alarmes, des plaisirs souverains et des aveux de haut vol.

     

    Dans l’avenir à découvert
    Comme dans une larme de feu
    Où rien ne va à la cendre
    Où rien ne va au remords
    On comprend qu’il y a de l’or
    Qui règne sous la peau
    Et une vague violente qui n’espérait que ça

     

     

    ESCALADER LA NUIT - France Culture - L'Atelier de la Création - Diffusé le Jeudi 29 septembre 2011 à 23 heures.

    Par Sophie Nauleau & Véronik Lamendour
    avec la participation amicale et anonyme d'un exceptionnel premier de cordée.
    Prise de son au pied de Notre Dame : Marcos Darras.
    Mixage de retour en studio : Sébastien Labarre.

     

    D’UNE ÉQUIPÉE NOCTURNE

    Comme parfois, quand la musique est là et qu’il n’y a qu’à transcrire la partition, ces poèmes m’ont été offerts. D’où est venu ce don au moment même que j’en faisais l’offrande à celle qui était près de moi ? Sans doute d’un azur plus transparent soudain, et d’un cœur à l’écoute d’un cœur mystérieusement plus vaste. Aussi d’une équipée nocturne, assez risquée pour ouvrir plus d’une voie à la fois, tout en gravissant en toute illégalité la flèche de Notre-Dame de Paris, ce dont témoigne un enregistrement, funambule et clandestin, de France Culture. Accomplissant cela, avec Sylvain T. en exceptionnel premier de cordée, Sophie m’a légué assez d’ondes verticales pour que je tente d’accéder à un peu plus de ciel.

    Escalader la nuit fait explicitement référence à cet alpinisme cathédral et à cet exploit radiophonique.

    Les autres lieux et personnages de ce livre me sont familiers : le Rajasthan, le désert de Thar, la forteresse de Jaisalmer ; le salut à Alexandre le Grand qui épousa Roxane à Bactres en 327 avant notre ère ; le site bouddhique d’Angkor Thom au Cambodge ; le village de Sils Maria dans les Grisons où résida Nietzsche, le rocher de Duino où Rilke composa ses Élégies ; enfin la tombe d’Antonio Machado à l’entrée du cimetière de Collioure avec sa boîte aux lettres toujours en éveil.

    Quant aux œuvres vives, elles se tiennent sous la ligne de flottaison et ne se révèlent que lors des réparations, le navire ayant été mis en carène.

    A.V.

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  • Enfin une librairie francophone à New York

    Par Karl de Meyer | 30/09 | 06:00
     
     

    Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, en a posé la « première pierre »

    Les amoureux des livres francophones de New York peuvent se réjouir, eux qui n'avaient plus d'endroit où feuilleter, compulser, prendre en main, soupeser des volumes en français depuis trop longtemps. Laurent Fabius, présent dans la première ville des Etats-Unis, la semaine dernière, pour cause d'assemblée générale de l'ONU, a posé vendredi la « première pierre » d'une librairie francophone hébergée dans une superbe demeure, au coin de la 5Avenue

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  • Irish Celtic » : la vague irlandaise déferle sur la France

     

    Par Martine Robert | 30/09 | 06:00 | mis à jour à 15:09

     

     

     

    Les grandes fresques touristiques musicales sont la marque de fabrique de la société Indigo Productions .

    « Irish Celtic », un spectacle tout public qui joue sur l'authenticité. - Photo Philippe Fretault
    « Irish Celtic », un spectacle tout public qui joue sur l'authenticité. - Photo Philippe Fretault

    Le producteur Indigo est sur le pied de guerre. La trentaine de danseurs et musiciens d’« Irish Celtic » répètent cette superproduction qui va déferler sur la France le 26 octobre – pour une soixantaine de dates et de villes, sans compter l’étranger. Le

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  • Galerie Emmanuel Perrotin (Paris 3 e)

    Galerie Emmanuel Perrotin

    « L’antre du visionnaire »

    présentation

    Et dire que pour son premier emploi en galerie, à 17 ans, Emmanuel Perrotin s'était plus ou moins demandé ce qu'il faisait là. Avec deux galeries à Paris, une à Miami et une réputation internationale de visionnaire, la réponse tombe sous le sens. D'abord installé rue Beaubourg en 1992, il migre en 1997 dans la rue Louise-Weiss. Moins de dix ans plus tard, il occupe l'un des plus beaux lieux de Paris, un hôtel particulier de 700 mètres carrés rue de Turenne. Cette trajectoire s'explique par la formidable notoriété qu'il a su développer dans le monde de l'art. Emmanuel Perrotin organise les premières expositions parisiennes d'artistes comme Damien Hirst, Maurizio Cattelan, Takashi Murakami, et compte aujourd' hui quelques-uns des plus grands artistes contemporains (Sophie Calle, Wim Delvoye, Bernard Frize, Jean-Michel Othoniel, Piotr Uklanski, Xavier Veilhan.. .). À son flair incomparable, s'ajoute une conception encore rare du métier de galeriste : pour lui, la production d'oeuvres est essentielle. Il a donc idéalement aménagé sa galerie parisienne avec l'aide de deux architectes, Pauline Manser et François-Xavier Bourgeois : un showroom réservé aux collectionneurs, des espaces pour la production, des espaces d'expositions revisités. L'agenda de la galerie est pour le moins chargé : plus de dix expositions et foires d'art contemporain par an, un journal trimestriel Bing et une bonne vingtaine d'assistantes, la galerie Emmanuel Perrotin est une véritable entreprise.

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  • J'ai lu aujourd'hui:Masculin-masculin

    25 septembre 2013

    Entre voile pudique et nudité provocatrice, le musée d’Orsay présente une exposition dédiée au corps masculin dans l’art, du xixe siècle à nos jours. Le musée ne se contente pas de mettre en scène le nu masculin, mais cherche à éclairer les multiples facettes et les métamorphoses de la représentation de l’homme nu. La nudité masculine n’a pas toujours un lien avec l’érotisme ou la sexualité. C’est ce que l’exposition et ce hors-série montrent de manière saisissante

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-721-Masculin-masculin.html

  • Connaissance des Arts octobre 2013

    Frida Kahlo, un destin tragique traduit en peinture - Octobre 2013

     

    Connaissance des Arts Octobre 2013

    7,90
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    Au sommaire de ce numéro :

    • Portfolio : Paris, capitale de la photo 2013
    • L'événement : Frida er Diego, les amants terribles
    • Visite d'atelier : Yan Pei-Ming, retour en force
    • Collection privée : La collection aiguë de Jacques et Galila Hollander
    • L'oeil d'Isabelle Cahn : Félix Vallotton, le peintre de l'étrange
    • Architecture : Jakob et McFarlane, les rois de la 3D
    • Style :1400-1600 : le printemps de Florence
    • Civilisation :L'Inde aux mille visages
    • Nouveau talent : Dewar et Gicquel / Annina Roescheisen/ Muchir et Desclouds
    • Marché de l'art

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  • J'ai lu hier:PIAF, UN DESTIN FRANÇAIS

    Taille 1,47 mètre. Pointure 32,5. Célébrité planétaire. Caractère impossible, capricieux, amoureux. Et un destin à nul autre pareil, qui prend racine dans France misérable, dans les rues de Paris que Piaf chantera comme personne, pour conquérir le monde entier, faire trembler et pleurer ces publics qui l’acclament. Et finir seule et adulée.

    C’est à ce destin français, à ce mythe qu’est tout entier consacré ce hors série qui paraît tout juste 50 ans après la disparition de la Môme en octobre 1963

    Oct.-Nov. 2013

    Taille 1,47 mètre. Pointure 32,5. Célébrité planétaire. Caractère impossible, capricieux, amoureux. Et un destin à nul autre pareil, qui prend racine dans France misérable, dans les rues de Paris que Piaf chantera comme personne, pour conquérir le monde entier, faire trembler et pleurer ces publics qui l’acclament. Et finir seule et adulée.

    C’est à ce destin français, à ce mythe qu’est tout entier consacré ce hors série qui paraît tout juste 50 ans après la disparition de la Môme en octobre 1963.

    http://boutique.lepoint.fr/produit/505/piaf-un-destin-francais?affiliate=15

  • Nous avons aimé ce soir au cinéma:Elle s'en va

    Elle s'en va

    Bettie, la soixantaine, se voit soudain abandonnée par son amant et en péril financier avec le restaurant familial. Que faire de sa vie ? Elle prend sa voiture, croyant faire le tour du pâté de maison. Ce sera une échappée. Au fil de la route : des rencontres de hasard, un gala d’ex-miss France, le lien renoué avec sa fille, la découverte de son petit-fils, et peut-être l’amour au bout du voyage… Un horizon s’ouvre à elle.

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  • Lire comme en 14. L'éditorial du "Monde des livres".

    LE MONDE DES LIVRES | 26.09.2013 à 12h37 | Jean Birnbaum

     

    Nous ne sommes pas encore en 2014, mais déjà la France s'installe dans un cycle commémoratif qui placera le souvenir de la Grande Guerre, un siècle après son déclenchement, au coeur de l'espace public. Partenaire de la Mission du centenaire, dirigée par Joseph Zimet, Le Monde est engagé dans cet élan mémoriel qui s'annonce du reste comme une dynamique mondiale. A partir du mois de novembre, notre journal ouvrira un site Internet et publiera un supplément mensuel, tous deux entièrement consacrés à ce passé si présent.

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  • Florence

    L'invention de la Renaissance

     
    02 octobre 2013

    À l’occasion de l’exposition du Louvre, Beaux Arts enquête : comment s’est produit à Florence ce mouvement qui a gagné toute l’Europe ? Pourquoi cette ville est-elle devenue la nouvelle Rome et aussi la nouvelle Athènes ? Un récit bien entendu illustrée par les oeuvres de Donatello, Masaccio, Brunelleschi, Ucello… rassemblées au musée
    du Louvre et provenant du palais Strozzi.
  • Nous avons aimé hier soir au cinéma le dernier Woody Allen : “New York, les femmes et moi”

    Le réalisateur retrouve les États-Unis dans son nouveau film, “Blue Jasmine”, avec Cate Blanchett

    Par Richard Gianorio

    Woody Allen et Mia Farrow Photo Gamma

    Woody Allen et Mia Farrow dans Hannah et ses sœurs (1986).

    Dans le sensationnel Blue Jasmine, avec la grandiose Cate Blanchett, le réalisateur retrouve vigueur et âpreté. Rencontre avec un cinéaste légendaire qui enchaîne les films pour oublier la pesanteur de la vie.

    Le regard fixe derrière ses éternelles lunettes à monture épaisse, le frêle Woody Allen disparaît presque dans le canapé d’un palace parisien où il est sagement assis, courtois petit soldat qui reçoit, les uns après les autres, des journalistes éperdus d’admiration.

    Il y a de quoi être impressionné : à 77 ans, le réalisateur new-yorkais livre avec Blue Jasmine son meilleur film depuis des années, comédie cruelle, conte désenchanté sur la fin d’un chapitre du capitalisme et, surtout, extraordinaire portrait d’une femme brisée qui a déserté la réalité. Cate Blanchett, de tous les plans, belle ou ravagée, atteint ici des grandeurs qui en font une actrice au-delà des superlatifs.
    On n’espérait plus grand-chose de Woody Allen, égaré dans son tour d’Europe – Londres, Barcelone, Paris, Rome – et ses livraisons touristiques annuelles, divertissantes sans plus. Rentré au bercail – le film a été tourné à New York et San Francisco –, revigoré, il signe un film d’une incroyable âpreté, instantané de l’Amérique post-Madoff, qui prend le visage de Jasmine, antihéroïne en chute libre, grande bourgeoise new-yorkaise déclassée, totalement névrosée, lointain écho de Blanche DuBois (le personnage d’Un tramway nommé Désir), carburant à la vodka et au Xanax, qui échoue chez sa sœur, modeste divorcée, pensant pouvoir refaire sa vie, dans cette quête de la « seconde chance » chère aux Américains.

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  • J'ai fini ce matin d'insomnie:Le cortège de la mort(que j'ai pris à la bibliothèque)

    Le cortège de la mortDepuis le meurtre de son épouse, l'inspecteur Thomas Lynley n'a pu se résoudre à reprendre son poste à Scotland Yard. Lorsqu'une femme est retrouvée égorgée dans un cimetière londonien, sa remplaçante, Isabelle Ardery, y voit l'occasion rêvée de résoudre une affaire criminelle qui pourrait donner de l'élan à sa carrière. Mais, loin de faire l'unanimité au sein de son équipe, elle comprend qu'il lui sera difficile de parvenir à ses fins sans l'aide du très respecté Lynley, qu'elle appelle en renfort.
    Dans cette seizième enquête de l'inspecteur Lynley qui signe ici son grand retour au Yard, Elizabeth George plonge au coeur de la violence humaine, que même une société aussi policée que la société britannique ne peut contenir

    http://www.evene.fr/livres/livre/elizabeth-george-le-cortege-de-la-mort-1220305.php

  • LA RÉCRÉATION

    couverture

    Débarrassé de ses habits de ministre, le grand retour de l'auteur de La Mauvaise Vie et du Festival de Cannes.
    « Je suis devenu ministre par surprise. J'ai essayé de faire mon boulot le mieux possible et peut-être pas trop mal, puisque j'ai tenu trois ans alors que ce n'était pas gagné au départ.
    J'ai raconté cette histoire bien sagement et sérieusement dans un bouquin qui a ennuyé tout le monde, Le Désir et la chance. Avec le recul, ce qui m'a plu dans cette aventure c'est d'avoir pu sauter dans la cage aux lions et observer leur férocité, leurs grognements et leurs faiblesses. Ce fut à la fois dangereux, excitant et amusant car je n'étais pas dompteur de profession mais aussi bien décidé à ne pas me faire manger. J'ai reçu pas mal de coups de griffes mais j'en suis quand même sorti sain et sauf.
    J'ai retrouvé ma vie d'avant sans regrets ni amertume pendant qu'ils continuent à s'entredévorer, mais j'ai emporté une clef de la cage avec moi et comme je ne suis pas un petit cachottier je la tiens à la disposition de tous ceux qui voudraient s'en servir pour tenter leur chance à leur tour.
    À condition d'aimer ce genre de sport et d'apprendre vite à courir plus vite que les grands fauves, ça vaut vraiment le coup d'essayer. L'existence n'offre pas beaucoup de récréations de ce genre... »

    http://www.laffont.fr/site/la_recreation_&100&9782221133071.html