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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1023

  • Simone Veil, une loi au nom des femmes », un documentaire de Valérie Manns et Richard Puech, diffusé le 4 Mars sur France 2

    « Simone Veil, une loi au nom des femmes », un documentaire de Valérie Manns et Richard Puech, diffusé le 4 Mars sur France 2

    Le mardi 26 novembre 1974 commence la bataille parlementaire la plus passionnelle de notre histoire. À 16H00, Simone Veil monte à la tribune de l’Assemblée nationale pour défendre son projet de loi autorisant l’avortement.

    En France, elles sont alors 300 000 femmes à avorter clandestinement chaque année. 300 000 criminelles selon la loi pénale de 1920, une loi obsolète et ouvertement bafouée. Ministre depuis à peine six mois, encore inconnue des Français, Simone Veil vient porter le combat des femmes face à une Assemblée d’hommes hostiles. Pendant trois jours et deux nuits, elle affronte 74 orateurs, endure les diatribes les plus enflammées, subit jusqu’aux accusations ignobles de racisme nazi ou d’eugénisme, elle, la déportée, rescapée du camp d’extermination d’Auschwitz. Mais Simone Veil tient tête. Au petit matin du 29 novembre 1974, après 25 heures de débats et de tumultes, la loi sur l’Interruption Volontaire de Grossesse est enfin votée par 284 voix contre 189, mettant fin à des siècles d’interdits et à des décennies d’hypocrisie

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  • J'ai commencé hier soir:Franz-Olivier Giesbert. La cuisinière d'Himmler

    « Je ne supporte pas les gens qui se plaignent. Or, il n’y a que ça, sur cette terre. C’est pourquoi j’ai un problème avec les gens. Dans le passé, j’aurais eu maintes occasions de me lamenter sur mon sort mais j’ai toujours résisté à ce qui a transformé le monde en grand pleurnichoir.
    Jusqu’à mon dernier souffle et même encore après, je ne croirai qu’aux forces de l’amour, du rire et de la vengeance. Ce sont elles qui ont mené mes pas pendant plus d’un siècle, au milieu des malheurs et, franchement, je n’ai jamais eu à le regretter. »

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  • J'ai lu hier:Le Patrimoine en France 2013

    Le Patrimoine en France 2013

    • Evénement

    Paris Grand Siècle : restauration des monuments méconnus du XVIIe siècle

    • Ouest

    A Giverny, le temps retrouvé chez Claude Monet

    Du minimal dans l'art roman

    • Nord-Est

    Le château d'Andlau, une vigie en Alsace

    • Sud-Est

    Notre-Dame-de-Consolation, l'éloge de l'humilité

    Fléchères, un hymne franco-italien

    • Sud-Ouest

    Le refuge d'André Breton

    En Aquitaine, dix siècles d'hôpitaux

    • Ile-de-France

    A Paris, le cinéma a son temple

    Les trésors retrouvés de Champs-sur-Marne

    Le nouveau règne du Prince de Galles

    Le musée du Cheval de Chantilly repart au galop

    • Drom

     

    Septembre 2013
    http://boutique.connaissancedesarts.com/offres/2592

  • Catégories : Voyage

    TURQUIE Carnet de Voyage 2011

    TURQUIE Carnet de Voyage 2011Un nouveau format très pratique et une nouvelle maquette est lancé pour la collection Carnets de Voyage. Destinés à tous les voyageurs qui partent en courts séjours et recherchent un guide complet au meilleur prix. Richement illustrés, ils proposent surtout des informations culturelles et de découverte : l'essentiel et plus ! Il est le compagnon idéal pour comprendre le pays et profiter au mieux de son séjour. Vous y retrouverez toutes les bonnes adresses et tous les bons plans pour optimiser votre séjour. Idéal pour le voyageur indépendant mais aussi le voyageur en groupe qui souhaitera s'échapper de son « resort ».

    http://boutique.petitfute.com/carnet-de-voyage-turquie-2011.html

  • Bienvenue chez Oscar Wilde

    Pavonia, de Frederic Leighton. (© Christie's Images)Pavonia, de Frederic Leighton. (© Christie's Images)

    Eric Bietry-Rivierre

    • Mis à jourle 15/09/2011 à 11:20
    • Publiéle 01/01/1970 à 01:00

    Réuni autour de l'écrivain, l'Aesthetic Movement parade au Musée d'Orsay. Dans l'Angleterre victorienne, cette avant-garde bohème prônait l'art pour l'art et faisait fi de toute morale. 

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  • Catégories : Voyage

    La terre pachtoune entre guerre et paix

    • Par Cyril Drouhet
    • Mis à jourle 06/09/2013 à 17:52
    • Publiéle 06/09/2013 à 17:11

    REPORTAGE - Nos reporters ont pu pénétrer au Pakistan dans les «zones tribales» frontalières de l'Afghanistan. Un monde interdit aux étrangers, régi par des coutumes ancestrales et considéré comme un repaire des talibans.

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  • À Varengeville, l'amour Braque

     CULTURE Arts Expositions

    Braque dans l'atelier de sa maison de Varengeville

    Braque dans l'atelier de sa maison de Varengeville Crédits photo : Robert DOISNEAU/ Gamma-Rapho

    REPORTAGE - Disparu il y a cinquante ans, le peintre cubiste fera l'objet à la mi-septembre, au Grand Palais, d'une grande et spectaculaire rétrospective ­- la première depuis 1973. Dans le petit village normand où il a vécu et travaillé jusqu'à sa son dernier souffle, personne ne l'a oublié.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Zurich,Suisse

    M Sélection

    La collection du Musée Migros d’art contemporain

     

     

     

     

    • ven 17. 05. 13 - dim 22. 09. 13
    • Musée Rath| Place Neuve
    • Ouvert de 11 à 18 h, deuxième mercredi du mois : de 11 à 20 h. Fermé le lundi
    • CHF 15.- / CHF 10.- Entrée libre jusqu'à 18 ans et le premier dimanche du mois
    • Inauguration jeu 16. 05. 13 18h00
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    M Sélection présente un choix d’œuvres de la collection du Musée Migros d’art contemporain à Zurich. Initiée par Gottlieb Duttweiler, fondateur de Migros, avec la création du Pour-cent culturel en 1957, cette collection est dédiée à l’art contemporain international. L’exposition, qui réunit une trentaine d’artistes, met l’accent sur les rapports de l’art actuel avec celui des années 1970, à travers des installations, des vidéos et des photographies. Plusieurs grandes figures telles que Sol LeWitt, Gerhard Richter ou Andy Warhol sont exposées aux côtés d’une nouvelle génération d’artistes, comme Sylvie Fleury, Christoph Büchel et Douglas Gordon.


    À lire sur notre blog :
    puce Concert punk rock dans l’installation « Minus » de Christoph Büchel

    Migros Migros Migros

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  • Catégories : Voyage

    Turquie : un fleuve détourné par Crésus en 550 av. J.-C.

    Trieste, ville ouverte

    Par Jean-Pascal Billaud, publié le13/03/2013 à 08:00

    Cité portuaire en pleine effervescence, Trieste est le carrefour des humeurs italienne, slave et viennoise qui se projettent au coeur de la nouvelle Europe. C'est le moment d'en saisir toute la magie. 

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    Trieste, ville ouverte

    La piazza dell'Unita.

    © Atlantide Phototravel/Corbis

    A première vue, Trieste s'offre tout entière sur la piazza dell'Unita, célébrant son rattachement à l'Italie en 1918, après un long protectorat austro-hongrois. Bras grands ouverts au reste du monde, son effigie ailée vole au sommet de la fontaine des Quatre-Continents. La place, immense scène d'opéra, avec mer Adriatique et ciel changeants en toile de fond, fut restructurée pour le troisième millénaire par l'architecte français Bernard Huet. Elle est sillonnée par des passants dopés au "capo in b" (cappuccino in bicchiere), café hyperdistillé servi dans un minuscule verre qu'on avale, debout, au comptoir. Ils s'engouffrent dans les édifices du commerce ou du gouvernement qui bordent quais et corsos, collection unique d'architectures grandiloquentes. Ce méli-mélo stylistique fraîchement toiletté -maniérisme baroque ou gothique post-vénitien, colonnades néoclassiques ou mosaïques Art nouveau, styles Liberty ou rococo, en passant par les portiques en sucre glacé du Savoia Excelsior, "le plus luxueux palace de l'Empire" lors de sa construction en 1912- accompagna une prospérité galopante, puis un déclin mélancolique, quand le Rideau de fer tomba sur ses frontières orientales. 

    Un petit plat et un "capo in b" au comptoir, scénario habituel sur la piazza dell'Unita.

    Un petit plat et un "capo in b" au comptoir, scénario habituel sur la piazza dell'Unita.

    REUTERS

    Après avoir remis en beauté les pompeux monuments de la période habsbourgeoise, entre 1750 et 1914, les pros de la culture lorgnent ces jours-ci sur les milliers de mètres carrés d'entrepôts désertés qui prolongent les quais et s'allongent à l'est de la baie, sur les espaces préservés de la zone franche. Ils réhabilitent ces lieux gigantesques, que décorèrent à l'image de leurs palais du commerce les bâtisseurs d'empires maritimes, profitant du statut de port franc octroyé par l'Autriche en 1719. Déjà, le Magazzino 26 -le plus grand des hangars couverts de lierre s'alignant sur les kilomètres du Porto-Vecchio, trois immenses étages soutenus par des colonnades massives de pierre et de fonte coiffées de chapiteaux corinthiens- a accueilli la dernière Biennale de Venise "hors les murs". Le marché au poisson, surnommé par les pêcheurs "Santa Maria del Guatto" (Sainte-Marie du poisson pas cher) pour son allure incongrue de basilique 1900 aux bas-reliefs de coquillages et crustacés, s'est métamorphosé en "Salone degli incanti" (Salon des enchantements) pour événements "de prestige". On y célébrera en peintures l'entrée de la Croatie dans l'Union européenne, en juillet prochain. Les autres appareillages du Vieux-Port, telle la forteresse d'opérette de la Lloyd Adriatico, attendent encore la baguette magique de la municipalité, qui doit négocier avec les embarras diplomatiques de la zone franche... et la crise économique actuelle ! 

    Vernissage de la Biennale de Venise "hors les murs" au Magazzino 26.

    Vernissage de la Biennale de Venise "hors les murs" au Magazzino 26.

    D.Balbi/Photokroma/DR

    Les triestins ont une inaltérable passion pour leur ville.

    Sa magnificence reste sa plus grande séduction quand elle attire les affairistes cosmopolites et encourage des exploits aussi romanesques que lucratifs. Armateurs, banquiers et assureurs en sont les héros -le canal de Suez fut percé grâce aux coffres-forts du baron Revoltella, ami intime de Ferdinand de Lesseps. Ce beau monde fut bientôt rejoint par quelques génies littéraires décalés ou en transit: James Joyce, professeur d'anglais à qui son élève Italo Svevo, fabricant de peinture sous-marine, inspire le Leopold Bloom d'Ulysse, avant de devenir l'auteur tardif et déboussolé de La Conscience de Zeno; Rainer Maria Rilke, élégiaque courtisan en résidence chez la princesse Maria della Torre e Tasso dans son château de Duino. Leurs errances épiques tracent encore, entre sentiers venteux, quartiers chauds et cafés littéraires aux réminiscences viennoises, des itinéraires parallèles soigneusement balisés. 

    Des atlantes façon Musclor 

    En glissant sur le damier du borgo Teresiano, quadrillage strict et immeubles calibrés, quartier ordonné dès la fin du XVIIIe siècle par l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche, les flâneurs sont escortés, et émoustillés, par la multitude de corps nus qui en peuplent les façades. Des atlantes, façon Musclor, réapparaissent sous les toits, flirtant avec des nymphes échevelées et, planant au-dessus des volutes de la casa Smolars, un couple de géants dénudés affole les passants. Quant aux clients des terrasses des cafés, sous les frondaisons de la très animée viale XX Settembre, ils reluquent deux caryatides aux arrogants tétons, soutenant l'entrée du cinéma Ambasciatori. Baptisées Barbara et Gigogin, elles furent les pensionnaires vedettes de la villa Orientale, lupanar huppé de la Belle Epoque. 

    Le château de Miramare.

    Le château de Miramare.

    REUTERS

    De l'autre coté de la ville, en grimpant par les rues aux ambiances plus latines qui serpentent autour de la cathédrale de San Giusto, quelques demeures, revisitées en musées, accueillent leurs invités dans la fastueuse intimité des grandes familles triestines. Sous les combles de la villa des Sartorio, potentats du grain, 254 dessins de Tiepolo font contrepoint à un délirant décor néogothique. Le palais Revoltella a annexé deux bâtiments voisins pour une double vue: d'un côté, salons d'apparat ruisselants d'or, de marbre et de soieries; de l'autre, une galerie d'art moderne aux volumes blancs et rigoureux due à l'architecte Carlo Scarpa. Dans l'enfilade des pièces de la casa Morpurgo, on surprend, flottant sur les parquets cirés entre les meubles Boulle, les fantômes d'une haute société levantine qui sillonnait la Méditerranée et resplendissait à Trieste. Seul le château de Miramare, à l'extrémité de la baie, sur son promontoire battu par les rafales de la bora, dépasse en trésors et péripéties romantiques ces extravagances. Maximilien d'Autriche, plus jardinier que guerrier, y vécut un conte de fées dramatique: il troqua l'éden princier qu'il avait rêvé avec une épouse adorée pour un empire mexicain d'or et de pacotille, y revenant trois ans plus tard cadavre criblé de balles révolutionnaires, accompagné d'une veuve qui en perdit la tête. Au crépuscule, en promenade rituelle sur le môle Audace, étrangers et Triestins mêlés remémorent sur ces rivages une fortune aussi capricieuse que les cieux de l'Adriatique et rêvent... 

    Pratique

    Comment y aller?
    Italie and co propose un forfait à partir de 470 euros par personne incluant les vols A/R Paris-Venise (à 1h30 de Trieste environ), trois jours de location de voiture et deux nuits au Savoia Excelsior, avec les petits déjeuners. 

    Où dormir?
    Le Savoia Excelsior Palace.Sous les verrières, les ors et les stucs rénovés, un superbe palace pour une escapade ultra-romantique et abordable, dans des chambres face à l'Adriatique. A partir de 160 euros la nuit en chambre double. Renseignements: 00-39-040-779-41.
    L'Urban Hotel. Implanté dans les ruines romaines au pied de la città vecchia, un exercice de design contemporain pour se reposer les yeux des ornements omniprésents alentour, tout en blancheur et bois blond réveillés par les couleurs vives du mobilier de Ron Arad pour Morosco.
    A partir de 114 euros la nuit en chambre double . 00-39-040-302-065. 

    Où déjeunier, dîner?
    Salumar,le "labo du poisson", pour un rebechin (buffet) très frais, garni de calamars, de saumon ou d'une purée de polenta blanche et de morue, arrosé de vins blancs du Frioul. Fréquenté par la jeunesse locale. Tartines à partir de 2 euros, plats, 8 euros
    13, via di Cavana, 00-39-040-322-97-43.
    Al Bagatto. Dans des boiseries très Mitteleuropa, on dîne au milieu d'une véritable "librairie" de crus locaux à l'une des meilleures tables familiales de la ville. Sublime tartare de loup de mer aux pommes fruits et ricotta, et risotto aux palourdes et citron vert.
    Environ 60 euros le repas. 7, via Cadorna, 00-39-040-301-771.
    Al Bragozzo. Sur le front de mer, plats marins (exquis bar à la croûte de sel, somptueux spaghettis à la langouste) à déguster dans tous leurs états, crus ou cuits, après une dégustation de la spécialité d'anchois marinés.
    Environ 30 euros le repas. 22, riva Nazario Sauro, 00-39-040-314-111. 

    Où boire un café?
    Caffè San Marco.Lieu légendaire à l'ambiance viennoise, pour savourer cappuccino et pâtisseries en compagnie de douairières et d'étudiants, émules de Joyce, refaisant le monde.
    18, via Battisti.
    La Portizza.Réputé pour ses cocktails Negroni, alliage de Campari, de gin et de vermouth.
    5b, piazza della Borsa. 

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    [VILLE]
     

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    Trieste, ville ouverte

    Par Jean-Pascal Billaud, publié le13/03/2013 à 08:00

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    Trieste, ville ouverte

    Par Jean-Pascal Billaud, publié le13/03/2013 à 08:00

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    Home ACTUALITE Sciences
    Le spéléologue Éric Gilli dans le souterrain qu'il a découvert. Il avait repéré les deux entrées du tunnel en 1984, lors d'un de ses nombreux voyages dans la région.

    Le spéléologue Éric Gilli dans le souterrain qu'il a découvert. Il avait repéré les deux entrées du tunnel en 1984, lors d'un de ses nombreux voyages dans la région. Crédits photo : Eric Gilli

    INFOGRAPHIE - Un géologue français a mis au jour un tunnel de 177 m de long dont Hérodote attribuait la paternité à Thalès.

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  • Introduction à la lecture de l'oeuvre d'Yves Bonnefoy

    Plan de la page

    Autres essais sur Yves Bonnefoy :

       

     

     

     

    Yves Bonnefoy partage avec Philippe Jaccottet et d'autres poètes de la même génération le souci de ne pas se laisser leurrer par les jeux ou les facilités du langage, par le désir de l'infini, par tout ce qui relève du magique ou de l'angélique dans les discours sur la poésie, tels qu’ils demeurent plus ou moins tributaires d'une mythologie romantique de l'acte créateur. 

    Il résiste à tout ce qui conduit à l'absolutisation du poétique et donc à sa constitution en univers séparé du réel, autosuffisant ou autarcique.

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  • William Marx

     
     
    WilliamMarx
    © Hélène Bamberger

    William Marx (Villeneuve-lès-Avignon, 1966). Critique et historien de la littérature. Après des études à l'Ecole normale supérieure et l'agrégation de lettres classiques, il a longtemps enseigné aux Etats-Unis et au Japon. Il est actuellement professeur de littératures comparées à l'université de Paris X (Paris Ouest Nanterre La Défense), membre de l'Institut universitaire de France. 
     
    Bibliographie (extrait) :
    * Naissance de la critique moderne. La littérature selon Eliot et Valéry, 1889-1945 (Artois Presses Université, 2002).
    * Les Arrière-gardes au XXe siècle. L'autre face de la modernité esthétique, dir. William Marx (Presses universitaires de France, 2004).
    * L"Adieu à la littérature. Histoire d’une dévalorisation. XVIIIe-XXe siècle (Minuit, 2005).
    * Jean Prévost aux avant-postes, dir. Jean-Pierre Longre et William Marx (Les Impressions nouvelles, 2006).
    * Le Récit, dir. William Marx. Actes de savoirs n° 4 (Presses universitaires de France, 2008).
    * Vie du lettré (Minuit, 2009).
    * Le Tombeau d'Œdipe. Pour une tragédie sans tragique (Minui, 2012).

    http://leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=livAut&auteur_id=1783

  • Catégories : Voyage

    Trieste, l'exquise mélancolie

    Home VOYAGE Voyages
      • Par François Simon
      • Mis à jourle 06/05/2013 à 15:53
      • Publiéle 03/05/2013 à 17:04

    EN IMAGES - Voisine de Venise, Trieste, prise par le roulis d'une histoire hautement contrariée, goûte aujourd'hui une paix dans le calme d'un tourisme de discrétion, avec, à la clé, le souvenir d'écrivains illustres et l'incroyable dispositif de cafés dignes de Vienne.

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  • La rentrée des récidivistes

     

      • Par Olivier Nuc
      • Mis à jourle 01/09/2013 à 23:02
      • Publiéle 01/09/2013 à 18:54

    À 71 ans, éclatant de santé, il a donné le ton de la rentrée en annonçant son retour à la pop, après des détours par le classique et le jazz: sir Paul McCartney dévoilera le 14 octobre prochain New, un album sur lequel le maître a collaboré avec de jeunes producteurs comme Mark Ronson ou Ethan Johns. Parallèlement, son ancien collaborateur, le très éclectique ­Elvis Costello, présente une série de chansons enregistrées avec le groupe de hip-hop The Roots. Une alliance étonnante, qui fait perdre à l'Anglais sa raideur et son aspect académique (Wise Up Ghost, le 16 septembre).

  • Gregory Porter, une voix qui compte

    Mots clés : Liquid Spirit, Gregory Porter

    Nuc, Olivier
    28/08/2013 | Mise à jour : 16:03


    EXCLUSIF - Écoutez le nouvel album du chanteur américain, Liquid Spirit , en intégralité avant sa parution lundi 2 septembre.

     

    La plus belle voix du moment, dans la catégorie jazz-soul, appartient à un solide gaillard d'un bon mètre quatre-vingt-dix ayant dépassé la quarantaine. Son nom? Gregory Porter. Sa réputation circulai...

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